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Un échec à 8M€ se relance tranquillement au Portugal

Transféré en 2018 du Havre au Stade Rennais pour 8 millions d'euros (hors bonus), Rafik Guitane, milieu offensif très technique, était considéré comme l’un des très grands espoirs du football français. Preuve en est, l'international français dans toutes les équipes de jeunes était à l'époque également convoité par l'Olympique Lyonnais et l'AS Monaco, qui n'avaient pas voulu répondre favorablement aux exigences financières du HAC.

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Hélas, les choses ne se sont pas passées comme prévu pour le natif d'Evreux. Victime d'une rupture des ligaments croisés (la deuxième après celle de 2017) quelques semaines après son arrivée à Rennes, Rafik Guitane a vécu une saison 2018-2019 blanche.

Suite à cette blessure, Guitane a eu du mal à retrouver son niveau et a vécu une deuxième saison au SRFC quasi blanche. Deux années sans quasiment jouer avant d'être prêté au CS Maritimo (Portugal) lors des exercices 2020-2021 et 2021-2022. Un prêt de deux saison pas forcément concluant (du moins la première année avant de rejoindre librement le Stade de Reims pour être ensuite reprêté au club portugais), mais qui a permis à Rafik Guitane d'obtenir un temps de jeu conséquent.

De nouveau prêté au Portugal lors de la deuxième partie de saison dernière, mais cette fois-ci à Estoril, Rafik Guitane a été transféré dans le club portugais cet été. Titulaire depuis le début de saison à Estoril, le milieu offensif / ailier de 24 ans retrouve peu à peu un niveau intéressant malgré le début de saison compliqué du club du sud du Portugal. En effet, il est considéré comme l'un des meilleurs dribleurs de D1 portugaise.

Stéphane Guivarc'h raconte sa nouvelle vie, 25 ans après france 98

Avant-centre de l’équipe de France lors de la Coupe du monde 1998, Stéphane Guivarc’h est désormais bien loin du monde du football professionnel. Invité de l’émission Rothen s’enflamme sur RMC ce lundi, l’ancien buteur d’Auxerre a raconté sa nouvelle vie, partagée entre son boulot de commercial et des responsabilités dans un club de R1.
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Il n’est pas impossible de le croiser régulièrement sur les routes de Bretagne, qu’il arpente à longueur de journées dans le cadre de sa nouvelle vie. Champion du monde 1998 et titulaire lors de la finale gagnée par les Bleus contre le Brésil, Stéphane Guivarc’h est depuis longtemps éloigné du football professionnel. Si un grand nombre de ses anciens coéquipiers champions du monde ont décidé de s’offrir une après-carrière dans les médias ou sur un banc de touche, lui a opté pour une trajectoire de vie bien différente.

"Ça fait 17 ans que je suis dans les piscines, confie l’ancien attaquant d’Auxerre, élu deux fois meilleur buteur de première division (1997 et 1998), dans l’émission Rothen s’enflamme ce lundi sur RMC. Le patron est un ami. À la base, la boite était une entreprise de plomberie qui faisait ma maison. Mon ami me dit alors qu’il va créer une structure piscine et qu’il recherche un commercial. Comme je ne faisais rien, je lui ai dit que j’allais lui filer un coup de main… et ça fait 17 ans que je suis avec lui, ce n’est plus un coup de main. Je suis sur la route toute la journée, ça se passe très bien, le soir je suis chez moi… J’ai une vie équilibrée, je ne suis pas à la recherche constamment de la caméra ou du micro pour vivre."

Souvent, on parle un quart d’heure de piscines puis une heure de foot
Contacté par Jérome Rothen à l’occasion de la rubrique "Perdus de vue", fil rouge de l’émission tout au long de la semaine, Guivarc’h précise que cette après-carrière originale est le fruit du hasard et des aléas de la vie. "Ce n’était pas voulu. Quand j’étais à Auxerre, j’ai cassé mon contrat pour venir à Guingamp. C’était pour me rapprocher de ma mère qui était très malade. Malheureusement, elle est partie au moment de l’arrêt de ma carrière. Mon père s’est retrouvé tout seul, donc je l’ai épaulé, je suis resté quelques mois… et cette proposition de boulot est arrivée."

Malgré ce costume de commercial, le football n’est jamais très loin pour Guivarc’h. Que ce soit le week-end à l’US Tregunc, club de R1 situé près de Concarneau où il vient d’endosser le rôle de président après la démission de l’ancien dirigeant… ou la semaine dans son boulot. "Souvent, on parle un quart d’heure de piscine puis une heure de foot ! Car 98 a eu un impact considérable, c’était la première Coupe du monde en France", rembobine l’ancien attaquant.

Le Mondial 1998, justement, lui reste encore en travers de la gorge. Malgré un rôle de titulaire à partir des quarts de finale, il n’a pas réussi à trouver le chemin des filets. "Ça me hante toujours aujourd’hui, t’y penses constamment. C’est une Coupe du monde, c’est en France, tu marques 47 fois dans la saison et ce jour-là t’as les pieds carrés", souffle-t-il. C’est ce qui fait le charme du foot aussi ! Lilian (Thuram), il ne marque pas un but de sa carrière et en demi-finale il marque du pied droit et du pied gauche ! Après, le schéma était compliqué aussi. T’as personne dans les couloirs, donc c’est plus compliqué. Ce n’est pas le même schéma que j’avais à Auxerre, où j’avais deux machines à centrer et où il suffisait d’être présent au premier ou au deuxième poteau. Il y avait moins d'efforts à faire dans les déplacements, dans le replacement défensif." 25 ans après, le sujet, aussi douloureux soit-il, permet au moins d'alimenter les discussions avec ses clients.

Le début de saison fracassant de Mathys Tel qui pense déjà à l'équipe de France

Un début de saison fracassant! Mathys Tel, arrivé à l'été 2022 au Bayern Munich en provenance du Stade Rennais pour près de 30 millions d'euros (28,5, bonus compris), réalise un début de saison remarqué en Bavière. Le jeune attaquant avait déjà signé un pemier exercice prometteur au Bayern avec 6 buts en 28 matchs et 600 minutes jouées, toutes compétitions confondues.

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L'équipe de France est dans ma tête
Cette année, Thomas Tuchel semble compter sur lui dans la rotation. L'attaquant, qui peut également jouer ailier sur les deux côtés, signe un début de saison époustouflant en sortie de banc avec le Bayern. Avec seulement 57 minutes à son compteur en 5 matchs, Mathys Tel a inscrit 3 buts et délivré une passe décisive. Dès qu'il rentre en jeu, l'ancien rennais se montre immédiatement à son avantage.

Il a débloqué son compteur, rapidement dans la saison, en marquant sur la pelouse du Werder Brême, six minutes après son entrée en jeu, avant de récidiver à l'extérieur contre le Borussia Monchengladbach. A domicile, contre le Bayer Leverkusen, il délivre sa première passe décisive de la saison, pour Leon Goretzka, après 17 minutes de jeu. Mercredi en Ligue des champions, contre Manchester United, Mathys Tel a scellé la victoire des Bavarois dans le temps additionnel, cinq minutes après son entrée.

Un but - le premier de sa jeune carrière en Ligue des champions - que le natif de Sarcelles attendait impatiemment.

"Ça fait du bien, j'attends ce but depuis longtemps, a-t-il confié à beIN Sports. J'ai travaillé pour et mes coéquipiers m'ont beaucoup aidé. On en est là aujourd'hui, c'est le fruit de mon travail. Je suis content et il faut continuer comme ça."

A 18 ans, le Français impressionne par sa précocité et son état d'esprit: "Je suis dans un club rempli d'ambition et donc quand tu joues dans ce club, tu dois être ambitieux. Je me dois d'avoir envie de me déchirer pour l'équipe, c'est ce que je pense faire et je vais continuer à le faire. M'entraîner avec tous ses joueurs, ça m'aide beaucoup, je dois continuer à travailler."

Beaucoup disent que c'est le futur, mais pour moi, c'est le présent, lance Upamecano
Mathys Tel rêve déjà d'un avenir prochain en Bleu: "L'équipe de France est dans ma tête parce que c'est ma nation et mon pays. J'aimerais y gratter quelques minutes mais il faut savoir rester patient, c'est important. Je dois grandir et quand je serai appelé, je serai content."

S'il n'est pas impossible, à terme, de le voir appeler par Didier Deschamps ou par Thierry Henry, Mathys Tel représente le présent selon son coéquipier, Dayot Upamecano : "C'est un très très bon joueur, je parle toujours avec lui, et je lui dis qu'il doit continuer ainsi. Il est encore jeune, mais il apprend très vite, il veut apprendre très vite. Il parle avec tout le monde. Il doit poursuivre dans cette voie, parce que c'est un super joueur. Il nous surprend, beaucoup disent que c'est le futur, mais pour moi, c'est le présent."

L’immense frustration de Jéremy Doku

Après trois saisons passées au Stade Rennais, Jérémy Doku s’est engagé en faveur de Manchester City dans les derniers jours du mercato estival. Une signature qui en dit long sur les perspectives d’avenir de l’ailier belge. Désireux de franchir un nouveau cap dans sa jeune carrière, le joueur de 21 ans espère devenir indiscutable en sélection en évoluant aux côtés des plus grands. Hier, le natif de Borgerhout a fêté sa 17e sélection avec la Belgique face à l’Estonie.

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Si les Diables Rouges se sont largement imposés face aux Estoniens (5-0), Jérémy Doku n’a pas soigné ses statistiques malgré une belle activité sur le pré. C’est donc avec une pointe de frustration que le Belge s’est présenté devant la presse pour évoquer sa prestation."Je pense que j’ai fait un bon match, on a tous fait un bon match. Jan Verthonghen méritait ça pour sa 150e. On est contents du score et du résultat. On peut toujours faire mieux mais aujourd’hui, c’était une réussite. En juin, j’avais dit que je devais faire mieux dans le dernier geste. C’était mieux aujourd’hui, mais je ne marque toujours pas, même si je fais quand même une passe décisive. J’aurais aimé marquer mon but, ça reste important pour moi", a déclaré Jérémy Doku au micro de la RTBF à l’heure où son compteur en sélection reste bloqué à 2 réalisations.

Je pensais faire toute la saison avec Rennes

Dans une interview accordée à nos confrères du Parisien, l’ancien joueur du Stade Rennais Lesley Ugochukwu revient sur son départ à Chelsea, « le genre d’opportunité qui ne se refuse pas ».

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C’est un nouveau talent précoce qui a quitté les bords de la Vilaine cet été. Formé au Stade Rennais, Lesley Ugochukwu, 19 ans, a signé à Chelsea contre environ 30 millions d’euros. Pour la première fois depuis qu’il a rallié Londres, le milieu de terrain a pris la parole pour évoquer son transfert. Au départ, je pensais faire toute la saison avec Rennes mais le foot, ça va vite. Ça faisait un moment que Chelsea me suivait. Cet été, il y a eu des coups de fil entre le club et moi, ça s’est bien passé et on a décidé d’avancer , explique-t-il à nos confrères du Parisien.

L’international chez les Espoirs, titulaire avec les Bleuets jeudi dernier lors de la première de Thierry Henry, estime que Chelsea est le genre d’opportunité qui ne se refuse pas . J’ai une grande confiance en moi, en mes qualités, en ce que je peux faire. Je sais que si je fais les choses correctement, tout se passera comme prévu. "

Flavien Tait part en Turquie et laisse un message à ses supporters

Le milieu de terrain Flavien Tait quitte le Stade Rennais pour le club turc Samsunspor. Sur Instagram, le joueur adresse un beau message aux supporters.

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Après quatre saisons avec le club breton, Flavien Tait fait ses adieux aux supporters rennais. Il rejoint Samsunspor, club turc en Super Lig, annonce le Stade Rennais, dans un communiqué envoyé aux médias dont actu Rennes, jeudi 6 septembre.

Le milieu de terrain a porté le maillot rouge et noir à 129 reprises, toutes compétitions confondues. Il a marqué 12 buts et délivré 10 passes décisives. En mai 2022, il avait prolongé son contrat d’un an, jusqu’en 2024. Il n’ira pas au bout de ce contrat.

Un rôle essentiel dans les bons résultats
Par ses qualités physiques et techniques, son état d’esprit et son sens du collectif, Flavien aura eu un rôle essentiel dans les bons résultats des Rouge et Noir depuis quelques années, précise le club.

Il s’est notamment distingué durant les saisons 2020-2021 et 2021-2022.

Les émotions sont fortes, les souvenirs nombreux
Dans une publication sur le réseau social Instagram, le joueur dit au revoir aux supporters rennais. "Quand je repense à toutes ces années passées ensemble, les émotions sont fortes, et les souvenirs nombreux", écrit-il.

Il n’élude pas les "débuts contrastés" et le "travail acharné" pour se "mettre à la hauteur". Il garde en tête la "sensation indescriptible de sentir le Roazhon vibrer".

Mon aventure bretonne m'a profondément changé, sportivement mais aussi humainement.

Il remercie toutes les parties prenantes à cette aventure. Aux supporters, il adresse ces derniers mots : "Vous êtes l’âme de ce club et rendez chaque rencontre magique. Une nouvelle aventure s’offre à moi, mais mon cœur restera marqué au fer rouge et noir."

Message de Flavien Tait

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Cher peuple rennais,

Après 4 saisons il est venu le temps pour moi de vous dire au revoir. Quand je repense à toutes ces années passées ensemble, les émotions sont fortes, et les souvenirs nombreux.

Des débuts contrastés, et un travail acharné pour inverser la tendance et se mettre à la hauteur de l’ambition du club. La découverte des 3 compétitions européennes avec des soirées exceptionnelles, la sensation indescriptible de sentir le Roazhon vibrer, au rythme des buts, des passes décisives, et des victoires.

Mon aventure bretonne m’a profondément changé, sportivement mais aussi humainement. Je tiens à remercier toutes les personnes que j’ai pu croiser ici : entraineurs, staff, direction, coéquipiers, salariés du club, et évidemment vous supporters, qui m’avez tant apporté. Vous êtes l'âme de ce club et vous rendez chaque rencontre magique, à domicile comme à l'extérieur.

Une nouvelle aventure s’offre à moi, mais mon cœur restera marqué au fer rouge et noir ???

Je vous souhaite le meilleur et tous les succès possibles.

Flavien

Romain Salin se retire du football professionnel

Alors qu'il avait signé au CS Maritimo début juillet, après avoir résilié son contrat avec le Stade Rennais, le gardien de but de 39 ans Romain Salin a choisi de mettre un terme à sa carrière et de retourner à Rennes près de sa famille.

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Romain Salin a quitté le Stade Rennais sur une résiliation de contrat en juin dernier, avant de trouver un nouveau challenge en signant au CS Maritimo, club où il avait déjà évolué à deux reprises dans sa carrière (de 2011 à 2013 puis de 2014 à 2016), et qui vient de descendre en 2e division portugaise. Le Mayennais va finalement mettre un terme à sa carrière et rentrer à Rennes. Romain Salin aura eu une carrière longue de 20 ans, joué 287 matchs en pro (dont 28 au Stade Rennais), remporté la Coupe Gambardella en 2003 et la Coupe du Portugal en 2019 (avec le Sporting Lisbonne).

Il assiste à distance à une tentative de cambriolage au domicile familial
C'est un événement récent qui l'a fait changer d'avis et qui a poussé le gardien de but à rentrer en France auprès des siens. Dans la nuit de lundi à mardi, alors qu'il est à Madère au Portugal, il reçoit une notification du système de caméras installé dans sa propriété de la métropole rennaise. Sur les écrans, il aperçoit deux hommes, capuchés et casquette sur la tête, en train de faire le tour de la maison un marteau à la main. Il prévient alors sa compagne qui est sur place, qui parvient à déclencher le système d'alarme et faire fuir les deux hommes.

Mais Romain Salin n'a pas supporté le sentiment d'impuissance, et a prévenu son club de son intention de rentrer dès que possible en France auprès des siens. Il prendra sa retraite professionnelle dans la foulée après un dernier au revoir aux supporters du CS Maritimo.

Romain Salin bientôt sur France Bleu Armorique
Connu pour son franc-parler, son leadership, et son goût pour la tactique, Romain Salin nous fera le plaisir d'intervenir ponctuellement dans notre nouvelle émission consacrée au Stade Rennais, "Le lundi c'est Rauzy" sur France Bleu Armorique. Il fera partie de notre équipe d'experts pour décrypter le jeu et l'actualité des Rouge et Noir.

Romain Salin prend sa retraite... après une tentative de cambriolage

Selon France Bleu, l'ancien gardien rennais Romain Salin a décidé d'arrêter sa carrière après avoir été victime d'une tentative d'intrusion à son domicile.
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Romain Salin raccroche les crampons. À 39 ans, l'ancien gardien du Stade Rennais a décidé de mettre un terme à sa carrière professionnelle, rapporte samedi France Bleu. Un choix qui survient pourtant quelques semaines après le début de son contrat au CS Maritimo, club de deuxième division portugaise où il est retourné après deux précédentes expériences entre 2011 et 2016.

Une intrusion suivie à distance
Mais un événement récent aurait changé ses plans. Toujours d'après France Bleu, Romain Salin a choisi de retourner en France après avoir été informé d'une tentative d'intrusion dans son domicile situé dans l'agglomération rennaise. Par le biais d'une application de surveillance à distance, le gardien aurait constaté que deux hommes capuchés et munis d'un marteau rôdaient autour de sa maison. Ce qui lui aurait permis d'alerter sa compagne, présente sur les lieux, pour qu'elle les mette en fuite.

Romain Salin avait pris part aux deux premières journées de championnat avec Maritimo. Ce qui a porté son total de matchs disputés avec Maritimo à 121.

Au Stade Rennais, où il a été formé, Romain Salin a pris part à 28 matchs, dont 2 de Ligue des champions. Sur l'ensemble de sa carrière, qui l'a amené à évoluer dans dix clubs différents, le Mayennais a pris part à 287 rencontres depuis 2004.

Nicolas Holveck quitte le Stade Rennais

C’était dans l’air depuis quelques jours, c’est désormais officiel : Nicolas Holveck quitte ses fonctions au Stade Rennais. Après six années effectuées du côté de l’AS Monaco dans la peau d’un directeur adjoint, Nicolas Holveck a rejoint la Bretagne en 2020 pour endosser le rôle de président à la place d’Olivier Létang avant de se retirer prématurément en mars 2021 à la suite d’examens médicaux qui lui ont révélé l’existence d’un cancer.

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"Au nom du club, j’adresse toute ma reconnaissance à Nicolas pour son implication et son grand professionnalisme, je salue également son courage exemplaire face à la maladie", a indiqué François-Henri Pinault, propriétaire du SRFC, dans un communiqué du club. Comme l’a souligné France Bleu Sud Lorraine, Nicolas Holveck est attendu en Meurthe-et-Moselle pour devenir le futur président de l’AS Nancy Lorraine et succéder à Sébastien Janodet.

L’énorme appel du pied de Clément Grenier à l’OL

Invité de l’After Live sur RMC Sport, ce dimanche avant le coup d’envoi de Nice-Lyon, Clément Grenier s’est confié sur son avenir. L’occasion pour l’ancien Lyonnais d’évoquer sa situation à Majorque et d’envoyer un nouveau message au club rhodanien, où il a été formé et où il s’est révélé. «Est-ce que je dis oui si l’OL m’appelle ? Bien sûr, évidemment, c’est mon club de cœur», a ainsi déclaré le Français de 32 ans, à l’heure où les dirigeants s’activent pour trouver un nouveau milieu de terrain.

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«Je l’ai toujours dit, je ne me cache pas, après ce n’est pas moi qui décide. J’ai encore beaucoup de choses à transmettre sur le terrain et en dehors, je vis un moment un petit peu délicat avec mon club actuellement, il peut se passer beaucoup de choses dans les quatre derniers jours. Je suis ouvert à un projet sportif. Je suis dans le loft actuellement. L’entraîneur m’a dit qu’il ne comptait pas sur moi sur ce début de saison. Je m’entraîne très bien. Je suis en pleine réflexion pour savoir si je résilie ou pas pour m’engager librement dans un club. Evidemment que l’OL est toujours dans mon cœur, maintenant ce n’est pas moi qui décide».

Bertrand Marchand est décédé

Le Stade Rennais et En Avant Guingamp sont en deuil. Passé par les deux clubs, en tant que joueur à Rennes puis entraîneur adjoint, et historique coach d'EAG entre 2002 et 2004, Bertrand Marchand s'est éteint à l'âge de 70 ans.

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La Bretagne perd l'un de ses personnages historiques dans le monde du football. Le Stade Rennais vient d'annoncer le décès de Bertrand Marchand à l'âge de 70 ans. Découvreur de Didier Drogba, qu'il tente de recruter à Rennes en 2001 avant de conseiller à Noël Le Graët de le recruter à Guingamp, le Dinanais a aussi brillé en Tunisie, où il mène en 2007 l'Etoile du Sahel à la victoire finale en Ligue des Champions africaine. Il aura conduit En Avant Guingamp à son meilleur classement en Ligue 1 avec une 7e place obtenue en 2003. Les Costarmoricains avaient terminé à trois points seulement du podium.

Bertrand Marchand a aussi été un consultant de qualité pour France Bleu Armorique entre 2004 et 2006, après son passage sur le banc de Guingamp, et avant de s'envoler pour son aventure tunisienne, sa deuxième patrie, où il a entraîné trois clubs (le Club Africain, l'Etoile du Sahel et le CS Chebba) et fait un court passage à la tête de la sélection en 2010. Nous adressons à sa famille nos plus sincères condoléances.

"Je trouvais que c'était un précurseur c'est-à-dire qu'il était dans la discussion, dans l'humain. Alors on va dire, qu'aujourd'hui, c'est un peu le maître mot. Mais il y a 20 ans, c'était déjà un avant-gardiste", rend hommage Gaël Danic, ancien joueur de Bertrand Marchand et actuellement consultant football pour France Bleu Armorique.

"Pour moi, j'ai une petite affection particulière parce que quand j'avais seize ans, c'est lui qui m'avait surclassé en équipe réserve. Il te disait pas les choses que tu avais envie d'entendre. Il te disait les choses qui étaient la vérité du moment. Et c'est le rôle qu'il a rempli à merveille", poursuit Gaël Danic.

Même dans la vie, j’adore faire plaisir aux autres

Grâce à un doublé contre Lens et un but et une passe décisive au Havre, Romain Del Castillo est le tube de l’été en Ligue 1. Talent trop souvent bridé par les blessures ou la concurrence dans ses différents clubs, le gaucher a trouvé ses marques à Brest. Entretien avec un crack qui n’oubliera jamais ses entraînements avec Farès Bahlouli.

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Comment expliques-tu l’excellent début de saison brestois ?

Après notre entame ratée l’an dernier, on avait à cœur de bien mieux démarrer. Le groupe se connaît depuis plusieurs années, donc ça a facilité le travail cet été. Certains clubs accumulent les transferts et il y a un temps d’adaptation obligatoire au début de saison. Ici, ce n’est pas le cas. On a peut-être besoin de recrues, mais je préfère conserver la colonne vertébrale. Même si Franck Honorat, Haris Belkebla et Jean-Kévin Duverne sont partis, le fait d’avoir la même ossature chaque année permet d’éviter un retard à l’allumage.

Éric Roy n’avait plus entraîné depuis plus de dix ans avant d’arriver à Brest. Est-ce que ça s’est ressenti ?

Non, pas du tout ! Je suis sûr qu’il a beaucoup travaillé avant de venir, pour être prêt dès le départ. Il est arrivé tranquillement, sans faire de fracas, il a pris ses marques, et tout s’est fait naturellement.

Qu’est-ce qu’il a apporté à un groupe alors dans la zone rouge ?

Beaucoup de confiance, et on en manquait énormément ! On avait de très bons joueurs, mais qui n’étaient pas assez en confiance. Au niveau psychologique, on a vu que quand la tête allait, tout suivait. Aujourd’hui, le coach me fait pleinement confiance, je pense que ça se ressent sur le terrain. Même si j’étais déjà un cadre l’an dernier, le départ de Franck (Honorat) doit me faire passer un cap.

Je préfère jouer toutes les semaines plutôt que regarder des matchs de coupe d’Europe sur le banc.

Vous avez longtemps été à la lutte pour le maintien la saison passée. Après avoir connu l’Europe avec Rennes, ce n’est pas frustrant pour toi de jouer le bas de tableau ?

À Rennes, je me suis heurté à une trop grande concurrence, donc j’étais surtout frustré de ne pas avoir de temps de jeu. Je préfère jouer toutes les semaines plutôt que regarder des matchs de coupe d’Europe sur le banc. À Brest, j’enchaîne les matchs, donc il n’y a jamais eu de frustration de descendre d’un cran en Ligue 1. Avant ça, quand j’étais à l’OL, j’avais été prêté à Bourg-en-Bresse, puis Nîmes, pour prendre ce temps de jeu.

En 2021, tu es arrivé dans le Finistère le dernier jour du mercato. C’est un transfert qui s’est fait dans la précipitation ?

Non, je dirais que ça a surtout tardé. Grégory Lorenzi me voulait depuis longtemps, et j’ai hésité de mon côté. À trois heures de la fin du mercato, j’ai enfin pris ma décision et je crois qu’on a signé à la dernière minute. (Rires.)

Tu n’étais pas stressé à l’idée de repartir pour une saison à cirer le banc avec Rennes ?

Je suis plutôt du genre à prendre les choses du bon côté. Je me disais que j’étais à un an de la fin de mon contrat, donc ça aurait toujours été une bonne expérience. Finalement, le projet brestois m’a attiré et m’a permis de jouer plus. Je reste en Bretagne, une région que j’ai appris à connaître, même s’il pleut beaucoup trop par rapport à Lyon.

Depuis ton arrivée à Brest, tu as terminé deux fois meilleur passeur du club, et dans ta carrière, tu as toujours plus passé que marqué. Comment l’expliques-tu ?

Je suis un joueur altruiste, ça c’est sûr. J’ai toujours eu ce goût pour la passe depuis que je suis gamin. J’ai toujours pensé au collectif avant tout. Je suis souvent guidé par le sens du collectif. Même dans la vie, j’adore faire plaisir aux autres, à mes proches ou mes coéquipiers.

Aujourd’hui, c’est le titre de meilleur buteur brestois que tu cherches ?

J’ai déjà battu mon record de buts sur une saison l’an dernier (6 réalisations, NDLR). J’y arrive un peu mieux parce que j’y accorde de l’importance pour aider l’équipe, mais je veux quand même garder mes passes avant tout.

Ça m’énerve d’avoir une étiquette de joueur fragile.

Ton altruisme te pousse à souvent revenir défendre et a provoqué quelques blessures. Est-ce que ce goût de l’effort et du collectif n’a pas freiné ta carrière ?

Ça m’énerve d’avoir une étiquette de joueur fragile. Je pense que je n’ai pas eu de chance, mais je fais tout mon possible de mon côté pour éviter de nouvelles blessures. Ça passe par le renforcement, l’hydratation, l’alimentation, etc. Par contre, il ne faut pas dire à mes coéquipiers que j’aime défendre, sinon ils vont me pousser à tout le temps revenir. (Rires.)

Tu n’as plus dépassé les 30 matchs dans une saison depuis 2017-2018, en Ligue 2. Est-ce que, sans cette inconstance, tu aurais pu être plus haut à 27 ans ?

À Rennes, je n’étais pas régulier et pas assez bon pour me faire une place. Ensuite, les pépins physiques sont arrivés à Brest, avec une pubalgie notamment. Là, c’est plus frustrant, car je suis titulaire et ça me freine considérablement.

Quand je voyais Farès Bahlouli sur le terrain… C’était tellement incroyable, je n’ai jamais vu ça ensuite.

Avant Brest et Rennes, il y a eu l’Olympique lyonnais. C’est un regret de ne pas avoir percé dans ta ville natale ?

Lyon, c’est mon club de cœur. Chez moi, tout le monde est supporter de l’OL, donc il y avait forcément un peu d’attente autour de moi. C’était une fierté indescriptible de rejoindre le centre. Surtout que je n’étais pas destiné à devenir professionnel, je jouais surtout au foot avec mes potes, pour m’amuser avant tout. Ensuite, quand tu en fais partie, c’est sûr que tu veux y jouer le plus longtemps possible. Malheureusement, ça n’a pas été le cas, mais je me dis qu’il y a une bonne raison et que c’est à moi d’apprendre pour réussir ensuite, même si c’est ailleurs.

Tu es issu de la génération 1996 (avec Gaëtan Perrin, Samuel Moutoussamy et Aldo Kalulu entre autres) qui a atteint la finale de Gambardella 2015. Comment tu expliques que, hormis Mouctar Diakhaby, aucun d’entre vous ne se soit fait une place à Lyon ?

On a tous joué quelques matchs en pro, mais on n’a pas vraiment eu notre chance sur la longueur. Même Gaëtan Perrin, qui s’est montré en marquant, n’a pas réussi à se défaire de la concurrence folle. La génération Lacazette-Tolisso n’était pas encore partie et ça ne permettait pas à la nôtre de s’imposer. Je pense qu’on avait la même mentalité, c’est-à-dire jouer à tout prix, donc on est parti en prêt ou définitivement vers des clubs un peu moins huppés pour lancer nos carrières.

Je crois qu’on galère tellement au fil des ans quand on est au centre que lorsque l’un d’entre nous perce en pro, c’est une petite victoire pour toute la génération.

Avant vous, il y a eu la génération d’Anthony Martial et de Farès Bahlouli qui a été surmédiatisée et qui vous a laissés dans l’ombre…

Ils étaient surtout bien plus talentueux que nous et ils ont aussi eu du mal à s’imposer à l’OL. Lors des oppositions le mercredi, ils nous impressionnaient, donc inconsciemment on a dû se dire qu’on avait du retard. Quand je voyais Farès sur le terrain… C’était tellement incroyable, je n’ai jamais vu ça ensuite. Derrière, tu vois qu’il n’a pas de temps de jeu en pro, donc tu prends une claque et tu vas jouer ailleurs.

En équipe de France Espoirs, tu t’es retrouvé avec Mouctar Diakhaby, Houssem Aouar ou Lucas Tousart qui se sont fait une place à l’Olympique lyonnais pendant que tu enchaînais les prêts. Ce n’est pas rageant de voir ça ?

J’en parlais beaucoup avec Mouctar vu qu’on a fait toutes nos classes ensemble depuis le centre de formation. Lucas est arrivé plus tard, et Houssem est plus jeune. Mais, honnêtement, à l’époque, j’étais tellement content pour lui, il n’y avait aucune jalousie ou rancœur. Je crois qu’on galère tellement au fil des ans quand on est au centre que lorsque l’un d’entre nous perce en pro, c’est une petite victoire pour toute la génération.

Karl Toko Ekambi signe en faveur du club saoudien d’Abha

Absent des deux premières feuilles de match de l’OL en championnat, Karl Toko-Ekambi a trouvé un nouveau challenge. Le Camerounais s’est engagé jusqu’en 2025 en faveur du club saoudien d’Abha. Il quitte ainsi Lyon, où ses relations étaient conflictuelles avec les supporters depuis de longs mois maintenant.

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Le Groupama Stadium et Karl Toko-Ekambi, c’est terminé. L’attaquant camerounais s’est officiellement engagé, ce vendredi 25 août, en faveur du club d’Abha, qui évolue en première division saoudienne. Il quitte ainsi le Rhône trois ans après son arrivée en provenance de Villarreal, avec 38 buts et 19 passes décisives en 114 matches toutes compétitions confondues avec l’OL.

Les supporters, je m’en fous
Depuis de longs mois, il entretenait une relation conflictuelle avec les supporters rhodaniens, qui ont fait de lui leur tête de Turc, alors que dans le même temps, le joueur ne s’est pas gêné pour les chambrer à plusieurs reprises. Lors d’une interview accordée à SoFoot, il disait : "Les supporters, je m’en fous. Honnêtement, je n’en ai rien à foutre."

Alors que Laurent Blanc lui avait accordé un certain crédit à son arrivée sur le banc lyonnais, il l’a laissé hors de la feuille de match lors des deux premiers matches de la saison à Strasbourg (2-1) et contre Montpellier (1-4). Preuve qu’il n’avait plus vraiment d’avenir au club.

En Arabie Saoudite, à Abha, il retrouvera notamment Grzegorz Krychowiak, qui a porté les couleurs du PSG, ainsi que l’ancien Bordelais François Kamano. Pour le reste, l’effectif est bien loin de celui des "cadors" du championnat national, comme Al-Nassr ou Al-Hilal.

S.G.S.B.

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