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Une interdiction de stade et une amende de 800 euros ont notamment été requises, alors que le jugement a été mis en délibéré au 28 juin

Robert Françoise, père de Noah Françoise, était jugé au tribunal judiciaire de Rennes vendredi, après avoir agressé le directeur du centre de formation rennais Denis Arnaud.

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Le 23 avril dernier, après un match de N3 entre Rennes et Brest à la Piverdière, le père du jeune milieu rennais Noah Françoise, Robert, avait agressé le directeur du centre de formation rennais Denis Arnaud qui était venu le saluer. Des personnes avaient dû s'interposer pour les séparer.

Ce vendredi matin, l'affaire a été jugée au tribunal judiciaire de Rennes. Denis Arnaud, toujours marqué psychologiquement après avoir eu 15 jours d'incapacité de travail et une fracture costale, était absent, pas en mesure d'affronter la présence de Rober Françoise selon son avocat, maître Thierry Fillion, qui était aussi celui du Stade Rennais.

Robert Françoise reconnaît un acte "stupide et égoïste"
Robert Françoise a reconnu sa responsabilité dans un acte "stupide et égoïste", en contestant avoir porté des coups. Il a considéré que son fils, au fond, était la victime dans cette histoire, et la juge lui a rappelé qu'il s'agissait plutôt de Denis Arnaud. Robert Françoise a aussi exposé un rapport qui était préalablement conflictuel avec Denis Arnaud quant à la gestion de son fils. Selon lui, Denis Arnaud aurait voulu nuire à la carrière de Noah (18 ans), en suggérant à Landry Chauvin, le sélectionneur de l'équipe de France U19, de ne plus le prendre. Et en cachant à Bruno Genesio la situation du joueur, sous contrat pro jusqu'en 2024.

Maître Fillion a souligné que Denis Arnaud s'inscrivait en faux contre les allégations de son agresseur. L'avocat de l'UNECATEF, Didier Lacombe, a rappelé l'émoi que cette histoire a créé dans la profession, à une époque où les affaires concernant des comportements agressifs de parents sont légion. Le procureur a requis 800 euros d'amende, l'obligation d'un stage de citoyenneté dans un délai de six mois, l'interdiction de contact avec Denis Arnaud et une interdiction de pénétrer dans une enceinte sportive pendant un an. Le jugement a été mis en délibéré au 28 juin.

Le père d’un jeune du centre de formation jugé pour avoir agressé un dirigeant

En avril, le père de Noah Françoise avait frappé le directeur du centre de formation du Stade Rennais Football club Denis Arnaud, qui avait porté plainte

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La saison s’est terminée sur une fin heureuse. Menée 3-0 en première mi-temps, l’équipe réserve du Stade Rennais a signé une improbable victoire 7-4 lors de l’ultime journée de National 3, s’offrant un ticket pour monter en National 2. Un moment de bonheur pour l’ensemble des jeunes joueurs qui a permis d’oublier les tracas d’une saison pas comme les autres.

Le 28 avril, au soir d’une défaite face au Stade Brestois, le directeur du centre de formation du Stade Rennais Denis Arnaud avait été pris à partie par le père d’un joueur. Capitaine de la réserve, Noah Françoise avait vu son père frapper le dirigeant pour un motif encore flou. Certaines sources évoquent « la frustration » du père, qui n’acceptait pas que son fils ne soit pas plus intégré au groupe pro emmené par Bruno Genesio.

Le joueur désavoue l’acte de son père
Ce vendredi, le père du jeune joueur sera assis sur le banc des accusés dans la salle d’audience du tribunal correctionnel de Rennes, à la suite de la plainte du dirigeant et de son club. "Je condamne cet incident, indépendant de ma volonté et qui ne reflète absolument pas les valeurs auxquelles je crois et dans lesquels (sic) j’ai grandi", avait déclaré le joueur, désavouant son père. Il n’avait d’ailleurs pas été sanctionné et a poursuivi la saison avec la réserve, le brassard de capitaine toujours au bras. Les entraînements avaient cependant été annulés pendant plusieurs jours au centre de formation.

Pourquoi ce parent a-t-il usé d’un comportement si violent ? La question sera évoquée ce vendredi et viendra sans doute faire écho à la pression de plus en plus grande subie par certains dirigeants de la part des parents. "Si on vient pour entraîner des enfants ou former des joueurs dans un club pro ou entraîner des professionnels, ce n’est pas pour se faire molester au bord du terrain. Il y a d’autres moyens que la violence ou l’intolérance. Il y a une vraie réflexion à avoir. Pas que dans le foot", avait déclaré Bruno Genesio après l’incident.

Fougères piège le Stade Rennais

Grâce à un début de match tonitruant, Fougères a dominé les jeunes joueurs du Stade Rennais, ce samedi 19 février (4-3), pour mettre fin à une série de cinq matches sans victoire.
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Comme quoi le travail d’analyse porte ses fruits. Pierre-Yves David ne dira pas le contraire. « On avait vu à la vidéo leur début de match contre Plouzané. Dès l’instant qu’ils sont dans la difficulté, ils ont tendance à réciter les choses sans mettre l’intensité mentale suffisante. On a joué là-dessus et on l’a fait de belle manière. » Avec trois buts en 35 minutes…
 
Face à des Rennais amorphes, les Fougerais ne pouvaient pas rêver meilleure entame. Martin (3’), Dupas (4’) puis Gueye (35’) mettaient les locaux sur orbite. Sauf que la réduction du score de Do Marcolino, juste avant la pause, redonnait de l’allant aux Rouge et Noir (3-1, 44’). « On a essayé de s’adapter en deuxième mi-temps avec l’idée d’aller jouer chez eux, expliquait l’entraîneur du Stade Rennais, Pierre-Emmanuel Bourdeau. Mes joueurs ont probablement exagéré du jeu long mais malgré tout on a réussi à revenir. Après, on a été fragile derrière. »
 
Sans doute faisait-il référence à l’expulsion de Bonet, provoquant le penalty transformé de Matondo (4-2, 78’). Le but en toute fin de partie de Dédé Lhomme ne changeait rien à la donne (4-3, 85’). Les Fougerais venaient de mettre fin à une spirale de cinq matches sans victoire. « L’équipe a répondu présente, même si, par moments, tout n’a pas été simple dans certains secteurs », saluait Pierre-Yves David.
 
FOUGÈRES – STADE RENNAIS B : 4-3 (3-1)​.
 
Arbitre : M. Guéguen.
 
BUTS. Fougères : Martin (3’), Dupas (4’), Gueye (35’), I. Matondo (78’sp) ; Rennes : Do Marcolino (44’), Gasnier (68’), Dédé Lhomme (85’).
 
EXPULSION. Rennes : Bonet (78’).
 
FOUGÈRES : Hamelin, Irène, Guéguen, Masson, Emmanuel – Dupas, Mézange – Athéba (Duclos, 79’), Gueye (Mardelé, 83’), I. Matondo (Abrahamian, 83’) – Martin.
 
STADE RENNAIS B : Bonet – Eyoum (Banzuzi, 65’), Dédé Lhomme, Françoise, Nzete – T. Matondo, Nugent (Hesry, 78’) – Diakhaby, Gasnier, Thomelier (Luzein, 62’) – Do Marcolino.

N2, N3, R1, R2, R3, D1 : combien de montées et descentes cette saison ?

Combien de montées et de descentes y aura-t-il cette saison au sein des divisions amateurs de football ? Tout dépend du nombre de descentes de clubs bretons de N2 en N3… On vous explique.
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Pour les équipes de National 2, une seule montée en National et trois descentes en National 3 par groupe sont prévues. Mais ce sont précisément ces trois descentes qui influenceront tous les autres mouvements dans les championnats inférieurs, de façon pyramidale. Tout dépend si une, deux ou trois équipes bretonnes font partie de ces malheureux relégués. Explications.

1. Une relégation bretonne de N2
En National 3 tout comme en R1, l’accession au niveau supérieur est promise aux premiers de leur groupe tandis que la relégation concerne les trois derniers de chaque groupe.

En R2, neuf montées en R1 sont programmées, soit les six premiers de groupe et trois meilleurs deuxièmes. Les descentes en R3 concernent les trois derniers de chaque groupe de R2. Même principe concernant les accessions de R2 en R3 : les champions de chaque groupe (14) ainsi qu’un meilleur deuxième pour arriver à 15 montées. Trois descentes en D1 sont prévues.

Les montées de D1 en R3 sont au nombre de sept pour chacun des Districts 35, 56 et 29 tandis que le District 22 bénéficiera de six montées, pour un total de 27.

2. Deux descentes bretonnes de N2 : nombre de montées impactées
Aucun changement concernant le nombre d’accessions en N2 et N3 (trois). Par contre, le nombre de relégués de N3 en R1 passe à quatre tandis qu’il n’y aura plus neuf montées de R2 en R1, mais seulement huit.

Une montée en moins également de R3 en R2 (plus que 14), ce qui empêchera le meilleur deuxième d’accéder à l’étage supérieur. Même tarif pour le passage de la D1 à la R3 qui ne concernera plus que 26 heureux élus (une montée en moins pour le District 56). Les autres quotas ne changent pas.

3. Trois descentes bretonnes de N2 : nombre de montées et descentes impactées
Si le classement de N2 s’arrêtait ce jour, c’est ce cas de figure qui serait à retenir, Saint-Malo, Vitré et Plabennec étant relégables. Et cela aurait, encore une fois, des conséquences directes sur tous les championnats régionaux et départementaux, en plus de celles décrites dans le cas de figure 2. D’abord sur le nombre de descentes de N3 en R1 qui gonfle à cinq, sur 14 équipes, rappelons-le ! Les malheureux seront nombreux à la fin de la saison.

De facto, le nombre d’accessions de R2 en R1 diminue à sept (six premiers de groupe et seulement un meilleur deuxième). Seraient impactées également les descentes de R2 en R3 (de 18 à 19) puis, de nouveau, les montées de D1 en R3. Ces dernières s’aminciraient à 25 : six pour chacun des Districts 22, 56, 35 et sept pour le District 29.

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En cas d’augmentation du nombre de descentes ou de diminution du nombre de montées (cas de figure 2 et 3), les critères à prendre en compte, dans cet ordre, sont : les croisements entre équipes d’un même club, le nombre de points au classement final, le nombre de matchs de suspension en championnat, le nombre d’arbitres au club, le nombre d’éducateurs au club, le nombre de licenciés jeunes au club et enfin si le club dispose ou non d’un terrain classé 1/2/3/4.

La FFF a validé le protocole pour les compétitions Ligues et Districts

Alors que le premier tour de la coupe de France arrive rapidement, la FFF a envoyé ce matin le protocole pour les Ligues et les Districts.

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Alors que nous fustigions hier soir le fait que les clubs attendaient avec impatience le protocole pour les compétitions de Ligues et de Districts, qui était en cours de validation par la fédération Française de Football, celui-ci vient d’être envoyé aux centres de gestion comme l’a publié notre partenaire Foot-occitanie. Et certaines mesures vont sûrement soulager les clubs amateurs.

Concernant l’accueil du public, il est clairement indiqué que « Le contrôle du Pass Sanitaire doit se faire dans le cadre du nombre de personnes autorisées dans l’enceinte par l’AOP (arrêté d’ouverture au public) à la condition que le stade soit clôturé avec un accès réservé exclusivement à l‘accès des spectateurs venant assister à la rencontre de football (…) Si ce n’est pas le cas, l’accès du public ne sera pas soumis à la détention du Pass sanitaire. »

Pas de port du masque imposé par le protocole Ligues et Districts
Les nombreux stades avec de multiples entrées et sans clôtures ne seront donc pas concernés par le Pass sanitaire. ce qui va être un réel soulagement pour les clubs – notamment en milieu rural – qui n’avait pas la possibilité d’effectuer ces contrôles. L’autre différence avec le protocole des championnats nationaux, c’est le port du masque. « Les collectivités locales ou autorités préfectorales en fonction de la situation sanitaire locale peuvent être amenées à imposer le port du masque » est-il précisé. Mais les Ligues et Districts pourront l’imposer si elles le souhaitent.

Il est inutile de rappeler que tous les joueurs, membres de staff, arbitres et délégués sont soumis au Pass sanitaire pour chaque entraînement ou match comme le précise le protocole. « Chaque club désigne un Référent Covid dont la mission est de vérifier la bonne mise en œuvre de l’ensemble des dispositions du présent protocole et d’être l’interlocuteur privilégié des autorités et des instances sur ce sujet. Il est conseillé d’avoir une Equipe Covid. (…) Un membre de cette équipe Covid doit être présent à chaque entrainement ou match à domicile de son club afin de coordonner le contrôle d’accès sur le site, vérifier l’application et le respect sur le site des mesures sanitaires pendant toute la durée de la manifestation, rappeler les mesures en cas de constatation de non-respect et vérifier les Pass sanitaires pour tous les licenciés accédant au stade. »

Théo Collin (SAM Football) va poursuivre sa progression au Stade Rennais

Jeune gardien U15 du SAM Football, Théo Collin voit son parcours de formation prendre un nouveau virage avec cette signature

DS 0211Un jeune gardien va poursuivre sa formation à Rennes
Par le biais de sa page Facebook, le SAM Football a annoncé la signature de son jeune gardien (U15) Théo Collin au Stade Rennais. Pensionnaire du pôle espoirs de Talence, il est passé par l’ES Saintes avant d’effectuer sa première saison sous les couleurs de Mérignac. Son éducateur cette saison, Rémi Da Cunha, décrit son petit protégé : « Théo est un garçon souriant et travailleur, tre`s investi avec l’e´quipe depuis le de´but saison, il nous a impressionne´, le staff et moi, par ses parades magnifiques et son jeu au pied. C’est un re´gal de le voir jouer dans les buts chaque samedi avec nous. Nous avons maintenant ha^te de le revoir a` l’œuvre cette anne´e apre`s le confinement et pour finir cette saison particulie`re. Je tiens a` le fe´liciter, tout le me´rite lui revient. Cette signature re´compense son travail, en espe´rant que d’autres garc¸ons suivent le me^me chemin dans l’avenir. » confiait-il sur la page Facebook du club. Théo Collin a désormais tout pour continuer à progresser !

Critiquée, la TA Rennes arrête de s’entraîner

Via une dérogation de la mairie, la TA Rennes avait repris l’entraînement. La démarche ayant soulevé un vent de colère chez d’autres clubs de la poule, la TA a décidé de rétropédaler.
DS 0195"Stoppé après six journées, le championnat de National 3 ne devrait pas reprendre avant 2021, mais certains clubs ont retrouvé le chemin de l’entraînement, parmi lesquels les Bretilliens de l’AS Vitré et de la TA Rennes. Samedi, l’entraîneur taïste Jacques Lenormand expliquait, dans nos colonnes, la démarche, permise par une dérogation de la Ville.

"Des attaques mesquines"
Mais après deux séances seulement, la TA a décidé de faire machine arrière d’elle-même, comme le révèle le président Jacques Aubry : Dans un article paru dernièrement, Le Télégramme s’est fait le porte-parole de certains présidents de clubs de N3. Ceux-ci se sont plaints que la TA ait obtenu l’accord de la Ville de Rennes, dans le cadre de son soutien au haut niveau amateur de tous les sports collectifs, pour continuer les entraînements malgré le confinement, avec des conditions très strictes. Bien que déçus par ces attaques un peu mesquines, et face à l’incompréhension de ces présidents, nous avons pris la décision de ne plus reprendre les entraînements. Ce souci d’équité ne sera cependant que partiel, les réserves en N3 des clubs professionnels pouvant continuer à s’entraîner… La TA prend bonne note de ces réactions pour le moins décevantes.

La TA n’est pas un cas isolé
Conseiller municipal délégué aux sports à la mairie de Rennes, Frédéric Bourcier précise : Tout le monde fonce sur la TA, mais ce n’était pas du tout une approche exclusive de notre part. Nous avons mis à disposition nos installations pour neuf équipes : en hand le CPB (N1M et N2F), en basket l’URB (N1M) et l’Avenir (N2F), en volley le REC (Élite M et F), en rugby le REC (F1) et le Stade Rennais (Élite F). Nous avons un service des sports suffisamment structuré pour vérifier que les conditions sanitaires sont bien respectées dans l’utilisation de nos équipements. Les gymnases sont occupés toute la journée par les scolaires et les périscolaires. Nous sommes évidemment capables de reproduire ces bonnes conditions d’utilisation de 18 à 22 heures, pour l’entraînement de nos équipes élites.

La Fédération pourrait faire évoluer son texte
La directive de la Fédération française de football pour les entraînements soumet la reprise au nombre de contrats fédéraux. Or, la TA n’en compte aucun, voilà pourquoi un accord de la Ville lui a été nécessaire. Il existe un texte fédéral précis qui doit être appliqué, même s’il comporte une certaine iniquité puisque tous les clubs ne peuvent pas s’entraîner, relève Philippe Georges, directeur de la Ligue de Bretagne. Les communes ne font que prêter leurs installations. Ensuite, c’est la responsabilité des clubs. À la Ligue de Bretagne, on espère que la Fédération modifiera le texte pour qu’il convienne plus à l’ensemble des clubs qui disputent ce championnat.

Actuellement relégable, comme la TA Rennes, Fougères compte un seul contrat fédéral et n’a pas repris l’entraînement : Les instances doivent se positionner, lance l’entraîneur Pierre-Yves David, et la situation soulève la problématique de la solidarité de l’ensemble des clubs amateurs du même profil que l’AS Vitré, la TA Rennes, Fougères, Milizac, Plouzané… Il faut parler d’une seule voix, c’est à ce titre-là que nous afficherons de la solidarité. Lorsque sur un principe général, tu crées seul une exception, tu te mets en danger parce que tu t’exposes aux autres. Cela doit servir d’expérience.

L’ancien coach de Saint-Malo repousse le débat au-delà des frontières du sport : "Je comprends, s ur le fond, l’envie de s’entraîner. Mais sur la forme, qui sommes-nous pour nous permettre, en N3, d’aller nous entraîner par rapport à l’échelle de ce qui se passe autour de nous, des entreprises qui vont mal, des commerces plus que vacillants… En plus, il ne faut pas oublier qu’en Ille-et-Vilaine, avant le confinement, nous étions le seul département breton soumis au couvre-feu.

À la Fédération de reprendre la parole, mais surtout, vivement que le ballon s’exprime à nouveau.

Les clubs de foot amateur rendent les armes

C’est un fait que tout fan de football aura constaté : des milliers de clubs amateurs qui existaient jadis, ont rendu les armes, pour de multiples raisons. Parmi elles, les nombreuses taxes qu’ils doivent verser aux instances du monde du football.
DS 0192Les clubs de football amateur ont du mal à joindre les deux bouts. Financièrement, il est même de plus en plus compliqué de tenir un budget. "Nous sommes sans arrêt prélevés", peste ce trésorier bénévole depuis 30 ans.

L’année dernière (footbalistiquement parlant), sur une saison qui s’est arrêtée prématurément en raison du Covid, son association a présenté un exercice comptable d’environ 50 000 €. 20 % de la somme (10 000 €) est partie dans les caisses des instances du football. "Cela devient de plus en plus dur à gérer entre les frais d’arbitrage, les frais d’inscriptions, la quote-part sur les licences (19,60 € en Ligue de Bretagne)… Il existe même une taxe lorsque l’on joue chez nous. Jouer à domicile, c’est perdre de l’argent."

"Racket organisé"
Et puis il y a les amendes, qui peuvent paraître absurdes lorsque vous êtes bénévoles. "Si vous n’avez pas assez d’arbitres, c’est 1 500 € la deuxième année par exemple. Si vous manquez une assemblée générale, c’est 40 €…" Eric Thomas, président de l’Association française du football amateur, une structure indépendante de la FFF, n’hésite pas à parler de "racket organisé. Vous avez, d’un côté, une fédération, des ligues et des districts qui vivent très bien. Et de l’autre, des clubs amateurs qui coulent."

Un rapport de la cour des comptes, sur les exercices 2011-2015, pointe un excédant de trésorerie dans les ligues et les districts. Elle conseille même à la FFF de mettre en place des mesures "pour les inciter à utiliser davantage leurs ressources disponibles pour financer le développement du football amateur".

85 millions pour le foot amateur
Pierre Samsonoff, directeur de la Ligue du football amateur à la FFF, parle-lui d’une gestion prudente et saine de l’activité. "Lorsque l’on voit ce qu’il se passe avec le Covid, on ne peut pas faire face à ces charges et aider les clubs sans cette réserve financière. Les réserves financières ont permis aux ligues et au district d’offrir les droits d’engagement cette saison. C’est une action assez significative."

Pas de quoi rassurer le trésorier du club, qui, hormis l’opération deuxième étoile organisée après la victoire française lors de la coupe du monde 2018, ne se souvient pas avoir bénéficié d’une aide financière de sa ligue. "Lors de la saison 2019-2020, la Fédération a pourtant consacré 85 millions d’euros au football amateur (sur un budget de 250)", assure Pierre Samsonoff.

Les clubs de National 3 révoltés contre l’exception rennaise

Alors qu’elle ne dispose d’aucun contrat fédéral, la TA Rennes, en N3, a été autorisée à s’entraîner grâce à une dérogation accordée par la ville de Rennes. Les présidents des autres clubs de la poule crient à l’iniquité.
DS 0185La nouvelle a fait grand bruit dans le Landerneau du foot breton. Alors qu’il ne dispose d’aucun contrat fédéral, le club bretillien de la TA Rennes, en N3, a été autorisé, en plein confinement, à s’entraîner grâce à une dérogation accordée par la ville de Rennes. "Nous n’avons aucun commentaire à faire", a-t-on répondu du côté de la Ligue. Pourtant, cette décision a généré une profonde incompréhension au sein des autres clubs de la poule, les dirigeants y voyant une profonde iniquité.

Bernard Ségalen (président de Milizac) : "Soit tout le monde, soit personne"
"La question que je me pose est la suivante : pourquoi certains, pourquoi pas nous ?, regrette Bernard Ségalen, le président de Milizac. Je n’irai pas contre les décisions gouvernementales, mais là, des équipes peuvent s’entraîner et il risque d’y avoir un écart physique important lors de la reprise. Attention, je ne jette pas la pierre à la TA, mais j’ai du mal à comprendre ces incohérences alors que Rennes est toujours en zone rouge. C’est soit tout le monde, soit personne".

Un point de vue partagé par l’ensemble de ses homologues. "On doit avoir les mêmes règles, tempête Jérôme Prévost, le président de la GSI Pontivy. Nous n’avons pas fait de demande à la mairie. Comme beaucoup de clubs, même si on trouve cela dommage, on respecte le confinement".
"Vu que plusieurs équipes comme la TA Rennes et les réserves auront plus d’entraînements que nous au moment de la reprise, on en arrive à un championnat complètement biaisé", poursuit Steven Le Plénier, du Stade Pontivyen.

Si ce sentiment fait l’unanimité au sein des clubs dans l’impossibilité de s’entraîner et que plusieurs présidents se sont appelés, aucune action commune n’est pour le moment envisagée. "J’espère seulement que la Fédération et la Ligue nous laisseront un mois entre la reprise des entraînements et le retour à la compétition", glisse Philippe Cousyn, le président lannionnais. Un avis partagé par Guillaume Allanou, qui mise sur une reprise de l’entraînement entre le 15 et le 20 décembre, suivie d’une reprise du N3 mi-janvier. "Cela nous laisserait le temps de refaire une préparation physique de trois-quatre semaines a minima", espère l’entraîneur de la réserve briochine, dont les joueurs n’ont pas non plus le droit de s’entraîner.

D’autres dérogations à venir ?
La décision de la maire de Rennes, proche de Jacques Aubry, le président de la TA, dont le nom était sur sa liste électorale lors des dernières municipales, pourrait-elle créer une brèche ? "On a fait une demande à la mairie de Locminé, reconnaît Hervé Laudic, le président de la Saint-Co. On attend de voir si le maire peut prendre un arrêté nous autorisant à reprendre dans des conditions claires. L’autre point important que je mets en avant, c’est que l’on est encore qualifié en Coupe de France et on risque de reprendre plus tôt que le championnat de N3… Mais on ne connaît pas encore le calendrier qui sera fixé par la Fédération. J’attends de voir".

Même son de cloche du côté de Dinan-Léhon : "Le maire adjoint de Dinan rencontre le préfet des Côtes-d’Armor, mercredi, détaille Serge Lefort, le président du DLFC. Je lui ai demandé de poser la question : pourquoi n’a-t-on pas le droit de s’entraîner alors que la TA, qui est dans le même groupe et qui n’a pas de contrats fédéraux, en a la possibilité ?" Seule certitude pour l’heure, la dérogation accordée à la TA Rennes n’a pas fini de faire du bruit…

Rennes fait tomber un record au 21e siècle

Le Stade Rennais, vainqueur de la Coupe Gambardella 2025 face à Dijon (3-2), a fait tomber un record au 21e siècle.

Rennes fait tomber un record au 21e siècle

Il ne fallait pas arriver en retard, du côté du Stade de France. Ce samedi après-midi, le Stade Rennais affrontait effectivement Dijon dans le cadre de la finale de la Coupe Gambardella. Une étape historique pour le club bourguignon, qui a rapidement pris l’eau avant de revenir à deux buts partout. Finalement, le club breton s’est imposé sur le score de trois buts à deux au terme du temps réglementaire, soulevant la petite soeur de la Coupe de France pour la première fois depuis 2008. Son quatrième succès dans la compétition.

Une ouverture du score express
Dès la 64ème seconde de jeu, le Stade Rennais est parvenu à ouvrir le score sur une réalisation de Lucas Rosier. En trouvant le chemin des filets aussi rapidement, le jeune prodige du SRFC est devenu le buteur le plus rapide du 21ème siècle en finale de la Coupe Gambardella. De quoi donc se présenter aux yeux de la France, lui qui a ensuite offert une passe décisive à Mervin Gbeme à la demi-heure de jeu.

Rennes couronné après sa victoire face à Dijon

Le Stade Rennais affrontait Dijon, ce samedi 24 mai, en finale de la Coupe Gambardella, avec l’ambition de décrocher un quatrième trophée dans la compétition.

Rennes couronné après sa victoire face à Dijon

Face à un adversaire encore novice à ce stade, et après avoir éliminé des formations réputées comme Monaco, Nice ou Auxerre, les jeunes Rennais semblaient bien armés pour s’imposer. Et ce fut le cas cet après-midi, malgré un match plus agité que prévu. La rencontre s’est ainsi rapidement emballée.

Rennes a ouvert le score dès la 2e minute grâce à Rosier (0-1). À la 28e, Gbemé a doublé la mise, complètement esseulé dans la surface (0-2). Cependant, Dijon a réduit l’écart juste avant la pause, à la 45e minute, par l’intermédiaire de Mimoune (2-1). Au retour des vestiaires, Dijon a su relever la tête : Doucouré a égalisé à la 63e minute en reprenant un service en profondeur de Mimoune (2-2). Dans les ultimes instants de la rencontre, Meïté a inscrit le but de la victoire rennaise, en trompant le gardien à bout portant (89e, 2-3). Au terme d’un match intense, Rennes repart donc avec le trophée.

Le Stade Rennais remporte la 4ème Coupe Gambardella de son histoire

Ils l’ont fait ! Les jeunes du Stade Rennais ont remporté la Coupe Gambardella, ce samedi 24 mai, en s’imposant contre Dijon en finale au Stade de France (3-2). C’est la quatrième de l’histoire du club breton.

Le Stade Rennais remporte la 4ème Coupe Gambardella de son histoire

Ils l’ont fait ! Les jeunes du Stade Rennais ont inscrit leurs noms au palmarès de la Coupe Gambardella, la quatrième de l’histoire du club après les trois premières en 1973, 2003 et 2008, des générations Arribart, Briand puis Pajot.

Cette fois-ci, la génération née 2007 menée par le coach William Stanger, qui avait remporté le trophée en tant que joueur en 2003, sont allés chercher le titre contre Dijon (3-2).

Les Bretons ont joué à se faire peur
Les jeunes Rennais ont su saisir l’opportunité en or face à un adversaire inexpérimenté : les Dijonnais n’ayant jamais atteint la finale de la compétition avant cette année.

Mais tout n’a pas été si facile. Les Bretons étaient parfaitement rentrés dans la partie en prenant rapidement l’avantage par l’intermédiaire de Rosier (1-0, 2'). Puis Gbeme avait fait le break (28'). Puis ils ont joué à se faire peur.

Les Dijonnais ont réduit l’écart par l’intermédiaire de Mimoune (2-1, 45'). L’excellent n° 10 dijonnais avait même délivré une passe décisive à Doucouré (63') qui ne s’était pas fait prier pour égaliser et redonner espoir aux siens. Mais c’est finalement Meité qui a délivré les Rennais leur offrant un quatrième titre en autant de participations en finale de cette compétition.

Le Stade Rennais vise un quatrième trophée

Opposés à Dijon ce samedi (17h15) au Stade de France en finale de la Coupe Gambardella, les jeunes du Stade Rennais vont tenter de remporter un titre qui échappe aux Bretons depuis 2008. Une victoire viendrait conclure une saison où seul le centre de formation a crevé l'écran et a été à la hauteur des ambitions du club.
Le Stade Rennais vise un quatrième trophée

Qui succédera à l'Olympique de Marseille au palmarès de la Gambardella ? La grande finale opposera le Stade Rennais à Dijon ce samedi, avec un coup d'envoi à 17h15 au Stade de France en lever de rideau de la finale de la Coupe de France entre Reims et le PSG. Pour les jeunes Bourguignons, ce sera un baptême du feu. C'est la première fois que Dijon se hisse à ce stade de la compétition. Le meilleur parcours était jusque-là un quart de finale.

Face à eux, le Stade Rennais tentera d'aller chercher un quatrième titre après ceux gagnés en 1973 (génération Pierrick Hiard, Jean-Luc Arribard, Christian Gourcuff...), 2003 (Bourillon, Mvuemba, Gourcuff, Briand...) et 2008 (Mvila, Brahimi, Le Tallec...). Ces 17 ans d'attente sonnent comme une anomalie pour le club formateur rouge et noir classé numéro un en France et à la réputation flatteuse en Europe.

"Retrouver le titre, ça fait partie du projet qu'on a mis en place depuis cinq ans", précise Denis Arnaud, le directeur du centre depuis janvier 2020. "On a fait depuis deux demi-finales (2022, 2023) et un quart de finale (2024). On espère cette fois soulever le trophée. Ce serait une belle récompense de l'investissement des éducateurs dans le projet mis en place avec exigence et que tout le monde porte."

L'entraîneur Stanger pour un doublé joueur-entraîneur
William Stanger en est un parfait exemple. Formé à Rennes, l'ancien milieu de terrain faisait partie comme joueur de l'équipe vainqueure en 2003. Entraîneur des U19 cette saison, à 40 ans, il pourrait récidiver comme coach. Cette finale au Stade de France est forcément particulière. "Y retourner me fait évidemment remonter des souvenirs", avoue-t-il. "Je me souviens d'images comme le parcours jusqu'au stade, de l'escorte autour du bus. Mais le souvenir qui me marque, c'est quand tu marches dans le tunnel jusqu'à la pelouse. Il est long et large et tu arrives dans cette grande cuvette ! Wow ! Tu te sens tout petit. Tu te dis je suis un petit garçon au milieu de tout çà", sourit-il.

Stanger compte évidemment se servir de son expérience pour préparer au mieux ses jeunes joueurs "même si l'émotion de l'avoir gagnée est difficile à transmettre mais je tente de leur donner le maximum d'infos pour qu'ils gagnent du temps dans la préparation d'avant-match et qu'ils comprennent que l'émotion vécue dans leur parcours jusque-là sera décuplée et encore plus intense en gagnant cette finale au Stade de France". Le message est-il passé ? Le jeune milieu de terrain Joel Coulibaly se dit prêt. "Il y a plus d'excitation que d'appréhension. On essaie de maîtriser nos émotions. On se sent bien. Tout le monde rêve de jouer au Stade de France. C'est mythique. Aller chercher un titre à seulement 17-18 ans, c'est exceptionnel. Ma carrière vient de commencer mais ce serait pas mal de débuter par ça."

Une année faste pour l'Académie bretonne
Un titre en Gambardella pour le Stade Rennais viendrait aussi clôturer une année faste pour l'Académie bretonne sur les terrains et en dehors à l'opposé de la saison manquée de l'équipe professionnelle. Ces derniers mois, les papiers élogieux se sont multipliés dans la presse sur la formation à la rennaise. Ousmane Dembélé candidat au Ballon d'or, la nouvelle dimension de Désiré Doué avec le PSG, sa sélection en équipe de France... À une moindre échelle, l'éclosion de Djaoui Cissé, Jérémy Jacquet et Kader Meité avec l'équipe première... La période est dorée.

"On sort des jeunes quasiment tous les ans qui évoluent au Roazhon Park ou ailleurs et qui jouent la Ligue des champions. Si on ajoutait à cela des titres, ce serait oui la petite cerise sur le gâteau", espère William Stanger. "Ce serait une réussite collective et une victoire collective pour toute l'Académie."

Meité, Coulibaly, Rosier, Akabou... quel futur grand ?
Avec peut-être dans cette équipe rennaise de futurs grands talents ? L'équipe de Gambardella de la saison 2002-2023 battue en demi-finale aux tirs aux buts par Caen était de ce point de vue exceptionnelle avec dans ces rangs Jeanuel Belocian, Jérémy Jacquet, Lesley Ugochukwu, Djaoui Cissé, Mathys Tel et Désiré Doué. Cette année, quatre jeunes de l'équipe ont pour le moment signé un contrat pro, notamment Kader Meité qui portera l'attaque bretonne au Stade de France fort de ses 12 matchs de Ligue 1 cette saison dont cinq titularisations et deux buts. Habib Beye ne tarit pas d'éloges sur lui et le grand attaquant de 17 ans fera partie intégrante de l'effectif professionnel la saison prochaine. Le milieu de terrain Joel Coulibaly, l'ailier Lucas Rosier et le gardien Ayoub Akabou tapent à la porte et espèrent suivre la voie.

Qui sera le prochain grand ? "Je n'ai pas de noms à donner", botte en touche Denis Arnaud. "On voit actuellement que Kader Meité est en train d'arriver. Il y a d'autres jeunes de la génération 2007, 2008 et 2009 qui vont suivre mais il n'y a pas d'urgence. Il faut respecter les timings de chacun. L'important, c'est que quand ils intègrent le groupe professionnel, ils n'en sortent pas. Je peux assurer qu'il y a un vivier intéressant pour les années à venir", assure-t-il.

En attendant, il y a une finale à gagner et donner un peu de baume au cœur aux supporteurs rennais. Lors du dernier match de la saison à domicile le 10 mai face à Nice, le kop rennais avait donné le ton dans une succession de banderole: "Une saison historiquement à chier", pouvait-on lire, puis "Génération Gambardella: c'est vous qui faites honneur au blason cette saison, allez la chercher".

La finale de la Coupe Gambardella opposera Rennes à Dijon le 24 mai au Stade de France

Rennes, vainqueur d'Auxerre aux tirs au but (0-0, 3-2 aux t.a.b.), et Dijon, qui a disposé de Nantes au bout du même exercice (1-1, 3-2 aux t.a.b.), se défieront en finale de la Coupe Gambardella, celle des U18, le 24 mai au Stade de France.
La finale de la Coupe Gambardella opposera Rennes à Dijon le 24 mai au Stade de France

Le 24 mai, en lever de rideau de la finale de Coupe de France PSG-Reims, la finale de la Coupe Gambardella 2025 opposera Rennes à Dijon. Les Bretons ou les Bourguignons auront l'occasion de succéder à l'Olympique de Marseille, lauréat de l'édition 2024.

À Dijon, les Canaris ont ouvert le score à la suite d'un corner, par l'intermédiaire d'Alexandre Conti (1-0, 5e). Ils ont ensuite dominé leur sujet sur la pelouse du stade Gaston-Gérard, mais les Bourguignons ont égalisé grâce à Faiss Mahamat Bindi, bien servi par Loic Lagnon en contre-attaque (1-1, 57e). Les deux formations ont donc dû patienter jusqu'à la séance de tirs au but, et à ce petit jeu, les locaux ont été les moins maladroits, avec 3 tentatives manquées, contre 4 pour les Nantais. Les supporters ont ensuite laissé exploser leur joie en envahissant le terrain.

Le parcours de Dijon

  • 1er tour : Dijon-CERDA FC (Guadeloupe) 1-0
  • 32es : Mulhouse-Dijon 0-2
    16es : Dijon-Montpellier 2-1
  • 8es : Le Poiré-sur-Vie-Dijon 0-3
  • Quarts : Bastia-Dijon 1-2
  • Demies : Dijon-Nantes 1-1, 3-2 t.a.b.

À Auxerre, aucun but n'a été inscrit dans le temps réglementaire. Les Rennais ont manqué un penalty à la 51e, par Mohamed Kader Meïté. Buteur contre Nantes vendredi en Ligue 1 (2-1), l'attaquant de 17 ans a tiré en plein milieu et le portier de l'AJA Victor Moinet a pu se saisir du ballon facilement. Les Icaunais ont poussé dans la foulée, sans toutefois parvenir à trouver la faille. Les deux équipes se sont départagées aux tirs au but et les Rennais ont pris le dessus grâce notamment à leur gardien Ayoub Akabou, auteur de 3 arrêts.

Le parcours de Rennes

  • 1er tour : Saint-Brieuc-Rennes 0-0, 4-5 t.a.b.
  • 32es : Laval-Rennes 2-3
  • 16es : Rennes-Guingamp 3-1
  • 8es : Rennes-Monaco 3-2
  • Quarts : Rennes-Nice 1-1, 4-2 t.a.b.
  • Demies : Auxerre-Rennes 0-0, 2-3 t.a.b.

Le Stade Rennais s'impose à Auxerre et affrontera Dijon en finale au Stade de France

Devant plus de 3.000 spectateurs à l'Abbé-Deschamps, le Stade Rennais s'est imposé aux tirs au but face à Auxerre ce dimanche en demi-finale de Coupe Gambardella. Les jeunes Rouge et Noir peuvent remercier leur gardien Ayoube Akabou, auteur de trois arrêts décisif. Ils iront au Stade de France.

Le Stade Rennais s'impose à Auxerre et affrontera Dijon en finale au Stade de France

Immense Ayoube Akabou ! Pour sa 3e demi-finale de Coupe Gambardella en quatre ans, le Stade Rennais a souffert à Auxerre, dans un Stade de l'Abbé-Deschamps où un peu plus de 3.000 spectateurs s'étaient réunis ce dimanche après-midi. Mais grâce à son gardien d'1,95m, immense par la taille et dans sa performance lors des 90 minutes, il a été auteur de trois arrêts aux tirs au but. Le Stade Rennais ira au Stade de France pour sa première finale de Coupe Gambardella depuis 2008. Auteur du but de la victoire vendredi dans le derby face à Nantes avec les professionnels, Kader Meïté aura lui pesé dans le jeu, mais son penalty complètement manqué à la 52e minute aurait pu couter cher aux hommes de William Stanger.

Après deux échecs dans l'exercice des tirs au but au même stade de la compétition en 2022 et 2023, les jeunes Rouge et Noir ont cette fois été les plus forts grâce à leur gardien. Rennes affrontera Dijon le 24 mai en finale au Stade de France.

Tirs au but :

Auxerre : Devernois (v), Muzungu (v), Vandenbossche (x), Jabateh (x), Seha (x)
Rennes : Dongopandji (v), Chebbi (v), Mvodo (x), Rosier (v)

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