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Dans les coulisses du métier de coordinateur sportif avec Sylvain Armand

Coordinateur sportif du LOSC depuis début 2021, Sylvain Armand raconte les coulisses de son nouveau métier. Sa relation avec Paulo Fonseca et Olivier Létang, sa reconversion, les différences entre Lille et Rennes, Ibrahimovic… Entretien.
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Après plus de 500 matchs de Ligue 1 Uber Eats et notamment deux titres de champion de France avec le FC Nantes et le Paris Saint-Germain, Sylvain Armand n’a pas traîné pour effectuer sa reconversion. Nommé coordinateur sportif par Olivier Létang en 2018 au Stade Rennais, le dernier club dont il a porté les couleurs, il occupe les mêmes fonctions au LOSC depuis début 2021. Plongée dans les coulisses de la fonction, au domaine de Luchin.

A quel moment as-tu commencé à réfléchir à ton après-carrière ?
Quand j’ai basculé dans la trentaine. Dans mon entourage ou à l’UNFP, on me posait de plus en plus la question et je me disais qu’une grave blessure était vite arrivée. Les choses se sont accélérées lors de ma dernière saison comme joueur, en 2016/2017, car je jouais de moins en moins. J’ai même préféré raccrocher alors qu’il me restait un an de contrat parce qu’on m’offrait la possibilité d’entamer une reconversion dans le club immédiatement. Une opportunité parfaite puisque je voulais rester dans le milieu du foot.

Comment ça s’est matérialisé ?
Je me suis inscrit pour passer le diplôme de manager général, au CDES de Limoges. Là où certains préfèrent faire une pause après leur carrière de joueur, moi, je voulais vraiment enchaîner. J’estime qu’on peut vite être oublié si on se tient loin du foot quelques années et je n’avais tout simplement pas envie de m’éloigner de ma passion. Enfin, quand on est joueur, on a un peu la tête dans le guidon et j’avais envie de voir à quoi ressemblait l’envers du décor : la gestion d’un club, la composition d’un effectif… J’ai donc fait cette formation qui dure deux ans et se déroulait quelques jours par mois, en parallèle de mon activité en club. J’ai beaucoup appris et j’ai eu la chance de côtoyer des sportifs qui venaient d’univers différents comme l’ancien cycliste Thomas Voeckler, l’ancien handballeur Thierry Omeyer, des basketteuses, des rugbymen…

Tu n'as jamais envisagé de devenir entraîneur ?
Si, j’y ai pensé et, au départ, je voulais même passer mes diplômes d’entraîneur en parallèle de mon cursus de manager général pour avoir la possibilité de choisir entre les deux voies plus tard. Mais la formation au CDES et la proposition du président Olivier Létang de me nommer comme coordinateur sportif m’ont définitivement convaincu. Je ne regrette pas car c’est un rôle dans lequel je m’épanouis, avec des responsabilités, la possibilité de proposer des idées, tout en restant proche des joueurs pour les aider à décrocher les meilleurs résultats possibles.

"Mettre les joueurs dans les meilleures conditions"

Comment définirais-tu le métier de coordinateur sportif ?
C’est un poste où l’on met tout en œuvre pour avoir les meilleurs résultats possibles et mettre les joueurs dans les meilleures conditions. Le coordinateur sportif est en lien avec le coach et son staff pour aider à préparer les matchs, pour faire des remarques par rapport à ce qu’il se passe à l’entraînement… Il faut arranger les problèmes qui peuvent exister, proposer des idées sur l’académie, le recrutement… C’est aussi mon rôle de présenter le projet du LOSC aux potentielles recrues et de leur montrer qu’on a envie qu’elles viennent. Plus globalement, il faut créer les conditions qui permettent d’avoir une bonne ambiance de travail et de tirer tout le monde vers le haut. Le tout en amenant mon expérience de joueur. Finalement, c’est une fonction qui touche à des domaines très variés et où il faut faire le lien entre les différentes composantes du club. C’est ainsi qu’on fonctionne au LOSC avec le président Olivier Létang et le directeur général Didier Roudet, avec qui nous collaborons depuis l’époque de Rennes.

Tu évoquais les demandes que pouvaient faire les joueurs…
Déjà, il faut différencier les demandes individuelles et les demandes au nom du groupe, portées par les cadres que l’on a désignés avec le président. Ensuite, il y a un peu de tout : des demandes de places pour les proches, des renseignements sur les programmes d’entraînement pour ceux qui rentrent de sélection, des demandes par rapport aux opérations avec les sponsors, aux tenues, à la musique du stade… Ce sont des demandes que l’on traite avec le coach car il faut que l’on soit sur la même longueur d’ondes. On reçoit des demandes tous les jours donc il faut trouver un juste milieu entre ce qu’il est possible d’accepter et ce qu’il faut refuser. On est sur une génération très demandeuse, des joueurs qui ont l’habitude qu’on leur donne vite les choses.

Peux-tu nous parler davantage en détails de ton rôle dans le recrutement ?
Je suis intégré dans des réunions avec le président et Jérémie Colson, notre responsable du recrutement, avec qui je suis en contact tous les jours. C’est lui qui est en première ligne avec les agents. Moi, je reçois beaucoup de joueurs, des sollicitations d’agents qui me proposent des joueurs, mais j’essaie de moins me mêler de ce domaine car on a déjà des gens en place pour cette fonction. Ça arrive qu’on me demande mon avis lorsqu’on doit prendre une décision finale sur la venue d’un joueur. C’est aussi mon rôle d’aller me renseigner à droite à gauche sur la mentalité du joueur, de me servir de mon réseau pour savoir comment il est dans un groupe, s’il est ponctuel… Quand les pistes sont avancées, j’expose le projet du LOSC à nos cibles, comme avec Rémy Cabella, Jonas Martin ou Benoît Costil dernièrement. Je leur montre qu’on a vraiment envie qu’ils viennent. Je les accompagne ensuite pendant la visite médicale et je les mets en contact avec le team manager pour qu’ils s’adaptent le plus vite possible dans la ville, qu’ils trouvent un logement, etc.

Quelle est la dimension de ton travail que tu préfères ?
Faire en sorte que tout se passe bien. Il faut que l’on puisse arriver au match en se disant que les joueurs n’ont plus qu’à performer car tout le reste a été fait, du début de la semaine jusqu’au coup d’envoi. Par exemple, un peu dans cet ordre d’idées, Paulo Fonseca ne tient pas de réunion avec les joueurs le jour du match car il estime que le nécessaire doit être fait les jours précédents. C’est le premier coach que je vois fonctionner ainsi et c’est plutôt intéressant car il met tant de choses en place avec son staff pendant la semaine que les joueurs n’ont pas besoin qu’on leur rappelle ce qui leur reste à faire sur le terrain.

"Mettre en place ce qu’on voulait sans tout chambouler"

Tu occupes le poste de coordinateur sportif depuis 2018. En quoi as-tu évolué sur cette période ?
Au début, j’étais moins structuré. Te retrouver devant un ordinateur à envoyer des mails, c’est quand même très différent de ce que tu fais quand tu es footballeur professionnel. Il a fallu être plus carré. J’ai aussi évolué sur les responsabilités et la confiance que le président a pu m’accorder. Même si je discute avec lui de la grande majorité des points car c’est le président et que j’ai besoin de son avis, il y a parfois des décisions à prendre avec d’autres gens du club. On m’accorde davantage de confiance et c’était important pour moi, je voulais me prouver que j’étais capable d’être plus autonome.

Quelles sont les différences qu’il peut y avoir dans ton métier entre Rennes et Lille ?
C’est similaire sur beaucoup d’aspects. L’organisation est la même dans bien des groupes professionnels avec des joueurs, un staff, un team manager, des intendants… En passant de Rennes au LOSC, il a surtout fallu s’habituer à un nouveau club au quotidien, à de nouveaux salariés, à de nouvelles méthodes… Il fallait mettre en place ce qu’on voulait sans tout chambouler. Et on est aussi arrivés au moment du covid, ce qui faisait que le club était un peu dans le dur… Ce qu’on a fait de bien au Stade Rennais, on a essayé de le transposer au LOSC en prenant en compte les spécificités lilloises. L’autre différence, c’est aussi que l’équipe dirigeante a fait passer Rennes de la 14e place à la Ligue des champions, en gagnant une Coupe de France, là où le LOSC partait de plus haut puisque le club était premier lorsque le président Létang est arrivé en décembre 2020. Et c’est toujours plus difficile de maintenir des bons résultats que de construire après de mauvais résultats.

Tu parlais plus tôt de ta proximité avec les staffs techniques. Quelles ont été les différences dans le fonctionnement avec les entraîneurs que tu as connus au LOSC ?
Avec Paulo Fonseca et son staff, le principal défi était la langue puisqu’à leur arrivée, ils parlaient essentiellement portugais. Il a fallu trouver le bon fonctionnement pour pouvoir communiquer et se rapprocher mais au bout de quelques mois, ils maîtrisaient le français donc c’était plus facile et aujourd’hui, ça fonctionne très bien. Avec Jocelyn Gourvennec, c’était forcément différent sur ce point, surtout qu’on se connaissait déjà. Lors de la saison de mon arrivée, c’était Christophe Galtier qui était en poste. J’ai beaucoup aimé travailler avec lui même si on n’a fait que six mois ensemble. Ce sont trois entraîneurs avec des fonctionnements différents mais j’ai pris du plaisir avec tous.

"Olivier Létang m’a fait progresser"

Tu collabores avec Olivier Létang depuis plus de cinq ans. Comment a débuté votre relation de travail ?
On se connaît depuis la fin de mes années PSG. Quand j’ai quitté Paris pour Rennes, il était directeur sportif et il a facilité mon départ même si j’étais encore sous contrat. Olivier avait compris que j’avais fait presque 10 ans à Paris, que j’y avais tout gagné et que j’arrivais à un âge où je voulais voir autre chose. Ensuite, on est restés en contact et on se recroisait régulièrement. Juste après avoir raccroché, alors que j’étais en pleine reconversion, il a été nommé président exécutif du Stade Rennais. Sur mes premiers mois post-carrière, j’étais sur le recrutement et quand Olivier est arrivé, on a discuté et il a pensé que je pouvais lui être utile en tant que coordinateur sportif, grâce à ma bonne connaissance du club.

De l’extérieur, on peut avoir l’impression que les relations solides dans le foot sont très rares…
Avec le président, on s’est toujours très bien entendus. Professionnellement, il m’a énormément aidé. Il m’a fait progresser et m’a permis d’avoir une vision des choses différente. C’est quelqu’un qui dit les choses. On est proches mais ce n’est pas pour autant qu’il va avoir de préférence pour moi plutôt qu’un autre salarié. Après, c’est sûr que l’on travaille ensemble depuis un moment, idem pour le DG, ce qui fait que la confiance entre nous est très forte. C’est important car, sans confiance, tu ne peux pas réaliser grand-chose. On travaille dans un milieu où la confidentialité est parfois indispensable.

A ton arrivée au LOSC, tu racontais qu’en jouant au PSG avec Zlatan Ibrahimovic et Thiago Silva, deux grands professionnels, tu avais pris conscience de certains détails alors que tu étais déjà à un stade avancé de ta carrière…
J’ai fait toute ma carrière en France et, en effet, quand j’ai vu des joueurs comme Zlatan Ibrahimovic, Thiago Silva ou David Beckham arriver, je me suis rendu compte qu’ils restaient au centre d’entraînement du matin jusqu’à la fin d’après-midi. Ils ajoutaient des soins, de la prévention, ils mangeaient sur place… Des choses qu’on ne faisait pas vraiment au PSG. On n’était jamais en retard mais on arrivait une demi-heure avant l’entraînement, on faisait notre séance, et derrière, il n’y avait pas forcément plus. J’ai beaucoup appris en voyant le fonctionnement de ces joueurs-là alors que j’avais presque la trentaine. Ils venaient de très grands clubs avec des méthodes de travail qui se sont installées en France par la suite. Ces joueurs mais aussi Carlo Ancelotti et Leonardo ont mis en place un fonctionnement qui nous faisait penser qu’on était à des années lumières d’eux au départ. Le groupe a très bien réagi et a intégré tout ça pour aller davantage vers le haut niveau. Chez Ibra et Thiago Silva, j’ai aussi vu la haine de la défaite qu’il pouvait y avoir sur leur visage, en match comme sur le moindre petit jeu à l’entraînement.

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