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Nemanja Matic (35 ans), recrue phare du Stade Rennais cet été, a accordé sa première interview à RMC Sport quelques heures avant ses débuts en Ligue Europa avec le club breton, ce jeudi face au Maccabi Haïfa.
Il est la recrue la plus attendue du mercato rennais et le joueur d'envergure recherché depuis plusieurs saisons par le club pour passer un cap. Alors que la Coupe d'Europe reprend ses droits ce jeudi au Roazhon Park (face au Maccabi Haïfa en Ligue Europa, 18h45, sur RMC Sport 1) pour la sixième saison saison de suite, Nemanja Matic a accordé un grand entretien à RMC Sport.
A 35 ans, le Serbe s'acclimate petit à petit à la France et à sa nouvelle vie rennaise. L’ancien milieu de terrain de Chelsea, Manchester ou de l’AS Roma qui va débuter dans quelques semaines les cours particuliers de français, livre son avis sur son début de saison mitigé comme celui de son équipe et sur ses ambitions avec le club breton. Non, il n'est pas venu en pré-retraite et voit le Stade Rennais capable de viser haut.
Bonjour Nemanja, merci d'être avec nous.
Bonjour. Ça va? (en français)
Vous êtes arrivé à Rennes il y a un mois. Vous avez joué déjà 4 matchs. Première question simple: comment allez-vous?
Je me sens bien. Je m'adapte doucement à ma nouvelle équipe, mon nouveau club. Je pense que tout va dans la bonne direction. Je suis content.
Comment vous sentez-vous dans votre nouvel environnement et ce nouveau pays?
Je me sens bien. Tout le monde est vraiment sympa avec moi et ma famille et essaie de nous aider. Ils nous ont très bien accueillis.
Vous avez vécu dans des grandes villes, Londres, Manchester, Rome...
(Il coupe) Manchester n'est pas une grande ville (rires).
C'est une ville plus grande que Rennes. Ce doit être un sacré changement?
Oui c'est vrai mais je suis heureux ici. Rennes n'est pas une grande ville mais c'est facile d'y vivre. Tout est à 10-15 minutes. Peu importe ce que tu veux faire, tout est proche. Je pense que c'est un endroit parfait pour moi.
Un match sur le banc à Lens quelques jours après votre arrivée puis vous avez toujours été dans le onze titulaire depuis. Vous êtes devenu immédiatement un joueur-clé, non?
Un joueur-clé je ne sais pas. Je veux juste aider l'équipe. Je sens la confiance du coach, du staff et des joueurs. Je dois encore m'améliorer bien sûr. Je suis encore en adaptation. Je veux mieux jouer. Je travaille dur tous les jours.
Que pensez-vous de vos débuts?
Je pense que physiquement je me sens bien. Mais comme je l'ai dit je pense que je peux jouer beaucoup mieux que ce que j'ai fait les deux derniers matchs (à Brest 0-0 et face à Lille 2-2, ndlr). Je ne dis pas que j'ai mal joué mais je peux jouer mieux. Je pense qu'on peut s'attendre à mieux de moi.
Et vous n'avez pas gagné un seul match pour l'instant?
(Rires) Oui que des nuls... En tant qu'équipe, on doit s'améliorer sur plusieurs points. Je pense qu'on a de la qualité pour faire bien plus. Tout le monde sait qu'on a une équipe jeune donc c'est normal que l'équipe ait des absences mais je pense qu'on a un gros potentiel.
Que pensez-vous des débuts de votre équipe, de la façon dont elle joue?
Je pense qu'on a de bonnes idées de jeu. On sait la façon dont on veut jouer mais ce n'est pas facile de toujours être dans le contrôle du jeu, de toujours presser haut et c'est à ça qu'on doit travailler tous les jours pour voir où on fait des erreurs et ne pas les répéter. L'équipe progresse étape par étape et comme je l'ai dit avec beaucoup de jeunes joueurs, c'est normal qu'il y ait une telle évolution.
"On doit apprendre à gagner le match 1-0"
Rennes est normalement une équipe qui aime attaquer, marquer beaucoup de buts. L'équipe semble en difficulté offensivement notamment sur les deux derniers matchs?
Nous avons fait 0-0 et 2-2...
Avec très peu d'occasions dans chacun de ces deux matchs?
C'est le foot. Quand vous jouez à l'extérieur contre une équipe comme Brest, ce n'est pas facile. C'est déjà important dans les matchs de ne pas concéder de but. Parfois vous gagnez un match avec une opportunité de marquer un but et une seule suffit. Pour moi, c'est à chaque fois un bon point qui a montré qu'on pouvait aussi bien défendre. Bien sûr, on a tellement de joueurs talentueux qui veulent toujours marquer, faire des différences mais parfois vous pouvez ou devez gagner le match 1-0 et on doit apprendre ça.
Il y a beaucoup de nouveaux joueurs dans l'équipe vous y compris (Blas, Le Fée, Rieder, Yildirim). Votre entraineur Bruno Genesio disait après le nul face à Lille qu'il y avait beaucoup de travail à faire pour bien jouer tous ensemble. Quel est l'élément sur lequel selon vous l'équipe doit progresser le plus?
(Il prend son temps) Je pense que l'équipe doit être plus patiente avec le ballon. On dirait que nous voulons marquer sur chaque action ce qui est objectivement impossible. Parfois, nous voulons finir les actions le plus tôt possible. C'est normal pour une équipe comme la nôtre avec des joueurs de 18, 19, 20 ans. Comme je l'ai déjà dit, avec un peu de temps, nous serons meilleur, de mieux en mieux à chaque moment du match.
Vous découvrez également la France. Que pensez-vous après un mois du championnat de France et du niveau de la Ligue 1?
La Ligue 1 me rappelle la Premier League...
Vraiment?
Oui car je trouve que toutes les équipes sont assez similaires en termes de qualité et tout le monde peut battre tout le monde. Le rythme du match est d'un haut niveau donc si je devais comparer ce serait avec la Premier League oui.
Ce niveau vous surprend?
Non car bien sûr j'avais déjà regardé certains matchs. Ce n'est pas une surprise pour moi. Et aujourd'hui dans le foot, vous ne pouvez pas être surpris. C'est tellement facile de regarder les matchs.
Vous touchez beaucoup de ballons à chaque match, par exemple 112 face au Havre (2-2 le 27 août). C'est énorme pour un joueur de Rennes ces dernières saisons. Quelles sont les consignes de votre entraineur Bruno Genesio? Que vous demande t-il sur le terrain?
Ça dépend du type de match et de l'adversaire. Si je suis milieu défensif je dois aider mes défenseurs à faire la balance entre la défense, le milieu et nos attaquants. Parfois, je dois faire attention aux milieux adverses. Je connais mon boulot, ce que je dois faire et je m'adapte. Le coach avant le match me dit exactement ce qu'il attend de moi. Mais je ne peux pas tout vous dire dans le détail (rires). Parfois, il faut garder certaines choses secrètes.
Le club et Bruno Genesio attendent de vous que vous soyez un des leaders de l'équipe et un guide pour les autres joueurs. Est-ce déjà le cas? Prenez-vous la parole dans le vestiaire et sur le terrain?
Pour le moment non car je ne parle pas très bien le français (sourires). Mais bien sûr petit à petit, j'essaie d'aider les jeunes joueurs quand je sens qu'ils ont besoin de conseils. Et je vais continuer à le faire de plus en plus. Je pense que je pourrais beaucoup les aider avec mon expérience.
Nemanja, vous savez que vous voir signer à Rennes a été inattendu. Vous êtes le joueur avec la plus grande carrière à rejoindre le club. Passé de Londres, Manchester, Rome à Rennes... Comprenez-vous que ce soit encore une surprise de vous voir là?
Oui je comprends mais pour être honnête, je pense que le club devrait continuer dans cette voie. Dans le futur, continuer d'attirer des joueurs avec "de grands noms", des grands palmarès, pour qu'attirer ces joueurs ne soit plus une surprise pour les supporteurs. Je comprends mais le projet du club et le travail qu'il fait tous les jours avec les jeunes joueurs sur le terrain est la bonne route. Je pense que dans le futur, beaucoup de grands joueurs reconnaitront ça et voudront nous rejoindre.
Qu'est-ce que serait une bonne saison pour vous avec Rennes?
C'est difficile à dire. Je n'aime pas faire de prédictions. Je dis toujours que le match qui arrive est le plus important de ma carrière donc on doit se concentrer là-dessus. Etape par étape et on verra ce que nous sommes capable de faire. Je suis sûr que cette équipe n'a pas de limite car je vois beaucoup de qualités. Je ne veux pas mettre une sorte de pression sur ces joueurs mais ils doivent comprendre qu'ils ont des qualités et qu'on peut battre n'importe qui.
"Bien sûr que j'ai encore faim"
Vous avez 35 ans. Vous avez gagné de grands trophées dans votre carrière. A votre arrivée, on pouvait se demander si vous aviez encore faim?
Bien sûr. Dans le football, je ne m'arrête jamais sur le passé. Il n'existe pas pour moi. Comme je l'ai dit, le match suivant est le match le plus important de ma vie. Le passé reste dans le musée et j'ai bien sûr faim d'aller chercher encore plus. Mon prochain objectif est très important pour moi et je veux faire de bonnes choses avec Rennes.
Vous n'êtes pas venu à Rennes en pré-retraite?
Non non non! Je me vois jouer encore trois quatre ans.
C'est une semaine importante pour le club avec le retour de la Coupe d'Europe. Savez-vous que vous avez joué à vous seul plus de matchs européens que le club de Rennes dans son histoire? Rennes a joué 87 matchs européens et vous 93.
Oh... ok. Je pense que le club en jouera plus que moi très vite comme j'arrêterai dans trois, quatre ans et que le club je suis sûr lui continuera d'aller en Europe. Comme je l'ai dit, le club va continuer à grandir et je crois que dans trois, quatre ans, il sera à un top niveau.
Vous avez notamment été recruté pour aider le club à passer un palier en Europe? Etes-vous conscient de ça?
Comme je l'ai dit, je ferai de mon mieux pour aider l'équipe. Et on verra. C'est dur de dire depuis cette chaise ce qui va se passer en Europa League. Mais je peux promettre que moi et mes coéquipiers donneront le meilleur.
En quoi pouvez-vous aider l'équipe à être meilleure dans ces matchs de Coupe d'Europe?
De part mon expérience, je dois m'adapter et si je peux aider l'équipe à être ne serait-ce que 1% meilleure que la saison dernière ce sera positif. On verra. Je crois en mes qualités et je pense que je serai à mon vrai niveau très bientôt.
Votre calme peut-il aider pendant ces matchs européens souvent chaud?
Oui mais tous les joueurs ont leur qualité qu'ils peuvent mettre sur le terrain et quand vous pouvez connecter tout le monde, c'est un progrès car le football n'est pas un sport individuel. Vous ne pouvez pas jouer tout seul. Vous devez vous adapter pour l'équipe.
Les matchs de Coupe d'Europe sont-ils les plus excitants à jouer?
Oui ce sont des matchs que l'on attend. Mais pour être honnête quand je jouais en Premier League, tous les matchs étaient durs comme des matchs de Ligue des Champions. Et parfois l'opposition était plus difficile en Premier League qu'en Ligue des Champions. Mais en Europe League, Ligue des Champions, ce sont toujours des matchs différents avec une énergie différente que les gens ont envie de voir.
Vous avez joué 93 matchs en Ligue des Champions ou Europa League. Quel serait votre meilleur souvenir?
Question difficile... Il y a beaucoup de matchs. J'ai joué deux finales ou trois (rires). Ce ne sont pas des bons souvenirs. La première avec Benfica, on avait perdu à la dernière minute 2-1 contre Chelsea (15 mai 2013 but de Ivanovic à la 93e). Dans une autre, on perd aux tirs au but contre Seville (avec l'AS Roma le 31 mai 2023, 0-0, 5 t.a.b. 2). Mais c'étaient aussi de très belles expériences. Ce n'est pas facile d'atteindre une finale européenne. Avant et pendant le match, l'atmosphère, l'ambiance est superbe. Les gens sont heureux. Plein de gens t'appellent pour avoir des places pour pouvoir voir la finale. C'est un grand moment à vivre et j'espère que je pourrai revivre çà.
Vous avez perdu une 3e finale je crois, désolé Nemanja. Est-ce dur à encaisser?
Oui mais deux que j'ai jouées. Attendez (il réfléchit). La finale avec Manchester contre Villarreal, je ne la joue pas je crois non? Je ne sais plus (rires). Je ne peux pas tout me rappeler. Il y a trop de matchs (défaite le 26 mai 2021, 1-1, 12 t.a.b. 11, il est resté effectivement sur le banc toute la rencontre). Mais oui c'est dur à vivre. C'est le foot. C'est dur de perdre une finale mais il faut toujours regarder devant pour aller chercher le prochain objectif.
Pensez-vous que Rennes puisse avoir de grandes ambitions cette saison en Europe?
Et pourquoi pas!
Vivre une 4e finale avec le Stade Rennais parait dur à imaginer, non?
Si vous le dîtes OK! Mais comme je l'ai dit, on va y aller étape par étape, match après match et on ne sait jamais ce qui peut se passer mais je crois qu'on a de grandes qualités.
Le coach du Stade Rennais Bruno Genesio s’est exprimé, mercredi 20 septembre avant le match de Ligue Europa contre Haïfa, sur le public rennais et le Roazhon Park, autour duquel existent des débats sur son agrandissement potentiel. Genesio verrait cela d’un très bon œil…

L’agrandissement potentiel du Roazhon Park est décidément un sujet qui fait causer. Jusqu’à Bruno Genesio, le coach du Stade Rennais, qui s’en ai saisi presque sans qu’on lui demande ce mercredi, à la veille de l’entrée des Rennais en Ligue Europa contre le Maccabi Haïfa.
À une question sur le public et la passion des Rennais pour leur SRFC, Genesio a dit ceci : « On fait ce métier pour partager des émotions collectives, mais aussi avec le public. Le stade à guichets fermés pratiquement toute la saison, c’est valorisant, ça vous donne plus de force. On aimerait avoir encore plus de monde évidemment. Il a été question de l’agrandissement du stade… Je pense que ce sera une étape supplémentaire pour le club. Une étape a déjà été franchie, à mes yeux très importantes, avec le nouveau centre d’entraînement (La Piverdière 2, dont les travaux ont démarré cet été), car on commençait à travailler dans un centre assez vétuste. Peut-être que la prochaine étape ne sera non pas avoir un stade de 80 000 personnes à Rennes, mais un stade qui puisse accueillir plus de monde et satisfaire plus de monde, pour partager encore plus d’émotions… »
Lundi soir, en Conseil municipal, la maire de Rennes Nathalie Appéré a été de nouveau interpellée à ce sujet. Elle laisse à nouveau une porte ouverte : « Nous avons des échanges très réguliers avec les dirigeants du club. Augmenter la jauge ? Avec eux, nous sommes prêts à étudier dans quelle mesure cette demande peut être satisfaite. La localisation actuelle comporte des contraintes, avec des limites physiques que représente la proximité de la rocade, de la route de Lorient et de la Vilaine. Pour autant, on peut en discuter… »
À tout juste 17 ans, Mathis Lambourde a signé son premier contrat professionnel avec le Stade Rennais FC il y a un mois. L’ailier droit porte une grande ambition qui commence à se décliner et c’est Bruno Génésio qui pourrait être embêté.

En effet, la jeune pépite du SRFC, jamais utilisée par son entraîneur Bruno Génésio, a fait parler d’elle lors du tournoi Lafarge Foot. Avec les U18 de l’équipe de France, il a inscrit le premier des 2-0 tricolores. Très en vue dans cette rencontre face au Japon, Mathis Lambourde montre qu’il viendra chercher du temps de jeu dès cette saison auprès de son coach.
Lors des 4 premiers matchs de la saison en Ligue 1, Bruno Génésio n’a pas fait jouer le jeune prometteur du club breton. Il l’a certes convoqué dans son groupe face à Le Havre à la fin du mois d’août passé, pour la 3e journée de Ligue 1, mais sans le faire jouer. Cette rencontre s’était soldée par un match nul 2-2.
Si la jeune pépite rennaise a rongé son frein en main sur le banc jusqu’à maintenant, sa nouvelle prouesse avec la sélection U18 de l’équipe de France pourrait changer les choses. Un mois seulement après la signature de son contrat pro à Rennes, le temps semble déjà venu pour Bruno Génésio de permettre à Mathis Lambourde de faire ses preuves avec l’équipe première du SRFC.
Bruno Génésio devrait donc avoir un problème de riche, lui qui semblait vouloir disposer du jeune ailier dans son groupe dans un premier temps pour parer aux éventuelles sorties de ses titulaires. En attendant, Mathis Lambourde célèbre le trophée qu'il vient de remporter avec l'equipe de France U18 à ce tournoi Lafarge Foot Avenir.
Durant la 2e édition du GP Explorer, qui se déroule ce samedi 9 septembre 2023, sur le circuit du Mans (Sarthe), l'influenceur "Le Bouseuh" a fièrement montré son écharpe du SRFC.

Organisée par Squeezie, la deuxième édition du GP Explorer se déroule ce samedi 9 septembre 2023, sur le circuit Bugatti du Mans. Diffusé sur Twitch, l’événement rassemble 24 influenceurs au volant de monoplaces de Formule 4.
L’un d’entre eux a réservé une petite surprise très rennaise aux spectateurs de l’évènement.
Les Rouge et Noir à l’honneur
L’influenceur "Le Bouseuh", de son vrai nom Romain Goisbeau, qui collectionne plus de 2, 3 millions de followers sur Instagram, et 4,15 millions sur YouTube a fièrement brandi les couleurs des Rouge et Noir durant l’évènement.
Un geste qui a plu au Stade Rennais puisque le club a partagé la photo sur ses réseaux sociaux.
Artémis, la holding de l'homme d'affaires François-Henri Pinault, a accepté de prendre une participation majoritaire dans l'agence de talents CAA, ont annoncé jeudi les deux parties.

Les détails financiers n'ont pas été dévoilés.
"Leader incontesté dans son secteur et fort d’une équipe dirigeante d'exception, CAA apporte un service mondialement reconnu à des clients de notoriété internationale comme en témoigne son historique de très forte croissance", dit François-Henri Pinault dans un communiqué.
"La société a tous les atouts pertinents pour faire partie de la famille Artémis, tout en apportant à nos actifs une diversification, à la fois en termes d'empreinte géographique et d'activités."
"La vision, les relations et l'accès exceptionnels de CAA aux décideurs clés dans des secteurs clés, ainsi que sa culture de collaboration et d'innovation, confèrent à la société un rôle essentiel dans la création, à l'échelle mondiale, d'opportunités pour sa base de clients diversifiés et influents."
Le Raozhon park affichant régulièrement complet, le président du Stade Rennais, Olivier Cloarec, a évoqué un potentiel agrandissement en août 2023. Ce à quoi la maire de Rennes ne ferme pas totalement la porte.

Dans un premier temps, la Ville répondait simplement n’avoir pas "de projet d’agrandissement à ce jour". Un mois après les propos d’Olivier Cloarec, président du Stade Rennais, qui estimait l’affluence de plus en plus forte au stade pourrait pousser le club à envisager, à terme, un agrandissement de ce dernier, la maire de Rennes, Nathalie Appéré, n’est plus aussi définitive.
L’avenir du Stade Rennais se construit au Roazhon park
"Il y a un engouement de plus en plus important autour du Stade Rennais et j’en suis absolument ravie. Nous avons une équipe de foot solide, avec de bons résultats et un soutien populaire qui participe à ce très bon taux de remplissage, se félicite-t-elle. On a par ailleurs la chance d’avoir un très beau stade, entièrement rénové et agrandi il y a 20 ans. Il est également localisé en cœur de ville dans un lieu stratégique et fonctionnel qui concourt à l’ambiance, et qui permet à de plus en plus de spectateurs de venir à pied ou en transports en commun."
Hors de question, donc, de prendre le risque de froisser les dirigeants du club, même si Olivier Cloarec disait en août ne pas envisager non plus, "à l’heure actuelle" la construction d’un autre stade, si celui-ci ne pouvait être agrandi. "Je suis très attachée à ce stade et évidemment que l’avenir du Stade Rennais se construit au Roazhon park, poursuit Nathalie Appéré. Le site est cependant contraint par la Vilaine. J’entends néanmoins le souhait évoqué par les dirigeants du Stade. On va continuer à travailler sur le projet d’extension, auquel je ne suis pas fermée, pour voir si des choses sont possibles."
Recours en justice contre le centre d’entraînement
Autre sujet autour du Stade Rennais : l’action en justice contre l’extension du centre d’entraînement de la Piverdière. L’association La Nature en ville a en effet engagé deux référés afin d’obtenir la suspension des travaux, commencés au printemps. Le tribunal administratif devrait rendre son jugement dans les prochains jours.
"Des contentieux, il y en a sur tous les dossiers en matière d’urbanisme", balaie Nathalie Appéré. "On a un beau projet et un exemple de conciliation entre des objectifs écologiques et les besoins d’un club. On a travaillé plusieurs mois sur un projet au final sobre et écologiquement exemplaire. Les travaux ont démarré et le projet va se finir", assure-t-elle.
La Ligue va lancer, le mardi 12 septembre, une consultation sur les droits télévisés domestiques de la L1 avec seulement deux lots. Dans la foulée, elle s'attaquera à l'international. Avec une ambition intacte malgré la conjoncture difficile.
Opération simplification. L'appel d'offres que lancera la LFP, le mardi 12 septembre, sur les droits de la Ligue 1 pour la période 2024-2028 va être assez simple à comprendre. Il va en effet, comme l'avait évoqué RMC fin août, se contenter de deux lots mis en vente. Le premier est un lot « premium » avec trois rencontres phares pour le lauréat lors de chaque journée de Championnat. Le second comprend, lui, les six autres rencontres. L'idée de la LFP est manifestement de ne pas éparpiller son produit afin de conserver une cohérence et ne pas pénaliser le consommateur en l'obligeant à souscrire de trop nombreux abonnements.
Cinq lots de moins que l'appel d'offres précédent
Dans ce schéma, selon nos informations, le lot aujourd'hui détenu par Free (42 millions d'euros annuels pour des extraits de match en quasi-direct en numérique) ne sera pas remis en vente. L'attributaire du lot premium aura la possibilité d'utiliser, selon nos sources, ce droit à des extraits en quasi-direct sur un support numérique, ce qui doit valoriser encore un peu plus cette acquisition. Le précédent appel d'offres, lancé en mai 2018, pour la période 2020-2024, comprenait sept lots. Il avait été majoritairement remporté par la société espagnole Mediapro qui n'avait pas fait face à ses obligations, obligeant à la Ligue à revendre à la casse son produit.
Les diffuseurs intéressés devront remettre leurs offres le mardi 17 octobre, ce qui leur laisse cinq semaines pour cogiter. Aujourd'hui, la LFP reçoit 624 millions d'euros annuels pour la L1. Canal+ paye 332 millions d'euros annuels pour deux affiches, Prime Video (Amazon) verse 250 millions par an pour les huit autres rencontres et Free donne 42 millions d'euros pour son lot. La LFP ambitionne d'augmenter sensiblement ses recettes. Dans le business plan de la filiale de commerciale de la LFP déposé au tribunal de commerce de Paris - que nous avons pu consulter - sur les droits nationaux, elle mise sur 863,7 millions d'euros annuels, entre 2024 et 2028, et sur 200 millions de droits internationaux, soit 1,063 milliard d'euros de revenus télévisés.
Un Championnat en plein développement avec 900M€ dépensés lors du dernier mercato
Dans nos colonnes, début juin, le président Vincent Labrune confirmait en relativisant un peu : « On s'en tient au plan d'affaires élaboré en compagnie de CVC (le fonds qui a investi 1,5 milliard d'euros pour obtenir 13 % de la filiale commerciale crée par la LFP) avec des revenus audiovisuels globaux (domestiques et internationaux) aux alentours du milliard d'euros, On vise le milliard d'euros, même si le contexte macro-économique et financier est délicat. C'est peut-être un peu optimiste mais on a une marge de progression importante sur l'international. » Dans la foulée de cette consultation domestique, la LFP va d'ailleurs consulter, selon nos informations, le marché pour ses droits à l'étranger qui sont faibles (80 millions d'euros par an, très loin des autres grands Championnats).
Pour ses droits nationaux, la LFP reste confiante, même si la conjoncture économique est difficile (lancé au printemps, l'appel d'offres de la Serie A italienne a été infructueux). Elle estime que la L1 est en plein développement notamment grâce aux fonds injectés par CVC dans les clubs. Pour preuve : les dépenses effectuées lors de ce dernier mercato. La Ligue 1 a été le Championnat le plus dépensier après la Premier League, avec 900 millions mis dans les transferts de joueurs. La LFP compte bien attirer ses diffuseurs actuels (Amazon et Canal+) et en faire venir un ou deux autres, notamment DAZN (une plate-forme de streaming sportif), afin de stimuler la concurrence.
Début de saison mitigé pour le Stade Rennais, et cela à l'image de l'exercice 2022-2023 où Rennes avait débuté par 2 défaites, 1 nul et 1 victoire. Sur le plan comptable c'est certes un peu mieux avec 6 points et surtout aucune défaite, mais c'est à nuancer par le fait que le SRFC a affronté 3 équipes qui vont jouer le maintien, et une équipe du RC Lens qui est à la peine en ce début de saison.

Le point positif est donc que le Stade Rennais reste invaincu, et devrait probablement monter en puissance au fil des semaines. En effet, il y a eu pas mal de changements dans l'entrejeu et dans l'animation offensive. Un temps d'adaptation est donc nécessaire afin que l'équipe coachée par Bruno Genesio trouve son rythme de croisière.
Si dernièrement on a appuyé sur le fait que cet effectif rennais manque d'équilibre, avec notamment des manques à certains postes, le club breton reste tout de même un candidat sérieux au podium. Une équipe qui va pouvoir s'appuyer sur un retour important dans les prochaines semaines.
Eloigné des terrains depuis 8 mois en raison d'une grave blessure à un genou (rupture des ligaments croisés), Martin Terrier a fait son retour à l'entrainement ce mercredi. Un retour que l'on pourrait quasiment qualifier de "recrue" tant l'attaquant / ailier gauche a manqué à Rennes lors de la deuxième partie de saison dernière.
Avant de se blesser, Martin Terrier avait inscrit 9 buts et délivré 4 passes décisives en 16 matchs de Ligue 1, soit plus que Arnaud Kalimuendo qui lui a joué toute la saison. Mais au delà de ça, Bruno Genesio va pouvoir s'appuyer sur un profil différent, un joueur à l'aise sur le côté gauche de l'attaque et adroit devant le but.
Néanmoins, il faudra attendre plusieurs semaines avant qu'il retrouve le rythme et surtout un bon niveau.
Le latéral gauche formé à l’Académie Rouge et Noir très à l’aise quand il parle tactique, porte un regard lucide sur les nouvelles utilisations des joueurs à son poste.

Comme souvent, l’idée est venue d’un Espagnol du nord de l’Angleterre. En replaçant Joao Cancelo ou plus récemment Rico Lewis dans l’entrejeu lorsque Manchester City a le ballon, Pep Guardiola a jeté les bases d’une nouvelle utilisation des latéraux. Entre cette utilisation et l’avènement des "pistons" les saisons précédentes, le poste a fait l’objet d’approches nouvelles ou remises au goût du jour. "Le poste de latéral a été amené à évoluer ces dernières années. Il est beaucoup plus offensif. Maintenant les équipes le font aussi entrer à l’intérieur, mais cela dépend vraiment du coach", analyse Adrien Truffert, le latéral gauche du Stade Rennais.
L’important, c’est d’occuper toutes les zones
Autrefois délaissé, et même si "cela dépend des tactiques et du coach", le latéral est devenu une pierre angulaire de bon nombre de systèmes de jeu. "Certains entraîneurs vont demander aux latéraux de rentrer à l’intérieur pour laisser plus d’espace et de largeur aux excentrés. Le coach ne demande pas cela ici, mais il souhaite que toutes les zones du terrain soient occupées, ce qui est normal. C’est pareil pour les équipes anglaises. Si le latéral est à l’intérieur, l’excentré reste à l’extérieur et inversement."
Aligné pour la première fois de la saison sur le côté gauche de la défense face au Havre dimanche, Adrien Truffert a d’emblée apporté une touche que l’on n’avait peu vu lors deux premières rencontres.
Son profil plus offensif que celui de Jeanuël Belocian, central de formation, a permis à Amine Gouiri de rentrer dans le cœur du jeu et de laisser son couloir libre. Les spectateurs du Roazhon Park ont également pu se délecter des affinités développées chez les Espoirs avec Enzo Le Fée, celui-ci n’hésitant pas à s’exiler sur le côté gauche pour perturber le schéma défensif havrais. "On permute beaucoup, confirme l’intéressé. Comme je l’ai dit, l’important c’est d’occuper toutes les zones du terrain et le mieux possible. Je n’irais pas jusqu’à dire que l’on n’a pas de poste précis, mais dans l’action cela peut bouger. Et c’est ce qui fait que l’on est moins lisible par l’adversaire."
Adrien Truffert, ailier de formation, s’inscrit parfaitement dans la philosophie de jeu prônée par les Rouge et Noir. Mais ce début d’exercice a laissé entrevoir quelques failles de la saison dernière qui ne sont pas encore totalement colmatées. Pris à défaut dans sa gestion de la profondeur, le SRFC a subi le revers de la médaille de son jeu offensif que Truffert incarne parfaitement. "Je suis un latéral très offensif et je ne changerai pas là-dessus. C’est une demande du coach, mais il faut savoir gérer les déséquilibres", admet le latéral. Alors, faut-il réduire les élans offensifs des latéraux au profit d’une plus grande maîtrise défensive ? Pour certains, la sécurité est la première des libertés. Charge à Bruno Genesio de répondre à ce débat cette saison.
La LFP va lancer le mois prochain l'appel d'offres des droits TV de la Ligue 1 pour 2024-2028. Actuellement, Amazon et Canal+ se partagent les droits, mais un nouveau candidat se fait connaître ce samedi.

Une fois le mercato terminé, la Ligue de Football Professionnel lancera le 12 septembre prochain l’appel d’offres des droits TV pour la L1 et la L2 concernant la période 2024 à 2028. Un contrat qui pourrait ramener 1 milliard d’euros par saison, c’est du moins ce qu’espère Vincent Labrune. Pour cela, la LFP compte sur la concurrence entre les diffuseurs, et cela même si Canal+ ne semble pas vouloir faire un retour fracassant à la table des négociations. Cependant, la Ligue peut se réjouir, car ce samedi, c’est DAZN, désormais distribué sur MyCanal, une société anglaise qui avait déjà postulé à l’acquisition des droits en 2021, qui annonce qu’elle va tenter de rafler une partie des lots actuellement détenus par Amazon et Canal+. Dans le quotidien sportif, le patron de DAZN affiche la couleur et prévient quand même que pour acheter la Ligue 1, il devra taper sur le porte-monnaie des abonnés.
Dazn veut sa part de la Ligue 1
Répondant à Sacha Nokovitch, Shay Segev, PDG de DAZN Groupe affiche ses ambitions et ce que cela peut avoir comme effet sur les éventuels futurs abonnés. « DAZN participera à l'appel d'offres et veut être un diffuseur important de la L1, un acteur majeur. La France est une grande nation de football, on le voit comme un marché clé avec l'ambition d'offrir la meilleure expérience aux fans. À long terme, DAZN peut réduire la fragmentation des droits sportifs en France, explique le grand patron du média, avant quand même de prévenir que tout cela aura un coût…pour les téléspectateurs. Le sport est un contenu premium, nous devons payer très cher les ligues pour acheter les droits. Et en même temps, il y a un nombre limité de consommateurs capables de payer pour cela. Pour viser la rentabilité, il faut soit plus de pubs, soit plus de consommateurs, soit qu'ils payent plus. Nous avons récemment augmenté les abonnements des marchés que vous avez cités mais si, avec le temps, nous augmentons l'audience et le nombre d'abonnés, nous serons en capacité de réduire le prix. » A noter que ce samedi, et dans le cadre d'un accord récent avec Canal+, DAZN diffusera le match au sommet entre le PSG et Lens.