L'attaquant français plaît particulièrement à un coach prêt à sortir le chéquier pour se l'offrir

En quête d'un renfort offensif, la Juventus garde un œil sur Arnaud Kalimuendo, l'attaquant du Stade Rennais. L'intérêt turinois pour le joueur de 21 ans remonte à cet été, alors que plusieurs pistes étaient étudiées pour renforcer l'attaque. Après l'échec de la piste menant à Omorodion, qui a finalement rejoint Porto, Kalimuendo reste une option sérieuse pour le club bianconero. Thiago Motta, qui avait lancé Kalimuendo en équipes de jeunes au PSG, joue un rôle clé dans cette considération. En effet, l'entraîneur italo-brésilien a toujours exprimé son estime pour le joueur, qui, aujourd'hui, est devenu un atout précieux pour Rennes, avec trois buts en six matchs cette saison.

Une belle vente pour Rennes ?
Le transfert de Kalimuendo, évalué entre 20 et 25 millions d’euros, représente un investissement conséquent pour la Juventus. Toutefois, l'attaquant, né en 2002 et d'origine française, présente un fort potentiel qui justifie son prix. Cristiano Giuntoli, le directeur sportif de la Juventus, pourrait essayer de négocier une solution plus avantageuse, en exploitant ses bonnes relations avec Frédéric Massara, le directeur sportif de Rennes. Selon Tuttosport, la Juventus aurait clairement ciblé Kalimuendo, avec l’objectif de renforcer sa ligne d’attaque. Le jeune joueur, vice-champion olympique avec la France, fait partie des éléments à haute valeur marchande du club breton et son profil séduit de plus en plus à Turin.

Alors que, selon les informations d’Ouest-France, Olivier Cloarec va être débarqué de son poste de président exécutif du Stade Rennais, c’est Arnaud Pouille, l’ex directeur général du RC Lens, qui va le remplacer. L’officialisation de la nouvelle pourrait intervenir dans la journée de ce vendredi 4 octobre 2024.

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Une déflagration. L’actionnaire du club de football du Stade Rennais, via François-Henri Pinault, a tranché dans le vif et décidé de se séparer du président exécutif Olivier Cloarec, qui était arrivé au club en 2021. Une décision qui a créé un certain émoi en interne.

Pour le remplacer, le club breton a jeté son dévolu sur Arnaud Pouille, 49 ans, qui avait été directeur général du RC Lens de 2017 à 2024. Le Nordiste avait quitté le club artésien l’été dernier, après des différents avec le président lensois Joseph Oughourlian, officiellement des « divergences de vision stratégique ».

Un dirigeant passé notamment par le rugby
Par le passé, Arnaud Pouille a été, de 2000 à 2006, directeur administratif et financier du Stade Français Rugby. En 2006, il rejoint le groupe Sportys4, puis devient secrétaire général de la Ligue nationale de rugby à partir de 2010.

En 2015, il crée l’entreprise HFS4, une structure spécialisée dans la gestion, la production et l’organisation d’événements sportifs.

Selon des informations d’Ouest-France confirmées par RMC Sport, Olivier Cloarec, président exécutif de Rennes, va être démis de ses fonctions par la famille Pinault, actionnaire du club.

Le Stade Rennais s’offre une crise après six journées de L1. Selon les informations d’Ouest-France confirmées par RMC Sport, Olivier Cloarec, président exécutif du club, va être démis de ses fonctions. Une décision prise par la famille Pinault, actionnaire du club, dont les raisons sont pour le moment inconnues. Mais elles pourraient être liées au début de saison raté et sans saveur des Bretons, seulement dixièmes de Ligue 1 avec deux petites victoires au compteur et des défaites à Reims, Strasbourg et Paris. Des annonces officielles sont attendues rapidement.

Nommé président exécutif en 2022
Le club a connu un été très agité avec de très nombreuses ventes (Doué, Le Fée, Terrier, Belocian, Bourigeaud, Abline…) et d’importantes entrées d’argent (environ 150 millions d'euros). Mais l’imposant recrutement (dix joueurs sont arrivés contre près de 80 millions d’euros) peine encore à payer sous les ordres de l’entraîneur Julien Stephan. Olivier Cloarec a rejoint le Stade Rennais en 2021 en provenance de Dijon comme directeur général adjoint. Il avait été nommé président exécutif en mai 2022 en remplacement de Nicolas Holveck, atteint d’un cancer et décédé en avril 2024.

Sa prise de fonction avait coïncidé avec une période emballante de l’équipe alors entraînée par Bruno Genesio et qui avait terminé la saison 2021-2022 à la quatrième place du championnat. Les Rouge et Noir, très séduisants dans le jeu, avaient pris la même position l’année suivante sécurisant une sixième qualification de suite en Coupe d’Europe (en l’occurrence la Ligue Europa). Mais l’exercice 2023-2024 s’est soldé par un cuisant échec avec une très décevante dixième place en Ligue 1, son pire classement depuis 2013-2014 (Rennes avait fini 10e en 2018-2019 dans une saison à 20 clubs).

La révolution de l’effectif par Massara à l’épreuve du feu
La saison avait été marquée par la démission de Bruno Genesio et un certain flottement autour de l'avenir de Florian Maurice, directeur sportif. Ce dernier est finalement parti cet été et remplacé par le Franco-Italien, Frédéric Massara. L'information du départ prochain de Cloarec intervient à la veille du match de L1 entre Rennes et Monaco, samedi (21h, 7e journée).

Le Stade Rennais s’offre un nouveau remue-ménage, avec la décision par son actionnaire de remanier l’organigramme du club, alors que l’équipe première affronte Monaco samedi 5 octobre au Roazhon Park. Olivier Cloarec ne sera plus le président exécutif et va être remplacé, selon nos informations. Il va être remplacé par Arnaud Pouille, l’ex directeur général du RC Lens.

C’est un gros coup de tonnerre, dans le ciel redevenu très agité et mouvant du Stade Rennais depuis l’année dernière. Olivier Cloarec ne sera plus le président exécutif du Stade Rennais. Selon les informations de Ouest-France, il va être révoqué. Son successeur va être Arnaud Pouille, 49 ans, directeur général du RC Lens de 2017 à 2024, qui avait quitté le club l’été dernier après des divergences avec son président Joseph Oughourlian.

Une décision prise par l’actionnaire, dont le timing interpelle grandement, alors que l’équipe première va recevoir Monaco ce samedi 5 octobre (21 h) dans un contexte sportif rendu déjà incertain par un début de saison compliqué.

Des premiers bruits de couloir avaient commencé à circuler ces derniers jours autour d’un remaniement interne, alors qu’une réunion avec les partenaires prévue jeudi 3 octobre avait été annulée au dernier moment, sans explication si ce n’est l’évocation d’une « annonce » à venir.

Olivier Cloarec (50 ans) était arrivé au Stade Rennais en 2021, en provenance de Dijon, au poste de directeur général adjoint, puis il avait été nommé président exécutif suite au retrait pour raisons de santé de Nicolas Holveck.

François-Henri Pinault à la manœuvre
Cet été, il avait œuvré sur la partie ventes du mercato, qui s’était terminé par des gains records de plus de 150 millions d’euros, dont environ 60 pour le seul Désiré Doué. La partie recrutement de joueurs avait été menée par le nouveau directeur sportif Frederic Massara, en lien avec le coach Julien Stéphan.

Cloarec, décrit en interne comme étant un homme de principes et une personnalité fidèle au service du club, a-t-il été considéré par l’actionnaire comme trop discret, manquant d’autorité et de poigne à ce poste très exposé de président, dans une période où le club s’interroge sur la forme de leadership à la tête du club ?

Difficile en l’état de cerner tous les attendus de cette décision venue d’en haut, qui porterait surtout le sceau de François-Henri Pinault, déjà à l’origine de l’arrivée de Massara au SRFC cet été, et dont on se souvient qu’il avait pesé aussi au moment de la nomination d’Olivier Létang à la présidence.

Préfigure-t-elle un remaniement plus large, qui toucherait cette fois au secteur sportif directement ? Là encore, beaucoup d’interrogations se posent.

Ces dernières années, Olivier Cloarec avait formé avec le coach Bruno Genesio (parti en novembre 2023) et le directeur sportif Florian Maurice (parti en juin 2024) un triumvirat ultra-soudé. Il n’aura pas résisté aux turbulences connues par le club la saison passée. Plus que jamais, le Stade Rennais change de chapitre, et celui-là comporte un paquet d’inconnus.

Le Stade Rennais a laissé partir plusieurs de ses cadres durant le dernier mercato, et en contrepartie le club breton a recruté douze joueurs. Mais peu sont alignés par Julien Stéphan.

Désiré Doué au PSG, Enzo Le Fée à la Roma, Martin Terrier à Leverkusen ou bien encore Benjamin Bourigeaud au Qatar, les départs de joueurs cadres se sont enchaînés lors du dernier marché des transferts, et en contrepartie le Stade Rennais a fait signer douze joueurs. Un vaste turn-over mis sur le compte de Frederic Massara, le nouveau directeur sportif des Rouge et Noir. Pour Julien Stéphan, il faut donc s’adapter à cette révolution dans son vestiaire, et pour l’instant l’entraîneur rennais a bien du mal à trouver son bonheur parmi les nouveaux joueurs, puisque seul Albert Gronbaek, le milieu de terrain international danois arrivé contre 12 millions d'euros du club de Bodo-Glimt, a été aligné lors des cinq premières rencontres de la saison de Ligue 1. De quoi forcément susciter bien des questions sur la qualité du recrutement effectué cet été. Mais, interrogé sur ce sujet, le technicien rennais estime qu'il ne faut pas aller trop vite en besogne et que les renforts du Stade Rennais ont juste besoin de temps.

Rennes doit faire preuve de patience après le mercato

Avant le match contre le Paris Saint-Germain, ce vendredi au Parc des Princes, Julien Stéphan s'est expliqué sur cette faible présence des nouveaux joueurs dans son onze de départ depuis le début du championnat. « C’est ponctuel, on n’est qu’au tout début de la saison, et bien évidemment que des rotations vont avoir lieu. La hiérarchie va être mouvante au fur et à mesure des matches (…) Je comprends qu’il y a de l’impatience dans l’environnement pour les voir à l’œuvre, c’est normal, mais pour nous, la priorité, c’est de déclencher une dynamique. On n’a pas non plus signé ces joueurs pour trois semaines, mais pour trois, quatre ou cinq ans. Cela se développe dans le temps », prévient le coach de Rennes dans des propos relayés par Ouest-France.

Alan Do Marcolino, attaquant de 22 ans du Stade Rennais, qui avait déjà été prêté l’an passé, va rejoindre Orléans, club de National. Il s’agit d’un prêt.

Alan Do Marcolino connaît sa nouvelle destination ! L’attaquant rennais de 22 ans, après avoir été prêté à Quevilly-Rouen en Ligue 2 l’an passé, rejoint cette fois-ci Orléans en National. C’est le coach du club orléanais qui l’a annoncé lors de son point presse d’avant-match jeudi.

"Il est grand (1,94m), techniquement très propre et peut prendre la profondeur aussi", a notamment expliqué Hervé Della Maggiore, selon des propos relayés par nos confrères de la Nouvelle République du Centre. Do Marcolino devrait rejoindre son nouveau club en début de semaine prochaine.

L’attaquant est sous contrat jusqu’en 2026 avec le Stade Rennais. Il a connu trois apparitions avec les pros en Ligue 1, lors de la saison 2022-2023. Cette même année, il avait marqué dix buts en vingt matches de N2 avec le SRFC.

Annoncé sur le départ durant le mercato d’été, le latéral droit Lorenz Assignon prolonge finalement son contrat avec le Stade Rennais d’une saison supplémentaire. Le club breton l’a annoncé ce vendredi 13 septembre.

D’un départ probable à une prolongation de contrat, il n’y a parfois qu’un pas…

Le Stade Rennais l’a franchi ce vendredi, en annonçant l’étirement du bail de Lorenz Assignon d’une saison supplémentaire, soit jusqu’en 2028. 

Le Stade Rennais a présenté ses recrues ce vendredi, et l'attaquant portugais Jota a souligné à que N'Golo Kanté l'avait dirigé les yeux fermés vers Rennes.

Encore joueur de très bon niveau puisqu’il a brillé pendant les matchs internationaux de septembre avec l’équipe de France, N’Golo Kanté a aussi décidé d’investir dans le football en rachetant le club belge du Royal Excelsior Virton. Une formation de D3 belge qu’il veut faire grandir même s’il n’est pas directement impliqué dans sa gestion quotidienne. Car le milieu de terrain se concentre sur sa saison en Arabie saoudite, où il reste une des stars du championnat au sein de la formation d’Al-Ittihad, où évolue Karim Benzema notamment. S’il a été annoncé de retour en Premier League ou en France, Kanté est resté dans le Golfe cet été. Au contraire de son coéquipier Jota, qui a quitté la formation de Djeddah pour revenir en Europe, lui qui avait brillé au Celtic Glasgow avant son exil saoudien.

La Ligue 1, ça fait encore saliver

L’attaquant portugais a d’ailleurs confié que, s’il avait signé à Rennes pour un transfert qui suscite beaucoup d’intérêt et d’attente en Bretagne, c’est aussi parce que N’Golo Kanté lui avait tout le bien qu’il pensait du projet rennais. « Il y a beaucoup de choses qui font que j’ai signé à Rennes. Déjà, le fait de jouer dans l’un des cinq grands championnats, je pense que c’est l’envie de n’importe quel joueur. Et deuxièmement, le projet du club en soi. Je pense que le Stade Rennais est un super club pour progresser. Il y a beaucoup de talent, l’ambiance est bonne, les équipements aussi. N’Golo Kanté m’avait très bien parlé de Rennes. Je ne regrette pas du tout d’être allé en Arabie saoudite l’année dernière. Je suis fier des décisions que j’ai prises, parce que cela fait la personne que je suis aujourd’hui, et peut-être que je ne serais pas ici si j’avais pris une autre décision », a livré l’attaquant de 25 ans, qui a encore envie de marquer les esprits dans le football européen. Cela tombe bien, les Rouge et Noir piétinent clairement après un premier match convaincant face à l’OL, et ont besoin de renouveau offensif pour retrouver les places européennes en Ligue 1.

Alors que Bordeaux évolue désormais en National 2, certains de ses joueurs cherchent de nouveaux horizons.

C’est le cas de Marvin De Lima, jeune ailier gauche formé aux Girondins, qui a disputé 15 matchs de Ligue 2 la saison passée.

D’après Foot Mercato, l’international U20 français, libéré après la rétrogradation du club, attire l’attention de plusieurs clubs en quête de bons coups sans frais.

Selon les informations rapportées, le LOSC, le Stade Rennais et l’Athletic Bilbao sont particulièrement intéressés par De Lima. Ces trois équipes voient en lui un talent brut qui pourrait s’épanouir au plus haut niveau, et l’opportunité de le recruter gratuitement ne fait qu’ajouter à son attrait.

Jota a livré ses premiers mots en tant que joueur du Stade Rennais.

En fin de mercato estival, le Stade Rennais a frappé un grand coup en s'offrant Jota en provenance d'Al-Ittihad. Considéré depuis plusieurs années comme une star montante du football mondiale, l'ailier gauche portugais va tenter de passer un cap en Bretagne. Dans une interview accordée au club Rouge et Noir, le joueur de Benfica a justifié son choix d'avoir rejoint Rennes.

C’était une formidable opportunité pour moi
"Je suis vraiment heureux d’être ici, d’intégrer un projet ambitieux avec des joueurs talentueux. C’était une formidable opportunité pour moi. Le club a eu de très bons résultats ces dernières saisons, on va se battre tous ensemble pour que le Stade Rennais retrouve le haut de tableau. J’arrive avec beaucoup d’envie", a confié le nouveau numéro 27 rennais, qui a donné des petites nouvelles de son état physique.

"Mes premières séances ont été bonnes", a assuré Jota, répondant donc à son entraîneur, Julien Stéphan, qui a dit en début de semaine qu'il va falloir beaucoup de temps pour que son nouveau joueur se remette à niveau sur le plan physique.