• ds_1970.jpg
  • ds_0677.jpeg
  • ds_3533.jpg
  • ds_0531.jpeg
  • ds_1290.jpg
  • ds_3227.jpg
  • ds_1279.jpg
  • ds_2426.jpg
  • ds_3470.jpg
  • ds_2607.jpg
  • ds_1691.jpg
  • ds_2671.jpg
  • ds_1445.jpg
  • ds_2328.jpg
  • ds_3435.jpg
  • ds_3593.jpg
  • DS_0116.jpg
  • ds_0351.jpg
  • ds_2816.jpg
  • ds_1908.jpg
Actualité

09 Mai 2025

À la veille du dernier match à domicile, le Stade rennais a dévoilé son ancien maillot domicile 2025-2026. Le teasing avait été fait en amont et l’annonce est tombée ce midi. Les supporters du Stade...

Mercato

09 Mai 2025

Le technicien du Stade Rennais, Habib Beye pourrait dire au revoir à Adrien Truffert lors du prochain mercato estival. Le latéral gauche français est pisté en Angleterre. Le Stade Rennais et Adrien...

Actualité

09 Mai 2025

Il aurait pu rester une heure de plus, mais Lilian Brassier a déjà pris le temps de se poser pendant 1h05, ce mercredi, entre deux grandes soirées de Ligue des champions. Le défenseur de 25 ans,...

Ligue 1

08 Mai 2025

Retrouvez les joueurs qui seront suspendus samedi pour la 33e journée de Ligue 1. Alors qu’il lutte pour une place en Ligue des Champions, le LOSC sera privé de deux joueurs pour son déplacement à...

Mercato

08 Mai 2025

Onzième de Ligue 1, le Stade Rennais réalise une saison décevante, ce qui devrait donner lieu à un mercato extrêmement agité. Habitué à disputer la coupe d’Europe ces dernières années, le Stade...

Mercato

08 Mai 2025

Le maintien en Ligue 1 validé sans trop de difficulté, le Stade Rennais – qui n’a plus grand-chose à jouer sur ses deux derniers matchs face à Nice et à Marseille – est déjà dans la préparation de...

Mercato

07 Mai 2025

En fin de contrat à l'issue de la saison, Steve Mandanda ne rempilera pas avec le Stade Rennais. A 40 ans, le gardien de but se rapproche très fortement d'une fin de carrière, sauf s'il se lance...

Mercato

07 Mai 2025

Alors qu’il tarde à lever le voile sur son avenir, Steve Mandanda (40 ans), en fin de contrat à Rennes, a été informé il y a quelques jours par le président Arnaud Pouille qu’il ne serait pas...

Anciens

07 Mai 2025

Raphinha, qui brille actuellement au FC Barcelone, est perçu comme un sérieux prétendant pour le Ballon d’Or. Son passage au Stade Rennais lors de la saison 2019/2020 reste gravé dans les mémoires,...

Actualité

06 Mai 2025

L’entraîneur du club rennais, Habib Beye, n’a pas caché son mécontentement face à l’attitude de ses joueurs après avoir assuré le maintien en Ligue 1. Suite à la défaite face à Toulouse (1-2), il a...

Mercato

06 Mai 2025

Englué dans des transferts à tout-va depuis maintenant deux mercatos, le Stade Rennais n’a pas lésiné sur les prêts pour dégraisser (temporairement) son effectif. À l’approche de la fin de saison et...

Actualité

05 Mai 2025

Découvrez la programmation TV de la 34e journée de Ligue 1. DAZN le samedi 17 mai 2025 à 21h00 * Paris Saint-Germain - AJ Auxerre * Olympique Lyonnais - Angers SCO * RC Lens - AS Monaco * AS...

Anciens

05 Mai 2025

Jorge Sampaoli en veut toujours aux dirigeants du Stade Rennais après son limogeage. Le technicien argentin a fait de nouvelles révélations sur son départ de Rennes. Jorge Sampaoli, l’ancien...

Mercato

05 Mai 2025

Après Laurent Bessière, son responsable de la performance, Nice devrait aussi voir partir à Rennes deux de ses préparateurs physiques en vue de la saison prochaine, pour étoffer le staff d'Habib...

Ligue 1

05 Mai 2025

Voici les réactions d’Anthony Rouault et de Brice Samba, les deux joueurs rennais, après la défaite face au TFC (2-1). Anthony Rouault : Notre première mi-temps, ce n’est pas normal. On va devoir...

Mercato

04 Mai 2025

Philippe Clement à la place de Habib Beye ? Alors qu’il assurait récemment avoir signé pour le long terme, Habib Beye pourrait finalement être en train de vivre ses derniers mois sur le banc du...

Amateurs

04 Mai 2025

Les demi-finales du Challenge Espoirs ont eu lieu ce week-end, et ce sont le Stade Rennais et l’AS Monaco qui se sont qualifiés. Les deux premiers de la phase de poule du Challenge Espoirs ont eu...

Jorge Sampaoli en mission commando à Rennes

Fortement pressenti pour prendre les rênes du Stade Rennais en remplacement de Julien Stéphan, le technicien argentin Jorge Sampaoli doit travailler dur pour relancer le club.

ds 2836

Jorge Sampaoli peut-il relancer le SRFC ?
Le Stade Rennais est aux abois en Ligue 1 en ce début de saison. Les Rennais enchaînent les mauvais résultats et cela a provoqué le limogeage du technicien du club, Julien Stéphan. Jorge Sampaoli est annoncé sur les tablettes des pensionnaires du Roazhon Park pour conduire l’équipe.

Selon L’Équipe, Jorge Sampaoli et le Stade Rennais sont en pleine discussion pour boucler le deal. Après son départ de Flamengo en septembre 2023, le technicien argentin était sans club et pourrait bientôt faire son retour en Ligue 1.

Le journaliste argentin César Luis Merlo a révélé que Jorge Sampaoli aurait trouvé un accord verbal avec les dirigeants du Stade Rennais. L’ancien coach de l’Olympique de Marseille devrait signer un contrat de 18 mois, soit jusqu’en juin 2026. Ouest-France indique que son arrivée est imminente. Mais la tâche est immense en Bretagne.

Les signaux ne sont pas bons au Stade Rennais avant son arrivée sur le banc du club. Le club breton s’est encore incliné (2-0) au Roazhon Park ce dimanche en clôture de la 11e journée de Ligue 1. Les Rouge et Noir enregistrent ainsi 6 défaites, deux nuls et seulement trois victoires en 11 journées de Ligue 1 et pointent à la 13e place au classement.

Jorge Sampaoli était présent au Roazhon Park et a suivi la rencontre. Si l’officialisation de sa signature devient effective, il devra se battre pour permettre à l’équipe rennaise de relever la tête et de poursuivre la course pour la qualification à une compétition européenne à la fin de cette campagne.

Jorge Sampaoli dirigera sa première séance d’entraînement cette semaine et fera ses débuts officiels à la tête du SRFC le dimanche 24 novembre sur la pelouse du LOSC pour le compte de la 12e journée de Ligue 1.

Sampaoli arrive à Rennes avec trois adjoints

Habitué à travailler avec beaucoup plus d'hommes de confiance autour de lui, Jorge Sampaoli arrive au Stade rennais avec trois adjoints, selon les informations de RMC Sport.
ds 2818

Sa signature au Stade Rennais est imminente et Jorge Sampaoli - désireux de se relancer et de retrouver la Ligue 1, un championnat qui l’a marqué depuis son passage à l’OM - a fait un effort au niveau du nombre d’adjoints qui vont l’accompagner.

 Dans un premier temps, ils devraient être uniquement trois, alors que l’ancien sectionneur de l’Argentine a été habitué à travailler avec beaucoup plus d’hommes de confiance autour de lui. Son staff rapproché sera composé de Diogo Meschine, Pablo Fernández et Marcos Fernández.

Diogo Meschine est l’adjoint terrain de Sampaoli. Très actif lors des séances et tête pensante de l’entraîneur, Meschine échange beaucoup sur l’aspect tactique et les compositions d’équipe avec son boss. Il était déjà présent lors du passage de Sampaoli à l’OM, tout comme Pablo Fernandez, préparateur physique et fidèle de Sampaoli également.

Pablo Fernández de retour en Ligue 1 après l’incident de Nice-OM
Pablo Fernandez est un adjoint expérimenté, et il n’avait pas attendu de travailler avec Sampaoli pour connaître une expérience en Europe, puisqu’il avait déjà exercé avec Eduardo Berizzo alors coach dans plusieurs clubs espagnols comme le Celta Vigo, le FC Séville ou l’Athletic Bilbao.

Fernandez est proche de Sampaoli, et le technicien lui maintient sa confiance malgré deux épisodes qui ont réduit le préparateur physique à quelqu’un de sanguin. Lors du Nice-OM d’août 2021, où Dimitri Payet avait reçu une bouteille d’eau avant de la balancer dans la tribune, Fernandez avait frappé au visage un supporter des Aiglons qui s’était introduit sur la pelouse. La commission de discipline l’avait suspendu de banc de touche et de toutes fonctions officielles. Il a récidivé deux ans plus tard, lors du passage de Sampaoli à Flamengo, en donnant un coup de poing à un des joueurs de son propre club (Pedro) car celui-ci se serait mal comporté et s’était rassis sur le banc au lieu de poursuivre son échauffement. Fernandez avait été licencié et cette affaire avait fait grand bruit au Brésil.

Massara évoque des discussions avancées

Proche de devenir le prochain entraîneur du Stade Rennais, Jorge Sampaoli a été aperçu dans les tribunes du Roazhon Park, où il assiste au match face à Toulouse.

ds 2811

L’entraîneur argentin Jorge Sampaoli, en discussions "avancées" et qui devrait s’engager avec le Stade Rennais, est présent, ce dimanche 10 novembre 2024, dans les tribunes pour le match de Ligue 1 contre Toulouse (11e journée). "Il y a des discussions qui sont bien avancées avec M. Sampaoli", a expliqué Frederic Massara, directeur sportif du Stade Rennais, sur la chaîne DAZN.

Quelques minutes plus tard, le coach argentin est arrivé au Roazhon Park et a pris place dans la tribune officielle, aux côtés de Massara, pour assister à la rencontre des Rouge et Noir

Selon une source proche du club, Sampaoli devrait venir avec trois adjoints mais sans l’ancien international français Samir Nasri, qu’il a dirigé à Séville et dont le nom a circulé dans la presse. Rennes avait annoncé la mise à l’écart de Julien Stephan et de son staff jeudi, après une longue période de résultats insatisfaisants.

Après avoir étudié plusieurs pistes au profil divers, la direction du club a jeté son dévolu sur le technicien argentin adepte d’un jeu de possession offensif et d’un pressing à haute intensité, en bon disciple de Marcelo Bielsa.

Homme au caractère bien trempé, l’ancien coach de l’OM devra secouer une équipe qui a raté la qualification européenne la saison dernière pour la première fois en sept ans et qui végète à une triste 13e place au classement, avant la rencontre de dimanche, dont le coup d’envoi a été donné à 17h.

Première apparition de Kader Meïté, 17 ans, dans le groupe rennais

L'attaquant Kader Meïté, 17 ans et grand espoir rennais, figure pour la première fois dans le groupe, ce dimanche contre Toulouse.
ds 2806

Après avoir signé son premier contrat pro (2028) cette semaine, l'attaquant Kader Meïté, 17 ans et 30 jours, figure pour la première fois dans le groupe choisi par le coach intérimaire de Rennes Sébastien Tambouret, ce dimanche contre Toulouse (17 heures). International U17, c'est un grand espoir rennais, et pas seulement par la taille (1,92 m). Deux recrues de l'été n'ont pas été retenues : le milieu Jordan James et l'attaquant Henrik Meister.

Arrivée avancée, Sampaoli débarque pour Toulouse

Probable futur entraîneur du Stade Rennais, Jorge Sampaoli devrait s’engager en début de semaine prochaine. Son arrivée en Bretagne n’était pas prévue ce week-end. Mais l’entraîneur argentin a chamboulé son agenda pour arriver plus tôt que prévu. Sa présence dans les tribunes pour le match face à Toulouse dimanche n’est pas à exclure.

ds 2803

Sauf revirement de situation, Jorge Sampaoli sera bien le prochain entraîneur du Stade Rennais. L’Argentin va sûrement succéder à Julien Stéphan dont la mise à pied a été officialisée jeudi. Etant donné le timing, l’ancien coach de l’Olympique de Marseille n’aura pas le temps de prendre les commandes avant la réception de Toulouse dimanche lors de la 11e journée de Ligue 1.

Sampaoli présent dès dimanche
Sa signature officielle ne devrait intervenir qu’en début de semaine prochaine, le temps pour lui de débarquer en provenance du Brésil. Mais il faut croire que Jorge Sampaoli a hâte de découvrir son futur club. Selon le journaliste du Parisien Benjamin Quarez, le technicien va finalement atterrir en Bretagne plus tôt que prévu. Le disciple de Marcelo Bielsa prévoit de prendre un avion dans la nuit de ce samedi à dimanche. Cet agenda chamboulé pourrait lui permettre de s’installer en tribune du Roazhon Park pour assister au match contre le Téfécé dimanche à 17 heures.

Autant dire que les caméras seraient particulièrement attirées par l'Argentin et par ses réactions devant les actions de sa nouvelle équipe. Rappelons qu’avant sa nomination, c’est le coach de la réserve Sébastien Tambouret qui dirigera les Rouge et Noir, avec l’aide de son adjoint Pierre-Alexandre Lelièvre et du directeur du centre de formation Denis Arnaud. Tout ce petit monde laissera ensuite la place à un nouveau staff dans lequel on pourrait retrouver Samir Nasri. Même si l’on ignore qui est l’auteur du coup de fil, le consultant de Canal+ a bien été contacté pour épauler Jorge Sampaoli à Rennes.

Un brassard en voiles recyclées pour le capitaine du FC Lorient

Lors du derby face à Guingamp, Laurent Abergel, capitaine des Merlus portera un brassard en voiles recyclées à l'occasion du départ du Vendée Globe.

ds 2848

Un accessoire qui claque !

Cette saison, le FC Lorient a pris le pari original de créer un brassard unique pour chacune de ses rencontres à domicile. Après avoir mis à l’honneur la Compagnie des Indes ou le bagad de Lann-Bihoué, le club morbihannais va cette fois faire un clin d’œil au Vendée Globe qui débute ce dimanche 10 novembre.

Et pour renforcer son lien avec l’environnement marin, le club s’est associé à 727Sailbags et à l’équipe Paprec Arkéa pour la fabrication de ce brassard unique tiré d’une voile d’Imoca.

Un choix loin d’être anodin puisque l’équipe du skipper Yoann Richomme fait partie des nombreuses formations installées à l’année à Lorient.

Comment Rennes va mener sa révolution avec Jorge Sampaoli

Rennes a obtenu jeudi un accord de principe avec l'entraîneur argentin Jorge Sampaoli sur un contrat allant au-delà de la saison. De quoi bouleverser un club tombé ces derniers mois dans une forme d'apathie.
ds 2797

Les joueurs rennais n'ont encore reçu aucune communication de leur hiérarchie au sujet de l'identité du futur entraîneur, et c'est comme le commun des mortels, via leurs smartphones, qu'ils ont suivi l'actualité mouvementée autour du club. En interne, c'est pourtant comme si de rien n'était que Julien Stéphan et son staff ont assuré la séance d'entraînement jeudi matin. Avant que tout s'accélère à la mi-journée, quand le technicien breton de 44 ans a été convoqué par sa direction.

Elle lui a signifié sa mise à pied, ainsi que celle de ses adjoints Denis Zanko et Bouziane Benaraibi. Et l'annonce officielle de cette séparation unilatérale a eu lieu dans la foulée. En parallèle, les têtes pensantes rennaises ont avancé sur le successeur de Stéphan, et il est probable que quelques joueurs aient pu se tourner vers Steve Mandanda pour récolter des informations sur le profil de Jorge Sampaoli une fois que L'Équipe a révélé dans l'après-midi un accord de principe entre l'électrique coach de 64 ans et le club d'Ille-et-Vilaine. L'ancien gardien international connaît bien Sampaoli. Il l'a affronté (comme remplaçant) avec les Bleus lors du mémorable huitième de finale de la Coupe du monde 2018 face à l'Argentine (4-3), que le technicien dirigeait, puis il l'a fréquenté au quotidien durant quinze mois à Marseille, entre février 2021 et juillet 2022.

Le premier entraîneur étranger du club depuis Bölöni entre 2003 et 2006
L'ex-gardien de l'OM pourra en témoigner : avec l'entraîneur argentin, Rennes a opté pour un sacré changement de style, bien loin de ce que le club a pu vivre ces dernières années. Si les deux parties finissent par s'entendre sur les derniers détails de leur future collaboration, Sampaoli sera le quatorzième entraîneur de l'ère Pinault, entamée en 1998, et surtout le premier étranger depuis Laszlo Bölöni (2003-2006). Avec une approche beaucoup plus expansive - et c'est un euphémisme - que ce à quoi le Stade Rennais s'était habitué. Plongé dans une certaine forme d'apathie depuis une bonne année, que ce soit sous la direction de Bruno Genesio (sur la fin) ou celle de Stéphan, le club souhaitait casser les codes ? Il devrait être servi.

Du passage d'une grosse année de l'Argentin en Ligue 1, on se souvient forcément de son style de jeu attrayant, basé sur un pressing intense et la prise de risque, avec des un-contre-un fréquents, de ses résultats probants (2e de L1 en 2021-2022 et demi-finaliste de la Ligue Europa Conférence la même saison), mais aussi de ses nombreuses colères piquées dans sa zone technique, presque devenue un espace d'attraction quand les supporters marseillais y jetaient un oeil amusé.

Avec ce caractère, le vestiaire rennais peut donc s'attendre à être sacrément secoué, et cette venue peut contribuer à remobiliser certains joueurs qui se voyaient partir durant l'été ou des recrues dont l'adaptation tarde à se concrétiser. Emballé par le projet rennais, l'intéressé aurait conservé un regard attentif sur la L1 depuis le Brésil, où il est resté vivre après sa dernière expérience à Flamengo, achevée en septembre 2023.

Tambouret s'est vu confier l'animation des séances d'entraînement en attendant
Sûrs de sa capacité à régénérer l'effectif, les décideurs rennais lui auraient proposé un contrat allant au-delà de la saison actuelle, signe qu'ils souhaitent lui faire confiance sur une forme de durée malgré une propension à vivre des divorces relativement rapides, puisque sa plus longue expérience, ces douze dernières années, a été sur le banc de l'OM (67 matches).

Mais Sampaoli a eu les faveurs du Stade Rennais, et il devance notamment Habib Beye, avec lequel le contact avait été maintenu jusqu'à mercredi soir. Le club s'affaire désormais à finaliser la venue de son nouvel entraîneur. Reste encore à savoir quand celui-ci arrivera cette semaine. En attendant, le coach de la réserve (N3), Sébastien Tambouret, s'est vu confier l'animation des séances d'entraînement et sera chargé de répondre à la presse ce matin, à deux jours de la réception de Toulouse, dimanche. Sampaoli sera-t-il alors en place ? Il bénéficiera en tout cas de la trêve internationale, ensuite, pour découvrir son nouvel espace de travail.

Le prix de la Ligue 1 s'effondre, les conséquences sont terribles

Après un feuilleton interminable, la LFP a vendu ses droits TV à DAZN et à BeInSports l’été dernier pour 500 millions d’euros. Un montant loin d’être satisfaisant pour les clubs professionnels… mais pas uniquement.

ds 2785

Ces vingt dernières années, les droits TV payés par les diffuseurs pour la Ligue 1 n’ont cessé de baisser. L’été dernier, un nouveau seuil a été franchi puisque DAZN et BeInSports paieront moins de 500 millions d’euros par an pour la diffusion du championnat de France. Un chiffre à la baisse qui a logiquement des conséquences sur la trésorerie des clubs de Ligue 1 et de Ligue 2, dont les présidents doivent revoir impérativement leur modèle économique pour ne pas être en difficulté. Mais la baisse des droits TV au fur et à mesure des décennies n’a pas uniquement des conséquences sur les clubs pros.

Dans un papier consacré au foot amateur, Radio France explique que le chiffre en baisse constante des droits TV est également préjudiciable à tout un écosystème et pas seulement au football. Il est notamment rappelé qu’en 2000, la ministre communiste Marie-George Buffet a instauré une taxe de 5% directement prélevée sur le montant des droits télévisuels du football français et ensuite redistribuée au sport amateur dans son ensemble et pas uniquement au football.

La baisse des droits TV fait mal au sport amateur
« En 2020, 5 % des droits télévisés du football représentaient environ 75 millions d’euros. Aujourd’hui, d’après le gouvernement, ce montant est descendu à 60 millions. Mais, avec la diminution de moitié des droits télévisés, la taxe "Buffet" est estimée actuellement à 40 millions d’euros, ce qui entraîne d’énormes pertes » soulève Radio France, qui insiste donc sur le fait que la baisse des droits TV a d’énormes conséquences pour la Ligue 1 mais bien au-delà. D’où l’importance de mieux valoriser notre championnat pour la LFP et son président Vincent Labrune dans les années à venir afin de retrouver un niveau de droits télévisuels plus acceptables. Il faudra néanmoins se montrer patient car les contrats avec BeInSports et DAZN couvrent la période 2025-2029 même si d’ici là, de nombreux rebondissements sont possibles.

Jusqu’à un an de prison ferme pour deux supporters rennais

Deux supporters rennais ont été condamnés, à Auxerre, dans la nuit de mercredi à ce jeudi 7 novembre,? à des peines de huit mois à un an de prison ferme. Ils ont été reconnus coupables d’avoir frappé un policier, dimanche 3 novembre, lors de heurts survenus avant le match entre l’AJ Auxerre et le Stade Rennais.

ds 2782

Deux supporters du Stade Rennais ont été condamnés, dans la nuit de mercredi à jeudi à Auxerre, à des peines de huit mois à un an de prison ferme pour avoir frappé un policier, dimanche 3 novembre, lors de heurts avant le match Auxerre-Rennes (4-0).

Les fans, tous deux âgés de 25 ans, ont été notamment reconnus coupables par le tribunal d’Auxerre de violence aggravée sur un fonctionnaire de police.

Le premier, accusé d’avoir fait tomber un policier avant de le rouer de coups, a été condamné à deux ans de prison dont un an avec sursis simple, la partie ferme aménageable en détention à domicile sous surveillance électronique (DDSE).

Le second, poursuivi pour avoir jeté une canette de bière sur le policier, a été condamné à huit mois d’emprisonnement, également sous DDSE.

Fracture du nez et mâchoire déplacée pour le policier
Selon les forces de l’ordre, l’agent concerné avait été "roué de coups" après être tombé, à l’avant-match, tandis qu’une trentaine de policiers escortaient les ultras rennais.

Les forces de l’ordre avaient été "prises à partie dès le début de l’escorte", selon la police, faisant usage de gaz lacrymogène et de tirs de balles de défense.

Le policier a été victime d’une fracture du nez et d’une mâchoire déplacée, selon la même source.

Des comportements inacceptables pour Bruno Retailleau
Le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau avait dénoncé des "comportements inacceptables", appelant sur X à "la plus exemplaire des sanctions".

Trois personnes avaient été interpellées. Mais seuls les deux qui ont comparu ce mercredi, ont été finalement poursuivis.

Ce ne sont pas des sauvages

Jugés ce mercredi à Auxerre, trois jours après la blessure d'un policier en avant-match d'AJA-Rennes, deux supporters rennais ont été condamnés à de la prison ferme sous forme aménageable. Un soulagement pour la défense.
ds 2782

Ils devaient juste faire l'aller-retour entre Rennes et Auxerre, dimanche, pour un match de leur équipe de coeur. Poursuivis pour avoir agressé un policier et intimidé deux autres avant AJA-Rennes (4-0), ces deux supporters du Stade Rennais ont prolongé leur premier séjour dans l'Yonne par une garde à vue, une nuit en détention provisoire et leur comparution immédiate jusque très tard dans la soirée de ce mercredi dans la salle froide et kitsch d'audience correctionnelle d'Auxerre.

Après plus de trois heures de débats et une petite heure de plus le temps de délibérer, le tribunal a rendu sa décision peu avant 22h30. Les deux prévenus, nés à Rennes et âgés de 25 ans, ont été relaxés du délit de menace de mort et reconnus coupables de violences, et d'outrage pour l'un d'eux. Le premier a été condamné à huit mois d'emprisonnement et deux ans d'interdiction de stade, le second à deux ans de prison, dont un avec sursis, et trois ans d'interdiction de stade. Deux peines aménageables sur la partie ferme avec une détention à domicile sous surveillance électronique.

Deux récits face à face
L'audiencement du dossier à la nuit tombée et devant de nombreuses forces de l'ordre dans le public a au moins permis d'éclaircir les circonstances des faits, et, surtout, l'origine de l'altercation. Jusque-là, la seule version exposée médiatiquement était celle dénoncée dès dimanche soir sur ses réseaux sociaux par le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau en personne et détaillée depuis par les autorités locales : plus d'une centaine d'ultras rennais auraient contourné l'arrêté d'encadrement puis pris à partie des forces de l'ordre aux abords du stade. Des jets de projectiles, une balayette et des coups au sol.

Reprenons dans l'ordre. Jeudi dernier, à trois jours du match, alors qu'il n'y a pas d'antécédents entre les deux clubs et que la DNLH n'a pas procédé à un classement à risque, la préfecture de l'Yonne prend un arrêté d'encadrement du déplacement des supporters rennais, comme cela se fait très fréquemment désormais. Un "point de rendez-vous obligatoire" est fixé à une sortie d'autoroute, avant escorte jusqu'à l'enceinte icaunaise. Et, à partir de là, deux récits se font face. D'une part, les autorités considèrent que l'arrêté n'a pas été respecté. "Les Rennais ont volontairement sous-estimé leur nombre (4 cars officiellement) pour se déplacer comme ils le voulaient, nous confie un acteur local. Une centaine est arrivée à la mi-journée en centre-ville et cela a donné le ton du reste de la journée."

De l'autre côté, rennais, par manque d'anticipation en raison de la publication tardive et discrète de l'arrêté, on avance un accord oral avec la police à leur arrivée pour un fan walk du centre-ville au stade. Vers 13 heures, une dizaine de minibus notamment affrétés par le Roazhon Celtic Kop se stationne sur le parking d'un supermarché proche du centre-ville auxerrois. Une centaine d'ultras en descend, se rend dans les bars du coin. La police est alertée, patrouille et il est alors décidé de rediriger le groupe, dans le calme, vers le parking afin d'acheminer les véhicules et ses passagers, à pied, jusqu'au terrain de camping attenant au secteur visiteur.

Canette contre LBD
L'escorte, à faible allure, prévoit de contourner la route de Vaux, histoire d'éviter tout risque de heurts avec des fans locaux. Sauf qu'une moitié du groupe rennais dévie de la trajectoire initiale. Un policier se positionne devant eux et les invite à faire demi-tour. Un supporter exprime son refus de manière véhémente, par le geste - mouvements de bras - et la parole ("fils de pute"). Une canette de bière atteint le haut du crâne du policier, qui riposte par un tir de LBD touchant le supporter précité au torse, projeté vers l'arrière et porté dans un minibus. Les forces de l'ordre font usage de gaz lacrymo et de grenades de désencerclement. Un épais nuage de fumée se forme. L'agitation perdure.

Le même policier est ensuite crocheté, mis au sol et frappé par de nombreux supporters à la tête. Il se met en boule. Bouche en sang, fracture du nez. Dix jours d'ITT. La sortie des armes de poing permettra l'éloignement des assaillants et les deux prévenus seront interpellés plus tard, l'un, fortement alcoolisé, en début de match et l'autre le lendemain. Trois jours plus tard, les voilà debout dans le box, entre deux agents pénitentiaires et face aux trois policiers assis en rang.

"J'ai suivi la foule, je me suis retrouvé à l'avant et j'ai fait l'erreur stupide de provoquer bêtement"

Un des deux prévenus

Brun et barbu, la mine fermée, en bas de survêtement, le premier, celui qui a refusé de faire demi-tour, reconnaît avoir été "provocateur" et insultant. "Avec l'alcool, il y a eu des incivilités malpropres. Cela ne me ressemble pas. J'ai suivi la foule, je me suis retrouvé à l'avant et j'ai fait l'erreur stupide de provoquer bêtement." En revanche, il nie avoir jeté la canette et menacé de mort le policier. "J'étais sonné, désorienté", se défend-il, sûr de lui.

Le second, mince, crâne rasé et pull foncé, est davantage marqué et soucieux. Il l'assure néanmoins : "J'étais très lucide, pas alcoolisé, et il n'y a pas eu de provocation de ma part avant le tir de LBD. Ensuite, je vois le policier reculer en essayant de recharger et pas mal de personnes vont vers lui par énervement. Un fourgon arrive, je le contourne, mais je ne mets pas de coups. Je tire un gars et je suis touché à la main par un tir. Jamais je n'ai frappé un policier." Aucune caméra n'a filmé les scènes.

En face, les trois policiers, eux, sont formels. "Sans l'intervention rapide de mes collègues, je ne serais peut-être pas devant vous, soupire la victime principale, habituée au maintien de l'ordre en jour de match et ancien CRS. J'ai entendu un gars dire : ''Arrêtez, si vous continuez vous allez le tuer''. En légitime défense, je décide de l'impacter. C'est la première fois que je subis cela. Quand on se dissimule le visage, quand on porte des chaussures de sécurité, on ne vient pas voir un match mais en découdre. C'était très violent et organisé."

Une nuit en prison
"Ces deux-là étaient les instigateurs, je persiste et signe", appuie son voisin. Le troisième policier : "J'ai vu mon collègue inanimé, sans le distinguer au milieu de toutes ces jambes". L'intéressé a toujours le visage amoché et des douleurs persistantes à la barre. "Pour moi, ce sont des lâches, des pleutres. Des gens comme cela salissent tout", assène son avocat, Me David Kahn. "Il faut arrêter de se cacher derrière l'effet de groupe", ajoute Claire Dereusme au nom du parquet.

Les coprévenus n'ont toutefois pas vraiment le profil ni l'allure des hooligans décrits. L'un est ingénieur électrique depuis trois ans, l'autre paysagiste depuis sept ans et chef d'équipe. Les yeux embués et la voix tremblotante, tous deux expriment leurs excuses et leurs regrets. "Depuis dimanche, c'est un cauchemar, souffle le premier. Je me mets à sa place (de la victime principale), ce n'est pas normal. Ce n'est pas l'image que j'ai envie de donner d'un supporter. J'ai beaucoup trop à perdre." Et le second de le rejoindre : "Je n'avais jamais mis les pieds dans une prison, c'est vraiment un choc. J'ai passé la pire nuit de ma vie." Ils se prennent tour à tour la tête entre leurs mains à l'annonce des réquisitions du parquet qui souhaitait un maintien en détention (mais des peines inférieures à celles prononcées).

Leur conseil, Me Florian Grigis, clame que "ce dossier est grave et personne ne peut le nier". "Mais on vous demande, aujourd'hui, de condamner des sauvages (terme utilisé par Retailleau). Or, je n'ai pas des sauvages derrière moi, même si le box peut les apparenter à des animaux, tonne-t-il. Le sauvage ne pleure pas, ne regrette pas, n'est pas aussi stable dans sa vie. Ils n'ont pas leur place ici et eux non plus n'ont pas de raison de mentir. Cela aurait pu être évité. L'usage de l'arme était-il strictement nécessaire ? Vous voyez quelqu'un tomber à vos côtés après avoir pris un impact, bien sûr que vous intervenez. Vous les voyez, vous, là, les meneurs, qui se retiennent de chialer ?" Les deux clients fondent en larmes derrière lui. "La conscience demande de ne pas les faire payer pour tous les autres. Leurs yeux ne sont pas ceux de quelqu'un qui a des remords, mais qui peut voir sa vie basculer pour quelque chose qu'il n'a pas fait." Menottés une dernière fois, ses clients sont repassés par la prison pour récupérer leurs affaires, avant de regagner la Bretagne.

Le SRFC condamne les actes de violence inadmissibles signalés en amont de la rencontre AJA / SRFC

Dimanche après-midi, en marge de la rencontre AJ Auxerre / Stade Rennais F.C., des heurts ont impliqué des supporters rennais et causé des blessures à un policier qui exerçait sa fonction.

ds 2778

En ce début de semaine, le club a sollicité puis rencontré les autorités concernées et des supporters présents au Stade Abbé Deschamps.

En attendant les conclusions finales de l’enquête, le Stade Rennais F.C. condamne avec la plus grande fermeté ces actes de violence et tient à apporter son soutien entier au policier blessé.

Ces faits inadmissibles vont à l’encontre des valeurs du sport en général et de celles véhiculées par le Stade Rennais F.C., à savoir le respect des institutions, l’esprit sportif ou encore la vie en citoyenneté.

La piste Habib Beye prend de l’ampleur

 

Julien Stéphan est à l’heure actuelle toujours l’entraîneur du Stade Rennais mais pour combien de temps encore ? Les heures du Breton sont comptées depuis la gifle reçue à Auxerre dimanche (4-0). La piste préférée de Frederic Massara se dirigeait jusque-là vers Rudi Garcia mais elle semble s’être refroidie ces dernières heures. L’ancien coach de Lille, de l’OM et de l’OL ne serait pas si intéressé par le projet.

ds 2777

Le nom de Sergio Conceiçao est aussi une possibilité, comme nous l’affirmions plus tôt dans la journée. Le Portugais est libre mais cette fois, ce sont les prétentions salariales de l’ancien technicien de Porto qui pose problème. D’après RMC, le profil d’Habib Beye commence prendre de l’envergure. Il a l’avantage d’être libre et pourrait être accompagné de Mathieu Le Scornet. Ce dernier est déjà passé par Rennes pour avoir été un adjoint de Julien Stéphan.

Après Garcia et Tudor, Sampaoli dans le viseur ?

Après la lourde défaite le week-end dernier sur la pelouse d'Auxerre (4-0), l'entraîneur de Rennes, Julien Stéphan, serait sur la sellette. Pour le remplacer, le club breton aurait déjà sa petite idée.

ds 2770

Le changement s'approche pour le Stade Rennais. Après une lourde défaite le week-end dernier sur la pelouse d'Auxerre (4-0) lors de la 10e journée du championnat de Ligue 1, l'entraîneur Julien Stéphan semble être sur le chemin de la sortie. Selon L'Équipe, le club breton aurait déjà identifié plusieurs profils de coachs intéressants pour insuffler une nouvelle dynamique à l'équipe. Après Igor Tudor et Rudi Garcia, c'est au tour de Jorge Sampaoli de figurer sur la liste des candidats. Le club semble privilégier des techniciens ayant un passé à l'Olympique de Marseille, un choix logique pour Rennes, qui souhaiterait s'appuyer sur un entraîneur bien implanté en Ligue 1. Par ailleurs, le coach argentin semblerait intéressé par un retour en Ligue 1. Affaire à suivre... En attendant, Rennes retrouvera le championnat dès dimanche (17h) à domicile, face à Toulouse, lors de la 11e journée.

Dans le jeu, des expérimentations multiples et des échecs répétés

La claque subie par le Stade Rennais à Auxerre (4-0) est la suite presque logique d’un début de saison raté aussi bien dans les résultats que dans le contenu. Les systèmes testés par Julien Stéphan se sont multipliés, tout comme le roulement entre les joueurs sur la plupart des postes, avec la même inefficacité.

ds 2766

En 4-3-3, ça ne marche pas mieux

Il y a dix jours, c’était le dernier levier que tout le monde espérait voir actionné : la fin d’un système à trois défenseurs qui avait affiché toutes ses limites, notamment techniques. La fin de match à Brest, où Julien Stéphan avait décidé de renverser la table, semblait source de promesses avec le dynamisme des entrants et une ambition enfin affichée.

Les deux matches qui ont suivi font dire aujourd’hui qu’il n’y a plus de solution toute trouvée à sortir du chapeau. Malgré une formule très offensive lancée contre Le Havre, Rennes a eu toutes les peines du monde à forcer le verrou normand, en ayant à chaque fois plus de 60 % de possession du ballon (ses deux seules fois de la saison). Dimanche à Auxerre, dans une configuration quasiment identique devant (seul Kamara a remplacé Gronbaek dans le onze de départ), il a fini avec un total famélique de sept tirs tentés pour quatre cadrés.

En dix journées, Julien Stéphan et son staff ont donc changé quatre fois de système : 4-4-2 en losange pour commencer, puis 4-4-2 à plat avec Matusiwa et Kamara à Reims, 3-4-3 pendant cinq matches, et donc 4-3-3 depuis Le Havre.

Les joueurs rentrent et sortent

Aucune formule collective n’a donné satisfaction pour le moment, mais on peut en dire de même des individualités. Qui apparaît actuellement comme un élément indispensable dans l’effectif actuel ?

Dans les faits, seuls Steve Mandanda et Ludovic Blas ont démarré tous les matches jusqu’ici. Arnaud Kalimuendo les aurait probablement rejoints sans sa participation aux Jeux olympiques avec l’équipe de France cet été. Le gardien et capitaine, qui n’affiche que 61 % d’arrêts depuis le début de la saison (18e de Ligue 1), doit surtout son statut à l’absence d’un n° 1 bis décrété comme tel à son poste.

En revanche, Ludovic Blas est peut-être la seule satisfaction constante depuis trois mois, avec Alidu Seidu (suspendu dimanche). L’ancien Nantais reste le meilleur buteur et passeur du SRFC (trois buts et deux passes décisives) et le principal dépositaire du jeu (1er de L1 au nombre d’actions menant à un tir, 5e au nombre de tirs cadrés).

Pour le reste, 17 joueurs ont été titulaires au moins une fois (plus Benjamin Bourigeaud en août avant son départ). Parmi les recrues, si Jota et Andrés Gomez ont été trop peu vus à l’œuvre pour se faire une opinion définie, les autres (Hans Hateboer, Leo Ostigard, Glen Kamara, Albert Gronbaek) commencent à susciter des critiques, alors que la mi-temps de Mikayil Faye à Auxerre a calmé les ardeurs autour du jeune Sénégalais.

S.G.S.B.

SGSB

Boutique de Mumbly

Boutique

Cantine de Mumbly

Cantine

Hébergé par

Reglyss.bzh

Free Joomla templates by Ltheme