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La rencontre contre Montpellier menacée ...

DS 0037

Le Stade Rennais a annoncé la suspicion de nouveaux cas positifs au coronavrius ce lundi soir. Nicolas Holveck, le président rennais, a confirmé les tests positifs au micro de la chaîne Téléfoot"On a fait un autre test hier (lundi) matin pour avoir plus de sécurité et, malheureusement, trois nouveaux joueurs ont été testés positifs", a-t-il annoncé.

 

Le club breton doit affronter Montpellier ce samedi mais avec trois cas positifs, la rencontre pourrait être reportée. "On est dans une situation un peu particulière, une situation d'attente. Pour l'instant, le match a lieu mais la situation peut évoluer au cours de la semaine", a expliqué le dirigeant.

Pour sa chaîne Téléfoot, Mediapro a-t-il trop payé les droits de la Ligue 1 ?

DS 0030

Nouvelle illustration du foot casino, ce groupe audiovisuel espagnol a acheté une fortune les droits de retransmission télé du championnat de foot français. Un pari audacieux alors que la chaîne Téléfoot est lancée ce vendredi 21 août.
C’est peu de dire que la nouvelle a surpris. Le 2 juin dernier, Jaume Roures, le patron de Mediapro, société barcelonaise détentrice des droits de diffusion des matchs de Ligue 1 et de Ligue 2 pour quatre ans à partir de la saison 2020-2021, est sorti de sa réserve à l’occasion d’une conférence de presse. Alors qu’il se retranchait dans le silence depuis un long moment, ce septuagénaire à l’air un peu intello avec sa barbe, son crâne dégarni et ses lunettes rondes a annoncé une alliance spectaculaire avec TF1.

Ce deal va lui permettre de baptiser sa nouvelle chaîne «Téléfoot», du nom de la célèbre émission dominicale de la Une. «Nous aurons d’emblée une identité forte», se félicite l’homme d’affaires catalan. Ce dernier profitera aussi de certains moyens techniques de la chaîne du groupe Bouygues pour la production d’un magazine hebdomadaire. Il disposera enfin du duo de commentateurs vedettes qui suit l’équipe de France, Grégoire Margotton et Bixente Lizarazu, 20 soirs par saison.

Même avec l’appui de TF1, le nouveau venu se lance dans une aventure risquée. Et très consommatrice en cash comme on le sait bien chez BeIn Sports, précédent titulaire des droits sur la Ligue 1: la chaîne qatarie a perdu plus de 1 milliard d’euros depuis son arrivée dans le foot français en 2012. Des déboires qui n’ont pas empêché Mediapro de faire sauter les compteurs: pour huit matchs de Ligue 1 et de Ligue 2 par journée, l’espagnol a allongé 780 millions d’euros. A ce niveau de prix jamais vu, il n’a même pas l’exclusivité puisque Canal+ conserve deux affiches clé, le samedi soir et le dimanche après-midi, tandis que BeIn garde deux matchs de L2 et que Free s’est aussi offert un petit résumé hebdomadaire.

 

Cumulés, les droits lâchés par les différents diffuseurs ont fait un bon de 60%! A priori une bonne nouvelle pour les clubs qui tirent la moitié de leur recette de la télévision. Mais c’est vraiment très cher payé pour Mediapro. Il faut savoir que la L1, un championnat avec seulement deux clubs vainqueurs d’une compétition européenne (l’OM en 1993 et le PSG en 1996), est très loin d’avoir l’aura du Calcio italien (29 titres européens) et de la Bundesliga allemande (18) qui touchent pourtant une manne télévisuelle du même niveau (la Premier League anglaise et la Liga espagnole, plus cotées, sont nettement mieux dotées). La mise de Jaume Roures est tellement stupéfiante qu'avant sa conférence de presse, certains dans le milieu s’inquiétaient des réelles ressources dont disposait cet homme quasi inconnu de ce côté-ci des Pyrénées.

Que sait-on au juste de ce nouvel arrivant? Passé par le trotskisme dans sa jeunesse et aujourd’hui supporter acharné de l’indépendance de la Catalogne, il est à la tête d’un poids lourd du paysage audiovisuel ibérique. Mediapro compte environ 7000 salariés actifs dans une cinquantaine de pays et affiche un chiffre d’affaires de 2 milliards d’euros et un excédent brut d’exploitation de 220 millions en 2019 (le résultat net n’est pas connu).

L’entreprise créée en 1994 touche un peu à tout, du cinéma (elle a produit des films de Woody Allen) à la gestion de droits en passant par des prestations techniques. «Ils sont très réputés pour la qualité de leurs retransmissions de foot», reconnaît-on volontiers chez Canal+. Les équipes de Mediapro ont ainsi travaillé dans une vingtaine de championnats, de l’Amérique latine à la Turquie en passant par la France, pour le compte de BeIn. «J’ai toujours été payé en temps et en heure», raconte, pour sa part, un journaliste sportif qui travaille pour eux depuis plusieurs années. Bref, ils sont considérés comme des pros.

 

Ce pedigree plutôt flatteur ne garantit pourtant en rien le succès de Téléfoot. «Il nous faut attirer 3,5 millions d’abonnés pour rentabiliser notre chaîne, nous allons y arriver, j’en suis persuadé», soutient pourtant Jaume Roures. Pour y parvenir, il faudrait donc que la moitié des 7 millions de Français qui se disent fans d’au moins un club, selon la Ligue de football professionnel (LFP), sortent leurs chéquiers. Ce qui semble quand même improbable, surtout à une époque où de nombreux Français, y compris les mordus de ballon rond, s’inquiètent pour leur pouvoir d’achat. «Cela ne peut de toute façon pas marcher, ils n’auront jamais assez de monde, tranche pour sa part Pierre Ménès, consultant de Canal+. BeIn est bien parvenu à ce niveau d’abonnement, à son sommet, en 2020, mais son offre était autrement plus complète avec le Mondial, la L1, la Champions League, les tournois de tennis ou encore la NBA.»

Pour ne rien arranger, il n’est même pas certain que le spectacle sera au rendez-vous. Explication: l’arrêt du championnat à la mi-mars a encore mis à mal les finances des clubs qui n’étaient déjà pas folichonnes puisque des «gros» comme Bordeaux, Marseille ou Monaco accumulent les pertes depuis des années. Le déficit de la Ligue 1 pourrait devenir abyssal, au-delà des 500 millions d’euros pour la saison 2019-2020.

Résultat, les équipes qui avaient déjà l’habitude de se séparer de leurs joueurs les plus «bankables» pour rééquilibrer leur compte – un quart des revenus de la L1 dépendent des transferts – risquent d’en vendre encore plus à l’étranger. «Cela m’inquiète un peu et j’espère qu’il n’y aura pas trop de départs», admet d’ailleurs Jaume Roures, bien conscient du problème. Peu de vedettes donc à attendre pour animer les débats. Sans oublier que, pour des raisons sanitaires, une bonne partie des matchs risquent de se jouer à huis clos, rendant le show encore plus tristounet. Au moins dans ce cas, certains habitués des tribunes se sentiraient-ils obligés de s’abonner pour quelques mois…

 

Et puis il reste une incertitude que Mediapro n’a pas entièrement levée, c’est celle de sa surface financière. D’autant plus que l’entreprise présente un niveau d’endettement élevé – 727 millions d’euros fin 2019 – vu sa taille. En tout cas, les responsables du foot italien se sont méfiés. Jaume Roures avait acheté les droits du Calcio moyennant 1 milliard d’euros par saison, pour trois ans à compter de l’été 2018. Mais, à la dernière minute, les clubs transalpins ont estimé que ses garanties bancaires n’étaient pas suffisantes.

Un certain mystère plane aussi sur l’actionnaire principal et ses motivations, le fonds chinois Orient Hontai Capital (OHC). Ce dernier a racheté 54% des parts à divers minoritaires début 2018, en lâchant la coquette somme de 900 millions d’euros. D’OHC, l’on sait juste qu’il s’agit de la filiale d’une banque d’investissement cotée à Shanghai. Son P-DG, Tony Ma, a alors précisé que cette prise de participation rentrait dans «le cadre de la nouvelle route de la soie», la stratégie de conquête de l’empire du Milieu. «Il est certain que Pékin place ses pions dans le foot européen, constate Luc Arrondel, économiste du football. Des investisseurs chinois sont aussi entrés dans des clubs comme Lyon, l’Inter de Milan ou le Manchester City. L’arrivée d’OHC dans les droits télés confirme une tendance lourde.» Mediapro serait-il un cheval de Troie?

Pour l’heure, Mediapro n’a pas conclu de deal avec Canal+, mais négocie des accords de distribution avec l’ensemble des opérateurs télécoms. Et il assure que Bouygues, le principal actionnaire de TF1, n’aura droit à aucun traitement de faveur…

Abonnements 2020/2021

DS 0027

Le Stade Rennais compte 17.000 abonnés pour la saison 2020/2021. Un chiffre record pour le Roazhon Park dont la capacité est de 29.194 spectateurs (soit 58% d'abonnés).

Free lance son application sur la Ligue 1

DS 0026

Détenteur des droits du Championnat de France de football en quasi-direct, Free va proposer différents contenus sur son application "Free Ligue 1", lancée ce mercredi.

Disponible à la fois sur l'interface de la Freebox et sur une l'application "Free Ligue 1", l'offre de foot de l'opérateur télécoms est désormais connue. L'application en question est téléchargeable depuis ce mercredi et Free annonce offrir les deux premières journées de Championnat à l'ensemble des utilisateurs.

En effet, si Free Ligue 1 sera disponible gratuitement sur les box et sur les forfaits mobiles 4G (hors offres promotionnelles), les autres consommateurs devront donc s'abonner au contenu payant de Free Ligue 1 à partir de la troisième journée de Championnat.

Le tarif reste non communiqué à ce jour mais l'opérateur nous fait savoir qu'il sera "attractif". Le contenu payant de l'application concernera par ailleurs uniquement les matches en direct et les résumés des rencontres.

Jusqu'à 30 minutes de quasi-direct par match de L1

Détenteur du lot en "quasi-direct" (réglé près de 50 millions d'euros par an jusqu'en 2024), Free aura la possibilité d'alerter ses abonnés box et mobile par des notifications afin de les renvoyer vers différents extraits des rencontres présélectionnées par l'utilisateur. "Cela permet de regarder en quasi-direct, jusqu'à 30 minutes d'images par match, sous la forme de clips pouvant aller jusqu'à 60 secondes, précise Thomas Reynaud, DG de l'opérateur télécoms. On enverra des notifications dans des délais records, de quelques secondes, avec l'idée d'aller à l'essentiel du match : les buts, les meilleures actions, les plus beaux arrêts. Finalement, on sera la seule plateforme à donner accès à 100 % des buts de la L1 en vidéo".

L'abonné aura la possibilité de sélectionner sur sa box ou son application un ou plusieurs clubs afin d'être alerté des meilleurs moments d'une ou plusieurs équipes. "Nous avons également accès à la zone flash d'interviews, comme les autres détenteurs de droits (Téléfoot et Canal +), ajoute Thomas Reynaud. Nous souhaitons évidemment donner la parole aux joueurs à la fin des matches et nous diffuserons leurs réactions dans la foulée."

Les résumés des matches et ceux des journées de Championnat seront également proposés sous la forme de vidéos, allant de deux à cinq minutes chacune et diffusables peu de temps après le coup de sifflet final.

Une dizaine de programmes chaque semaine

Outre son offre de quasi-directs et de résumés, Free prépare des contenus propres, "dans des formats courts et faciles à consommer", promet l'opérateur. "On a travaillé avec plusieurs boîtes de production pour produire des contenus rapides, percutants, adaptés à un mode de consommation sur smartphone, confirme le directeur général. On souhaite parler du football sous tous ses angles : de la Ligue 1 en passant par le freestyle, les jeux vidéo, la dimension économique et sociétale. La semaine sera rythmée par une petite dizaine de rendez-vous. Il y aura notamment des tournages tournés au sein des clubs de Ligue 1."
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Mais aussi dans les centres de formation de l'élite avec la web-série "U19" qui partira à la rencontre des futures pépites du Championnat. "Le bureau des stats", lui, annonce avec son seul nom la couleur. "Cadré" s'articulera autour d'une interview second degré durant laquelle les joueurs seront "chahutés". Mais on trouve aussi un podcast nommé "Football Society" abordant différents angles sociétaux liés à la discipline.

Mais le rendez-vous phare de Free, baptisé "U-Foot", sera mis en ligne le vendredi et le lundi, afin d'encadrer chaque journée de Championnat. On y retrouve Thomas Thouroude à la présentation. L'ancien présentateur de Canal + promet d'y aborder "le football à 360 degrés", entouré d'une bande de chroniqueurs, pour la plupart venus du web (Vinsky, Wiloo...).

Horaires, chaînes… comment regarder les matchs à la télé

DS 0025

Nouvelle saison et nouveaux horaires pour la Ligue 1. A partir de cet exercice 2020-2021, et jusqu’en 2024, le championnat de France de football va proposer à ses fidèles passionnés une nouvelle programmation des matchs.

Comme jusqu’à maintenant, une journée type de L1 s’ouvrira avec une rencontre programmée le vendredi soir à 21h. Elle sera suivie d’une confrontation le samedi à 17h. Mais, première nouveauté, il n’y aura plus de multiplex le samedi soir. Il sera remplacé par un match avec un coup d’envoi à 21h.

Le dimanche sera la journée la plus chargée avec sept rencontres : un premier match à 13h, puis quatre autres en multiplex à 15h, un autre à 17h et enfin la grande affiche toujours à 21h.

La Répartition Des Matchs De Ligue 1
Vendredi
Un match à 21h sur Téléfoot

Samedi
Un match à 17h sur Téléfoot
Un match à 21h sur Canal+

Dimanche
Un match à 13h sur Téléfoot
Quatre matchs à 15h sur Téléfoot
Un match à 17h sur Canal+
Un match à 21h sur Téléfoot

Ligue 1 : le programme actualisé de la 1ère journée

DS 0024

Après les changements opérés en raison des quatre cas positifs décelés à l'OM, retrouvez le programme actualisé de la 1ère journée de Ligue 1 qui débutera avec Bordeaux-Nantes, vendredi à 19 heures.

La Ligue des champions et le coronavirus perturbent la 1ère journée de Ligue 1. On savait déjà que les rencontres du PSG et de Lyon, engagés en demi-finales de la C1, étaient reportées au 16 septembre (face à respectivement Metz et Montpellier). En raison des quatre cas positifs au Covid-19 décelés à l'Olympique de Marseille, le match de l'OM contre Saint-Etienne, qui devait ouvrir cette journée inaugurale de L1, vendredi soir (19 heures), a également été reporté (au 16 ou 17 septembre).
 
Du coup, la LFP a avancé Bordeaux-Nantes, prévu initialement samedi à 17 heures, à vendredi soir afin de constituer la première affiche de la reprise. La Ligue a également décalé Dijon-Rennes, programmé à la base dimanche à 15 heures, à samedi 17 heures. Dimanche, Monaco-Reims aura lieu à partir de 13 heures, Lorient-Strasbourg et Nîmes-Brest restent à 15 heures, et Nice-Lens demeure avec un coup d'envoi fixé à 17 heures.
 
Le programme de la 1ère journée de Ligue 1 :
Vendredi 21 août 2020
19 heures : Bordeaux-Nantes
 
Samedi 22 août 2020
17 heures : Dijon-Angers
21 heures : Lille-Rennes
 
Dimanche 23 août 2020
13 heures : Monaco-Reims
15 heures : Lorient-Strasbourg
15 heures : Nîmes-Brest
17 heures : Nice-Lens
 
Mercredi 16 septembre 2020
19 heures : Paris-SG-Metz
19 heures : Montpellier-Lyon
 
Mercredi 16 septembre ou jeudi 17 septembre 2020
Horaire à préciser : Marseille - Saint-Etienne

Les Derbies Bretons de la saison 2020/2021

DS 0017

Après la nationalité française, Eduardo Camavinga a obtenu son bac

DS 0013

La jeune pépite du Stade Rennais Eduardo Camavinga est officiellement bachelier. Le milieu âgé de 17 ans est actuellement en stage à Dinard avec ses partenaires du Stade Rennais.

Eduardo Camavinga est officiellement bachelier. Le milieu du Stade Rennais a pu voir son nom sur les listes des admis, alors que les résultats sont tombés ce mardi. Alors qu’il aura 18 ans en novembre prochain, le voici désormais titulaire d’un bac économique et sociale.

Le joueur a fêté cette nouvelle dans le car, avec ses coéquipiers. Actuellement à Dinard pour un stage, il prépare activement la saison avec le club breton, dans lequel il va, selon son président Nicolas Holveck, rester la saison prochaine. Courtisé par de nombreuses équipes, dont le Real Madrid, il avait affirmé, dans un entretien donné à Ouest-France , qu’il se sentait bien à Rennes. Il pourrait donc découvrir la Ligue des champions avec le SRFC à l’automne prochain.

Nicolas Holveck : "Des pertes (liées au Covid) de l’ordre de 20 millions d’euros"

DS 0006

Invité de l’émission Pleine Lucarne ce mercredi 1er juillet, Nicolas Holveck n’a esquivé aucune question. Le président du Stade Rennais chiffre les pertes financières, liées au Covid-19, à 20 millions d’euros. S’il dit se préparer à en subir de nouvelles la saison prochaine, il ne cache pas que les signes sont plus positifs qu’ils n’étaient imaginés. Avec des partenaires au rendez-vous, déjà plus de 5 000 abonnés et un fonctionnement interne qui lui correspond.

Nicolas Holveck n’a esquivé aucune question. Sa fonction présidentielle, la nouvelle organisation aux commandes, le Roazhon Park, la réalité du marché des transferts, qui sera fermé en France du 10 juillet au 10 août, la stratégie du recrutement… Sur le plateau de Pleine Lucarne, l’émission réalisée en partenariat avec Ouest-France et TV Rennes, le président du Stade Rennais a joué franc jeu, laissant par ailleurs entendre que la crise du Covid-19 a généré des pertes de chiffre d’affaires estimées à 20 millions d’euros et qu’il se prépare à en subir de nouvelles la saison prochaine. L’ancien directeur général adjoint de l’AS Monaco se dit toutefois confiant et optimiste quant à la dynamique du club, structuré, ambitieux et attractif.

Le nouveau maillot sera présenté le 16 juillet, Nicolas Holveck entretient le mystère

DS 0005

Le maillot domicile du Stade Rennais pour la saison 2020-2021 sera dévoilé le jeudi 16 juillet prochain, date à laquelle les Rouge et Noir accueillent Châteauroux en match amical. Sur le plateau de Pleine Lucarne, le président Nicolas Holveck s’est fendu d’un indice autour de sa conception. « Il fera référence à une personne qui a marqué l’histoire de Rennes et du Stade Rennais », a-t-il dévoilé.

Il est chaque année attendu par les supporters du Stade Rennais. Souvent présenté lors de la dernière journée de championnat au Roazhon Park. Contexte oblige, avec une fin de saison brutale après une dernière victoire sous forme de démonstration face à Montpellier (5-0) le 8 mars dernier, le nouveau maillot (2020-2021) ne sera présenté que le jeudi 16 juillet prochain, date à laquelle les Rouge et Noir accueillent Châteauroux à la Piverdière à l’occasion d’un match amical.

Sur le plateau de l’émission Pleine Lucarne, dont il était l’invité ce mercredi, le président Nicolas Holveck s’est fendu d’un indice quant à la tenue domicile. « Il fera référence à une personne qui a marqué l’histoire de Rennes et du Stade Rennais », a-t-il laissé entendre. Une révélation qui entretient le mystère et qui alimente la curiosité des supporters. Quant au troisième maillot et celui extérieur ? « La suite plus tard… Il faut être un petit peu patient », a conclu Nicolas Holveck.

Le Stade Rennais va bien rester à la Piverdière

DS 0004

Le président du Stade Rennais Nicolas Holveck a confirmé, ce mercredi 1er juillet 2020, que le club gardera son centre d’entraînement à la Piverdière et le réaménagera complètement, théoriquement fin 2021.

Invité de l’émission Pleine Lucarne, réalisée en partenariat entre Ouest-France et TV Rennes, le nouveau président du Stade Rennais Nicolas Holveck (49 ans) a évoqué, ce mercredi 1er juillet 2020, le centre d’entraînement et livré une information conséquente : Le projet Piverdière 2 a été relancé, on va bientôt lancer le concours d’architectes. Le projet est complètement sur les rails, avec des objectifs assez importants puisqu’on va regrouper tous les sites. Le centre de formation sera la priorité et va venir à la Piverdière. On veut conserver surtout l’esprit du site, avec beaucoup d’espaces verts.

Un projet à destination des Rennais
Alors que certains sont inquiets d’une bétonnisation du site – une pétition a même été lancée – Nicolas Holveck s’est voulu rassurant : « Ce n’est pas du tout l’objet. Vous pouvez faire confiance à l’actionnaire pour avoir un projet qui se fond complètement dans l’environnement, un projet qui soit à destination aussi des Rennais, qui deviennent peut-être un lieu où les Rennais pourraient venir le week-end pour faire un peu d’activité physique. Ce sera un lieu qui sera fermé, bien sûr, sur sa partie centrale, mais ouvert en périphérie. Les gens auront l’impression de rentrer un peu dans le saint du Stade Rennais.

"Plus question de quitter la métropole, comme cela avait été envisagé un temps par Olivier Létang, à l’origine d’une vive polémique ? Non, le projet est à la Piverdière. L’objectif serait de commencer les travaux en fin d’année prochaine sur deux ans à deux ans et demi de travaux.La partie actuelle des bureaux serait détruite et reconstruite pour avoir l’hébergement, la restauration et l’école. Les bureaux seraient hébergés dans un nouveau bâtiment. On passerait de 12 hectares à 20 hectares, soit 8 de plus. Avec des terrains en plus. C’est un site fantastique, exceptionnel. Et l’on conservera le chemin qui traverse la Piverdière de part et d’autre, les gens auront vraiment l’impression d’être dans le centre de performance du Stade Rennais. » Et le boss des Rouge et Noir d’ajouter : « J’ai eu la chance de faire une visioconférence avec Nathalie Appéré pendant le confinement et on doit se voir la semaine prochaine, normalement."

À Rennes, l'objectif est d'avoir "une équipe féminine, et vite" selon Holveck

DS 0003

Invité de l'émission "Pleine Lucarne" sur TV Rennes, le président du Stade Rennais Nicolas Holveck a affirmé que la création d'une équipe féminine était un objectif pour le club breton.

Le Stade Rennais va désormais avoir sa section féminine ! "Je peux vous dire que, dans le projet de la Piverdière (le centre d'entraînement du Stade Rennais, ndlr), la place est réservée pour le football féminin" a déclaré le président du Stade Rennais dans l'émission "Pleine lucarne" sur TV Rennes. "C'est un sujet de réflexion important au club en ce moment. On va sûrement commencer par l'école de foot parce que c'est la base de la pyramide. On réfléchit justement à créer une école de foot féminin et nos missions, à terme, c'est d'avoir une équipe féminine, et vite. Je ne sais pas si on ira vers la première division. En tout cas, on va créer ce département féminin et on va le développer."

Le délai encore un peu flou
Interrogé sur le délai "de 4/5 ans", pour la mise en place d'une telle équipe féminine, M. Holveck a répondu qu'à la Piverdière "il faudra bien qu'on occupe l'emplacement qui est réservé pour l'équipe féminine. Donc, je pense que peut-être, même à plus court terme, on aura créé la section. Ce sont des choses qui se construisent dans le temps et qui ne sont pas si simples que ça à établir", a-t-il complété, en référence au fait que le club ne dispose pas encore d'une telle équipe.

Interrogé sur le fait qu'une équipe féminine puisse devenir obligatoire pour les clubs professionnels, M. Holveck a répondu : "C'était une question il y a quatre ou cinq ans, mais vous ne pouvez pas imposer à un club d'avoir une section féminine. Je pense même que ce serait mal venu d'imposer une section féminine. Ça doit être une volonté, ça doit être un souhait des clubs. Mais aujourd'hui je crois que, pour tout le développement des clubs professionnels, le football féminin est vraiment un élément important. Il y a une dimension sociale très forte. Et pourquoi les petites filles ne viendraient pas jouer au foot au Stade Rennais, avec demain une équipe élite au sein du club ? C'est l'avenir", a-t-il affirmé.

On ne peut pas cracher sur le maillot

Après la piteuse élimination du Stade Rennais à Troyes, en 16es de finale de Coupe de France (1-0), le président a souhaité prendre la parole, en exclusivité pour Ouest-France.

On ne peut pas cracher sur le maillot

Arnaud Pouille a livré sa façon de penser, conscient de la situation préoccupante dans laquelle se trouve le club. Il a aussi eu des mots forts devant les joueurs ce jeudi 16 janvier, et annonce des sanctions à venir à l’encontre de certains d’entre eux.

Arnaud Pouille a préféré laisser passer 24 heures avant de s’exprimer face à la presse. Le président du Stade Rennais n’a pas du tout goûté la piteuse élimination en Coupe de France, mercredi 15 janvier à Troyes (1-0). Au retour à la Piverdière ce jeudi, et après avoir échangé avec le directeur sportif Frederic Massara et l’entraîneur Jorge Sampaoli, il a pris la parole devant les joueurs. L’occasion de leur dire sa façon de penser et de tirer la sonnette d’alarme.

Puis, en fin d’après-midi, il s’est posé en exclusivité pour Ouest-France. Dans son survêtement du club, les mains croisées, le regard noir. Et avec de nombreux messages à faire passer, alors que selon nos informations, 4 joueurs de l’effectif (Gallon, Santamaria, Gronbaek et Kamara) ont été priés de s’entraîner pour l’instant à l’écart du groupe…

Arnaud Pouille, qu’avez-vous dit aux joueurs après la défaite à Troyes ?

Hier soir (mercredi), contrairement à Auxerre où il y avait eu une première vague de honte et où l’émotion était restée dans le vestiaire, j’ai fait un point sur la situation avec Jorge (Sampaoli) et Frederic (Massara). On est dans une situation largement inacceptable, et il faut que l’on prenne le taureau par les cornes rapidement. On ne peut pas se satisfaire de ce que l’on voit.

Au-delà du résultat, il y a des choses qui se voient à l’œil nu. Il suffit de regarder les retours (défensifs) des joueurs parfois. Ou quand le ballon est au milieu de trois joueurs, il ne faut surtout pas le prendre et le laisser aux copains… Ce sont quand même des révélateurs d’une certaine distance par rapport à ce que doit être le Stade Rennais. Bien entendu, les résultats pèsent, mais c’est surtout le fait de voir un manque d’état d’esprit collectif, qui est la base du foot. Si vous ne courez pas, avec ou sans ballon, vous ne pouvez rien espérer.

Chaque saison est une aventure, mais celle-ci est vraiment merdique à l’heure actuelle

Ensuite, je sais que les médias et une partie des supporters le regrettent, mais mon mode opératoire, c’est de dire aux gens ce que je pense d’eux avant d’aller le dire publiquement. J’ai dit aux joueurs cet après-midi ce que j’avais à dire.

Je leur ai parlé après l’entraînement pour partager ce sentiment de honte, leur dire que c’était inacceptable. Que chaque saison était une aventure, mais que celle-ci était vraiment merdique à l’heure actuelle, et qu’ils devaient en avoir conscience. Mais ils ont de la chance dans leur métier, c’est qu’il y a toujours une occasion de se refaire. Là, c’est Brest samedi, et je leur ai dit ce que j’attendais comme état d’esprit.

Comment ce groupe a-t-il pu en arriver là ?

Déjà, personne ne fuit ses responsabilités. Il y a certainement une somme d’erreurs accumulées, le principal étant pour moi qu’il faut vite que tout le monde comprenne la situation : nous sommes dans un club qui va bientôt avoir 124 ans, il y a un maillot à porter, et il ne faut pas lui cracher dessus. Je pense que les joueurs ont compris cela, et nous aussi. Je leur ai dit que c’était l’heure de la discipline et de l’effort.

On va concentrer l’effort sur ceux qui ont envie de porter le projet, pas sur ceux qui n’en ont rien à faire de l’histoire du club. Il faut des gens investis, et malheureusement, on a constaté que certains le sont moins que d’autres. On ne peut plus se disperser sur des gens qui s’en fichent d’être là ou ailleurs. Ensuite, je leur ai rappelé que dans tous les contrats, qui sont plutôt bien faits ici, il y a une prime d’éthique associée à leurs salaires, et l’éthique est rattachée au respect du club et du maillot. Cela fait douze matches que je vois. Je ne dis pas que tout est à jeter, je trouve qu’une structure était revenue, mais il faut aller au-delà et faire beaucoup plus. Ce sont les joueurs qui peuvent retourner cela. Je peux aller crier toutes les semaines dans le vestiaire, Frederic peut leur passer la pommade, Jorge peut sauter les deux pieds sur la table à la mi-temps… Mais à un moment donné, c’est sur le terrain que cela doit transpirer.

Si les joueurs n’ont pas compris qu’il y a un état d’urgence…

Quand vous parlez de joueurs moins concernés, cela veut-il dire que certains seront sortis du groupe contre Brest, par exemple ?

Oui. Mais ils pourraient potentiellement être réintégrés (1)... Si les joueurs n’ont pas compris qu’il y a un état d’urgence, il faut qu’ils le comprennent vite. Cela veut dire être à l’heure, respecter les obligations du club. Il y a des droits, mais aussi pas mal de devoirs. Il faut vite rebrancher les fils et arrêter de croire que c’est le Club Med ! Sinon, le club dans son ensemble va vite être rattrapé par la réalité qui est celle de la compétition. Personne ne va nous faire de cadeau. La photo, c’est que l’on est éliminé piteusement en Coupe de France, et que l’on a 17 points à la moitié du championnat, ce qui est un rythme de relégable. À eux de faire démentir les tendances.

Quels messages vous ont fait passer les actionnaires ?

Un message de confiance et d’invitation à trouver des solutions… Ils sont investis sur trois générations, tout le monde peut imaginer leur sentiment. Ce sont aussi des bâtisseurs, qui savent que des cycles négatifs peuvent exister. On ne peut pas leur reprocher de tarder dans leurs prises de décisions. Beaucoup ont été prises ces derniers mois, mais il ne faut pas rajouter de l’instabilité à l’instabilité. Jorge est le coach, il fait partie du schéma de décision, et on ne prendra pas un joueur au mercato si cela ne rentre pas dans ses critères. Frederic fait aussi partie du schéma de décision, il connaît maintenant mieux que le club qu’à son arrivée, comprend mieux ce que le territoire attend du Stade Rennais. Les décisions sont prises à trois. Quand un club est dans un moment faible, on essaye de l’enfoncer : cela fait partie des circonstances à appréhender dans un système, cela existe partout, mais cela ne doit pas nous empêcher d’avancer.

Ces trois mois de présidence ont été difficiles…

On m’a toujours appelé à des moments difficiles, dans le rugby au Stade Français, à Lens qui était 19e de Ligue 2… Ce n’est pas une situation inconnue, et dans les clubs, il y a toujours un moment d’urgence. Là, on y est. Dans la compétition, il faut aussi avoir un peu peur. Le Stade Rennais est en L1 depuis 30 ans, avec un actionnaire solide qui investit, vous vous dites que cela va le faire, mais à un moment… Il faut que la prise de conscience soit générale dans le club, être très lucide. Il faut se serrer les coudes, faire les efforts, et avancer, ce que l’on n’a pas fait lors des derniers matches.

(1) Quatre joueurs vont s’entraîner à l’écart du groupe pour l’instant : Gronbaek, Kamara, Santamaria, Gallon, selon nos informations.

Massara sort la sulfateuse après l’élimination en Coupe de France

Après l’élimination du Stade rennais face à Troyes en coupe de France, Frédéric Massara a exprimé sa déception. Il a décrit la performance de l’équipe comme « vraiment honteuse », ajoutant qu’ils ne s’y attendaient pas du tout. Le directeur a néanmoins félicité Troyes pour sa victoire.

Massara sort la sulfateuse après l’élimination en Coupe de France

Réfléchissant aux prochaines étapes, Massara a souligné la nécessité de comprendre les raisons de ces performances décevantes. Il a insisté sur l’importance de se recentrer pour améliorer la situation et de reconnaître que, pour éviter la relégation, l’équipe doit se concentrer sur son sauvetage.

Il a aussi exprimé sa gratitude envers les supporters qui continuent de soutenir l’équipe malgré ses mauvais résultats. "Je veux les remercier, et les assurer qu’on va tout faire pour que cette équipe mette un peu plus d’âme sur le terrain, plus de cœur", a-t-il déclaré.

Interrogé sur la situation actuelle, Massara a reconnu que les résultats des dernières semaines étaient insatisfaisants. Il a insisté sur la nécessité pour les joueurs de se surpasser et de se remettre en question, soulignant que cela dépasse les systèmes de jeu ou les entraîneurs.

Pour lui, la clé du succès réside dans la capacité à remporter les duels sur le terrain. S’ils commençaient par exceller dans cet aspect, ils obtiendraient de meilleurs résultats. Le directeur sportif a mis l’accent sur l’importance d’une implication totale de la part des joueurs.

L’aube du désespoir pour Rennes

Contre le quinzième de Ligue 2, ce mercredi 15 janvier, Rennes a sombré en 16es de finale de coupe de France. Contre Troyes, elle a perdu sur le score de 1 à 0. Une défaite frustrante, scandaleuse et humiliante pour le club breton, qui poursuit son début d’année 2025 catastrophique avec un troisième revers consécutive.

L’aube du désespoir pour Rennes

Coach rennais, Jorge Sampaoli avait pourtant aligné un onze compétitif avec son trio offensif Amine Gouiri, Ludovic Blas et Seko Fofana. Mais dès les premières minutes, les Rennais semblaient dans le dur. La possession de balle était bien là, mais stérile. Elle offrait aux Troyens l’occasion de se réorganiser rapidement en défense à cinq et de miser sur des contres dangereux.

Dès la 15e minute, Rennes manquait la correctionnelle, après une faute de James à l’entrée de la surface, sanctionnée d’un simple coup franc. Les vagues troyennes devenaient toutefois de plus en plus menaçantes. À la 25e minute, Rafiki Saïd obtenait un penalty suite à une main de Leo Ostigard. Heureusement pour les Rouge et Noir, Saïd ratait complètement son tir.

Malgré ce premier avertissement, Rennes n’a jamais su accélérer ni concrétiser ses rares incursions offensives. Les frappes molles de Ludovic Blas ou les tentatives hors cadre de Seko Fofana et Amine Gouiri ont illustré le manque de tranchant des Bretons. À l’inverse, les Troyens, bien plus dangereux, imposaient leur rythme sur chaque contre et rendaient les Rennais fébriles jusqu’à la pause (0-0).

Au retour des vestiaires, Rennes semblait enfin vouloir réagir. Dès la 47e minute, Amine Gouiri touchait le poteau sur une combinaison avec Blas, laissant entrevoir un léger sursaut d’orgueil. Mais c’est finalement Troyes qui frappait en premier. À la 56e minute, Rafiki Saïd, servi par Paolo Gozzi, trouvait la faille après un beau mouvement côté droit. 1—0 pour Troyes.

Dès lors, Rennes a tenté de revenir au score, mais son manque de précision et de créativité dans les 30 derniers mètres était criant. Amine Gouiri avait une nouvelle occasion en or à la 75e minute, bien servi dans la profondeur par James, mais Nicolas Lemaître, le gardien troyen, remportait son duel. Ce fut le dernier moment de véritable danger pour l’ESTAC. Troyes aurait pu alourdir la marque en fin de match sur des contres bien menés, notamment par Ibrahim Traoré, mais les frappes ont manqué de justesse.

Peu importe, le mal était déjà fait : Rennes, sans âme ni efficacité, devait quitter prématurément la coupe. Cette défaite contre une équipe de Ligue 2 est un vrai camouflet pour le Stade rennais. Le club breton semble cette saison loin de son niveau habituel. Avec trois échecs en trois matchs en 2025, Rennes inquiète. Pire encore, cette élimination laisse le SRFC avec une seule compétition à jouer pour le reste de l’année : la Ligue 1. Le derby face à Brest, samedi au Roazhon Park, et le déplacement à Monaco la semaine suivante, s’annoncent cruciaux pour les hommes de Jorge Sampaoli. Ce samedi, le Stade rennais pourrait compter sur le jeune Kader Meïté (17 ans).

Les notes de Frédo : Samba 3, Ostigard 2, Hateboér 2, Truffert 2.5, Assignon 3, Matuisiwa 3, James 3, Blas 3, Fofana 2 Gouiri 4.

S.G.S.B.

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