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La LFP réagit aux demandes de Mediapro

DS 0096

Mediapro, par la voix de son patron Jaume Roures, a expliqué, après avoir demandé un délaie de paiement sur son échéance en date du 5 octobre, qu'il souhaitait renégocier les droits TV de la saison en cours à la baisse avec la Ligue de Football Professionnel. L'instance vient de réagir officiellement, via un communiqué.


"Suite aux articles de presse parus ce jour, la LFP confirme que Mediapro a demandé le 24 septembre 2020 un délai de paiement sur l’échéance des droits audiovisuels de Ligue 1 et de Ligue 2 en date du 5 octobre 2020. La LFP a signifié par courrier qu’elle refusait d’accorder un délai de paiement à Mediapro. La LFP a désormais pour priorité d’être en capacité d’assurer le paiement aux clubs de l’échéance en date du 17 octobre 2020. La LFP ne fera aucun autre commentaire", peut-on lire. Un sacré bras de fer s'annonce.

Comment peut évoluer le conflit entre Mediapro et la LFP?

Tout nouveau diffuseur de la Ligue 1, Mediapro demande déjà à renégocier le contrat sur fond de crise économique et sanitaire. Une demande qui passe très mal du côté de la LFP.
DS 0093
Ce n’est que la deuxième échéance du contrat faramineux signé entre la LFP et Mediapro, tout nouveau diffuseur de la majorité de la Ligue 1, via Téléfoot la chaîne, et pourtant le diffuseur espagnol à capitaux chinois a déjà demandé un délai de paiement. Le président de Mediapro, Jaume Roures a même demandé dans la foulée à renégocier le contrat signé bien avant la crise sanitaire. Fin de non recevoir de la LFP, qui n’a pas encore pris la parole hormis via un communiqué lapidaire.

Le contrat des droits TV prévoit le cas de figure d’un défaut de paiement que connait aujourd’hui le foot français. Dans ce cas-là, la Ligue dispose de deux options:

>>> Option 1: Elle demande une garantie à Joye Media, holding détenue à 53% par l’actionnaire chinois Joye Media Hong Kong LTD (ex-Orient Hontai Capital), fonds souverain détenu par des villes chinoises et donc directement lié à l’Etat chinois. Cette garantie engagerait l’actionnaire à couvrir tous les défauts de paiement de sa filiale Mediapro France et l’ensemble des dus à la LFP. Si cette garantie n’est pas fournie ou si elle n’est pas respectée, la Ligue peut rompre le contrat des droits TV.

>>> Option 2: la LFP demande une garantie bancaire à Mediapro France pour assurer la prochaine échéance de paiement. Soit celle prévue début décembre d’un montant d’environ 125 millions d’euros. Mediapro France aurait alors l’obligation de fournir cette garantie bancaire plusieurs jours avant l’échéance de paiement. Une fois cette échéance-là passée, même si l’engagement est honoré, la Ligue a la possibilité, après réflexion sur la confiance qu’elle accorde à Mediapro, de rompre de contrat.

Un nouvel appel d'offre dans six mois?
Avant la reprise du championnat, l’agence Moody’s avait déjà donné l’alerte le 27 avril 2020, en abaissant de deux crans la note de Joye Media, la plaçant de B1 à B3 (spéculatif haut risque crédit). La note a encore été abaissée le 20 juillet 2020 de B3 à B3 "pd" (probability of default).

Selon certains acteurs du marché des droits TV, la Ligue serait capable d’organiser un nouvel appel d’offre en six mois environ. Durant cette période, les journées de championnat voire les matches pourraient être vendus à l’unité à certains diffuseurs le temps qu’un acteur unique rachète la plupart des droits. En revanche, la loi française interdit aux clubs de commercialiser seuls leurs propres matchs. La loi impose qu’ils centralisent leurs droits au sein de la Ligue.

L'Elysée surveille
Si le versement du mois d’octobre ne parvient pas aux clubs, certains d’entre eux vont se retrouver dans une situation très délicate pour payer les salaires. Le Prêt garanti par l’Etat (PGE), que plusieurs clubs ont souscrit, sert à combler le manque à gagner de la billetterie et du sponsoring. En revanche, leur part de droits TV, censée être garantie, constituerait un minimum vital pour respecter leur plan de trésorerie, excepté peut-être pour le PSG.

Selon nos informations, ce dossier est surveillé de près à l’Elysée. Si certains arguments avancés par Jaume Roures sont jugés recevables sur le fond (le produit actuel n’est pas vraiment celui acheté en 2018 dû à la crise: pas de public dans les stades, campagne d’abonnements décevante…), la forme consistant à ne pas payer avant de discuter est jugée intolérable après seulement cinq semaines d’exploitation des droits. L’entourage présidentiel estime que des accords pourraient être trouvés comme par exemple une baisse des prochaines traites qui serait récupérée grâce à une hausse des traites en fin de saison. En revanche, il est évidemment hors de question, pour l’exécutif, que de l’argent public soit engagé pour quelque garantie que ce soit, l’Etat estimant qu’il a déjà joué son rôle pour le foot professionnel au début de la crise.

Reste à connaître maintenant la stratégie choisie par la Ligue qui a refusé d’accorder le délai de paiement demandé par Mediapro. Son bureau réuni hier soir a largement été consacré à cette crise que connaît le foot pro.

Rennes est-il le principal concurrent du PSG pour le titre ?

Très actif sur le marché des transferts cet été, le Stade rennais est le club français qui a le plus dépensé sur ce mercato, devant le Paris Saint-Germain, avec environ 70 millions d'euros d'achat. Au moment de découvrir les joies de la Ligue des champions, le club breton s'est donné les moyens de ses ambitions.

DS 0083Sur le terrain comme en coulisses, le Stade rennais fait tout doucement son entrée dans une nouvelle dimension. Au lendemain d'une dernière journée de mercato agitée pour les Rouge et Noir, leaders de Ligue 1 pour encore au moins une dizaine de jours, le trio Nicolas Holveck, Florian Maurice et Julien Stéphan s'est présenté devant une petite vingtaine de journalistes, au Roazhon Park, afin de dresser un premier bilan d'un mercato jugé "très long" par l'entraîneur. Mais qui aura permis au SRFC de se donner les moyens de ses ambitions. La preuve par les chiffres : Rennes est le club français qui a le plus dépensé cet été sur le marché des transferts (un peu de plus de 70 millions d'euros), devant le Paris Saint-Germain (environ 60 millions d'euros d'achats). Rien que ça.
"On a aussi beaucoup vendu, a immédiatement tempéré le président Holveck, rappelant notamment le départ inattendu d'Édouard Mendy contre 25 millions d'euros à Chelsea. On est aujourd'hui le sixième budget en France, il ne faut pas se tromper. On remercie l'actionnaire (la famille Pinault, N.D.L.R.) pour les efforts consentis. Il a assumé le risque covid, qui est loin d'être neutre, en nous permettant d'avancer grâce à son soutien et sans avoir à prendre en compte nos pertes sur la billetterie et tout le reste, qui s'estiment quand même entre dix et quinze millions d'euros." Un confort assumé par la direction rennaise, qui a piloté un mercato suffisamment sexy pour considérer le Stade rennais comme un nouveau candidat sérieux au podium du championnat de France. En attendant la découverte de la Ligue des champions.

Le record Doku
Entre deux grosses averses, Rennes a aussi présenté trois de ses quatre dernières recrues (Rugani, Dalbert et Gomis) aux médias. Un gardien à quinze millions d'euros et deux renforts défensifs (en prêt) venus tout droit de la Serie A. Mais le symbole de cette nouvelle attractivité rennaise, confirmée par les trois joueurs cités, n'était pas présent dans les coursives du Roazhon Park. Son nom, pourtant inconnu du grand public la semaine dernière, suffit déjà à donner quelques frissons aux supporters bretons : Jérémy Doku, attaquant belge de 18 ans, est devenu lundi la recrue la plus chère de l'histoire du Stade rennais en signant un contrat de cinq ans sur les bords de la Vilaine. Un transfert estimé à 26 millions d'euros (sans les bonus), qui devrait soulager Sévérino Lucas, désormais ancien détenteur de ce fameux record.
Et surtout un choix mûrement réfléchi. "C'est un joueur qu'on suit depuis quelque temps déjà, on a passé des heures à le regarder en vidéo sachant qu'on ne peut plus se déplacer en Belgique pour voir des matchs, a déroulé Florian Maurice, l'air satisfait, mais le visage fatigué. On le connaît depuis la saison passée avec la cellule, qui suit aussi de très près le marché belge. Honnêtement, il a un potentiel incroyable, ce qu'il est capable de faire à cet âge-là... On compte sur lui dans l'immédiat, je pense qu'il est prêt." Un plaisir partagé par Julien Stéphan, bien décidé à "l'intégrer progressivement" à son groupe et conscient que le joueur allait devoir "digérer" ce transfert. "Il a des caractéristiques assez incroyables en un contre un, il a des qualités de vitesse, d'élimination, mais il ne sait pas faire que ça, a insisté le technicien breton. C'est aussi un joueur qui peut s'inscrire dans un jeu collectif et combiner avec les autres. En tout cas, c'est un profil qui nous manquait dans l'effectif." Seulement, un mercato n'est jamais parfait.

L'énigme Raphinha
Si le Stade rennais aura plutôt réussi à mener sa barque intelligemment ces trois derniers mois, en bouclant des recrues connaissant la Ligue 1 (Terrier, Aguerd, Guirassy) ainsi qu'en parvenant à conserver une majorité des cadres de l'effectif, contrairement à l'été dernier, il aura eu le droit à départ inattendu dernière minute. Celui de Raphinha, pourtant titulaire et buteur dimanche contre Reims, parti en vitesse à Leeds dans les dernières heures du mercato contre un chèque de 17 millions d'euros (plus six millions de bonus). "On a essayé de le retenir jusqu'au dernier moment, mais son choix était d'aller en Premier League, on n'a pas souhaité s'y opposer, a indiqué Florian Maurice pour répondre à l'incompréhension générale. Pour faire un deal, il faut que les trois parties soient d'accord, c'était le cas. Il n'y a pas de manques, il a été remplacé par Doku et il ne faut pas oublier qu'il y a des jeunes derrière."
Un avis évidemment partagé par Holveck : "Conserver un joueur contre son gré, ce n'est pas forcément une bonne idée et on l'a tous vécu ici. Aujourd'hui, on insiste sur l'état d'esprit des joueurs qui nous ont rejoint et qui sont là. On veut des joueurs concentrés sur le projet du Stade rennais et qui veulent uniquement jouer pour ce club." Une façon de tourner la page et de mettre la poussière sous le tapis pour la direction des Rouge et Noir, qui a également assuré pouvoir faire une plus-value avec les bonus inclus dans le transfert du Brésilien, qui avait été acheté pour environ 23 millions d'euros un an plus tôt. Et qui devra trouver une solution pour M'Baye Niang - qui pourrait être prêté à Saint-Étienne comme joker - et Clément Grenier, deux joueurs aux salaires importants qui n'ont pas trouvé de point de chute. Les comptes attendront, il faut désormais se tourner vers la suite d'une saison aussi excitante qu'importante.

Les premières pierres du triumvirat
En attendant de voir les résultats sportifs, en Ligue 1 comme en Ligue des champions, le triumvirat rennais a pu prendre ses marques ces six derniers mois. Comme à chaque conférence de presse cet été, le trio Holveck, Maurice, Stéphan est apparu serein, convaincant et surtout soudé au moment d'évoquer ces longues semaines de travail en commun. "Je suis très satisfait de la manière dont on a fonctionné à trois sur notre premier mercato. C'est une belle satisfaction. Comme je l'ai dit en arrivant, je suis quelqu'un qui est dans le partage, s'est réjoui Florian Maurice. On sent que le club grandit de manière constante depuis plusieurs années, on sent cette attractivité." De quoi retrouver un peu de calme en interne, en tout cas pour l'instant, après les tensions assumées entre Olivier Létang, l'ancien président rennais limogé en février, et l'entraîneur Julien Stéphan. Rennes s'est donné les moyens de rester en haut de l'affiche, il reste au coach rennais de trouver la bonne formule pour que cela se traduise sur le terrain. "On continue sur l'objectif de vouloir se battre pour les cinq premières places, être européens, a déroulé le président Holveck, sans parler de podium ou d'ambitions démesurées. Il ne faut pas se voir trop beaux. On a seulement joué six matchs, ce n'est pas grand-chose. On sait qu'on va être à la lutte avec des équipes comme Lyon, Marseille, qui font revenir et qui ont des effectifs importants. On veut se mêler à cette bagarre avec beaucoup d'ambitions, mais aussi pour asseoir le projet pour les années à venir." Qu'on se le dise, le Stade rennais n'a plus envie de faire rire.

1.000 spectateurs pour la réception de Reims dimanche

Le Stade Rennais confirme la jauge de 1.000 personnes pour la réception du Stade de Reims, dimanche 4 octobre. Cette jauge était jusqu'ici de 5.000 spectateurs.

DS 0051

Le Roazhon Park va bien accueillir du public pour le prochain mach Stade Rennais - Reims, ce dimanche 4 octobre. Mais vraiment très peu. La jauge est fixée à 1.000 personnes, comme le prévoit le passage en zone rouge de l'Ille-et-Vilaine. Jusqu'ici cette jauge était fixée à 5.000 spectateurs.

Les joueurs, staff, journalistes, techniciens sont comptés dans cette jauge. Les places restantes vont donc se partager entre les partenaires et les abonnés. Pour les abonnés, la réservation se fera en ligne sur le site web du Stade Rennais le jeudi 1er octobre à 12h00.

Saint-Étienne, Rennes : le Stade de France a tout changé pour eux

DS 0047

Leaders du championnat, Saint-Etienne et Rennes ont en commun d’avoir vu leurs ambitions changer depuis leurs succès en Gambardella et Coupe de France en 2019 à Saint-Denis.

Ce samedi 27 avril 2019, les Rennais découvraient la pelouse de Stade de France. Au son de "We are the champions", de Queen. Le tube de la bande de Freddie Mercury résonnait pour de jeunes Verts, vainqueurs de la Gambardella (2-0) aux dépens de la jeune garde toulousaine.

Dans les heures qui suivaient, Julien Stephan et son équipe allaient donner au Stade Rennais une troisième Coupe de France, en venant à bout du PSG (2-2, 5-4 aux t.a.b.). Dix-sept mois plus tard, en Bretagne et dans le Forez, ces succès pèsent sur les réussites actuelles. À Rennes, les ambitions n’ont cessé de grandir. La troisième place au printemps l’a surligné.

"À tous les niveaux, on se professionnalise un peu plus. Le club montre ses ambitions un peu plus. C’est vrai, on est vu différemment par rapport aux années précédentes", admet Benjamin Bourigeaud. "Il y a un peu plus de sollicitations. Car la Ligue des champions attire aussi… C’est plutôt bon signe sur l’évolution du club", ajoute le coach Julien Stephan.

Abi, Fofana, Bajic…
À "Sainté", après des années où des éléments d’expérience, souvent très bien payés, faisaient la joie de Geoffroy-Guichard, le choix a été de miser sur la jeunesse. Avec un recrutement de jeunes pousses et avec l’appui des vainqueurs 2019, qui ont trouvé, en nombre limité, leur place dans le groupe de Claude Puel.

Si Abi et Fofana sont les plus utilisés, Bajic est portier n° 2, Sidibé a fait ses débuts à Nantes (2-2). "Il m’appartient de développer des joueurs. On est toujours dans l’expectative de réduire la masse salariale. Beaucoup de choses se passent autour de ces jeunes hommes… S’il y a l’aspect terrain, l’aspect environnemental dans le quotidien et tout cela, ça s’apprend, ça se gère"., livre Puel.

"Je ne regarde pas les cartes d’identité"
Les deux clubs ont puisé des ambitions nouvelles dans le berceau dionysien. "Chaque club a son projet. Avec celui-ci, ils ont de la fouge, de la générosité… Chaque coach est dans l’obligation de faire des choix. Moi non plus, je ne regarde pas les cartes d’identité, les dates de naissance pour faire mon équipe", sourit Stephan, connu, comme Puel, pour lancer des néophytes. Dans le Chaudron, choc au carrefour des ambitions et des projets. Pour s’installer seul en tête de la L1.

La fiche technique

Arbitre : Benoît Bastien.

SAINT-ÉTIENNE. Moulin - Moueffek, Fofana (ou Moukoudi), Kolodziejczak, Maçon - Neyou (ou Fofana), Camara - Nordin, Aouchiche, Bouanga - Hamouma. Entraîneur : Claude Puel.

STADE RENNAIS. Salin - H. Traoré, Da Silva (cap.), Aguerd, Truffert - Nzonzi - Del Castillo, Camavinga, Bourigeaud, Terrier - Guirassy. Entraîneur : Julien Stephan.

Pas de public à Geoffroy-Guichard pour la réception du Stade Rennais

DS 0046

La rencontre de cinquième journée de Ligue 1 entre Saint-Étienne et Rennes se jouera sans public ce samedi (17 heures) à Geoffroy-Guichard. Décision du club suite à l'abaissement de la jauge autorisée à 1.000 personnes en raison de l'aggravation de la situation sanitaire à Saint-Étienne.

Il fallait s'y attendre. Depuis que Olivier Véran, le ministre de la santé, a annoncé ce mercredi soir le passage de Saint-Étienne (avec 7 autres métropoles) en "zone d'alerte renforcée", la jauge autorisée pour les rassemblements a été abaissé de 5.000 à 1.000 personnes.

Dans un communiqué publié ce jeudi, l'AS Saint-Étienne annonce que la rencontre de ce samedi (17 heures) face à Rennes se disputera donc sans le "grand public". "Cette jauge (de 1.000 personnes) inclut les joueurs, l'encadrement des clubs, les officiels et toutes les catégories de personnel officiant dans le cadre d'un match" explique l'ASSE dans son communiqué.

COVID, le protocole sanitaire en L1 assoupli ?

DS 0040

Après un protocole assoupli au niveau terrain, la suite à venir au niveau des tribunes ?

Fini les 4 cas positifs synonymes de report du match.

La LFP vient de voter une nouvelle règle. Chaque club devra fournir une liste de 30 joueurs. Si parmi eux au moins 20 sont testés négatifs la veille du match, la rencontre aura bien lieu.

Reste à valider ce protocole par les services de l'État.

La rencontre contre Montpellier menacée ...

DS 0037

Le Stade Rennais a annoncé la suspicion de nouveaux cas positifs au coronavrius ce lundi soir. Nicolas Holveck, le président rennais, a confirmé les tests positifs au micro de la chaîne Téléfoot"On a fait un autre test hier (lundi) matin pour avoir plus de sécurité et, malheureusement, trois nouveaux joueurs ont été testés positifs", a-t-il annoncé.

 

Le club breton doit affronter Montpellier ce samedi mais avec trois cas positifs, la rencontre pourrait être reportée. "On est dans une situation un peu particulière, une situation d'attente. Pour l'instant, le match a lieu mais la situation peut évoluer au cours de la semaine", a expliqué le dirigeant.

Pour sa chaîne Téléfoot, Mediapro a-t-il trop payé les droits de la Ligue 1 ?

DS 0030

Nouvelle illustration du foot casino, ce groupe audiovisuel espagnol a acheté une fortune les droits de retransmission télé du championnat de foot français. Un pari audacieux alors que la chaîne Téléfoot est lancée ce vendredi 21 août.
C’est peu de dire que la nouvelle a surpris. Le 2 juin dernier, Jaume Roures, le patron de Mediapro, société barcelonaise détentrice des droits de diffusion des matchs de Ligue 1 et de Ligue 2 pour quatre ans à partir de la saison 2020-2021, est sorti de sa réserve à l’occasion d’une conférence de presse. Alors qu’il se retranchait dans le silence depuis un long moment, ce septuagénaire à l’air un peu intello avec sa barbe, son crâne dégarni et ses lunettes rondes a annoncé une alliance spectaculaire avec TF1.

Ce deal va lui permettre de baptiser sa nouvelle chaîne «Téléfoot», du nom de la célèbre émission dominicale de la Une. «Nous aurons d’emblée une identité forte», se félicite l’homme d’affaires catalan. Ce dernier profitera aussi de certains moyens techniques de la chaîne du groupe Bouygues pour la production d’un magazine hebdomadaire. Il disposera enfin du duo de commentateurs vedettes qui suit l’équipe de France, Grégoire Margotton et Bixente Lizarazu, 20 soirs par saison.

Même avec l’appui de TF1, le nouveau venu se lance dans une aventure risquée. Et très consommatrice en cash comme on le sait bien chez BeIn Sports, précédent titulaire des droits sur la Ligue 1: la chaîne qatarie a perdu plus de 1 milliard d’euros depuis son arrivée dans le foot français en 2012. Des déboires qui n’ont pas empêché Mediapro de faire sauter les compteurs: pour huit matchs de Ligue 1 et de Ligue 2 par journée, l’espagnol a allongé 780 millions d’euros. A ce niveau de prix jamais vu, il n’a même pas l’exclusivité puisque Canal+ conserve deux affiches clé, le samedi soir et le dimanche après-midi, tandis que BeIn garde deux matchs de L2 et que Free s’est aussi offert un petit résumé hebdomadaire.

 

Cumulés, les droits lâchés par les différents diffuseurs ont fait un bon de 60%! A priori une bonne nouvelle pour les clubs qui tirent la moitié de leur recette de la télévision. Mais c’est vraiment très cher payé pour Mediapro. Il faut savoir que la L1, un championnat avec seulement deux clubs vainqueurs d’une compétition européenne (l’OM en 1993 et le PSG en 1996), est très loin d’avoir l’aura du Calcio italien (29 titres européens) et de la Bundesliga allemande (18) qui touchent pourtant une manne télévisuelle du même niveau (la Premier League anglaise et la Liga espagnole, plus cotées, sont nettement mieux dotées). La mise de Jaume Roures est tellement stupéfiante qu'avant sa conférence de presse, certains dans le milieu s’inquiétaient des réelles ressources dont disposait cet homme quasi inconnu de ce côté-ci des Pyrénées.

Que sait-on au juste de ce nouvel arrivant? Passé par le trotskisme dans sa jeunesse et aujourd’hui supporter acharné de l’indépendance de la Catalogne, il est à la tête d’un poids lourd du paysage audiovisuel ibérique. Mediapro compte environ 7000 salariés actifs dans une cinquantaine de pays et affiche un chiffre d’affaires de 2 milliards d’euros et un excédent brut d’exploitation de 220 millions en 2019 (le résultat net n’est pas connu).

L’entreprise créée en 1994 touche un peu à tout, du cinéma (elle a produit des films de Woody Allen) à la gestion de droits en passant par des prestations techniques. «Ils sont très réputés pour la qualité de leurs retransmissions de foot», reconnaît-on volontiers chez Canal+. Les équipes de Mediapro ont ainsi travaillé dans une vingtaine de championnats, de l’Amérique latine à la Turquie en passant par la France, pour le compte de BeIn. «J’ai toujours été payé en temps et en heure», raconte, pour sa part, un journaliste sportif qui travaille pour eux depuis plusieurs années. Bref, ils sont considérés comme des pros.

 

Ce pedigree plutôt flatteur ne garantit pourtant en rien le succès de Téléfoot. «Il nous faut attirer 3,5 millions d’abonnés pour rentabiliser notre chaîne, nous allons y arriver, j’en suis persuadé», soutient pourtant Jaume Roures. Pour y parvenir, il faudrait donc que la moitié des 7 millions de Français qui se disent fans d’au moins un club, selon la Ligue de football professionnel (LFP), sortent leurs chéquiers. Ce qui semble quand même improbable, surtout à une époque où de nombreux Français, y compris les mordus de ballon rond, s’inquiètent pour leur pouvoir d’achat. «Cela ne peut de toute façon pas marcher, ils n’auront jamais assez de monde, tranche pour sa part Pierre Ménès, consultant de Canal+. BeIn est bien parvenu à ce niveau d’abonnement, à son sommet, en 2020, mais son offre était autrement plus complète avec le Mondial, la L1, la Champions League, les tournois de tennis ou encore la NBA.»

Pour ne rien arranger, il n’est même pas certain que le spectacle sera au rendez-vous. Explication: l’arrêt du championnat à la mi-mars a encore mis à mal les finances des clubs qui n’étaient déjà pas folichonnes puisque des «gros» comme Bordeaux, Marseille ou Monaco accumulent les pertes depuis des années. Le déficit de la Ligue 1 pourrait devenir abyssal, au-delà des 500 millions d’euros pour la saison 2019-2020.

Résultat, les équipes qui avaient déjà l’habitude de se séparer de leurs joueurs les plus «bankables» pour rééquilibrer leur compte – un quart des revenus de la L1 dépendent des transferts – risquent d’en vendre encore plus à l’étranger. «Cela m’inquiète un peu et j’espère qu’il n’y aura pas trop de départs», admet d’ailleurs Jaume Roures, bien conscient du problème. Peu de vedettes donc à attendre pour animer les débats. Sans oublier que, pour des raisons sanitaires, une bonne partie des matchs risquent de se jouer à huis clos, rendant le show encore plus tristounet. Au moins dans ce cas, certains habitués des tribunes se sentiraient-ils obligés de s’abonner pour quelques mois…

 

Et puis il reste une incertitude que Mediapro n’a pas entièrement levée, c’est celle de sa surface financière. D’autant plus que l’entreprise présente un niveau d’endettement élevé – 727 millions d’euros fin 2019 – vu sa taille. En tout cas, les responsables du foot italien se sont méfiés. Jaume Roures avait acheté les droits du Calcio moyennant 1 milliard d’euros par saison, pour trois ans à compter de l’été 2018. Mais, à la dernière minute, les clubs transalpins ont estimé que ses garanties bancaires n’étaient pas suffisantes.

Un certain mystère plane aussi sur l’actionnaire principal et ses motivations, le fonds chinois Orient Hontai Capital (OHC). Ce dernier a racheté 54% des parts à divers minoritaires début 2018, en lâchant la coquette somme de 900 millions d’euros. D’OHC, l’on sait juste qu’il s’agit de la filiale d’une banque d’investissement cotée à Shanghai. Son P-DG, Tony Ma, a alors précisé que cette prise de participation rentrait dans «le cadre de la nouvelle route de la soie», la stratégie de conquête de l’empire du Milieu. «Il est certain que Pékin place ses pions dans le foot européen, constate Luc Arrondel, économiste du football. Des investisseurs chinois sont aussi entrés dans des clubs comme Lyon, l’Inter de Milan ou le Manchester City. L’arrivée d’OHC dans les droits télés confirme une tendance lourde.» Mediapro serait-il un cheval de Troie?

Pour l’heure, Mediapro n’a pas conclu de deal avec Canal+, mais négocie des accords de distribution avec l’ensemble des opérateurs télécoms. Et il assure que Bouygues, le principal actionnaire de TF1, n’aura droit à aucun traitement de faveur…

Abonnements 2020/2021

DS 0027

Le Stade Rennais compte 17.000 abonnés pour la saison 2020/2021. Un chiffre record pour le Roazhon Park dont la capacité est de 29.194 spectateurs (soit 58% d'abonnés).

Free lance son application sur la Ligue 1

DS 0026

Détenteur des droits du Championnat de France de football en quasi-direct, Free va proposer différents contenus sur son application "Free Ligue 1", lancée ce mercredi.

Disponible à la fois sur l'interface de la Freebox et sur une l'application "Free Ligue 1", l'offre de foot de l'opérateur télécoms est désormais connue. L'application en question est téléchargeable depuis ce mercredi et Free annonce offrir les deux premières journées de Championnat à l'ensemble des utilisateurs.

En effet, si Free Ligue 1 sera disponible gratuitement sur les box et sur les forfaits mobiles 4G (hors offres promotionnelles), les autres consommateurs devront donc s'abonner au contenu payant de Free Ligue 1 à partir de la troisième journée de Championnat.

Le tarif reste non communiqué à ce jour mais l'opérateur nous fait savoir qu'il sera "attractif". Le contenu payant de l'application concernera par ailleurs uniquement les matches en direct et les résumés des rencontres.

Jusqu'à 30 minutes de quasi-direct par match de L1

Détenteur du lot en "quasi-direct" (réglé près de 50 millions d'euros par an jusqu'en 2024), Free aura la possibilité d'alerter ses abonnés box et mobile par des notifications afin de les renvoyer vers différents extraits des rencontres présélectionnées par l'utilisateur. "Cela permet de regarder en quasi-direct, jusqu'à 30 minutes d'images par match, sous la forme de clips pouvant aller jusqu'à 60 secondes, précise Thomas Reynaud, DG de l'opérateur télécoms. On enverra des notifications dans des délais records, de quelques secondes, avec l'idée d'aller à l'essentiel du match : les buts, les meilleures actions, les plus beaux arrêts. Finalement, on sera la seule plateforme à donner accès à 100 % des buts de la L1 en vidéo".

L'abonné aura la possibilité de sélectionner sur sa box ou son application un ou plusieurs clubs afin d'être alerté des meilleurs moments d'une ou plusieurs équipes. "Nous avons également accès à la zone flash d'interviews, comme les autres détenteurs de droits (Téléfoot et Canal +), ajoute Thomas Reynaud. Nous souhaitons évidemment donner la parole aux joueurs à la fin des matches et nous diffuserons leurs réactions dans la foulée."

Les résumés des matches et ceux des journées de Championnat seront également proposés sous la forme de vidéos, allant de deux à cinq minutes chacune et diffusables peu de temps après le coup de sifflet final.

Une dizaine de programmes chaque semaine

Outre son offre de quasi-directs et de résumés, Free prépare des contenus propres, "dans des formats courts et faciles à consommer", promet l'opérateur. "On a travaillé avec plusieurs boîtes de production pour produire des contenus rapides, percutants, adaptés à un mode de consommation sur smartphone, confirme le directeur général. On souhaite parler du football sous tous ses angles : de la Ligue 1 en passant par le freestyle, les jeux vidéo, la dimension économique et sociétale. La semaine sera rythmée par une petite dizaine de rendez-vous. Il y aura notamment des tournages tournés au sein des clubs de Ligue 1."
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Mais aussi dans les centres de formation de l'élite avec la web-série "U19" qui partira à la rencontre des futures pépites du Championnat. "Le bureau des stats", lui, annonce avec son seul nom la couleur. "Cadré" s'articulera autour d'une interview second degré durant laquelle les joueurs seront "chahutés". Mais on trouve aussi un podcast nommé "Football Society" abordant différents angles sociétaux liés à la discipline.

Mais le rendez-vous phare de Free, baptisé "U-Foot", sera mis en ligne le vendredi et le lundi, afin d'encadrer chaque journée de Championnat. On y retrouve Thomas Thouroude à la présentation. L'ancien présentateur de Canal + promet d'y aborder "le football à 360 degrés", entouré d'une bande de chroniqueurs, pour la plupart venus du web (Vinsky, Wiloo...).

Horaires, chaînes… comment regarder les matchs à la télé

DS 0025

Nouvelle saison et nouveaux horaires pour la Ligue 1. A partir de cet exercice 2020-2021, et jusqu’en 2024, le championnat de France de football va proposer à ses fidèles passionnés une nouvelle programmation des matchs.

Comme jusqu’à maintenant, une journée type de L1 s’ouvrira avec une rencontre programmée le vendredi soir à 21h. Elle sera suivie d’une confrontation le samedi à 17h. Mais, première nouveauté, il n’y aura plus de multiplex le samedi soir. Il sera remplacé par un match avec un coup d’envoi à 21h.

Le dimanche sera la journée la plus chargée avec sept rencontres : un premier match à 13h, puis quatre autres en multiplex à 15h, un autre à 17h et enfin la grande affiche toujours à 21h.

La Répartition Des Matchs De Ligue 1
Vendredi
Un match à 21h sur Téléfoot

Samedi
Un match à 17h sur Téléfoot
Un match à 21h sur Canal+

Dimanche
Un match à 13h sur Téléfoot
Quatre matchs à 15h sur Téléfoot
Un match à 17h sur Canal+
Un match à 21h sur Téléfoot

Ligue 1 : le programme actualisé de la 1ère journée

DS 0024

Après les changements opérés en raison des quatre cas positifs décelés à l'OM, retrouvez le programme actualisé de la 1ère journée de Ligue 1 qui débutera avec Bordeaux-Nantes, vendredi à 19 heures.

La Ligue des champions et le coronavirus perturbent la 1ère journée de Ligue 1. On savait déjà que les rencontres du PSG et de Lyon, engagés en demi-finales de la C1, étaient reportées au 16 septembre (face à respectivement Metz et Montpellier). En raison des quatre cas positifs au Covid-19 décelés à l'Olympique de Marseille, le match de l'OM contre Saint-Etienne, qui devait ouvrir cette journée inaugurale de L1, vendredi soir (19 heures), a également été reporté (au 16 ou 17 septembre).
 
Du coup, la LFP a avancé Bordeaux-Nantes, prévu initialement samedi à 17 heures, à vendredi soir afin de constituer la première affiche de la reprise. La Ligue a également décalé Dijon-Rennes, programmé à la base dimanche à 15 heures, à samedi 17 heures. Dimanche, Monaco-Reims aura lieu à partir de 13 heures, Lorient-Strasbourg et Nîmes-Brest restent à 15 heures, et Nice-Lens demeure avec un coup d'envoi fixé à 17 heures.
 
Le programme de la 1ère journée de Ligue 1 :
Vendredi 21 août 2020
19 heures : Bordeaux-Nantes
 
Samedi 22 août 2020
17 heures : Dijon-Angers
21 heures : Lille-Rennes
 
Dimanche 23 août 2020
13 heures : Monaco-Reims
15 heures : Lorient-Strasbourg
15 heures : Nîmes-Brest
17 heures : Nice-Lens
 
Mercredi 16 septembre 2020
19 heures : Paris-SG-Metz
19 heures : Montpellier-Lyon
 
Mercredi 16 septembre ou jeudi 17 septembre 2020
Horaire à préciser : Marseille - Saint-Etienne

Après la nationalité française, Eduardo Camavinga a obtenu son bac

DS 0013

La jeune pépite du Stade Rennais Eduardo Camavinga est officiellement bachelier. Le milieu âgé de 17 ans est actuellement en stage à Dinard avec ses partenaires du Stade Rennais.

Eduardo Camavinga est officiellement bachelier. Le milieu du Stade Rennais a pu voir son nom sur les listes des admis, alors que les résultats sont tombés ce mardi. Alors qu’il aura 18 ans en novembre prochain, le voici désormais titulaire d’un bac économique et sociale.

Le joueur a fêté cette nouvelle dans le car, avec ses coéquipiers. Actuellement à Dinard pour un stage, il prépare activement la saison avec le club breton, dans lequel il va, selon son président Nicolas Holveck, rester la saison prochaine. Courtisé par de nombreuses équipes, dont le Real Madrid, il avait affirmé, dans un entretien donné à Ouest-France , qu’il se sentait bien à Rennes. Il pourrait donc découvrir la Ligue des champions avec le SRFC à l’automne prochain.

S.G.S.B.

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