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Même dans la vie, j’adore faire plaisir aux autres

Grâce à un doublé contre Lens et un but et une passe décisive au Havre, Romain Del Castillo est le tube de l’été en Ligue 1. Talent trop souvent bridé par les blessures ou la concurrence dans ses différents clubs, le gaucher a trouvé ses marques à Brest. Entretien avec un crack qui n’oubliera jamais ses entraînements avec Farès Bahlouli.

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Comment expliques-tu l’excellent début de saison brestois ?

Après notre entame ratée l’an dernier, on avait à cœur de bien mieux démarrer. Le groupe se connaît depuis plusieurs années, donc ça a facilité le travail cet été. Certains clubs accumulent les transferts et il y a un temps d’adaptation obligatoire au début de saison. Ici, ce n’est pas le cas. On a peut-être besoin de recrues, mais je préfère conserver la colonne vertébrale. Même si Franck Honorat, Haris Belkebla et Jean-Kévin Duverne sont partis, le fait d’avoir la même ossature chaque année permet d’éviter un retard à l’allumage.

Éric Roy n’avait plus entraîné depuis plus de dix ans avant d’arriver à Brest. Est-ce que ça s’est ressenti ?

Non, pas du tout ! Je suis sûr qu’il a beaucoup travaillé avant de venir, pour être prêt dès le départ. Il est arrivé tranquillement, sans faire de fracas, il a pris ses marques, et tout s’est fait naturellement.

Qu’est-ce qu’il a apporté à un groupe alors dans la zone rouge ?

Beaucoup de confiance, et on en manquait énormément ! On avait de très bons joueurs, mais qui n’étaient pas assez en confiance. Au niveau psychologique, on a vu que quand la tête allait, tout suivait. Aujourd’hui, le coach me fait pleinement confiance, je pense que ça se ressent sur le terrain. Même si j’étais déjà un cadre l’an dernier, le départ de Franck (Honorat) doit me faire passer un cap.

Je préfère jouer toutes les semaines plutôt que regarder des matchs de coupe d’Europe sur le banc.

Vous avez longtemps été à la lutte pour le maintien la saison passée. Après avoir connu l’Europe avec Rennes, ce n’est pas frustrant pour toi de jouer le bas de tableau ?

À Rennes, je me suis heurté à une trop grande concurrence, donc j’étais surtout frustré de ne pas avoir de temps de jeu. Je préfère jouer toutes les semaines plutôt que regarder des matchs de coupe d’Europe sur le banc. À Brest, j’enchaîne les matchs, donc il n’y a jamais eu de frustration de descendre d’un cran en Ligue 1. Avant ça, quand j’étais à l’OL, j’avais été prêté à Bourg-en-Bresse, puis Nîmes, pour prendre ce temps de jeu.

En 2021, tu es arrivé dans le Finistère le dernier jour du mercato. C’est un transfert qui s’est fait dans la précipitation ?

Non, je dirais que ça a surtout tardé. Grégory Lorenzi me voulait depuis longtemps, et j’ai hésité de mon côté. À trois heures de la fin du mercato, j’ai enfin pris ma décision et je crois qu’on a signé à la dernière minute. (Rires.)

Tu n’étais pas stressé à l’idée de repartir pour une saison à cirer le banc avec Rennes ?

Je suis plutôt du genre à prendre les choses du bon côté. Je me disais que j’étais à un an de la fin de mon contrat, donc ça aurait toujours été une bonne expérience. Finalement, le projet brestois m’a attiré et m’a permis de jouer plus. Je reste en Bretagne, une région que j’ai appris à connaître, même s’il pleut beaucoup trop par rapport à Lyon.

Depuis ton arrivée à Brest, tu as terminé deux fois meilleur passeur du club, et dans ta carrière, tu as toujours plus passé que marqué. Comment l’expliques-tu ?

Je suis un joueur altruiste, ça c’est sûr. J’ai toujours eu ce goût pour la passe depuis que je suis gamin. J’ai toujours pensé au collectif avant tout. Je suis souvent guidé par le sens du collectif. Même dans la vie, j’adore faire plaisir aux autres, à mes proches ou mes coéquipiers.

Aujourd’hui, c’est le titre de meilleur buteur brestois que tu cherches ?

J’ai déjà battu mon record de buts sur une saison l’an dernier (6 réalisations, NDLR). J’y arrive un peu mieux parce que j’y accorde de l’importance pour aider l’équipe, mais je veux quand même garder mes passes avant tout.

Ça m’énerve d’avoir une étiquette de joueur fragile.

Ton altruisme te pousse à souvent revenir défendre et a provoqué quelques blessures. Est-ce que ce goût de l’effort et du collectif n’a pas freiné ta carrière ?

Ça m’énerve d’avoir une étiquette de joueur fragile. Je pense que je n’ai pas eu de chance, mais je fais tout mon possible de mon côté pour éviter de nouvelles blessures. Ça passe par le renforcement, l’hydratation, l’alimentation, etc. Par contre, il ne faut pas dire à mes coéquipiers que j’aime défendre, sinon ils vont me pousser à tout le temps revenir. (Rires.)

Tu n’as plus dépassé les 30 matchs dans une saison depuis 2017-2018, en Ligue 2. Est-ce que, sans cette inconstance, tu aurais pu être plus haut à 27 ans ?

À Rennes, je n’étais pas régulier et pas assez bon pour me faire une place. Ensuite, les pépins physiques sont arrivés à Brest, avec une pubalgie notamment. Là, c’est plus frustrant, car je suis titulaire et ça me freine considérablement.

Quand je voyais Farès Bahlouli sur le terrain… C’était tellement incroyable, je n’ai jamais vu ça ensuite.

Avant Brest et Rennes, il y a eu l’Olympique lyonnais. C’est un regret de ne pas avoir percé dans ta ville natale ?

Lyon, c’est mon club de cœur. Chez moi, tout le monde est supporter de l’OL, donc il y avait forcément un peu d’attente autour de moi. C’était une fierté indescriptible de rejoindre le centre. Surtout que je n’étais pas destiné à devenir professionnel, je jouais surtout au foot avec mes potes, pour m’amuser avant tout. Ensuite, quand tu en fais partie, c’est sûr que tu veux y jouer le plus longtemps possible. Malheureusement, ça n’a pas été le cas, mais je me dis qu’il y a une bonne raison et que c’est à moi d’apprendre pour réussir ensuite, même si c’est ailleurs.

Tu es issu de la génération 1996 (avec Gaëtan Perrin, Samuel Moutoussamy et Aldo Kalulu entre autres) qui a atteint la finale de Gambardella 2015. Comment tu expliques que, hormis Mouctar Diakhaby, aucun d’entre vous ne se soit fait une place à Lyon ?

On a tous joué quelques matchs en pro, mais on n’a pas vraiment eu notre chance sur la longueur. Même Gaëtan Perrin, qui s’est montré en marquant, n’a pas réussi à se défaire de la concurrence folle. La génération Lacazette-Tolisso n’était pas encore partie et ça ne permettait pas à la nôtre de s’imposer. Je pense qu’on avait la même mentalité, c’est-à-dire jouer à tout prix, donc on est parti en prêt ou définitivement vers des clubs un peu moins huppés pour lancer nos carrières.

Je crois qu’on galère tellement au fil des ans quand on est au centre que lorsque l’un d’entre nous perce en pro, c’est une petite victoire pour toute la génération.

Avant vous, il y a eu la génération d’Anthony Martial et de Farès Bahlouli qui a été surmédiatisée et qui vous a laissés dans l’ombre…

Ils étaient surtout bien plus talentueux que nous et ils ont aussi eu du mal à s’imposer à l’OL. Lors des oppositions le mercredi, ils nous impressionnaient, donc inconsciemment on a dû se dire qu’on avait du retard. Quand je voyais Farès sur le terrain… C’était tellement incroyable, je n’ai jamais vu ça ensuite. Derrière, tu vois qu’il n’a pas de temps de jeu en pro, donc tu prends une claque et tu vas jouer ailleurs.

En équipe de France Espoirs, tu t’es retrouvé avec Mouctar Diakhaby, Houssem Aouar ou Lucas Tousart qui se sont fait une place à l’Olympique lyonnais pendant que tu enchaînais les prêts. Ce n’est pas rageant de voir ça ?

J’en parlais beaucoup avec Mouctar vu qu’on a fait toutes nos classes ensemble depuis le centre de formation. Lucas est arrivé plus tard, et Houssem est plus jeune. Mais, honnêtement, à l’époque, j’étais tellement content pour lui, il n’y avait aucune jalousie ou rancœur. Je crois qu’on galère tellement au fil des ans quand on est au centre que lorsque l’un d’entre nous perce en pro, c’est une petite victoire pour toute la génération.

Karl Toko Ekambi signe en faveur du club saoudien d’Abha

Absent des deux premières feuilles de match de l’OL en championnat, Karl Toko-Ekambi a trouvé un nouveau challenge. Le Camerounais s’est engagé jusqu’en 2025 en faveur du club saoudien d’Abha. Il quitte ainsi Lyon, où ses relations étaient conflictuelles avec les supporters depuis de longs mois maintenant.

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Le Groupama Stadium et Karl Toko-Ekambi, c’est terminé. L’attaquant camerounais s’est officiellement engagé, ce vendredi 25 août, en faveur du club d’Abha, qui évolue en première division saoudienne. Il quitte ainsi le Rhône trois ans après son arrivée en provenance de Villarreal, avec 38 buts et 19 passes décisives en 114 matches toutes compétitions confondues avec l’OL.

Les supporters, je m’en fous
Depuis de longs mois, il entretenait une relation conflictuelle avec les supporters rhodaniens, qui ont fait de lui leur tête de Turc, alors que dans le même temps, le joueur ne s’est pas gêné pour les chambrer à plusieurs reprises. Lors d’une interview accordée à SoFoot, il disait : "Les supporters, je m’en fous. Honnêtement, je n’en ai rien à foutre."

Alors que Laurent Blanc lui avait accordé un certain crédit à son arrivée sur le banc lyonnais, il l’a laissé hors de la feuille de match lors des deux premiers matches de la saison à Strasbourg (2-1) et contre Montpellier (1-4). Preuve qu’il n’avait plus vraiment d’avenir au club.

En Arabie Saoudite, à Abha, il retrouvera notamment Grzegorz Krychowiak, qui a porté les couleurs du PSG, ainsi que l’ancien Bordelais François Kamano. Pour le reste, l’effectif est bien loin de celui des "cadors" du championnat national, comme Al-Nassr ou Al-Hilal.

Sabri Lamouchi déçu par le choix Henry

Toujours au chômage, Sabri Lamouchi avait candidaté au poste de sélectionneur de l’équipe de France Espoirs. Malheureusement pour lui, c’est Thierry Henry qui a été choisi par la FFF. Un choix que l’ancien milieu de terrain accepte, non sans une certaine déception.

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"Je suis déçu, mais j’avais la tendance et je n’ai pas été surpris. Je suis heureux d’avoir été candidat, d’avoir porté mon projet au bout. Je pensais que j’avais le profil pour mener cette sélection et je le pense encore. Ce n’est pas parce que je n’ai pas été choisi que je suis moins bon. Mon profil a retenu l’attention de Marc Keller, Philippe Diallo et Hubert Fournier (directeur technique national). Nos relations ont été cordiales et constructives. Je savais que j’étais en finale. Voilà, c’est comme ça. J’accepte de perdre. Il n’y avait qu’un vainqueur possible", a-t-il déclaré à L’Equipe.

Message de Lovro Majer

Au lendemain de son départ à Wolfsburg, Lovro Majer a publié un message pour revenir sur ses deux années rennaises

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Deux années magnifiques

Ce dimanche, Birger Meling a joué son dernier match au Stade rennais. Ce qui lui a valu une belle célébration.

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Entré en jeu, Birger Meling a fait sa dernière apparition sous le maillot rouge et noir ce dimanche face à Metz. Le latéral gauche a été célébré par le stade et ses coéquipiers après le coup de sifflet final dans un très joli hommage.

"Pouvoir partir comme ça sur une grande victoire à domicile avec le public qui a toujours été derrière nous, ça a été magnifique pour moi, a-t-il dit en zone mixte. Je veux dire merci à tout le monde pour mon passage ici, ça a été deux années magnifiques, avec un club incroyable et des supporters magnifiques. Je vous souhaite le meilleur pour la suite." Le Norvégien a ensuite filé à l’aéroport pour filer à Copenhague, où il devrait signer dans les prochaines heures.

Message de Birger Meling

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La beau message de Lesley Ugochukwu pour le Stade rennais

Dans la foulée de l’officialisation de son transfert à Chelsea, Lesley Ugochukwu a publié une vidéo et un message pour dire au revoir au Stade rennais sur ses réseaux sociaux.

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"J’ai passé 11 années merveilleuses à vos côtés, 11 années à grandir, tomber, me relever, apprendre et pratiquer auprès de très grands joueurs et c’est pour cela que je vous dis MERCI, écrit-il. J’ai eu la chance durant ces années, de faire de grandes compétitions tel que La Champions League, L’europa League et ça a été des expériences qui m’ont encouragé à travailler, persévérer et revenir encore plus fort. Je tenais aussi très particulièrement à remercier le club pour tout ce qu’il m’a apporté durant ces belles années. Sachez que je vous en serais éternellement reconnaissant . Ainsi , mes derniers mots vont aux dirigeants ,éducateurs, membres du staffs qui sont chaque jour présent pour notre évolution. Merci à vous !"

Benoît Costil retrouve un club en Italie

Libre depuis son départ de Lille, l’ancien gardien de l’équipe de France s’est engagé ce lundi 31 juillet avec le club italien de la Salernitana (Série A). Passé par le Vannes OC, le Stade Rennais ou encore les Girondins de Bordeaux, il va jouer pour la première fois dans un club étranger.

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Benoît Costil s’est engagé avec le club italien de la Salernitana (Serie A). Il y retrouve son ancien entraîneur aux Girondins de Bordeaux, Paulo Sousa. À tout juste 36 ans, il va vivre sa première expérience à l’étranger. Il sera en concurrence avec le Mexicain Guillermo Ochoa, passé par l’AC Ajaccio, pour le poste de titulaire.

Pisté par l’US Concarneau
Après six mois en tant que doublure à Lille, l’ancien gardien de l’équipe de France (1 sélection) s’entraînait avec le Vannes OC (National 3) depuis le début de l’été au côté de son préparateur physique personnel Hervé Brouard.

Un temps pisté par l’US Concarneau, le portier formé au Stade Malherbe de Caen n’avait pas donné suite malgré des discussions avec son ancien entraîneur Stéphane Le Mignan.

« Il est intéressé par le projet de l’US Concarneau, ce qui est déjà très bien pour le club. Maintenant, passer de Lille à Concarneau... », avait expliqué le coach concarnois. Depuis, le promu de Ligue 2 a fait signer Esteban Salles, en provenance de Grenoble, mettant fin au dossier.

Stéphan, Lamouchi, Gourvennec... Qui pour succéder à Sylvain Ripoll à la tête des Espoirs ?

Pour prendre la succession de Sylvain Ripoll et entraîner la France aux JO dans un an, le profil de l'ancien coach de Rennes et Strasbourg, formateur, émerge. Mais il n'est pas le seul candidat.
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La succession au poste de sélectionneur des Bleuets étant ouverte, plusieurs noms se détachent déjà pour diriger les Espoirs lors de leur prochain match, le 7 septembre à Nancy en amical contre le Danemark. Le futur technicien aura pour mission de qualifier les Bleuets au prochain Euro en Slovaquie, dans un groupe largement à leur portée (Slovénie, Bosnie-Herzégovine, Chypre, Autriche). Et, surtout, de diriger l'équipe de France aux Jeux Olympiques, dans un an.

Lundi, une candidature presque naturelle a émergé, celle de Julien Stéphan. Pas seulement parce qu'il est le fils de Guy, adjoint de Didier Deschamps chez les A, et donc un potentiel interlocuteur de proximité pour faire la passerelle. Le technicien de 42 ans, passé par Rennes et Strasbourg, présente un profil de formateur qui pourrait convenir, il est libre, et ce projet pourrait l'intéresser. Reste à voir comment se positionnera sur son cas son ancien président à Strasbourg, Marc Keller, également membre du comité exécutif en charge des sélections nationales.

Et reste à voir aussi ce qu'il adviendra de la concurrence. Sabri Lamouchi (51 ans), libre depuis son départ de Cardiff en mai, a fait acte de candidature. Il est considéré comme proche de Keller. Des contacts seraient également établis avec Jocelyn Gourvennec, 51 ans, libre depuis qu'il a quitté Lille en juin 2022. Il partage le même agent que Deschamps.

Une décision sportive mais aussi politique
Deux noms partent avec moins d'avance mais sont à prendre en considération. Il s'agit notamment de Philippe Montanier (58 ans), qui restait sur deux saisons abouties avec Toulouse, avec une accession en Ligue 1 suivie d'un maintien et d'une victoire en Coupe de France, avant d'être remercié en juin. Le coach aux 211 matches de Ligue 1, également passé par la Real Sociedad, est réputé proche d'Hubert Fournier, le directeur technique national.

Enfin, l'hypothèse Rémi Garde (57 ans) existe aussi, de par sa proximité avec l'ancien président de l'OL, Jean-Michel Aulas. Le choix, qui sera effectif quand le président de la FFF Philippe Diallo sera revenu d'Océanie, devrait se concentrer sur ces noms, à moins qu'une « star » sorte du chapeau en vue des JO (Thierry Henry ?), mais ce n'est pas la tendance pour le moment.

Quoi qu'il en soit, la décision finale, en plus d'être sportive, sera éminemment politique. Et le futur sélectionneur sera confronté aux mêmes difficultés que Ripoll, avec en premier lieu un renouvellement de génération, puisque l'âge limite pour participer à l'Euro est de 21 ans au début de la phase de qualification, alors que le tournoi olympique masculin de football est réservé aux moins de 23 ans, accompagnés par maximum trois joueurs âgés de plus de 23 ans.

À ce sujet, il a beaucoup été question de la participation de Kylian Mbappé ou d'Antoine Griezmann ces derniers temps. Mais l'Euro des A, en 2024 en Allemagne, se déroulera du 14 juin au 14 juillet, et il semble à ce jour bien prématuré d'affirmer qu'une vedette bleue sera réellement disponible pour le début des JO, le 24 juillet.

Jonas Martin débarque à Brest

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Brest était la meilleure option pour moi. Je connaissais Greg Lorenzi depuis quelques temps et ça s’est fait assez vite. Tout est réuni ici pour moi et ma famille pour la suite de ma carrière. C’est une nouvelle opportunité à 33 ans de rejoindre un club sain avec des valeurs.

Brest enchaine les saisons en Ligue 1, il y a de la stabilité et de la longévité. Le discours de Greg et du coach m’a beaucoup plu, pour continuer à jouer en Ligue 1 et prendre du plaisir. Il faut toujours travailler, rester humble et au service du collectif. C’est à moi de m’adapter comme le groupe a peu changé. Physiquement, il va falloir que j’enchaîne les matches mais ça va, je me sens bien. J’ai une volonté de montrer mon niveau, je ne suis heureux que lorsque je joue. La saison dernière, j’ai été frustré par le manque de jeu, c’est pourquoi je ne suis pas allé au bout de mon contrat et que je suis venu à Brest. Je peux jouer en 6 ou en 8 mais c'est le coach qui me dira où il veut me voir évoluer.

Jérémie Boga s'engage avec Nice

L'OGC Nice a officialisé l'arrivée de Jérémie Boga en provenance de l'Atalanta. Le montant final du transfert devrait se situer autour des 20M€.
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Nice s'active enfin sur le marché des transferts. Après l'arrivée en prêt de Morgan Sanson ce lundi, les Aiglons ont officialisé l'arrivée de leur deuxième recrue, Jérémie Boga, annoncée un peu plus tôt. L'ailier de 26 ans arrive pour un bail de quatre saisons en provenance de l'Atalanta Bergame, où il évoluait depuis 2018. En Italie, l'Ivoirien a inscrit 22 buts en 149 rencontres. Nice devrait payer 18 millions d'euros, adossés à 2M€ de bonus pour s'offrir l'ancien Rennais.

Communiqué de Fabien Lemoine

Bonjour à tous,
Ce jour tant redouté est arrivé, il est l’heure de dire au revoir.
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Tout a commencé il y a 16 ans. Jamais je n’aurais imaginé réaliser ce parcours. Il y a eu de magnifiques moments et certains plus difficiles, de la joie et aussi de la tristesse mais tous ces moments ont été vécu avec beaucoup d’intensité.
L’arrêt de carrière est un moment difficile, cependant je me considère chanceux d’avoir pu vivre de telles émotions.
MERCI
Merci tout d’abord à ma femme et mes enfants pour leur soutien dans cette vie que j’ai choisi, notamment cette dernière année loin de tous, vous êtes une force énorme.
Merci à ma famille pour les sacrifices qu’ils ont réalisée afin de réaliser mes rêves.
Merci au groupe Usm de m’accompagner depuis 18 ans.
Merci à mes différents clubs, le Stade Rennais pour m’avoir formé et donné l’opportunité de découvrir le monde professionnel.
À l’AS Saint Etienne, de m’avoir fait grandir en tant que joueur et en tant qu’homme.
Au FC Lorient, d’être venu me chercher pour ce beau challenge de la remontée en ligue1, de m’avoir donné le brassard de capitaine pendant 4 belles années.
Au FC Versailles, pour cette dernière étape pleine de souvenirs.
Merci aux présidents de ces différents clubs pour leur confiance
Merci à mes entraineurs pour leur professionnalisme et leur écoute.
Merci à toutes les personnes qui travaillent et ont travaillé dans ces institutions pour leur dévouement et leur sourire.
Merci bien sûr à tous mes coéquipiers qui sont pour certains devenu de très grands amis. Sans vous rien ne seraient arrivés.
Merci à tous les supporters de la Route de Lorient, du Chaudron, du Moustoir et de Montbauron pour votre Soutien et votre Amour.
Enfin merci au Football pour ces émotions exceptionnelles.
J’ai joué mon premier match pro contre Martigues en marquant 1 but, je termine ma carrière contre cette même équipe dans ce même stade en marquant de nouveau.
Je crois que la boucle est bouclée.

Cette histoire s’arrête là mais le voyage n’est pas terminé.
Peut-être à bientôt

Je raccroche les crampons.

Jonas Martin proche de s’engager avec le Stade Brestois

Libre de tout contrat depuis son départ de Lille, Jonas Martin, milieu de terrain passé par le Stade Rennais, devrait s’engager avec le Stade Brestois, selon des informations de l’Équipe.

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Jonas Martin, plus de 200 matches de Ligue 1 avec Montpellier, Strasbourg, le Stade Rennais et plus récemment Lille, qui vient de le libérer de son contrat, s’apprête à s’engager deux ans avec le club finistérien. Il aurait privilégié le projet breton à ceux de Bordeaux et Angers (Ligue 2), qui le courtisaient également.

En manque de temps de jeu la saison passée
Le joueur de 33 ans, qui a disputé les trois compétitions européennes avec le SRFC, manquait de temps de jeu la saison passée avec le Losc (deux titularisations seulement en Ligue 1).

Une peine réduite à 18 mois ferme et aménageable pour Tony Vairelles

La cour d’appel de Nancy a rendu son verdict concernant l’affaire de la fusillade à la sortie d’une discothèque impliquant l’ancien attaquant du RC Lens Tony Vairelles. Une affaire remontant à 2011.

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D’abord condamné à 3 ans de prison ferme, l’ancien chouchou de Bollaert a finalement écopé de 18 mois de prison ferme. Une peine qui pourra être aménagée ce qui va lui éviter une nouvelle incarcération.

Tony Vairelles a récemment participé au match des Héros avec les légendes du RC Lens à Bollaert.
Tony Vairelles, qui a toujours clamé son innocence, était jugé avec 3 de ses frères. Ils étaient accusés d’avoir ouvert le feu contre des vigiles d’une boite de nuit d’Essay-les-Nancy. Son frère Fabrice a écopé de la même peine alors que Giovan et Jimmy ont obtenu 18 mois de prison dont 12 avec sursis, la partie ferme étant également aménageable. Pour rappel, Tony Vairelles avait fait 5 mois de prison au début de l’instruction.

Pourquoi Mendy met sa carrière "space mountain" entre parenthèses

Edouard Mendy, élu meilleur gardien du monde en janvier 2022, a donné un tournant inattendu à sa carrière cette semaine en rejoignant, lui-aussi, l'Arabie Saoudite. A 31 ans, un âge où tout est encore possible pour un gardien de but, le portier de Chelsea a mis le haut niveau entre parenthèses après une trajectoire unique. Sa pénible dernière année l'a convaincu de prendre un autre chemin.

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Au crépuscule de sa carrière, quand il sera temps d'arrêter les frais et de se pencher sur ce qu'il a accompli, Edouard Mendy pourrait être pris de vertiges. A l'heure où les stars sont programmées pour régner dès leur plus jeune âge, lui a construit une carrière absolument unique et complètement anachronique.
De la case chômage à la Ligue des champions en six ans, de la Ligue des champions à l'Arabie Saoudite. Ce mercredi, Al-Ahli a officialisé l'arrivée du gardien de Chelsea. Mendy fait aujourd'hui une croix sur le très haut niveau, lui qui avait été pourtant élu meilleur gardien du monde en janvier 2022, quelques mois seulement après la victoire des Blues en C1.

Un statut qui s'est effrité
A 31 ans, un âge de tous les possibles pour les gardiens de but, son choix est surprenant mais il s'explique assez facilement. Au-delà de l'argument financier, qui reste la source de motivation essentielle de ce genre de transaction – son salaire annuel devrait doubler et passer à 11 millions d'euros (plus 3 de bonus) -, la trajectoire de sa carrière est également un élément à prendre en compte. Pour le dire autrement, Mendy n'était plus au sommet et la descente fut vertigineuse du toit de l'Europe au banc de Chelsea. Cette saison, il n'a disputé que douze matches d'un exercice qui a acté son recul net dans la hiérarchie à son poste.

"Il a fini la saison 2021/2022 avec une gêne au niveau des membres inférieurs, rembobine Christophe Lollichon, responsable de la performance des gardiens à Chelsea jusqu'à l'automne dernier et à l'origine de la venue de Mendy à Londres. Titulaire, il n'a pas voulu quitter la place. Il a continué à jouer. Après la Coupe du monde, il se casse un doigt après deux jours de reprise. Tout ça fait qu'il y a eu une accumulation de choses défavorables dans un club qui a beaucoup changé entre-temps. Tuchel a été licencié, Edouard n'était pas à son top à ce moment-là." Fin du conte de fées.

On peut penser que c'est du gâchis mais…

Mais le gardien sénégalais a sans doute sa part de responsabilités. "Peut-être qu'il ne s'est pas assez écouté, continue Lollichon. Il était numéro 1 et il n'avait pas envie que quelqu'un lui chipe sa place. Dans ce type de situation, il y a souvent un relâchement qui s'opère. Je ne parle pas de relâchement au niveau de la motivation. Mais le corps a besoin de récupérer, il envoie des signes et il faut savoir les écouter. Il est passé de la L2 à une victoire en Ligue des champions très vite. Il a vécu une carrière Space Mountain. Le corps a besoin qu'on soit à son écoute. Mais quand on est sur la bonne vague, on n'a pas envie d'en sortir."

Pris dans les montagnes russes avec un corps qui siffle de partout, Mendy a alors signé quelques performances indignes de son statut et celui-ci a fini par s'effriter au fil de boulettes, en Premier League et même en Coupe du monde, qui ont nui à sa réputation. Le haut niveau ne pardonne pas et l’offre saoudienne est peut-être arrivée au bon moment pour lui.

"Il a gagné une Ligue des champions, une CAN : des accomplissements qu'il ne pouvait même pas imaginer il y a cinq ans, rappelle Lollichon. Il a parfaitement optimisé sa carrière. A 31 ans, soit vous rebondissez dans un club capable de vous offrir les mêmes émotions à savoir une victoire en C1, soit vous prenez une autre voie. Aujourd'hui, il va protéger sa famille et je le comprends. J'aurais eu plus de mal à saisir sa décision s'il avait 26 ans… On peut penser que c'est du gâchis parce que son talent mérite de s'exprimer autre part que dans un championnat mineur. Mais quelque part, il privilégie autre chose et c'est une décision qu'on ne peut pas taxer d'égoïste. Son histoire reste magnifique." Et exceptionnelle car tout à fait unique. Elle n’est pas tout à fait terminée mais, en Arabie Saoudite, la fin manquera nécessairement d’éclat.

S.G.S.B.

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