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À Rennes, on arrivait à la fin d’un cycle

Le milieu offensif Flavien Tait a quitté le Stade Rennais cet été, après avoir été libéré de sa dernière année de contrat, direction la Turquie et Samsunspor. Dans un entretien accordé à Ouest-France, Tait revient sur ses quatre riches années en Bretagne, parle de son choix de partir, et évoque sa nouvelle vie turque.

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Flavien Tait a fait ses valises en fin de mercato cet été, direction la Turquie et Samsunspor, après quatre années au Stade Rennais où il aura tout connu et découvert les trois compétitions européennes (Ligue des champions, Ligue Europa et Conference League). Le milieu de 30 ans s’est confié sur ce départ et sa nouvelle vie turque dans un entretien accordé à Ouest-France.

Vous êtes parti tardivement de Rennes cet été. Mais vous étiez au courant tôt que vous partiriez ?

Oui, mais on ne sait jamais dans le foot, donc je me suis préparé comme si j’allais faire la saison avec Rennes. Le mercato s’active souvent au dernier moment, c’est ce qu’il s’est passé pour moi. Malheureusement, on arrivait à la fin d’un cycle, de nouveaux joueurs sont arrivés et je savais que ça allait être compliqué pour moi au niveau du temps de jeu. C’est pour cela que j’ai pris la décision de partir.

En aviez-vous parlé avec le coach ?

Oui, il m’avait dit que j’aurais sûrement moins de temps de jeu par rapport au recrutement. Il pensait qu’on arrivait à la fin d’un cycle. Cela s’est fait naturellement, je l’ai compris tout de suite. Au début, j’étais déçu, mais ça fait partie du football. J’avais fait mon truc à Rennes et je sentais que ça s’étouffait un petit peu. De nouveaux joueurs plus jeunes sont arrivés, avec une plus-value pour le club. Ils ne m’ont pas mis dehors, ils ont même toujours voulu faire les choses bien avec moi, parce qu’ils savent que j’ai compté pour le club. Cela a été une discussion très professionnelle et avec toujours une bonne relation avec le coach.

Avez-vous envisagé d’aller au bout de votre contrat ?

Si on m’avait dit que rien ne changeait et que j’allais jouer, oui. Mais j’estime qu’à mon âge, j’ai besoin de jouer.

Je voulais voir un autre football
Tout le monde a été surpris par la destination, la Turquie…

(Il s’esclaffe) Tout le monde me dit ça ! On est rentrés dans une phase où le foot a changé. J’ai eu beaucoup d’intérêts de clubs, mais je voulais rester en Europe et continuer d’évoluer dans un club avec des ambitions. Malheureusement, il n’y a pas eu ce que je voulais. Samsunspor m’a montré un intérêt vraiment fort. J’ai senti que j’étais désiré et ça m’a fait du bien. Des offres sur la table, je n’en avais pas 150 000. J’aurais pu attendre un peu, mais c’était compliqué par rapport à ma famille. Mais ça n’a pas été un choix par défaut. Le championnat turc se développe, il y a beaucoup de joueurs passés par la Ligue 1. J’ai senti que j’allais être une pièce maîtresse de leur projet.

Aucun club de L1 n’avait envie de vous faire venir ?

Si, si, j’avais des clubs, mais mon choix numéro 1 c’était d’aller à l’étranger. Je voulais voir un autre football.

Et vous vous plaisez en Turquie ?

Oui, c’est un très beau pays. La ville est en bord de mer, le cadre est agréable, les gens sont cool.

Sur le plan sportif, ce n’est pas le début de saison idéal en revanche

Bien sûr. Il y a plein de nouveau joueurs, un nouveau coach. Je sens que ça va prendre forme et que ça va être plus structuré. On a très mal commencé, on le sait, mais le championnat est loin d’être fini. Il y a moyen de viser plus haut.

Je n’ai pas souvenir qu’une équipe joue aussi bien que Rennes en 2021-2022

Quel moment gardez-vous de Rennes ? Le plus fort ?

Ma saison 2021-2022. Pour moi, c’est la plus belle saison du Stade Rennais. Je n’ai pas souvenir qu’une équipe joue aussi bien. Chaque week-end on proposait des choses sur le terrain, moi j’ai pris un énorme plaisir à jouer dans cette équipe. Dans le contenu, avec les collègues, on se disait : « Mais tu peux nous ramener qui tu veux… » On avait une force collective incroyable.

Étiez-vous au top de votre carrière ?

Oui. J’avais un staff et un coach qui me donnaient beaucoup de confiance et les clés du jeu avec Lovro (Majer). On s’est régalé avec toute l’équipe. Le fait de jouer des Coupes d’Europe, des matches à enjeux… C’était magnifique.

Votre parcours a pourtant été cabossé à Rennes. À votre arrivée, vous prenez un carton rouge qui vous éloigne des terrains, ça ne clique pas tout de suite. Des doutes naissent autour de votre transfert et pourtant, vous inversez la tendance.

C’est l’histoire de ma carrière (rires). Rien n’a jamais été facile, mais avec le travail j’ai réussi. Je suis un joueur qui marche beaucoup à l’affectif et à la confiance. Mes débuts n’ont pas été chaotiques mais… Je sortais d’une grosse saison avec Angers, il y avait beaucoup d’attentes, des choses à digérer pour moi, parce que cela changeait pour moi au niveau de mon football. Il fallait s’adapter, mais j’ai beaucoup appris, ça m’a renforcé. Grâce à cette période, où j’ai vécu des moments difficiles, plus rien ne m’affecte. Être critiqué, sifflé, ce n’était pas facile. Mais c’est devenu une force, de montrer que les gens s’étaient trompés. Et puis, l’arrivée du coach Genesio m’a beaucoup aidé.

Justement, l’arrivée de Bruno Genesio à la tête de l’équipe a changé votre passage à Rennes ?

Oui, en fin de saison, on décroche la Ligue Europa Conférence alors qu’on partait de très loin. Au bout du deuxième match contre Strasbourg, qui est capital, il me fait jouer parce qu’il estime qu’à l’entraînement je montre des belles choses. Et à partir de là, je ne sors plus de l’équipe. J’ai été bon au bon moment, donc c’est une fierté pour moi.

Au fil du temps, j’ai senti un amour profond

Votre relation avec les supporters s’est bonifiée avec le temps ?

Beaucoup. Elle a mal commencé (rires), ça m’a affecté parce que Rennes sans son public, ce n’est pas Rennes. Et au fil des matches et des saisons, j’ai senti un amour profond. Quand je suis parti, j’ai reçu beaucoup de messages qui m’ont touché : « on aurait dû le garder », « on t’aime Flavien »… Je les remercie. Je n’ai qu’un seul regret : c’est de ne pas avoir eu l’opportunité de dire au revoir aux supporters aux Roazhon Park.

Cela a-t-il été difficile de quitter la ville de Rennes ?

Oui, ça restera gravé à jamais dans mon cœur. Pour le football, la vie, ma fille y est née, il y a beaucoup de choses qui s’y sont passées. J’essayais de consommer la ville, c’était important d’aller manger au restaurant, d’aller voir un verre après certains matches. C’était bon enfant et dans ces moments-là, on a beaucoup de proximité avec les supporters, et c’est cool.

Vous regardez toujours à distance ?

Oui, je regarde tout, quand je peux ! J’ai regardé Nantes, Villarreal, Paris… J’avais des frissons quand Martin (Terrier) est rentré sur le terrain après tout ce qu’il a vécu.

Quel message souhaiteriez-vous envoyer aux supporters rennais ?

Je leur dirais que je suis désolé pour mes débuts (rires). Mais merci pour tout, pour tous ces grands moments que j’ai pu vivre au Roazhon Park, même à l’extérieur. J’ai vécu des soirées européennes incroyables. Ce stade, le Roazhon Park, quand vous y jouez et que vous faites partie de ce club, il y a une atmosphère particulière. Donc merci pour votre soutien tout au long de ces années. Je ne souhaite que le meilleur à Rennes et je continuerai à suivre le club. Et puis, avoir fait quatre années à cette période du Stade Rennais, c’est une victoire. Je n’aurai pas ma statue comme Bourigeaud, mais c’étaient vraiment de belles années !

Yann M’Vila à Lyon

Sans club depuis son départ de l’Olympiakos, Yann M’Vila (33 ans) ne signera pas à l’Atlético Madrid malgré de réelles connexions et continue de à s’entretenir du côté de Lyon.

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Non, Yann M’Vila ne signera pas à l’Atlético Madrid. Malgré des rumeurs persistantes tout au long du week-end, et une réelle connexion entre les deux parties, l’ancien milieu de terrain de l’ASSE restera libre jusqu’à sa prochaine destination. Pour l’heure et afin de mieux peaufiner sa réflexion personnelle, le joueur de 33 ans a choisi de s’entretenir du côté de Lyon depuis quelques jours.

M'Vila travaille deux fois par jour à Lyon
"Yann M'Vila est prêt pour un nouveau chapitre car il est toujours disponible en tant qu'agent libre mais pas de discussions avec l'Atléti malgré les liens mais ouvert à de nouvelles opportunités, affirme Fabrizio Romano sur Twitter. Il s'entraîne tous les jours depuis qu'il a quitté l'Olympiacos et travaille désormais deux fois par jour à Lyon, prêt à rejoindre un nouveau club dès que possible."

On sait qu’à la CAN, on doit battre les plus grosses nations

Le portier des Lions, auteur d’une rencontre tranquille, a évoqué le succès du Sénégal en amical, devant le Cameroun ce lundi.

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Edouard Mendy après la victoire du Sénégal face au Cameroun :

"On sait qu’à la CAN, on doit battre les plus grosses nations. On sait maintenant contre qui on va jouer. On doit juste continuer d’évoluer dans notre projet de jeu et aller en Côte d’Ivoire avec la confiance, plein d’humilité et tout donner avec notre pays pour conserver ce sacre. Il faut un peu de tout (pour garder le titre continental), avec le curseur un peu plus haut.

Tout le monde nous attend et il va falloir qu’on réponde de la manière la plus calme possible. On a engrangé de l’expérience. Il faut espérer que l’équipe soit au complet pour qu’on évolue et qu’on produise une belle Coupe d’Afrique."

La folle rumeur concernant Serhou Guirassy

Serhou Guirassy est probablement un joueur qui doit laisser de gros regrets à Florian Maurice et Bruno Genesio. Prêté la saison dernière au VfB Stuttgart puis transféré définitivement dans le club allemand, cet été, pour 9 millions d'euros, l'attaquant guinéen de 27 ans réalise un début de saison tonitruant. En effet, l'ex attaquant de Rennes en est déjà à 14 buts en 8 matches toutes compétitions confondues cette saison.

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Pas la peine de préciser que le VfB a réalisé un énorme coup en ne dépensant que 9M€ pour Guirassy. A contrario, au Stade Rennais ont doit amèrement regretter d'avoir cédé le buteur guinéen à ce tarif. Un choix d'autant plus incompréhensible que Serhou Guirassy avait réalisé deux saisons plutôt correcte au SRFC avec 28 buts au compteur.

Le natif de Arles fait donc désormais le bonheur du VfB Stuttgart, mais encore pour combien de temps ? Une question légitime, car l'attaquant international guinée est désormais surveillé de près par plusieurs grosse écuries européennes. Selon Defensa Central, le Real Madrid ferait partie de ces clubs intéressés.

Une information qui a de quoi surprendre, même si le Real manque clairement d'alternative sur le front de son attaque depuis le départ de Karim Benzema. Un départ qui a été compensé par Joselu. Ce qui semble un peu léger, sachant que le buteur espagnol de 33 ans est le seul véritable avant-centre du Real. De ce fait, un renfort lors du prochain mercato n'est pas à exclure.

Néanmoins, il y a peu de chances de voir Serhou Guirassy débarquer au Real Madrid lors du prochain mercato, et cela pour deux raisons. La première est que l'ex attaquant du Stade Rennais a récemment confié vouloir au moins terminer la saison au VfB Stuttgart. La seconde est que le club allemand ne lâchera pas son attaquant en cours de saison, sauf offre impossible à refuser. Certaines rumeurs parlent de 50 millions d'euros. Un montant que le Real Madrid ne mettra pas sur la table pour Serhou Guirassy.

La donne pourrait toutefois être différente à l'issue de la saison, même si l'objectif de Florentino Perez est de recruter un top buteur de classe mondiale.

La reconversion inattendue et réussie de Petr Cech dans le hockey sur glace

Ancienne gloire de Chelsea et du football tchèque, Petr Cech est l’un des meilleurs gardiens du 21e siècle. Un poste auquel il conserve de bons restes puisqu’il continue de s’y produire à 41 ans. Cependant, il a troqué les crampons pour les patins et continue d’impressionner en effectuant du hockey-sur-glace à un niveau semi-professionnel.
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Avec 783 matches en carrière dont 124 avec l’équipe A de la Tchéquie, Petr Cech est un monument dans son pays, mais aussi au poste de gardien de but. Passant le plus gros de sa carrière à Chelsea entre 2004 et 2015, il y a remporté la Ligue des Champions (2012), la Ligue Europa (2013), la Premier League (2005, 2006, 2010 et 2015) la FA Cup (2007, 2009, 2010 et 2012) ainsi que la Coupe de la Ligue Anglaise (2005, 2007 et 2015). Auparavant révélé à Rennes où il a laissé de jolis souvenirs en France, le gardien qui ne quitte pas son casque depuis 2007 - et une lourde fracture au crâne quelques mois plus tôt - a terminé sa carrière en 2019 après une belle pige de 4 ans à Arsenal. Malheureusement pour lui, son dernier match est la finale de la Ligue Europa 2019 perdue par les Gunners… contre Chelsea (4-1).

Une reconversion express
Une carrière remplie et éclatante pour le natif de Plzen dont les performances sont unanimement reconnues comme celles de l’un des tout meilleurs gardiens de l’histoire du football. Après sa carrière, il a eu un rôle de dirigeant à Chelsea entre 2019 et 2022, mais il a quitté ce poste suite à l’arrivée de Todd Boehly à la tête du club londonien. Mais le football n’est pas la seule passion de Petr Cech qui, en tant que sportif accompli, s’adonne désormais au hockey-sur-glace. En effet, en octobre 2019, juste quelques semaines après la fin de sa carrière professionnelle dans le football, il s’est engagé avec le club des Guildford Phoenix en quatrième division anglaise de hockey-sur-glace. "Nous sommes très excités de la venue de Petr dans cette équipe des Phoenix et nous avons hâte de le voir en action ce week-end. Il s’est beaucoup amélioré depuis que je l’ai vu pour la première fois sur la glace et j’ai hâte de le voir jouer" s’enthousiasmait son coach Milos Melicherik à l’époque.

Le principal intéressé avait lui hâte de se lancer dans cette nouvelle aventure : "je suis ravi d’avoir l’opportunité de jouer avec Phoenix pour acquérir de l’expérience de match. J’espère pouvoir aider cette jeune équipe à atteindre ses objectifs de la saison et essayer de gagner autant de matchs que possible lorsque j’ai la chance de jouer. Après 20 ans de football professionnel, ce sera pour moi une expérience merveilleuse de jouer au sport que j’adorais regarder et jouer quand j’étais enfant." Voulant s’amuser avant tout sur les terrains de hockey-sur-glace, Petr Cech a vite montré qu’il restait un compétiteur hors-pair.

Homme du match avec 62 arrêts
Homme du match après sa première rencontre de championnat, il a disputé six matches lors de sa première saison, mais avait refusé de prolonger dans un premier temps. La raison ? Chelsea l’avait inscrit dans sa liste de gardiens en Premier League lors de la saison 2020/2021. Finalement, il avait rechaussé les patins la saison suivante pour une deuxième aventure avec les Guildford Phoenix. Il y réalisera 14 matches cette fois et y fera un triplé. Il signera la saison suivante à l’étage supérieur du côté des Chelmsford Chieftains en troisième division.

"L’arrivée d’un gardien de la qualité et de l’expérience de Petr dans notre équipe est un énorme coup de pouce pour nous en ce moment. Il apporte une mentalité de gagnant, un désir de concourir à chaque fois qu’il est sur la glace, et nous avons hâte de le voir s’ajouter à notre groupe cette saison" déclarera son coach Mark Saunders. Une nouvelle saison qui se passera parfaitement pour Petr Cech qui continue d’évoluer dans cette Ligue, mais qui a changé de club encore cet été. Le portier qui a fêté ses 41 ans en mai dernier a rallié le club d’Oxford City Stars. "Je suis vraiment excité pour un nouveau chapitre avec Oxford City Stars. J’ai entendu de bonnes choses sur le club et j’ai hâte de rejouer avec certains de mes anciens coéquipiers."

"Il est clair qu’Oxford a de grandes ambitions et j’espère pouvoir les aider à y parvenir" a déclaré l’ancien Rennais à son arrivée. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il y arrive avec brio. Si son équipe est pourtant en difficulté à la dernière place du championnat après 5 matches disputés, Petr Cech a été essentiel lors de la dernière journée de championnat contre le deuxième, les Streatham Redhawks. Son équipe s’est imposée 3-2 et Petr Cech a été élu homme du match avec 62 arrêts sur 64 tirs subis. Une performance XXL pour le portier tchèque. Par exemple, en saison régulière de NHL (première division nord-américaine, le meilleur championnat du monde ndlr), le record de l’époque moderne revient à Ron Tugnutt qui avait réalisé 70 arrêts en 1991. Dans les buts de football ou de hockey, Petr Cech reste un patron.

Camavinga en a déjà ras-le-bol

Ce mardi soir, l'équipe de France recevra l'Ecosse en match amical. Eduardo Camavinga devrait avoir pas mal de temps de jeu.

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L'équipe de France a validé son billet pour l'Euro 2024 en battant les Pays-Bas vendredi soir dernier. Les hommes de Didier Deschamps vont donc pouvoir jouer relâchés contre l'Ecosse mardi soir en match amical. Le sélectionneur des doubles champions du monde devrait faire pas mal tourner, comme il l'a récemment indiqué à la presse. Eduardo Camavinga, qui n'a pas eu de temps de jeu contre les Bataves, en aura en revanche contre l'Ecosse. Présent en conférence de presse ces dernières heures, le joueur du Real Madrid a pu aborder la rencontre mais aussi son utilisation par Didier Deschamps... et Carlo Ancelotti.

Camavinga s'agace

D'ailleurs, Camavinga en a un peu marre de se faire questionner sur son poste de prédilection et n'a pas manqué de le dire. "On me pose tous les jours cette question ! Je suis quelqu'un qui joue pour l'équipe et quand on a besoin de moi. Je ne connaissais pas ce poste, j'y ai pris des repères que ce soit en équipe de France ou au Real Madrid. Mais je n'apprécie pas particulièrement cette position. Je pense que tout le monde est au courant. J'y vais même si ce n'est pas forcément avec plaisir. Je reste un milieu de terrain", a notamment indiqué Eduardo Camavinga qui a été sélectionné par Didier Deschamps pour ce rassemblement en tant que milieu de terrain. Couteau suisse depuis quelque temps, il dépanne sur le côté gauche avec un certain rendement qui impressionne. Malgré son jeune âge, Camavinga est en tout cas un joueur de caractère et le message est envoyé, aussi bien à la presse qu'à ses entraineurs respectifs.

M'Vila bientôt chez un géant de Liga ?

A 33 ans, et alors qu'il est sans club depuis cet été, Yann M'Vila, formé au Stade Rennais et notamment passé par l'ASSE, pourrait signer à l'Atlético Madrid.

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Libre de tout contrat après trois saisons à l'Olympiakos, Yann M'Vila a été annoncé du côté de l'OM cet été mais aussi de l'Arabie Saoudite. Mais il est toujours sans club à l'heure actuelle. D'après Ekrem Konur, ça ne devrait pas durer. Il devrait en effet s'engager prochainement avec... l'Atlético Madrid ! Une surprise dans la mesure où il est âgé de 33 ans et ne fréquente plus le très haut niveau depuis quelque temps déjà.

Une carrière loin des promesses initiales
Formé au Stade Rennais, où Frédéric Antonetti lui prédisait un brillant avenir avec ses "passes Ligue des champions", Yann M'Vila n'a jamais confirmé ses promesses, notamment à cause de choix de carrière hasardeux. Comme celui de partir au Rubin Kazan en janvier 2013, à seulement 22 ans. Il a ensuite passé six mois à l'Inter Milan en prêt, à Sunderland (également en prêt), avant de signer à l'AS Saint-Etienne en janvier 2018. Victime de la politique d'austérité imposée par Claude Puel, il n'est resté que deux ans et demi dans le Forez, avant de rebondir à l'Olympiakos. Il a porté le maillot de l'équipe de France à 22 reprises.

Très content après la victoire des Diables rouges

Jérémy Doku a réalisé un très bon match ce soir. Virevoltant il a créé de l’espace et donné notamment l’assist sur Romelu Lukaku pour le troisième but.
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La Belgique s’est qualifiée pour la septième phase finale du Championnat d’Europe de football de son histoire. Les Diables Rouges se sont imposés 2-3 en l’Autriche, vendredi, à Vienne, pour leur sixième match de qualification dans le groupe F.

Jérémy Doku a réalisé un très bon match en s’illustrant par de nombreux dribbles et de jolies remontées de balles : "c’était un match plein, très difficile. On est resté ensemble, soudés. On avait la mentalité pour jouer à 10 contre 11 même si je trouve qu’il n’y avait pas faute sur le deuxième carton d’Amadou."

Le jeune ailier de Manchester City est content mais souhaite terminer le travail lundi contre la Suède lors du prochain match : "on a bien joué, on a marqué des beaux buts et on a atteint notre objectif. Maintenant on va devoir bien récupérer et gagner contre la Suède lundi. Je pense qu’on avait bien préparé le match mais qu’on se positionnait trop bas. Après quelques changements on a réussi à jouer plus haut et presser, c’est là qu’on a su les mettre en difficulté."

"Je demandais à Theate de me la donner car comme ça je pouvais venir plus bas et je pouvais ressortir avec la balle en me donnant de l’espace et en créant. On a beaucoup de qualités et de talent et il faut l exprimer. On s’entraîne dur pour ça. Tout le monde était aujourd’hui au top et performant et je suis très content pour Dodi et Romelu ce soir.» assure l’ailier belge.

L'Allemagne et son rêve quasi impossible de sélectionner Mathys Tel

Le directeur sportif de la Fédération, Rudi Völler, a fait part de sa volonté de naturaliser l'attaquant français du Bayern Munich. Une vraie possibilité ?
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Rudi Völler a gardé des réflexes d'attaquant avec cette capacité à déstabiliser quiconque par des gestes improbables. Cette fois, le directeur sportif de la Fédération allemande a fait fort. Dans une interview à Bild TV, l'ancien joueur (63 ans) a soulevé l'hypothèse d'une naturalisation de la révélation française du début de saison, Mathys Tel (18 ans, 6 buts, 1 passe décisive en 11 matches avec le Bayern Munich) afin de le faire jouer pour l'équipe nationale allemande : "Bien sûr, c'est un grand attaquant. Nous allons certainement essayer de le naturaliser. Mais, à la fin, c'est le joueur lui-même qui décide, et bien sûr sa famille. Il ne faut pas sous-estimer cela. Ses racines sont très françaises. Nous savons tous que nous n'avons pas beaucoup d'attaquants de haut niveau en Allemagne. Il faut en tirer le meilleur."

Alors vraie idée ou simple songe ? En fait, cette hypothèse remonte à plusieurs semaines. Lors du rassemblement de septembre, alors que Tel commence à multiplier les entrées fracassantes avec le Bayern, ils sont quelques-uns à la Fédération allemande à remarquer que l'ancien Rennais n'est convoqué ni avec les Espoirs français, ni avec les moins de 20 ans, mais avec les moins de 19 au milieu de joueurs dont très peu ont du temps de jeu en équipe première. Un statut impensable pour ceux qui perçoivent le natif de Sarcelles comme un top potentiel.

Les textes allemands et le règlement de la FIFA comme obstacles
L'idée fait son chemin en interne, mais ne se traduit par une prise de contact directe avec l'entourage de Tel, appelé avec les Espoirs pour le stage d'octobre. Dans ce dossier, les dirigeants mesurent sans doute le chemin à parcourir. Si l'on se fie aux textes allemands, il faut que la personne, entre autres critères ("pouvoir assurer sa subsistance soi-même", "disposer de connaissances suffisantes en allemand"...), ait vécu depuis au moins huit ans dans le pays pour obtenir la naturalisation. Les autorités pourraient sans doute accélérer les étapes dans le dossier Tel.

Mais si le joueur, sans avoir de liens parentaux avec le pays, se lançait dans la procédure, il se heurterait au règlement FIFA, article 7, de "l'acquisition d'une nouvelle nationalité". Qui précise qu'un joueur qui a commencé à vivre dans le pays entre 10 et 18 ans - ce qui est le cas de Tel - doit y avoir passé cinq ans pour être autorisé à évoluer pour la sélection nationale, soit 2027. Joints, les représentants du Français n'ont pas souhaité apporter de commentaires. Mais voir Tel, qui a passé sa vie en région parisienne et dont la famille est originaire de Guadeloupe, porter le maillot de la Mannschaft est très improbable.

Avec son nouveau triplé, Serhou Guirassy brise un record

Encore buteur, et auteur de son second triplé de la saison avec Stuttgart, Serhou Guirassy est inarrêtable et c’est Wolfsburg qui en a fait les frais (3-1), ce samedi. Avec ces trois pions supplémentaires dans sa besace de buteur, il porte déjà son total à 13 réalisations en championnat, un record en Bundesliga après 7 journées. L’ancien Rennais explose donc la marque de Robert Lewandowski, qui avait sévi à 11 reprises en 7 rencontres, sous les couleurs du Bayern Munich, lors de la saison 2019-2020.

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Guirassy, qui a déjà dépassé son total de l’année dernière (11), n’est plus qu’à trois pions de mettre autant de buts que les deux derniers meilleurs buteurs de Bundesliga, Niklas Füllkrug et Christopher Nkunku. Grâce à l’attaquant le plus en forme d’Europe, Stuttgart figure en tête du championnat, avec six succès et une défaite, en attendant le résultat du Bayer Leverkusen face à Cologne, ce dimanche.

Il a mis plus de buts que Nice, Brest, Lille, Strasbourg, Le Havre, Montpellier, Toulouse, Marseille, Metz, Lens, Lorient, Clermont et Lyon.

Sacha Boey a débloqué un bonus pour les Rouge et Noir

D’ici à ce qu’il rejoigne un jour peut-être l’équipe de France A, Sacha Boey s’épanouit en Turquie avec Galatasaray.
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Il ne sera pas la sensation de le dernière liste des appelés de Didier Deschamps pour les matchs de l’équipe de France face au Psy-Bas et l’Ecosse. Pas encore. Mais Sacha Boey y parviendra peut-être s’il garde, voire élève, le niveau qui est actuellement le sien avec Galatasaray, en Turquie. En attend, il faut depuis la saison 2021-22 le bonheur du club d’Istanbul. Et épisodiquement celui du Stade Rennais qui l’a formé et à qui il appartenait avant son départ.

Le Stade Rennais reçoit un bonus tous les 25 matchs de Sacha Boey jusqu’au 75e
Car Sacha Boey, latéral droit en fonction, vient de dépasser récemment le cap de son cinquantième match sous le maillot du Galatasaray. Un club qu’il a rejoint dans le cadre d’un transfert à 1,15 millions d’euros l’indemnité payée au Stade Rennais. Et dans l’opération se sont glissés des bonus que détaillait alors le média sportif turc Sporx. Dont une prime par tranche de 25 matchs joués par le natif de Montreuil en banlieue parisienne, âgé de 23 ans.

Le jeune latéral droit pourrait être prochainement prolongé par Galatasaray
Il est en effet prévu à chacune de ces occasions que 285 000 euros reviennent à Rennes. Soit déjà 570 000 euros au bénéfice des Bretons. Et possiblement 285 000 euros de plus au 75e match, pour la dernière tranche contractualisée. A moins que d’ici-là Sacha Boey soit prolongé et revalorisé financièrement ainsi que cela se murmure de plus en plus à son sujet. En ce cas, les conditions seraient alors remises à plat.

La nouvelle vie de Fabien Lemoine, loin des terrains

Après seize saisons dans le monde professionnel et 519 matches disputés, l’ex-Rennais Fabien Lemoine (36 ans) a raccroché les crampons, cet été, à l’issue d’une dernière année à Versailles (National). Toujours domicilié à côté de Lorient, l’ancien milieu de terrain défensif, qui continue de faire du sport (badminton, padel), commence à réfléchir à sa reconversion.

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Ça y est, Fabien Lemoine a basculé dans sa nouvelle vie. Après une dernière saison à Versailles (National), le Breton de 36 ans a raccroché les crampons et ainsi refermé le livre d’une carrière riche de 519 matches professionnels, dont 30 de Coupe d’Europe, avec Rennes et Saint-Etienne.

Si l’ancien milieu a bien eu l’opportunité de reprendre une licence dans un club amateur morbihannais (à la GSI Pontivy ou à Larmor-Plage, entre autres), il a préféré décliner. "Sur un niveau "intermédiaire", il y a deux-trois entraînements par semaine plus le match, il faut se tenir en forme, on passe du temps en déplacement, cela ne m’intéresse pas aujourd’hui", assure-t-il.

Néanmoins, après tant d’années passées sur les terrains, le manque se fait-il ressentir ? "Oui et non. Le rythme, le vestiaire, l’adrénaline, entre autres, me manquent, mais je vois aussi comment je suis physiquement. Donc je me sens plutôt bien. En tout cas, je suis beaucoup plus épanoui sans le foot aujourd’hui que je ne l’étais il y a un an (lorsqu’il cherchait un dernier challenge après la fin de son contrat au FC Lorient). Je ne pensais pas, mi-septembre, vivre l’après-carrière avec autant de légèreté. Je pensais que ça allait être plus dur, assure celui qui réside toujours à Larmor-Plage. De toute façon, en étant en National l’an passé, je n’avais plus d’espoir de rejouer en L1 ou L2, je savais que j’étais sur ma dernière ou avant-dernière année."

Début d’une nouvelle histoire au FC Lorient ?
Aujourd’hui, le quotidien de l’ancien Rennais est donc différent. Entre travaux de maison, quelques parties de badminton ou de padel, Fabien Lemoine ne "s’ennuie jamais", alors que la question de sa reconversion va se poser : "Il y aura une réflexion sur la suite. Des choses m’intéressent, dans le football et ailleurs."

Justement, l’une des options pourrait bien se trouver au FC Lorient. "Je me suis entretenu avec le club cet été, et on est censé se revoir", admet celui qui avait déjà évoqué, il y a un an, l’idée de "découvrir les différents métiers au FCL. Je suis curieux et ça me passionne."

Dans un an, il sera l’un des meilleurs joueurs au monde

Paul Van Himst fête ses 80 ans ce lundi. L’ancienne gloire du football belge nous a accordé une longue interview et est revenue sur de nombreux sujets, dont la jeune génération des Diables Rouges.

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A 80 ans, Paul Van Himst suit toujours le football belge et l’équipe nationale. Et quand Benjamin Deceuninck lui demande quel est le jeune joueur belge qui le fait un peu plus frissonner que les autres actuellement, la réponse est directe : "Le meilleur, c’est Doku."

Et d’ajouter : "Je l’ai connu chez les jeunes encore, car il a joué avec mon petit-fils en U16 ou U18. Il est terriblement rapide. Ce qui est bien pour lui, c’est que c’est un individualiste. Mais comme il part à Manchester City, on va lui apprendre à jouer collectivement. Car à City, s’il joue deux matches et qu’il ne donne pas la balle, les autres ne vont plus la lui donner. Mais dans un an, il sera l’un des meilleurs joueurs au monde, je crois oui. Il a tellement de qualités."

Grande nouvelle en vue pour Camavinga

Le Real Madrid s'apprête à prendre une grande décision sur le milieu de terrain français, Eduardo Camavinga.

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En août 2021, le Real Madrid s'attachait les services d'Eduardo Camavinga. Les Merengue déboursaient la somme de 31 millions d'euros pour attirer à Santiago-Bernabeu le jeune milieu de terrain français, qui portait alors le maillot du Stade Rennais.

Débarqué sur la pointe des pieds, l'international tricolore est depuis devenu un élément majeur de l'effectif entraîné par Carlo Ancelotti. Apparu à 107 reprises toutes compétitions confondues avec la Casa Blanca, pour 2 buts, l'ex-sociétaire du championnat de France a disputé huit matchs depuis le début de la saison 2023-2024, pour cinq titularisations en Liga.

Sous contrat jusqu'en 2027
Les prestations du joueur de 20 ans vont inciter l'état-major du club de la capitale espagnole à prendre une grande décision. Selon les informations de Relevo, Eduardo Camavinga se rapproche de la signature d'un nouveau contrat. Recruté il y a deux ans en paraphant un bail de six années, soit jusqu'en juin 2027, le natif de Cabinda va bénéficier d'une belle augmentation salariale.

D'après nos confrères, les négociations en sont à un stade avancé. Seuls manquent quelques détails avant que ne soit officialisée la prolongation du finaliste de la Coupe du monde 2022 avec les Bleus de Didier Deschamps. La nouvelle devrait être communiquée très rapidement. Son agent, Jonathan Barnett, est arrivé à Madrid pour finaliser les dernières discussions avec le champion d'Espagne 2022, mais il ne fait aucun doute que la Maison Blanche récompensera Eduardo Camavinga de ses performances.

Tombeurs mercredi de Las Palmas (2-0) sur des buts de Brahim Diaz et Joselu, dans un match de la 7e journée de Liga, les partenaires de Vinicius Junior occupent la deuxième place du classement à seulement une longueur de Gérone. Un surprenant leader que le Real Madrid affrontera samedi prochain lors de l'affiche au sommet comptant pour la 8e journée.

Paul-Georges Ntep s’engage officiellement avec Ho Chi Minh City FC au Vietnam

Annoncé il y a plusieurs semaines, Paul-Georges Ntep a officiellement rejoint le club vietnamien d’Ho Chi Minh City FC. L’ancien joueur de Rennes et de Guingamp tentera de donner un nouvel élan à sa carrière.

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Destination surprenante pour Paul-Georges Ntep. L’ancien joueur de l’En Avant Guingamp et du Stade Rennais a trouvé un point de chute au Vietnam, lui qui était sans contrat depuis l’été 2022 et son passage raté à Boavista au Portugal.

À 31 ans, Paul-Georges Ntep tente donc le challenge vietnamien en signant à Ho Chi Minh City FC, club quadruple champion du Vietnam.

Le club a officialisé la nouvelle dans une vidéo, reprenant des extraits du film Apollo 13. La durée du contrat n’a pas été communiquée. Paul-Georges Ntep tentera de s’y relancer alors que sa carrière est à l’arrêt depuis plusieurs années.

En Ligue 1, il avait pourtant connu des débuts tonitruants avec Rennes, ce qui lui avait ouvert les portes de l’équipe de France (2 sélections).

S.G.S.B.

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