• ds_2158.jpg
  • ds_2095.jpg
  • ds_1963.jpg
  • ds_2123.jpg
  • ds_1471a.jpg
  • ds_1540.jpg
  • ds_2013.jpg
  • ds_3860.jpg
  • DS_0019.jpg
  • ds_4115.jpg
  • ds_0959.jpg
  • ds_1173b.jpg
  • ds_0512c.jpg
  • ds_3670.jpg
  • ds_2023.jpg
  • ds_3961.jpg
  • ds_1498.jpg
  • ds_3119.jpg
  • ds_0215.jpg
  • ds_1202.jpg
Ligue 1

07 Décembre 2025

En conférence de presse d'après-match, l'entraîneur du Stade Rennais Habib Beye a réagi à la gifle infligée par le Paris Saint-Germain à sa formation ce samedi 6 décembre lors de la quinzième...

Actualité

06 Décembre 2025

Sur la sellette le mois dernier, Habib Beye est finalement resté l’entraîneur de Rennes de manière assez inattendue. Un revirement de situation qui porte ses fruits et qui a été expliqué ce samedi...

Actualité

04 Décembre 2025

Réuni ce jeudi 4 décembre 2025, le conseil d’administration de la Ligue de Football Professionnel (LFP) a défini les dates de la saison 2026-2027 de la Ligue et de la Ligue 2. Et bonnes nouvelles...

Anciens

04 Décembre 2025

Retraité des terrains de football depuis peu, Steve Mandanda a remporté, avec son ancien coéquipier au Stade Rennais Gauthier Gallon, un tournoi de padel à Rennes. Officiellement retraité depuis le...

Actualité

03 Décembre 2025

La commission de discipline de la Ligue de football professionnel a infligé mercredi 3 décembre 2025 une fermeture partielle avec sursis des tribunes du Roazhon Park, suite au comportement des...

Coupe de France

03 Décembre 2025

Pensionnaire de National 3, le club des Sables Vendée Football rencontrera le Stade Rennais chez lui dans son antre du Roazhon Park, à Rennes, dimanche 21 décembre (17 h 30), à l’occasion des 32es...

Coupe de France

03 Décembre 2025

Pensionnaires de N3, Les Sables Vendée Football envisagent sérieusement de jouer le Stade Rennais chez lui au Roazhon Park, à Rennes, à l’occasion de leur 32e de finale de la Coupe de France, prévu...

Ligue 1

03 Décembre 2025

JOUEUR PARCOURS PAYS Désiré Doué Rennes (2022-24) , PSG (2024-...) France Ousmane Dembélé Rennes (2015-16), PSG (2023-...) France Arnaud Kalimuendo PSG (2019-22), Rennes (2022-...) France Hatem Ben...

Anciens

03 Décembre 2025

L'ancien gardien international Benoît Costil a relancé un chantier ostréicole dans le golfe du Morbihan. Chaland, bourriches, bar à huîtres... l'ex-Rennais s'est ouvert un nouvel horizon. Dans le...

Mercato

02 Décembre 2025

Le Stade Rennais FC aurait conclu un accord pour le transfert hivernal de Sidiki Chérif, l’un des plus grands espoirs de Ligue 1, en provenance d’Angers SCO. L’attaquant franco-guinéen de 18 ans...

Ligue 1

02 Décembre 2025

Découvrez les arbitres qui officieront lors de la 15ème journée de Ligue 1 Paris SG - Stade Rennais FC (Samedi, 21h05) Arbitre principal : Marc BOLLENGIER Arbitres assistants : Thomas LUCZYNSKI et...

Coupe de France

01 Décembre 2025

Alors que les 8 premiers tours de la Coupe de France ont déjà eu lieu, on connaît les 64 qualifiés pour les 32e de finale. Ce lundi, le tirage au sort du prochain tour était marqué par l’entrée en...

Amateurs

01 Décembre 2025

Convoqué pour la première fois à Metz, vendredi soir, l’attaquant Rennais Elias Legendre Quiñonez (17 ans) va signer son premier contrat professionnel en début de semaine. Comme à son habitude, le...

Mercato

30 Novembre 2025

Le marché des transferts du Stade Rennais pourrait connaître des mouvements importants dans les prochaines semaines. Breel Embolo, l’attaquant suisse recruté cet été, demeure une cible persistante...

Actualité

29 Novembre 2025

Le Stade Rennais se transforme progressivement en équipe conquérante. Déplacement réussi à Metz où Habib Beye et ses joueurs ont remporté leur quatrième succès consécutif en Ligue 1, grâce à un but...

Actualité

29 Novembre 2025

De retour à son meilleur niveau, Brice Samba a encore été XXL contre le FC Metz (1-0). Le portier breton s’affirme au meilleur des moments, à quelques mois du Mondial 2026. Si le Stade Rennais est...

Actualité

26 Novembre 2025

Le Stade Rennais renait de ses cendres. Depuis le faux départ de Habib Beye à la fin du mois d'octobre, le club breton est sur une série de 4 matches consécutifs sans défaite. Le SRFC est même sur...

Le Stade rennais est devenu l’un des meilleurs clubs français

Dirigeant du FC Versailles 78 et consultant bien connu des amateurs de ballon rond, Jean-Luc Arribart connaitra ce soir une demi-finale de coupe de France historique face à Nice, presque 50 ans après avoir remporté la coupe Gambardella avec le Stade rennais, le club de ses débuts. Entretien avec un Rennais prêt à vivre de nouvelles émotions.

ds 0769

Tu es né à Rennes, comment l’histoire a t-elle débuté avec le Stade rennais ?

Je ne suis pas rentré au centre de formation. J’ai signé ma première licence au Stade rennais à 10 ans, en pupille, en 1965. Un copain m’avait fait venir. Notre entraineur de l’époque était le commandant Bonneville, un ancien militaire avec des guêtres, des pantalons bouffants, un personnage assez particulier. J’ai continué ma scolarité jusqu’au BAC, en jouant dans toutes les équipes benjamins, minimes, cadets, juniors.

A quoi ressemblait le Stade rennais ?

Il n’avait pas grand chose à voir avec celui d’aujourd’hui et les conditions d’entrainement de la Piverdière. Derrière la tribune côté Rennes, il y avait le stade de la Conciergerie, là où on s’entraînait en pros, sur un terrain légèrement en pente vers la Vilaine. Ce n’étaient pas les billards d’aujourd’hui ! C’était notre terrain d’entraînement, et d’échauffement d’avant-match. On allait s’échauffer au milieu des gens qui passaient en tribunes, il y avait des levers de rideau. Il y avait un contact inévitable, les gens nous tapaient sur l’épaule, ça parait assez inconcevable aujourd’hui. Je jouais avec Jean-Paul Rabier ou Jean-Pierre Perrier. On commençait à jouer avec les pros Raymond Kéruzoré, Loïk Kerbiriou, Yves Le Floch, Philippe Redon…

L’équipe professionnelle était-elle vite accessible pour de jeunes joueurs ?

J’ai commencé à jouer avec eux rapidement, j’ai privilégié d’aller jusqu’au BAC, puis j’ai fait trois mois de Sciences Economiques et ça m’a permis d’avoir la carte étudiant pour pouvoir jouer en équipe de France universitaire, avec Arsène Wenger notamment. On a fait des voyages sympas et une coupe du monde en Uruguay. Je m’étais même inscrit en psycho pour continuer l’équipe de France universitaire. Parallèlement à ça, je commençais déjà à jouer en pro, c’est d’ailleurs ce qui m’a empêché de faire les études que je voulais, c’est un petit regret de ne pas avoir pu concilier les deux.

Quelle place avait le Stade rennais dans le paysage du foot français ?

Je pense qu’il y a toujours eu une bonne image du Stade rennais. Il y a eu des bonnes périodes avant que je commence. J’ai commencé en pro en 1973, c’était un club sérieux, le porte-drapeau du football breton. D’autres clubs comme Lorient ou Brest essayaient de rivaliser avec nous. C’était une valeur sûre de la D1 (première division), mais il y a eu des soucis d’argent, des dirigeants qui se sont succédés, et sportivement ça s’en est ressenti. On a commencé à faire le yoyo entre D1 et D2. Les problèmes financiers ont fait que le club a été contraint de se séparer de certains joueurs dont j’ai fait partie. Pierrick Hiard est parti à Bastia, et les dirigeants nous ont ensuite transféré Patrick Delamontagne et moi à Laval, car ils avaient de bonnes relations avec les Lavallois. Moi je voulais aller à Bordeaux, mais à cette époque ce n’était pas comme maintenant, les dirigeants décidaient où les joueurs allaient.

Rennes remportait sa deuxième coupe de France en 1971 quand tu y étais en jeune, gardes-tu des souvenirs de ce moment ?

Oui, un souvenir formidable de la demi-finale contre Marseille et des tirs au but. Je faisais partie de tous les supporters tout près des tireurs. On avait un peu envahi le terrain. On entourait quasiment la surface de but. C’était un moment de grande émotion.

Tu fais partie de ceux qui ont remporté la première coupe Gambardella du Stade rennais en 1973.

C’était particulier car en finale on devait jouer l’AS Brestoise. Plutôt que de faire ça à Colombes en lever de rideau de la Coupe de France où personne ne venait voir le match, on avait fait ça à Quimper. Le stade était comble, il y avait des supporters de Brest et Rennes, c’était bien de le faire en Bretagne. C’était un moment fabuleux, avec un gros suspense. Ça se joue aux tirs aux buts, et au 11e ou 12e tir au but ! Les gardiens ont été obligés de tirer. Pierrick Hiard a marqué et le pauvre gardien brestois a raté. A ce moment là, les pros nous disaient à quel point c’était fabuleux la Gambardella, qu’il fallait tout faire pour la gagner, que c’étaient des moments forts en juniors comme en pros. Ils avaient raison. Je revis ça aujourd’hui avec Versailles même si en tant que dirigeant c’est différent. Ça a une saveur particulière la coupe et j’en ai été d’autant plus frustré qu’en pro, je me faisais souvent éliminé sans aller très loin.

Tu as ensuite été capitaine en jeunes puis en pros au Stade rennais. Est-ce que c’était important pour toi en tant que Rennais ?

Oui bien sûr. Je suis parti compte tenu des circonstances. Je suis resté 4 ans en pro (1974-1978) mais je serais peut-être resté plus longtemps si le club avait été en meilleure santé financière. Etre capitaine de l’équipe quand on est rentré dans le club à l’âge de 10 ans, ça veut dire quelque chose. C’est une époque où on était aussi plus fidèle au club dans lequel on avait commencé petit. Il y avait moins de transferts, on pouvait passer toute une carrière ou une demi-carrière dans un même club, c’était tout à fait normal.

As-tu continué de suivre le Stade rennais une fois parti ?

Oui, c’est un club que j’ai toujours gardé dans un coin de mon coeur, comme le Stade de Reims que j’ai connu ensuite. Bien sûr, j’ai suivi les finales de coupe de France, et j’en veux terriblement à nos amis de Guingamp (rires). Les bons résultats de Rennes me font très plaisir et je suis particulièrement les performances. Je trouve que le Stade rennais est devenu l’un des meilleurs clubs français, un des clubs du haut de tableau. Ils le méritent, c’est un club qui s’est parfaitement organisé, structuré et a aujourd’hui sa place en haut. Le jeu est spectaculaire, en particulier cette année. J’ai beaucoup aimé le travail de Julien Stéphan, et ce que fait Bruno Genesio aujourd’hui est remarquable. Je prends beaucoup de plaisir à regarder le Stade rennais aujourd’hui.

Joueur puis consultant, tu es désormais dirigeant au FC Versailles 78. Comment cela s’est fait ?

C’est une rencontre avec les deux actionnaires, il y a deux ans. J’étais leur conseiller lorsqu’ils voulaient investir dans le football. Le choix s’est porté sur Versailles, un club bien géré avec plus de 1100 licenciés. Je pense qu’il y a la place pour un projet vraiment ambitieux. C’est un club qu’il faut construire, il est sous-structuré, on travaille beaucoup pour rattraper ce retard. C’est très intéressant d’écrire cette aventure pour les prochaines années. J’ai accepté le poste de directeur général en octobre. On est en tête en championnat, on va tout faire pour conserver cette place. Et puis il y a cette formidable aventure en coupe de France qui met en lumière le club et donne beaucoup de résonance à notre projet. C’est bien, même si on se dit que c’est peut-être un peu trop (rires), c’est l’effet coupe de France qui entraîne cet effet médiatique. On parle un peu trop de nous, les gens vont peut-être finir par en avoir ras-le-bol d’entendre parler de Versailles (rires). Cette aventure est riche de plein d’émotions.

Avant cette qualification en demi-finale de coupe de France, tu as répété que l’objectif restait le championnat. Le discours est-il le même arrivé dans le dernier carré ?

Le championnat reste la priorité numéro 1. Les joueurs le savent, je leur dis très régulièrement, mais je ne peux pas non plus les forcer à mal jouer en coupe de France. C’est leur récréation, leur compétition. Ils se font plaisir, ont de plus en plus d’appétit. Et on compte bien la gagner, ne pas s’arrêter là. On veut aller jusqu’en finale au Stade de France car on n’a pas beaucoup joué à Paris, à proximité de nos supporters. On est obligés de leur faire ce cadeau là, aller gagner la demi-finale à Nice et venir au Stade de France en finale. On ne peut pas s’arrêter là.

Vous deviez initialement recevoir pour cette rencontre, avant qu’une inversion avec Nice soit actée. Comment avez-vous accueilli cette décision ?

C’est quand même une déception, on avait vraiment l’espoir d’organiser ça à proximité de Versailles. On ne peut pas jouer chez nous, le terrain n’est pas homologué depuis les huitièmes de finale face à Toulouse où on avait aussi été obligés d’inverser la rencontre. En demi-finale, c’est encore plus contraignant. Le rêve de tout le vestiaire était de jouer au Parc des princes, mais ça n’a pas été possible. On a regardé toutes les options, on avait pensé aller à Lens, on a éliminé des stades pour raison de terrain synthétique, frais d’organisation et sécurité très couteux, le Stade de France par exemple, surdimensionné pour nous. On avait pensé à Charléty, mais la Préfecture, compte tenu des évènements lors du match entre le Paris FC et Lyon, a émis un avis défavorable. Il ne nous restait plus que la possibilité de jouer à Nice et de répondre favorablement à une proposition très généreuse et bienveillante des Niçois. Je tiens à remercier encore le président Jean-Pierre Rivère, très classe. Ils nous permettent d’organiser le match chez eux. On va recevoir Nice à l’Allianz Riviera.

La question d’organiser ça à Rennes ne s’est pas posée ?

Non, ça fait un peu loin ! (rires). Quitte à aller plus loin, on s’était dit que le public lensois pouvait galvaniser nos joueurs, se mêler à nos supporters et pousser fort derrière notre équipe, mais on s’est rendus compte que c’était compliqué. Ce n’est pas facile, ce n’est pas leur club. C’était peut-être un peu ambitieux de vouloir jouer à Bollaert, même si les dirigeants étaient prêts à nous ouvrir leur Stade. C’est une affaire entre Nice et nous cette demi-finale. Jouer dans un stade où il y aura 25 000 - 30 000 personnes, c’est une belle fête. Il y aura un bel engouement et ce sera un beau décor pour une demi-finale de coupe de France. Les joueurs ont compris qu’on n’avait pas pu faire autrement, ce sera beau d’y aller pour réaliser un nouvel exploit, tout faire pour aller au bout de l’aventure.

Aller au bout cette année avec Versailles sera t-il plus fort que ton titre en Gambardella avec Rennes en 1973 ?

C’était une émotion très forte il y a presque 50 ans, c’est fou de se dire que le temps passe aussi vite. Là ce qu’on vit est extrêmement fort, tout l’environnement est en pleine effervescence médiatique. Ce sont des moments très intenses, très émouvants. La qualification contre Bergerac aux tirs aux but, c’était très fort. On rêve d’aller au bout. Ça a déjà été une aventure exceptionnelle, je suis prêt à supporter ce stress et cette émotion (rires).

 

Related Articles

S.G.S.B.

SGSB

Boutique de Mumbly

Boutique

Cantine de Mumbly

Cantine

Hébergé par

Reglyss.bzh

Free Joomla templates by Ltheme