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En danger après le nouveau couac contre Nice dimanche (1-2, 9e journée de L1), le coach rennais Habib Beye est maintenu en poste pour diriger l'équipe bretonne à Toulouse, ce mercredi (10e journée,...
Avant le déplacement à Lyon dimanche, Steve Mandanda était le joueur accompagnant Bruno Genesio en conférence de presse vendredi.

Comment vis-tu ces fins de saison déterminer ?
On parle souvent de sprint final, je pense qu’on y est. On doit être le plus régulier possible. On est prêts à enchainer un maximum de victoires mais pour ça on doit être sereins, avoir confiance en nous, et jouer les matchs à fond du début à la fin. Comme l’a dit le coach, on fera le bilan à la fin. Il faut être confiant, positif, jouer tous les coups à fond.
Le groupe vit-il toujours bien ?
On n’est pas du tout impactés par les résultats car il y a aussi de bons résultats dans tout ça. Le seul problème c’est qu’on irréguliers, surtout depuis deux mois. C’est ce qui nous fait défaut aujourd’hui. On est quand même conscients qu’on a pas mal de qualités, on l’a prouvé sur beaucoup de matchs. Il faut retrouver cette confiance, la confiance générale et cet état d’esprit qui était le notre quand on a enchainé la série de victoires. En tout cas nous on a qu’une seule idée en tête, engranger un maximum de points pour atteindre l’objectif qui est l’Europe.
Ne crains-tu pas Lille qui vise aussi la 5e place ?
Dans la détermination je ne pense pas. En signant ici cette saison, je ne suis pas venu pour finir 6e ou 7e. On a aussi cette détermination, cette volonté de finir européens. Ça va se jouer entre 4 ou 5 équipes, on en fait partie. À nous d’être le plus réguliers possible pour à la fin être dans les cinq.
Jouer contre un club en crise, qu’est-ce que ça change ?
Pas grand chose car le plus important c’est nous, de savoir ce qu’on veut faire, et comment on va le faire. Chacun a ses problèmes. On a cette volonté d’aller là-bas, gagner, prendre les points pour continuer notre chemin et à la fin arriver à nos objectifs.
Le public lyonnais boycotte, qu’est-ce que cela change quand on est joueur ?
Ça dépend de chacun. Moi perso, je préfère avoir les supporters avec nous. Peut-être que d’autres seront plus libérés, que ce sera plus simple. Chacun le vit différemment. Mais ça moi, ça ne me regarde pas, je ne me préoccupe pas de ça. Je n’ai qu’une seule envie, aller gagner là-bas et faire en sorte que l’équipe soit performante.
Ton coach évoquait une solidité retrouvée de l’équipe. Est-ce que c’est quelque chose que tu ressens ?
Oui complètement. Les chiffres parlent d’eux-mêmes. On concède beaucoup moins d’occasions, de buts qu’en première partie de saison. Mais en contre-partie on se procure moins d’occasions. C’est un équilibre à trouver. En tant que gardien ça ne me déplait pas de ne pas encaisser autant de buts qu’en première partie de saison même si on gagne aussi. On est plus solides, peut-être que ça nous empêche, nous bloque dans certaines situations offensives.
Tu es également l’un des joueurs les plus décisifs ces derniers temps ?
Oui mais je suis un élément de l’équipe. C’est aussi mon rôle d’être performant, décisif. C’est le collectif aussi. Les mecs font les efforts pour qu’on essaye de concéder un minimum d’occasions. (…) C’est un peu de tout, le travail, la réussite, la chance. On prend tout. Mais quand ça se passe comme ça, c’est toujours mieux, on gagne en capital confiance, on est sereins, on se sent mieux. Et c’est toujours bien quand ça se passe de cette façon là. Perso, je fais ce que j’ai toujours fait, essayer de donner le maximum pour le groupe. Quand ça se passe comme ça, tant mieux. Pourvu que ça dure jusqu’en fin de saison.
Auras-tu toujours cette envie la saison prochaine ?
En tout cas je l’ai toujours aujourd’hui. Normalement la saison prochaine, si les dirigeants et le coach sont satisfaits de ce que je fais, je devrais être encore là. Ce n’est pas le plus important. Il y a 9 matchs à jouer, et on est vraiment focus sur le match qui arrive. Il conditionne celui d’après. En gagnant les matchs, on gagne en confiance. C’est pour ça que c’est important de ne pas trop se projeter, de vraiment jouer ce match là à fond, et même si vous n’aimez pas cette phrase, c’est une réalité : jouer les matchs les uns après les autres.
S’il n’y avait pas la coupe d’Europe, tu aurais toujours envie de continuer ici ?
C’est une autre réflexion à avoir en fin de saison mais je ne me projette pas aussi loin. Dans mon esprit, et celui du groupe, on a cette objectif de se qualifier. Le coach l’a dit, ce serait un échec personnel pour lui, mais ça serait un échec pour moi et je pense pour le groupe aussi. On ne peut pas en arriver là et on va tout faire pour atteindre cet objectif. Après le football est ainsi, on peut aussi ne pas l’atteindre, mais on va donner le maximum et tout faire pour atteindre cet objectif.
Ressens-tu le manque de confiance collective évoqué par le coach ?
Forcément on le ressent et on le voit aussi. On récupérait beaucoup vite et haut le ballon. Certaines situations, certains matchs, les résultats aussi, la confiance joue beaucoup. Quand on enchaine 17 matchs sans défaites, forcément on ne rentre pas sur le terrain de la même façon. L’équipe adverse ne nous regarde pas de la même manière. Un rapport de force se crée aussi. C’est quelque chose à prendre en compte aussi. À nous d’être plus forts que ça aussi et d’inverser cette tendance. On l’a fait sur pas mal de matchs, le seul problème c’est qu’on n’a pas réussi à être aussi régulier que ce qu’on a pu faire sur cette première partie de saison.
Tu préfères avoir une défense à 3 ou 4 défenseurs devant toi ?
Je n’ai pas de préférence de système. Je n’ai aucun problème à jouer à 3 ou 4. Personnellement ça ne me pose aucun problème. À partir du moment où on sait et on comprend chacun quel rôle on doit avoir, ça ne change rien pour ma part.
Ton rôle change t-il lorsque certains cadres sont laissés sur le banc et des jeunes titularisés ?
Personnellement non, mon rôle ne change pas. Qu’il y a plus ou moins d’anciens sur le terrain, j’ai toujours la même attitude et je reste moi-même. Maintenant c’est sûr que les jeunes en ayant un peu plus de temps de jeu, et d’expérience et de matchs, ils doivent être capables d’élever le niveau d’exigence, d’apprendre tout simplement. Pour l’équipe, tout le monde se met au diapason.
Laurent Blanc est-il à la hauteur de la mission qu’il a à mener à Lyon ?
Je connais très bien Laurent Blanc et son adjoint Franck Passi que j’ai eu à Marseille. Ce sont deux personnalités très très compétentes. Je n’ai aucun doute pour eux d’atteindre leur objectif et de mener à bien leur mission. Mais en tout cas je ne leur souhaite pas de gagner ce week-end (sourires).
Cette institution rennaise, située depuis 40 ans route de Lorient à Rennes, va fermer ses portes à partir de l’été 2023. Le commerce, dont le foncier a été racheté par le groupe Pigeault immobilier, fait partie d’un projet de construction de logements et d’une nouvelle cellule commerciale.

Installée depuis près de quarante ans route de Lorient, à Rennes, Gisèle Lemarchand, gérante du Football Bar, va passer la main cet été, après les derniers matchs du Stade Rennais. Le foncier de sa cellule commerciale, ainsi que le 112, rue de Lorient à côté, ont été rachetés par le groupe Pigeault.
Le début des travaux, annoncé pour le dernier trimestre de 2023, va ainsi sonner la fin de cette institution qui participe au folklore des soirs de match au Roazhon Park.
Projet immobilier
Devant le grillage qui borde le bar, un permis de construire a été placardé. Il est daté du 17 mars 2022 et fait mention d’un projet de construction de 27 logements et d’un commerce.
C’est pour une résidence collective , confirme Jean-Marie Pigeault, co-dirigeant du groupe immobilier du même nom, joint par téléphone. La promesse de vente a été signée en janvier 2021. Les logements, dont quatre en social, iront du studio au T4.
Le commerce pourrait rester un bar
L’avenir du bar reste incertain. Le futur propriétaire du fonds de commerce et ses intentions ne sont pas connus pour l’heure. Au vu de sa localisation, le commerce devrait rester un bar , souffle Jean-Marie Pigeault. J’ai négocié pour que cet endroit reste un commerce , assure de son côté Gisèle Lemarchand.
Comme de coutume, L'Equipe a dévoilé, dans son édition de jeudi, les salaires des joueurs et entraîneurs de Ligue 1. Mais qu'en est-il si l'on compare, d'un côté, le salaire mensuel brut moyen des clubs de l'élite avec, de l'autre, leur classement actuel au championnat ? Si le PSG et l'OM conservent la même position, Lens, par exemple, gagne huit positions. Tout l'inverse de l'OL...

L'inflation ? Même pas peur ! Pour les clubs de Ligue 1, visiblement, les comptes continuent de tourner à plein régime. Comme dévoilé par L'Equipe jeudi, la plupart des clubs de l'élite ont vu leur masse salariale augmenter cette saison et, pour certains, elle a même explosé. Assez pour obtenir des résultats et avoir un classement digne de ce nom et des salaires versés ? Pas vraiment, non. Du moins pas pour tout le monde.
Pour le PSG, qui possède un salaire mensuel brut moyen de 1.016.765 million d'euros, bien loin devant tous les autres, la hiérarchie est respectée puisque Kylian Mbappé, Lionel Messi, Neymar et leurs coéquipiers sont actuellement en tête du classement de Ligue 1. Derrière, avec une moyenne de 280.000 euros par mois, l'OM est également à sa place. Tout l'inverse du RC Lens, 11e au classement du salaire mensuel brut moyen... et 3e à celui du championnat. Soit la plus forte progression des vingt clubs de l'élite avec Reims, actuel 9e de L1 et 17e des salaires (+8).
Avec un bond de six places, Toulouse et Clermont sont également de bons élèves, passant de la 18 et 19e place à la 12e et 13e. Du côté des mauvais, on note le FC Nantes, qui affiche un salaire mensuel brut moyen de 100.000 euros (7e) et ne figure qu'au 14e rang en Ligue 1. L'OL n'est pas beaucoup mieux avec une chute de six places (4e à 10) entre un classement et l'autre. Selon les calculs, les Gones disposent d'un salaire brut moyen de 160.000 euros par mois, à égalité avec l'AS Monaco.
C’est un rendez-vous annuel qui tombe en cette fin mars pour cette saison. Chaque saison, L’Equipe dévoile les salaires mensuels bruts des joueurs de Ligue 1, selon ses estimations. Club par club, le quotidien sportif émet le top 10 des salaires des joueurs de l’élite française.

Cette saison, le SRFC a accueilli bon nombre de recrues, et pas moins de 7 joueurs sur 10 composant le top sont arrivées cet été. Le salaire mensuel brut moyen serait cette saison de 120 000€. Selon ces estimations, aucun joueurs du Stade rennais ne fait partie du top 30 des salaires de Ligue 1.
Bruno Genesio serait lui le 3e entraîneur le mieux payé de Ligue 1, avec un salaire brut mensuel de 250 000€, derrière Igor Tudor (330 000€) et Christopher Galtier (665 000€).
Les salaires du SRFC, selon L’Equipe :
Un décret publié mercredi au Journal officiel permettra à partir de jeudi et pour une durée de trois ans "l'autorisation expérimentale d'articles pyrotechniques dans les enceintes sportives non couvertes".
Un décret qui permettra l'expérimentation des fumigènes dans les stades pour une durée de trois ans a été publié ce mercredi au Journal officiel de la République française.
Cette expérimentation "permettra aux clubs sportifs professionnels, en collaboration étroite avec les associations de supporters, et avec l'accord des autorités locales, d'organiser des animations pyrotechniques réalisées par des supporters dans un cadre prédéterminé, encadré et sécurisé", précise le texte.
Comme dans le cadre des expérimentations déjà mises en place depuis 2019 et encadrées par la loi du 2 mars 2022, les animations nécessitent une demande d'autorisation conjointe du club et du propriétaire du stade auprès de la préfecture locale au moins un mois avant le match concerné.
Le but : "Tendre vers la disparition de l'utilisation illégale et non sécurisée d'articles pyrotechniques dans les tribunes des stades".
Selon Le Parisien, Adrien Truffert, blessé à la cheville lors du match au PSG, serait forfait pour le reste de la saison. Il pourrait donc manquer l’Euro Espoirs.
C’est une mauvaise nouvelle pour le Stade Rennais et pour l’équipe de France Espoirs. Sorti sur blessure lors du match au PSG, le 19 mars, le défenseur latéral Adrien Truffert ne devrait plus rejouer jusqu’à la fin de la saison, selon les informations du Parisien.
Touché à la cheville, il devrait se faire opérer. Son arrêt est estimé à trois à quatre mois. Sa présence pour l’Euro Espoirs (21 juin - 8 juillet) semble donc plus qu’incertaine.

L’usage d’engins pyrotechniques dans un stade nécessitera selon le décret :
Après que Christopher Wooh ait été blessé à la tête avec le Cameroun il y a quelques jours, c'est au tour de Warmed Omari de subir un pépin physique.

En effet, L'Equipe rapporte que le défenseur du Stade Rennais souffre de douleurs aux adducteurs et devra manquer le match des Bleuets face à l'Espagne ce mardi soir.
Une mauvaise nouvelle pour l'Equipe de France Espoirs, mais aussi pour Bruno Genesio, qui pourrait être privé de son défenseur pour la réception du RC Lens samedi prochain au Roazhon Park.
Les violences qui émaillent les manifestations contre la réforme des retraites sont l'objet d'une grande bataille auprès de l’opinion. Pour le gouvernement, il s'agit de décrédibiliser une contestation qui le dépasse en agitant le chiffon rouge du chaos. Avec parfois des termes et une rhétorique familiers aux habitués des tribunes de foot.

Et si c’était Charles III lui-même qui avait décidé d’annuler sa venue en France, par solidarité avec les manifestants ou envers les supporters de Liverpool ? Les images de charges policières sans discernement ou de gaz lacrymo balancées sur des gens bloqués, impuissants, dans des « nasses », ont dû rappeler de bien mauvais souvenirs de l’autre côté de la Manche. On y attend d’ailleurs toujours des excuses ou du moins que des responsables soient sanctionnés.
À l’instar du mouvement ultra ou des supporters en général, il est frappant de constater à quel point les autorités et surtout les responsables politiques semblent fébriles face à des phénomènes sociaux qu’ils aiment mieux redouter que comprendre.
En matière de maintien de l’ordre et de répression, et bien sûr de « contrôle » des « foules » (une expression lourde de sens que le président de la République n’a pas hésité à dégainer), le foot a souvent été précurseur. La loi olympique qui vient d’être votée l’illustre, puisqu’on y retrouve par exemple la surveillance vidéo algorithmique. Plus largement, les amalgames présents dans le discours officiel sur le public des stades, le mouvement ultra et le hooliganisme, ont résonné étrangement dans certaines réactions politiques ces dernières semaines. Avec ce besoin de justifier des formes de répression « au spectre large » au nom de la violence de certaines franges, tout en assurant vouloir séparer le bon grain de l’ivraie. Et au bout du compte, s’autoriser à piétiner l’état de droit et les droits des citoyens. À l’instar du mouvement ultra ou des supporters en général, il est frappant de constater à quel point les autorités et surtout les responsables politiques semblent fébriles face à des phénomènes sociaux qu’ils aiment mieux redouter que comprendre.
Atteintes aux libertés fondamentales
Depuis longtemps, le petit monde des gradins vit sous le coup d’atteintes – désormais installées dans la loi de la République – aux libertés fondamentales, notamment celle de circuler. Les interdictions administratives de stade, dont la plupart sont pourtant cassées par les tribunaux, ont établi la légitimité d’une répression « préventive » à l’aveugle. Cette démarche infuse dorénavant dans le champ politique. De la sorte, les interpellations brutales et gardes à vue sans fondement n’ont cessé de se généraliser. L’Association de défense des libertés constitutionnelles (Adelico) a ainsi déposé une requête en référé devant le tribunal administratif de Paris à ce propos. Dans la capitale, 425 personnes ont été placées en garde à vue lors des trois premières soirées de manifestations spontanées qui ont suivi le 49.3. Parmi elles, 52 ont été effectivement poursuivies. Même Claire Hédon, la Défenseure des droits, s’est inquiétée des « conséquences d’interpellations qui seraient préventives ».
En outre, la couverture médiatique, surtout sur les chaînes d’info en continu, reprend un schéma assez similaire au traitement des débordements qui s’étaient multipliés dans les tribunes après la sortie du confinement. Une disproportion entre la surreprésentation des images fortes des dégradations et une complaisance permanente face à des violences policières toujours évoquées au conditionnel. Le maintien de l’ordre se transforme en une fin en soi, au nom de la peur des « factieux ». Or l’article 12 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 soulignait que « la garantie des droits de l’homme et du citoyen nécessite une force publique : cette force est donc instituée pour l’avantage de tous, et non pour l’utilité particulière de ceux auxquels elle est confiée ». La police est un service public, y compris au service du public des stades ou celui de la rue.
Matthis Abline a évoqué son plan de carrière à Ouest-France. L'attaquant prêté par le Stade Rennais à Auxerre rêve des Bleus... et du Real Madrid.

Prêté par le Stade Rennais à l'AJ Auxerre où il a déjà marqué trois fois en seulement neuf apparitions, Matthis Abline (19 ans) est ambitieux pour l'avenir. Dans un entretien vérité à Ouest-France, l'international Espoirs français a évoqué son plan de carrière... Un plan qu'il aimerait voir passer par le Real Madrid.
"Où je me vois dans cinq ans ? Je ne me projette pas. J’espère juste un Mathis plus expérimenté, avec du temps de jeu, au top de sa forme, qui aura réalisé beaucoup d’objectifs. Est-ce qu'un club me fait rêver ? Le Real Madrid ! Enfant, j’étais fasciné par le Real de Cristiano Ronaldo, mon idole. Le maillot blanc, la machine scorer… Ce sont eux qui m’ont fait aimer le football. L’équipe de France A me fait rêver aussi. Tout cela est dans un coin de ma tête".
Un discours qui ne manque pas d'ambitions même si l'ancien Havrais a encore quelques étapes à franchir pour atteindre son rêve.
Sur son compte Instagram, Christopher Wooh a donné de ses nouvelles et rassuré après sa sortie sur civière hier soir lors de Cameroun - Namibie.

Ce matin, Christopher Wooh a donné de ses nouvelles sur son compte Instagram. Sorti sur civière à la 44e minute de Cameroun - Namibie (1-1), le défenseur avait été évacué sur civière à Yaoundé. "Rien de grave, merci pour vos messages" a t-il publié plus tard dans la nuit.
Dans un entretien accordé à So Foot, Warmed Omari est revenu sur la dure période traversée à son retour de blessure après la trêve hivernale.

Le 29 décembre dernier, Warmed Omari revenait sur le terrain face à Reims, après une trêve de coupe du Monde, mais surtout après plusieurs mois d’absence pour blessure. En difficulté lors de cette défaite, comme lors de celle face à Clermont le 11 janvier, le défenseur avait été mis sur le banc par la suite, avant de revenir face à Toulouse un mois plus tard.
"Je l’ai très mal vécu. Il y a ce match à Reims où l’équipe fait une contre-performance collective après laquelle le coach décide de faire certains choix et on se sent automatiquement visé…" confie t-il à So Foot. "Je me disais que j’allais retrouver ma place, puis j’ai vu les matchs s’enchaîner et je me suis dit que ça allait devenir compliqué. J’ai mal réagi au début. Je n’étais pas assez professionnel, j’étais un peu dans mon délire personnel à être énervé d’être sur le banc et ce n’était pas la bonne solution. Et ça s’est vu : j’étais mauvais sur le terrain. Il a fallu que je comprenne qu’on comptait sur moi au club, ça m’a permis de faire abstraction de tout ce qui avait été négatif depuis mon retour."
« ÇA FAIT DU BIEN PARFOIS D’ENTENDRE QU’ON FAIT DE LA MERDE »
Et le défenseur de poursuivre. « En fait, j’ai senti un froid dans ma relation avec le staff, mais c’est peut-être moi qui l’ai installé aussi. Je n’étais plus souriant sur le terrain ni en dehors. Quand tu n’as pas un minimum de joie dans ce que tu fais, tu ne peux pas être productif. » Omari évoque ensuite « des discussions avec le coach et Flo Maurice. »
« Ils m’ont rassuré et m’ont fait comprendre que je me trompais de chemin, qu’il fallait que je me remette dedans et que ce n’était pas le bon Warmed qu’on était en train de voir. J’ai écouté leurs conseils, ceux de mes agents aussi, ça fait du bien parfois d’entendre qu’on fait de la merde. Il faut savoir se le dire quand c’est le cas. J’ai décidé de changer d’attitude et je suis content maintenant. »
Revenu contre Toulouse, Warmed Omari a désormais retrouvé sa place, et a été appelé avec les Espoirs pour ce rassemblement.
Auteur d’une première saison réussie en Bretagne, Lovro Majer (25 ans) connaît désormais plus de difficultés avec le Stade Rennais. Plus une option préférentielle aux yeux de Bruno Genesio, le milieu croate est dans le dur.

Ce dimanche, le Stade Rennais a fait sensation sur la pelouse du Parc des Princes en allant chercher une victoire 2-0. Une rencontre où Lovro Majer est resté sur le banc pendant 90 minutes sans entrer en jeu. Pourtant apte, le joueur de 25 ans n’est clairement plus aussi indispensable qu’auparavant avec seulement 5 titularisations en 12 matches disputés en 2023. Une trajectoire assez surprenante quand on se rappelle de sa dernière saison avec les Bretons. Arrivé en fin de mercato estival avec le statut de future star du football croate, Lovro Majer arrivait du Dinamo Zagreb contre 12 millions d’euros et avait tout de la bonne pioche. Inondant la Ligue 1 de son talent, le gaucher offrait un premier exercice probant avec 6 buts et 9 offrandes en compteur pour 36 matches disputés sous les ordres de Bruno Genesio. Dépositaire du jeu de sa formation, il régnait sur le milieu de terrain alternant entre les postes de numéro 8 et numéro 10. De quoi attirer les intérêts d’autres formations.
Cet été, le Paris Saint-Germain s’est renseigné comme nous vous l’avons révélé ou encore l’Atlético de Madrid étaient sur les rangs. Arsenal a rejoint la course en septembre dernier Finalement resté, Lovro Majer a connu un début de saison difficile. La longue blessure de Baptiste Santamaria l’a poussé à jouer plus reculé. Un poste dans le double pivot moins optimal pour ses qualités car l’obligeant à défendre davantage. Malgré tout, la Coupe du Monde est arrivée à point nommée pour celui qui ne compte que 2 buts et 4 offrandes avec Rennes cette saison en 32 rencontres. Bien que remplaçant avec la Croatie derrière le trio composé de Luka Modric, Mateo Kovacic et Marcelo Brozovic, Lovro Majer - au même titre que Nikola Vlasic - a été une option de choix pour apporter de la fraîcheur dans l’entrejeu sous pour autant perdre en qualité. Il a réalisé de bonnes entrées et a même marqué un but contre le Canada.
Lovro Majer en plein doute
Revenu depuis à Rennes, il avait été lié au Real Madrid mais Bruno Genesio avait vite éteint la rumeur : «pour l’instant, on n’a pas décidé de qui pouvait éventuellement quitter le club. Je pense que plus on a de joueurs performants à chaque poste et plus on a de chances de remplir les objectifs qui nous sont fixés. Il faut que ça se fasse dans un état d’esprit serein, ce qui est le cas depuis le début de saison. La concurrence doit amener à se surpasser, à progresser et non pas à avoir de la frustration et à l’exprimer. Si c’est le cas on avisera, si ça reste comme ça a été durant la première partie de la saison, je pense que c’est bien d’avoir effectif comme on a.» Resté, le gaucher qui est sous contrat jusqu’en juin 2027 est néanmoins dans une situation plus floue depuis.
De moins en moins utilisé par Bruno Génésio, ce dernier ne pouvait pas cacher la méforme de son meneur de jeu. «Je ne sais pas, c’est difficile. Je parle régulièrement avec lui et lui-même a du mal à l’expliquer. Il n’y a rien de particulier qui pourrait faire qu’il est moins bien, ni personnellement, ni professionnellement, ni avec le groupe. Ça fait partie d’une carrière d’avoir des périodes où on est moins bien. À nous de l’entourer, de l’aider et à nous de retrouver le Lovro qu’on a connu parce qu’on en a besoin. C’est un de nos leaders techniques et on a besoin d’un Lovro à son meilleur niveau pour que l’équipe performe» expliquait-il après la défaite à domicile contre Rennes le 5 mars dernier où Lovro Majer n’avait disputé que 5 minutes. Victime collatérale de la blessure de Martin Terrier qui a conduit à la réorganisation du onze rennais, le joueur de 25 ans va devoir trouver les leviers pour repartir de l’avant. Rennes en a bien besoin et lui aussi s’il veut que les grands clubs reviennent à son assaut cet été. La trêve internationale avec la Croatie, avec des matches contre le Pays de Galles ce vendredi et la Turquie (28 mars), pourrait lui permettre de retrouver quelques bonnes sensations.