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Un bout de mon cœur est resté breton et le restera

Le temps passe vite et cette année, Cyril Jeunechamp, rennais de 2002 à 2007, fête ses… 50 ans ! Un demi-siècle avec de nombreuses années dans le foot, dont cinq en Bretagne restées inoubliables. Aujourd’hui entraîneur adjoint de la réserve de l’AJ Auxerre aux côtés de Sébastien Puygrenier, il nous ouvre le livre de souvenirs où le Stade Rennais occupe définitivement une place à part.

Un bout de mon cœur est resté breton et le restera

Alors que votre club, Auxerre, se rend au Roazhon Park à la mi-octobre, comment jugez-vous le début de saison rennais et le potentiel 2025-26 de l’équipe ?
Ce qu’ils ont montré face à Marseille ou Lyon, question état d’esprit, est très intéressant et prouve les ressources de ce groupe. Il y a beaucoup de qualité, c’est évident mais il y a surtout à sa tête un excellent entraîneur en la personne d’Habib (Beye), que je connais bien. Aujourd’hui, on constate qu’il fait exactement ce qu’il préconisait quand il était consultant.

J’aime beaucoup sa vision, sa pédagogie, on sent chez lui la passion mais aussi le travail, la compétence et le vécu. Il a aussi une aura, sait s’exprimer et je suis convaincu qu’il a tout pour réussir à Rennes. Si le club lui laisse du temps et se montre patient, en lui faisant confiance pour construire, je n’ai aucun doute pour la réussite et le retour au premier plan du club. Bon après, si possible après notre venue… (rires) !

Aujourd’hui à Auxerre, quelles sont vos missions et votre vision du métier d’entraîneur adjoint ?
Avant d’être entraîneur, nous sommes des éducateurs, au contact des jeunes. L’objectif à trois ans est simple, à savoir remettre la formation en avant et amener un maximum de jeunes jusqu’à notre équipe première. Cela est une question de conjoncture économique, de survie mais aussi d’ADN du club. On forme des joueurs mais aussi des hommes, il faut les comprendre, être connectés à leur fonctionnement, leurs codes, même si cela n’est pas toujours facile et très différent de ce que l’on a connu vingt ans plus tôt, à beaucoup d’égards…

Lesquels ?
L’entourage a beaucoup changé et il y a l’avènement des réseaux sociaux. Cela change tout, comme l’environnement autour des joueurs, qui rend tout compliqué. Quand il y a plusieurs discours, plus ou moins influents et légitimes, qui viennent s’entrechoquer avec ceux de l’éducateur, ce n’est vraiment pas simple. A l’époque, nous étions jugés par les journalistes, on pouvait parler, s’engueuler, discuter mais nous n’étions pas jugés publiquement par tous, derrière l’anonymat des réseaux sociaux sans possibilité de réponse, surexposés…

Après, je dis souvent qu’il suffit d’éteindre le portable pour que le problème n’existe plus. Après, il n’y a pas que cela, l’auto-critique est devenue compliquée, de par tout ce que l’on évoque et l’aspect mental est primordial. A Lyon par exemple, il y a un préparateur mental par équipe et par catégorie. Ce poste est devenu primordial et le sera de plus en plus.

Rester au contact des jeunes, dans le foot, est-il aussi un moyen de vieillir moins vite ?
Je vieillis comme tout le monde, comme vous, mais j’essaie de rester frais dans la tête et le contact avec nos jeunes est primordial. Le foot, c’est ma passion, une grande partie de ma vie. Continuer d’y évoluer, vivre cette transmission, c’est une chance que je savoure au jour le jour. Peu importe l’âge pour ça…

"Avec Lazlö, nous nous sommes bien chauffés mais il a été aussi là dans des moments très durs pour moi. Ça, je ne l’oublierai pas…"

Il y a 23 ans, vous arriviez au Stade Rennais. Quels sont les images qui vous viennent instantanément ?
Avant tout, la Piverdière. J’arrivais de Bastia, après avoir connu Auxerre et clairement, je passais dans la dimension du dessus. Les installations, l’état d’esprit autour du club et l’ambition de le faire grandir, il y avait tout ! Je me souviens aussi évidemment, de suite, du kop, avec qui j’ai toujours eu une relation privilégiée. Ici, j’ai tout aimé.

Ces cinq années-là sont les plus belles de ma carrière à égalité avec mon passage à Auxerre, qui m’a permis de devenir pro. Ma deuxième fille, Louane, est née à Rennes et un bout de mon cœur est resté breton et le restera. J’aime la fierté, l’appartenance au territoire des gens d’ici, leur valeurs. J’ai toujours tout donné pour ce maillot, me suis mis minable et je crois que les supporters, les gens, me l’ont rendu au-delà de toute attente y compris quand je suis revenu plus tard avec d’autres maillots…

On sent que l’humain est au cœur de votre vie, de vos souvenirs et de vos émotions. C’est aussi le cas lorsque l’on évoque le Stade Rennais ?
Bien sûr. Les victoires, les matchs, c’est une chose mais ça défile alors que l’humain, les rencontres, cela reste. De Rennes, j’ai gardé plein de collègues que j’ai toujours eu un plaisir à retrouver. Les liens sont là avec Étienne Didot, Yoann Gourcuff, Olivier Sorlin, Alex Frei, Olivier Monterubio ou Abdes Ouaddou pour ne citer qu’eux. Nous avons vécu tellement de bons moments, sur et en dehors du terrain, les entraînements où les vaincus devaient payer les pizzas aux autres, certains retours de match, la victoire contre l’OM 4-3 avec les quatre buts d’Alex (Frei).

Il y a aussi eu le staff médical qui a été extraordinaire à mes côtés lors de mes deux grosses blessures. Je n’ai jamais pu leur dire merci alors j’en profite, et je salue Yannick Logeais, Christian Schmidt, le doc et Pierre Dréossi, qui avait tout fait pour que je sois accompagné sans avoir à faire mes convalescences loin de Rennes. Hors terrain, j’ai aussi une grosse pensée pour mes voisins de l’époque à Bruz, Claude Moquet et Véro, sa femme, malheureusement disparue il y a deux mois. Ces gens-là font partie de mon histoire, à vie.

Les coachs du Stade Rennais vous ont aussi forcément marqué ?
Bien sûr ! Vahid, il m’a recruté, il était là pour sauver une situation très mal engagée et il a réussi sa mission. C’est vrai que ça ne rigolait pas mais il nous a remis à l’endroit. Avec Lazlö, c’était aussi à la dure, mais un peu différent. Je me suis bien attrapé avec lui, bien chauffé mais à côté de cela, je n’oublierai jamais qu’il a été là à mes côtés, jusqu’à trois heures du matin, quand j’attendais un diagnostic très important pour la santé de ma petite sœur.

Oui, il était là, et ça, je ne l’oublierai pas et je le remercie aujourd’hui, car je n’ai jamais eu l’occasion de le faire. Pierre (Dréossi), je l’ai eu comme manager puis coach. A la fin, il préférait faire jouer Erik Edman, c’est comme ça. Notre relation était franche et il a tout fait pour que les choses se passent bien.

Si j’étais resté un joueur influent, avec du temps de jeu, j’aurais volontiers fait toute ma carrière à Rennes et je ne serais jamais parti mais les choix de Pierre associés à mon besoin de me rapprocher du sud et de ma sœur, alors malade (ndlr : elle est décédée en 2010 d’une leucémie), m’ont logiquement amené à quitter le club et à rejoindre Nice puis ensuite, Montpellier.

"Avec Yo’ (Gourcuff), le football français est passé à côté d’un très grand joueur…"

Il y a l’humain mais aussi le terrain. Quels ont été vos tout meilleurs coéquipiers en "Rouge et Noir" ?
Il y a eu pas mal de bons joueurs, non ? Mais au-dessus du lot, je mettrais Yo Gourcuff, un talent brut, qui voyait et faisait tout plus vite que tout le monde, dès son arrivée dans le groupe. Pour moi, le football français, parce qu’il n’a pas cherché à connaître mieux l’homme, est passé à côté d’un très grand joueur. Quand on le connaît, qu’il est en confiance, il est très loin de l’image qui lui a été collée…

J’ai toujours eu la rage en entendant ce que j’ai pu entendre sur Yoann, qui est un mec en or, et qui était un footballeur incroyable. Etienne Didot aussi, dans son intelligence de jeu, c’était fou. Ensuite, je peux en citer énormément, et je pense bien sûr à Alex Frei, "Rubio", Kim Källstrom, une force de la nature ou Petr Cech, très fort dès son arrivée. J’ai été plutôt bien entouré !

Etes-vous agacé d’être souvent résumé, quand on vous évoque, à un joueur qui prenait des cartons, agressif voire violent ?
Des cartons, j’en ai pris pas mal, c’est vrai (rires) ! Cela faisait partie de moi, j’ai toujours été ce mec agressif, parfois à la limite mais je n’ai jamais blessé personne ou cassé une jambe, ça non ! J’avais besoin, je pense, de cet investissement total, qui virait parfois au trop et pouvait déborder. Le défi avec mon adversaire, c’était indispensable. Je voulais qu’il sente que pour me passer, il allait falloir me monter dessus mais pour autant, je n’étais pas non plus à insulter ou provoquer verbalement en permanence.

Si je ne m’étais reposé que sur mes qualités de footballeur, soyons clair, je n’aurais jamais fait cette carrière. Ce caractère, ce mental, c’était le plus que je pouvais apporter, donner à mon équipe. J’ai tout donné pour tous les maillots que j’ai portés, je n’ai jamais triché. J’avais besoin de ce rapport de force. J’étais un joueur moyen techniquement, même si je savais faire deux ou trois bricoles mais j’ai pu être un bon joueur, par moments, avec une belle petite carrière grâce à ce caractère, j’en suis convaincu.

Un mental qui vous a aussi fait porter à 57 reprises le brassard de capitaine à Rennes. Le saviez-vous ?
Sincèrement, vous m’apprenez cette stat et elle veut dire quelque chose à mes yeux. Elle représente surtout la récompense du travail, de l’abnégation et l’investissement total, parfois excessif, mis dans chacun de mes matchs, même si tout n’était pas parfait loin de là. Quand on ne triche pas, souvent, cela paie, d’une manière ou d’une autre.

Vous êtes rentrés dans le club où vous avez explosé, Auxerre, mais même depuis la Bourgogne, qu’avez-vous encore avec vous de Rennes, au quotidien ?
L’amour d’un club et de ses supporters, je pense, et c’est réciproque. J’aime sincèrement ce club et lui souhaite le meilleur et cette ville restera toujours à part dans ma vie, comme la région, que j’ai appris à aimer au point de pleurer quand il a fallu partir. J’ai aussi gardé le beurre salé, qui est désormais l’unique option dans la famille Jeunechamp, même avec du sucré. Aucun débat n’est possible !

Matic a adoré l’OL et Rennes, mais pas…

De retour en Serie A depuis cet été, Nemanja Matic a visiblement encore en travers de la gorge son passage à l’AS Roma.
Matic a adoré l’OL et Rennes, mais pas…

Parti de Lyon après seulement quelques mois pour rejoindre Sassuolo, le milieu de terrain serbe a vidé son sac dans une interview accordée à la presse italienne. Si son expérience à Rennes et à l’OL s’est bien passée, c’est celle vécue dans la capitale italienne entre 2022 et 2023 qui lui a laissé un goût amer. Matic reproche à la Roma un manque de respect et des promesses non tenues : "Pour moi, je jouais bien et j’étais plutôt bien. Mais en janvier, personne n’est venu frapper à ma porte. J’ai essayé de prendre contact, et on m’a dit que si je jouais plus de 50 % des matchs, je serais automatiquement renouvelé, mais ce n’était pas ce que nous avions convenu l’été précédent. J’avais le sentiment d’être constamment mis à l’épreuve, mais j’étais un joueur expérimenté, je méritais plus de respect", a-t-il confié.

Le joueur de 37 ans en a surtout voulu à la direction romaine pour son manque de loyauté et de stabilité, un critère essentiel à ses yeux après une longue carrière passée au plus haut niveau. "À la fin de la saison, j’ai décidé de partir. Le problème, c’est que les gens me promettaient des choses et ne les tenaient pas. Je manquais de stabilité et je n’en étais pas satisfait. J’ai fait de mon mieux, j’ai senti le soutien des supporters, qui me respectaient plus que le club. Rennes est venu me proposer un contrat de trois ans, ce qui signifiait plus de stabilité", a ajouté Matic. Désormais à Sassuolo, le Serbe semble avoir retrouvé un environnement qui lui convient, sous un contrat d’un an avec une option supplémentaire, loin des désillusions vécues à Rome.

Les jeunes formés au Stade Rennais ont aussi fait la une de la rubrique faits divers

Meilleur centre de formation de France depuis trois ans, le Stade Rennais a fait éclore le Ballon d’Or Ousmane Dembélé et l’un des talents les plus en vue en Europe, Désiré Doué. Mais certains de ses joueurs ont aussi connu des démêlés avec la justice.

Les jeunes formés au Stade Rennais ont aussi fait la une de la rubrique faits divers

1 Yann M’Vila, beaucoup de talent… et de nombreuses affaires
Il fut l’un des joueurs les plus talentueux à avoir été formé au Stade Rennais. Et aussi celui qui a connu le plus de déboires judiciaires. Arrivé sur les bords de la Vilaine en 2004, passé pro en 2008, le milieu défensif a explosé à Rennes (150 matchs, 4 buts de 2009 à 2013). C’est avec les Rouge et Noir qu’il a connu ses 22 sélections en équipe de France, de 2010 à 2012.

Là aussi qu’il a eu des démêlés avec la justice. Le 10 janvier 2010, suite à un différend routier, M’Vila avait frappé un restaurateur à plusieurs reprises. L’affaire s’était réglée par une indemnisation de la victime. Deux ans plus tard, le 30 avril 2012, celui qui est alors régulièrement appelé en Bleu par Laurent Blanc et s’apprête à participer à l’Euro en Ukraine et en Pologne passe la nuit en garde à vue. Un jeune de 17 ans qu’il avait hébergé chez lui et qui lui devait de l’argent l’accuse de violences. Yann M’Vila reconnaît alors avoir asséné « quelques gifles » au jeune homme.

C’est d’ailleurs suite à une autre affaire que M’Vila a vu sa carrière en équipe de France prendre fin. Pour une virée nocturne non-autorisée lors d’un rassemblement avec l’équipe de France Espoirs, en octobre 2012, il a été suspendu de sélection pendant deux ans par la commission de discipline de la Fédération française de football. Ce qui lui a fait manquer la Coupe du monde 2014 au Brésil. On ne le reverra plus jamais avec le maillot bleu.

Enfin, Yann M’Vila a aussi fait parler de lui dans la case victime. En mars 2012, deux femmes ont été condamnées à six mois de prison, dont trois mois avec sursis, par le tribunal correctionnel de Montpellier pour avoir volé l’international et un de ses amis dans une chambre d’hôtel après le match France - Chili (1-1).

2 Le père d’un joueur de la réserve agresse le directeur du centre de formation
Le 23 avril 2022, le match de la réserve du Stade Rennais face au Stade Brestois, en N3, a tourné au vinaigre. À l’issue du match, le père de Noah Françoise, capitaine des Rouge et Noir passé professionnel en décembre 2020, s’en est pris au directeur du centre de formation rennais, Denis Arnaud.

Le différend est lié à la situation sportive du joueur. S’il a nié avoir porté des coups à l’éducateur, Robert Françoise a reconnu l’avoir « bousculé et plaqué contre la grille de l’enceinte », regrettant un geste « stupide » après avoir perdu son « sang-froid ». L’affaire, portée en justice, s’est conclue par sa condamnation à 600 € d’amende avec sursis et à un stage de citoyenneté.

Un fait divers devenu un symbole de la pression de plus en plus forte que peuvent mettre les parents de jeunes joueurs sur l’encadrement d’un club. Noah Françoise, lui, est toujours professionnel, pas au Stade Rennais, mais en Bosnie-Herzégovine, au FK Sarajevo.

3 Mathis Lambourde condamné pour homicide involontaire
International U17, demi-finaliste de la Coupe Gambardella, premier contrat pro à 17 ans, première entrée en jeu au Roazhon Park le 16 septembre 2023, la carrière de Mathis Lambourde partait sur de très bonnes bases. Jusqu’à ce 18 juin 2024. Ce jour-là, l’ailier rennais circule en trottinette électrique sur le Mail François-Mitterrand, sur un trottoir, interdit à la circulation, donc. Il percute alors violemment une femme de 51 ans qui sortait d’une réunion. Le choc est violent et la quinquagénaire décède six jours plus tard de ses blessures.

Le 23 août, le joueur est condamné à deux ans de prison avec sursis pour homicide involontaire par le tribunal correctionnel de Rennes. Une semaine plus tard, il est transféré en Italie, au Hellas Vérone, contre une indemnité de 4 M€.

4 Un jeune espoir arrêté avec de la cocaïne
L’histoire débute par un banal contrôle de police sur un point de deal dans le quartier du Blosne, à Rennes, le 21 août 2025. À l’arrivée des policiers, un jeune homme tente de fuir en courant, mais est rattrapé et contrôlé en possession de cocaïne. Placé en garde à vue, il s’avère que le jeune de 17 ans est pensionnaire au centre de formation du Stade Rennais. Parmi les grands espoirs du club bretillien, il a déjà été sélectionné en équipe de France jeunes.

Placé en garde à vue, il avait fugué du domicile familial, en région parisienne.

C’est touchant de voir mon affiche sur le mur des légendes

Formé au Stade Rennais entre 1991 et 1993 avant de passer professionnel, Sylvain Wiltord reste comme le premier grand nom à avoir été façonné par l’académie rennaise. Vainqueur de l’Euro 2000, l’ancien lyonnais revient sur l’excellence du centre de formation du SRFC.

C’est touchant de voir mon affiche sur le mur des légendes

Comment le Sylvain Wiltord de 17 ans, à Paris, s’est retrouvé repéré par le Stade Rennais au début des années 90 ?
L’histoire de Sylvain, c’est que j’étais en région parisienne et que Monsieur Rodighiero (227 matchs, 125 buts à Rennes) connaissait Monsieur Rampillon et forcément le centre de formation. Il lui a dit : « Il y a un petit jeune en région parisienne, il faut absolument qu’il fasse un essai ». Donc j’ai fait un essai, ça s’est bien passé. Mais attention, ça ne voulait pas dire qu’après j’allais réussir ma carrière automatiquement. Il y a beaucoup d’appelés et peu d’élus. On m’a mis une petite carotte, on m’a donné une petite chance et j’ai beaucoup travaillé pour arriver où j’en suis arrivé.

La réaction d'Ousmane Dembele

La réaction d'Ousmane Dembele

"C’est exceptionnel ce que je viens de vivre. J’ai vraiment pas de mots, ç’a été une année incroyable avec le PSG. J’ai eu énormément de choses qui se sont passées au cours de ma carrière. J’ai un peu de stress, vous voyez, ce n’est pas facile. Gagner ce trophée, que Ronaldinho me le remette, c’est exceptionnel. Je suis fier de tout ce que j’ai accompli durant ma carrière.

Je voulais remercier le PSG qui est venu me chercher en 2023, son président, toute l’équipe, tout le club, c’est vraiment une famille incroyable. Le président Nasser a été exceptionnel avec moi, c’est comme un papa. Je voulais aussi remercier tout le staff du PSG, l’entraîneur Luis Enrique, lui aussi, c’est comme un papa. Il a été une personne très importante dans la carrière. Ce trophée individuel, c’est le collectif qui l’a gagné.

Je voulais tous les clubs dans lesquels je suis passé, que ce soit le Borussia Dortmund, le Stade Rennais. Le club où j’ai rêvé de jouer, le FC Barcelone, c’était exceptionnel. J’ai appris aux côtés de joueurs comme Iniesta. Je suis content. Même si le Ballon d’Or n’a pas été un objectif dans ma carrière, c’est exceptionnel de gagner un trophée comme ça. Je suis heureux ce soir. Je voulais aussi remercier tous mes partenaires de sélection, qui ont été importants pour moi. Son sélectionneur qui me fait confiance dans les bons et les mauvais moments. On espère, pour le coach, gagner une Coupe du Monde pour lui."

Ousmane Dembélé, de la Normandie au sommet du football mondial

Ousmane Dembélé est le grand favori du Ballon d'or 2025 qui sera décerné ce lundi. Né à Évreux, l'international français et joueur du PSG a fait ses débuts balle au pied en Normandie avant d'être formé au Stade Rennais et d'atteindre les sommets.

Ousmane Dembélé, de la Normandie au sommet du football mondial

Le Ballon d'or 2025 sera décerné ce lundi 22 septembre 2025 au théâtre du Châtelet à Paris. Parmi les favoris, on trouve Ousmane Dembélé, le gamin d'Évreux, formé au Stade Rennais et a gagné la Ligue des champions avec le PSG.

Nous, on jouait au football. Lui, il faisait de la magie
Né à Vernon dans l'Eure, l'international français âgé de 28 ans a commencé le football à Évreux. "Cette barre d'immeuble, c'est ce fameux mur où Ousmane avait l'habitude de tirer", se souvient Moustapha Diatta, ami d'enfance d'Ousmane Dembélé et toujours dans son entourage, au micro de France Inter, "on ne s'est pas lâché". Il se souvient d'une journée de pluie, lui habitant au premier étage : "De ma fenêtre, je vois Ousmane sous des torrents d'eau, tirer du pied gauche et du pied droit contre ce mur. Je comprends très rapidement que ce n'est pas un simple jeu, qu'il veut vraiment en faire ce métier. Nous, on jouait au football. Lui, il faisait de la magie. On ne faisait pas la même chose avec un ballon." Une passion, une technique et une détermination. "C'était très clair pour lui. Il allait jouer au football. Je ne l'ai jamais entendu dire qu'il voulait travailler pour la NASA. C'était le football, un point c'est tout".

Ousmane a été élevé "par sa maman", précise Moustapha Diatta, "une femme comme toutes les mamans dans les quartiers", attentive à ce que son fils ne soit pas "dehors jusqu'à très tard le soir". Ousmane est le grand frère, l'aîné d'une fratrie de cinq. Mais pas question de le freiner avec le football. "Elle savait que c'était son plaisir, elle l'a laissé avec son plaisir", sans compter que le football semble couler dans les veines de la famille Dembélé. Du côté de ses oncles, "ils sont pas mal à avoir essayé de jouer à un haut niveau. Ils étaient doués, ils avaient quelque chose pour le football".

Younès Ibrahim connaît aussi Ousmane depuis qu'ils ont cinq-six ans. Il est éducateur au club, Évreux, "un peu le grand frère parmi tous les grands frères du quartier. Lui, c'était le petit qui jouait dehors. Il se trimballait systématiquement avec son ballon de foot. Quand sa mère l'envoyait faire des petites courses chez l'épicier du coin de la rue, il n'y allait pas sans son ballon, à dribbler les arbres, les bancs... À dribbler tout ce qu'il pouvait utiliser comme obstacle. Il avait déjà des dribbles : la spéciale "Dembouz", les crochets, les feintes de frappes... Il les avait déjà depuis tout petit." Un gamin "la tête dans les nuages, un peu rêveur, mais quand il jouait, c'était une autre personne ! Très compétiteur ! Quand on le voit aujourd'hui, on n'est pas étonné, il n'y a pas grand-chose qui a changé !"

Déjà au-dessus de tout le monde avec Évreux
"Il était déjà au-dessus de tout le monde", se souvenait en mai dernier au micro d'ICI Normandie l'actuel direct du club, Gilles Bienfait. L'attaquant, qui "revient régulièrement à Évreux", reste attaché à ses racines normandes. Il a notamment participé au redressement financier du club qu'il a fréquenté pendant six ans (de 2004 à 2010), avec un don de 100.000 euros.

Romaric Bultel, l'un de ses éducateurs à l'Évreux FC 27, a donné une interview au site de la FIFA, la Fédération internationale de football, en juillet dernier. Il "s'en souvient comme d'un garçon "avec du bagout, déjà très ouvert et très drôle". Romaric Bultel a entraîné le joueur en catégorie U14 : "Ousmane, c'était un gamin, mais il s'entendait et parlait déjà avec tout le monde, peu importe l'âge. (...) On le voyait tout le temps au stade et il était passionné par le ballon, il se baladait toujours avec un ballon. Son ballon, c'était son copain, il se baladait toujours avec comme toi tu te balades avec ton téléphone. C'était presque comme un enfant avec son doudou."

Il retient des années normandes un gamin "déjà surclassé", qui "s'en sortait à merveille, même contre des joueurs de deux ans de plus que lui. La raison ? Il était déjà doté d'une technique fabuleuse et comme ses entraîneurs ébroïciens l'affirment, ce n'est pas d'eux qu'il la tient."

Et le prodige finit par être repéré : "Au départ, je ne venais pas voir Ousmane Dembélé jouer", reconnaît Armand Djire, le recruteur du Stade Rennais sur France Inter. Il est à Évreux, venu voir un match, arrêté à cause d'une blessure. Alors, "je vais voir les tout petits qui jouaient. C'est comme ça que je vois Ousmane, il a 9 ans." Un hasard, car "à l'époque, dans l'équipe d'Ousmane, il y avait un jeune Turc. Toute la France était sur ce jeune Turc. Ousmane lui, était plus frêle..." Mais Armand Djire "note son nom" et se renseigne. Il commence à le suivre, tranquillement. "Jusqu'à ses 12 ans, Ousmane ne sait pas qui je suis, même si je suis souvent là et que je le vois souvent s'entraîner."

Pendant la pré-adolescence d'Ousmane, Armand Djire place tout de même ses pions : "Dès le départ, j'avais noué un contact avec la maman qui m'a donné carte blanche. Quand il est venu en stage, on a pris la décision de faire déménager la famille." Ousmane a 13 ans, et part en Bretagne, en famille. "C'étaient les meilleurs conditions pour qu'Ousmane puisse s'exprimer. Et il y avait aussi la scolarité (...). On a porté les meubles, on ne les a pas juste "aidés" à déménager. Certains disent ici qu'Ousmane, c'est comme mon fils."

Du centre de formation à son premier match pro avec le Stade Rennais
Le petit prodige entre au centre de formation du Stade Rennais. "Ousmane, tu savais que ça allait être un très très bon joueur, après de là à faire ce qu'il fait aujourd'hui dans un grand club… Mais il était déjà perçu comme un joueur à fort potentiel et qui allait probablement vivre une carrière exceptionnelle", expliquait en mai 2025 à ICI Armorique Pierre-Emmanuel Bourdeau, ancien formateur dans le club rouge et noir, qui parle "d'un talent inné, qui faisait des choses que les autres ne pouvaient pas faire".

Le directeur de l'équipe première d'alors, Philippe Montanier, né comme Ousmane Dembélé à Vernon, garde un œil sur la réserve où "Dembouz" évolue comme il le raconte sur le site de la FIFA : "Quand on avait des jeunes qui avaient un gros potentiel, on les faisait venir partiellement à l'entraînement. C'était le cas pour Ousmane, il était déjà très remarqué. C'était vraiment le fort potentiel de sa génération."

Ousmane Dembélé joue son premier match avec l'équipe professionnelle du Stade Rennais en 2015 face à Angers, il n'avait que 18 ans. Et quelques semaines plus tard, il marque son premier but professionnel contre les Girondins de Bordeaux.

Un garçon talentueux et attachant, retient le technicien, mais pas seulement : "Il avait du caractère mais dans un sens positif : savoir se révolter, savoir galvaniser les autres, être un déclencheur. (...) Je me rappelle un match contre Lorient, à la mi-temps, on était en grande difficulté. C’est presque lui qui avait secoué le cocotier."

Dortmund, Barcelone, Paris et champion du monde avec les Bleus
Sacré meilleur espoir de Ligue 1 pour la saison 2015-2016 lors des Trophées UNFP (12 buts marqués en 26 matches de championnat), l'attaquant s'envole pour l'Allemagne, au Borussia Dortmund à l'été 2016. Parallèlement, il fait ses débuts avec l'équipe de France pour un match amical face à l'Italie et pour un match éliminatoire de la Coupe du monde 2018 qu'il remportera avec les Bleus. Le 13 juin 2017, il inscrit son premier but en sélection, face à l'Angleterre.

A l'été 2017, il signe au FC Barcelone, le deuxième transfert le plus cher de l'histoire d'un joueur français (105 millions d'euros) après celui de Kylian Mbappé au PSG.

Le Paris Saint-Germain où il signe en août 2023 et avec qui il remporte la Ligue des Champions 2025 et va, peut-être, devenir le 6e joueur français à remporter le Ballon d'or.

Mandanda retrouve déjà un job et tout est allé très vite

Quelques jours seulement après avoir mis un terme à sa carrière de joueur professionnel, Steve Mandanda s’engage dans une nouvelle aventure. L’ancien gardien, âgé de 40 ans, avait récemment annoncé sa retraite après la fin de son contrat avec le Stade Rennais. Son avenir s’écrit désormais sur le petit écran.

Mandanda retrouve déjà un job et tout est allé très vite

La chaîne Canal+ a officialisé l’arrivée de Mandanda dans son équipe de consultants pour la saison à venir. Ce choix s’inscrit dans la volonté de la chaîne de renforcer son analyse autour du football, notamment lors des soirées consacrées à la Ligue des Champions. Mandanda, qui a longtemps occupé les cages de l’Olympique de Marseille et de l’Équipe de France, apportera son expertise et son regard d’ancien joueur.

Dans son communiqué, Canal+ souligne l’apport de l’ancien international français : « NOUVEAU cette saison : Steve Mandanda, l’ancien gardien iconique de l’OM et de l’Équipe de France, vient enrichir le panel des consultants CANAL+. De quoi éclairer les prestations olympiennes, ou encore celles de Lucas Chevallier et des autres gardiens de la compétition ».

Pour Mandanda, il s’agit d’un nouveau défi, en lien direct avec sa grande expérience du haut niveau. Désormais consultant, il analysera les performances des équipes et des gardiens, un domaine qu’il connaît parfaitement.

Toutefois, il ne participera pas à la première soirée de la saison sur Canal+, qui mettra à l’affiche une rencontre attendue entre l’Olympique de Marseille et le Real Madrid. Sa première intervention à l’antenne est donc prévue pour une date ultérieure.

 

Ousmane Dembélé n'oublie pas ses années de jeunesse à Rennes

Ousmane Dembélé n'oublie pas le Stade rennais. Alors qu’il vient de remporter le Onze d’or et se pose comme candidat sérieux au Ballon d’or, il se souvient de ses débuts en publiant sur son compte Instagram une photo de lui avec le maillot rouge et noir.

Ousmane Dembélé n'oublie pas ses années de jeunesse à Rennes

Même s’il est actuellement blessé, les planètes semblent rester alignées pour Ousmane Dembélé. Le joueur de 28 ans, formé à Rennes au début des années 2010, puis passé par le Borussia Dortmund et le FC Barcelone, a littéralement explosé aux yeux du grand public la saison passée, raflant (presque) tous les trophées possibles avec son équipe actuelle, le PSG.

Une saison 2024-2025 historique
Victorieux d’un quintuplé historique pour le club (Trophée des Champions, Ligue 1, Coupe de France, Ligue des champions et Supercoupe d’Europe), en remportant notamment la première Ligue des champions et la première Supercoupe d’Europe de l’histoire du club, l’international français est aussi le grand favori pour remporter le Ballon d’Or 2025.
Déjà, le 12 septembre, il a remporté le Onze d’or, récompense décernée par les lecteurs du magazine Onze Mondial. Devant Lamine Yamal (FC Barcelone) et son compatriote Kylian Mbappé (Real Madrid), excusez du peu !

"Je suis fier, ça prouve que tu as bien travaillé durant toute la saison, et je vais même plus loin, durant toutes ces années pour remporter des trophées individuels", a confié Dembélé dans les colonnes du magazine. "Ça me touche, mes sacrifices et mes performances sont reconnus."

Le gamin débarqué en Ille-et-Vilaine en 2010, depuis son département natal de l’Eure, à 13 ans, et parfois pointé du doigt à Rennes pour des problèmes de comportement, a bien changé.

Ousmane Dembélé semble d’ailleurs profiter de cette période de rêve pour se remémorer sa période rennaise.

Via son compte Instagram, il a posté une photo de lui sous le maillot rouge et noir, accompagné de la musique de Tiakola, "Formidable".

Dans les paroles, on retrouve notamment ces phrases : "J’ai pas trouvé ma place dans la résine mais j’l’ai trouvée dans la musique. J’ai pas attendu que les choses viennent jusqu’à moi pour voir mes rêves s’réaliser".

Le premier « rouge et noir » Ballon d’Or ?
Le gamin de Rennes, qui avait provoqué un bras de fer avec le club avant d’être transféré au Borussia Dortmund, a bien grandi. Et mûri. Ses rêves se réalisent.

Parmi ces rêves, il y en a un autre qui pourrait se concrétiser dès le 22 septembre. Ce jour-là, on connaîtra le lauréat du Ballon d’Or 2025. Ousmane Dembélé est un candidat sérieux. Ce serait le premier « rouge et noir » à obtenir ce graal.

Guirassy, la série folle qui affole l’allemagne

Guirassy continue d’impressionner : l’attaquant guinéen empile les buts avec Dortmund et écrit une série historique en Bundesliga.
Guirassy, la série folle qui affole l’allemagne

Le Borussia Dortmund s’est imposé face à Heidenheim (2-0) samedi, grâce notamment à un nouvel éclair de Serhou Guirassy. L’attaquant guinéen a encore trouvé le chemin des filets, signant son sixième but en autant de matchs toutes compétitions confondues depuis le début de saison. Un rendement qui confirme l’excellente forme d’un joueur désormais incontournable dans l’effectif de Niko Kovac.

Guirassy, une série historique en Bundesliga
Ce nouveau but permet à Guirassy de prolonger une série impressionnante : il a marqué lors de ses huit dernières apparitions en Bundesliga. Parmi les joueurs étrangers du championnat, seuls Pierre-Emerick Aubameyang (10 matchs) et Robert Lewandowski (15) ont déjà fait mieux dans l’histoire. Désormais cité dans la même phrase que ces monuments, Guirassy s’installe dans une catégorie réservée aux plus grands buteurs.

Depuis le début de la saison 2025-2026, il affiche une régularité déconcertante : buteur face au RW Essen, à St. Pauli, double buteur contre l’Union Berlin, décisif avec la Guinée contre la Somalie et encore décisif ce week-end avec Dortmund. Seule l’Algérie est parvenue à stopper sa série en sélection. En club, il reste irrésistible, au point d’avoir inscrit 43 buts depuis le début de la saison passée, toutes compétitions confondues.

Une candidature au Ballon d’Or renforcée
Sa présence parmi les 30 nommés pour le Ballon d’Or n’est donc pas un hasard. Son efficacité clinique, sa puissance dans la surface et sa capacité à répondre présent match après match plaident en sa faveur. Guirassy incarne aujourd’hui le prototype de l’avant-centre moderne, capable de porter à lui seul le poids offensif d’une équipe comme Dortmund.

Avec de tels chiffres, Guirassy redéfinit la hiérarchie du football guinéen. Longtemps, les noms de Titi Camara ou Kaba Diawara étaient cités comme les références offensives de la sélection. Désormais, l’ancien Rennais s’impose comme une icône en devenir, et certains pourraient bientôt affirmer qu’il est déjà le plus grand avant-centre de l’histoire de son pays.

Bruno Genesio ne finira pas la saison chez les Dogues

Auteur d’un très bon début de saison sur le banc de touche du LOSC, Bruno Genesio ne finira pas la saison chez les Dogues. C’est en tout cas l’avis tranché de Nicolas Vilas, qui sait que le coach de Lille a une relation tendue avec son président Olivier Létang.
Bruno Genesio ne finira pas la saison chez les Dogues

Pour le moment, la saison du LOSC est juste parfaite avec un nul contre Brest (3-3), une victoire importante face à Monaco (1-0) et surtout le carton contre Lorient avant la trêve (7-1). Bien installé sur le podium du championnat derrière le PSG et l’OL, Lille a pourtant connu un été agité avec quelques mésententes entre Bruno Genesio et Olivier Létang.

En mai dernier, le départ de l’ancien coach de Lyon avait même été évoqué, mais il avait finalement décidé de rester pour assurer sa deuxième année de contrat dans le Nord de la France. Mais durant l’été, entre le départ de Lucas Chevalier à Paris et le recrutement tardif à certains postes, Genesio n’avait pas hésité à attaquer son président de manière indirecte dans la presse. D’après des proches de la direction du club nordiste, la tension entre Genesio et Létang est élevée depuis quelques mois. Si élevée que l’entraîneur français de 59 ans a des chances de claquer la porte en cours de saison, selon Nicolas Vilas.

Bruno Genesio ne terminera pas la saison à Lille

Bruno Genesio ne terminera pas la saison à Lille. Le mauvais délire a débuté la saison dernière. Je trouve que Bruno Genesio a fait preuve de patience. On connaît le management d’Olivier Létang qui aime se prononcer devant les médias à l’issue de chaque défaite, mais on a senti Bruno Genesio agacé. Il a quand même eu ce qu’il voulait sur le mercato. Le LOSC a fait les efforts et on les a soulignés. Et pourtant, le calendrier me fait toujours flipper pour le LOSC. Je ne sais pas s’ils sont capables de jouer sur tous les tableaux. Et puis, je pense que sa patience aura des limites.

Il n’a plus quinze ans Genesio. A un moment, il y aura l’intervention ou le petit mot de trop et la rupture deviendra inévitable. Cela ne veut pas dire que Lille fera une mauvaise saison, mais j’ai beaucoup de mal à imaginer que le mariage puisse se poursuivre une saison de plus, a lancé le journaliste du Winamax FC, qui estime donc que Létang va perdre Genesio en route s’il ne change pas sa façon de diriger le club lillois.

"Je vous déteste, Disneyland Paris

L’attaquant barcelonais Raphinha n’a pas apprécié l’attitude d’un employé de Disneyland Paris envers son jeune fils.L’attaquant barcelonais Raphinha n’a pas apprécié l’attitude d’un employé de Disneyland Paris envers son jeune fils.

"Je vous déteste, Disneyland Paris

L’attaquant barcelonais Raphinha n’a pas apprécié l’attitude d’un employé de Disneyland Paris envers son jeune fils. Le footballeur a exprimé son mécontentement sur Instagram ce vendredi 5 septembre 2025.

Le joueur brésilien du FC Barcelone, Raphinha, a poussé un coup de gueule contre Disneyland Paris dans une story Instagram postée ce vendredi 5 septembre 2025 et repérée par Le Parisien.

Vos employés sont une honte
Le jeune fils du footballeur, âgé de 2 ans, se serait fait ignorer par un employé du célèbre parc d’attractions portant le costume de Tac. "Vos employés sont une honte. Vous ne devriez pas traiter les gens ainsi, surtout un ENFANT", a partagé le buteur catalan. Et de poursuivre que Disneyland est censé "rendre les enfants heureux, pas les snober".

Je préfère dire que c’était du snobisme
"Je préfère dire que c’était du snobisme, pour ne rien dire d’autre", sous-entendu du racisme, a poursuivi le joueur du Barça également repris par RMC Sport ou encore 20 Minutes.

Raphinha, visiblement très énervé a également écrit : "Je vous déteste, Disneyland Paris".

L’attaquant barcelonais participe au déplacement de l’équipe du Brésil en Bolivie ce mercredi et retrouvera ensuite le Barça.

Le Finistérien Jérémy Gélin met fin à son aventure en Grèce

Un an après son arrivée au Panserraikos FC (D1 grecque), le Quimpérois Jérémy Gélin (28 ans) a annoncé son départ sur ses réseaux sociaux.

Le Finistérien Jérémy Gélin met fin à son aventure en Grèce

Formé au Stade Rennais, avec qui il a remporté la Coupe de France en 2019 face au Paris SG de Neymar et Mbappé, le Quimpérois Jérémy Gélin a annoncé son départ du Panserraikos FC (D1 grecque), sur ses réseaux sociaux.

"Aujourd’hui l’heure est venue pour moi de dire au revoir à Serres, à mes coéquipiers et aux supporters", a réagi le Finistérien.

Passé également par Royal Antwerp (Belgique, 2020-2021) et Amiens (2022-2024), le Breton cherche un nouveau défi. "Chaque chapitre qui se ferme laisse derrière lui des souvenirs, et ouvre la porte à de nouvelles espérances", a déclaré le défenseur central.

Abdeslam Ouaddou hospitalisé après un accident de la route en afrique du sud

Bien connu en France pour ses passages au Stade Rennais, à l'AS Nancy Lorraine ou encore à Valenciennes, l'entraîneur d'Orlando Pirates Abdeslam Ouaddou a été victime d'un accident de la route en Afrique du Sud.

Abdeslam Ouaddou hospitalisé après un accident de la route en afrique du sud

Ancien défenseur central du Stade Rennais, de Valenciennes et de l'AS Nancy Lorraine, Abdeslam Ouaddou est aujourd'hui l'entraîneur des Orlando Pirates en Afrique du Sud. En place depuis cet été, le technicien de 46 ans a vu son aventure à Soweto basculer ces dernières heures. Par communiqué, le club sud-africain a appris que son entraîneur marocain avait été victime d'un accident de la route, nécessitant une hospitalisation.

Cinq autres membres percutés
"Après avoir été confrontés à une collision entre deux véhicules, l'entraîneur Ouaddou et plusieurs membres du personnel sont descendus du bus de l'équipe pour porter secours aux personnes impliquées. Alors qu'ils se rendaient sur les lieux, une Nissan NP200 a percuté les véhicules à l'arrêt, heurtant le groupe et causant de graves blessures", a-t-il été indiqué. Ce sont précisément cinq autres membres des Orlando Pirates qui ont été percutés dans cet accident survenu dimanche matin. L'équipe revenait d'un déplacement remporté à Gqeberha en championnat.

Julien Stéphan déjà en danger à QPR

Arrivé sur le banc de QPR cet été, Julien Stéphan fait des débuts désastreux en Championship (D2). La gifle prise ce samedi à Coventry (7-1) place déjà le technicien français en danger.
Julien Stéphan déjà en danger à QPR

Un point pris en trois matchs, et une sévère correction prise en déplacement à Coventry, cela commence à sérieusement se tendre pour l'entraîneur des Queens Park Rangers. Recruté le 25 juin dernier par le club londonien, Julien Stéphan pourrait même rapidement être débarqué compte tenu de la colère des supporters de QPR après cette déroute en déplacement face à la formation dirigée par un certain Frank Lampard.

Et le bilan est d'autant plus dur pour l'ancien entraîneur de Rennes et de Strasbourg qu'il n'a pas gagné le moindre match depuis qu'il a signé avec les Queens Park Rangers, y compris lors des matchs de préparation. Sur les réseaux sociaux, les fans de QPR sont nombreux à réclamer le limogeage sans traîner de Julien Stéphan, afin que la saison ne tourne pas à la catastrophe.

 

Rien de tout cela ne me fera tomber

Ciblé par des injures racistes à la suite de son tir au but raté lors de la Supercoupe d'Europe, l'attaquant français de Tottenham Mathys Tel s'est exprimé sur Instagram.
Rien de tout cela ne me fera tomber

L'attaquant français de Tottenham, Mathys Tel, a déclaré sur Instagram qu'il ne se laisserait pas atteindre directement par les abus raciaux en ligne à son égard après la défaite (2-2, 3-4 aux t.a.b.) de son équipe en Supercoupe d'Europe face au PSG. « J'étais aussi déçu pour mercredi soir mais le racisme n'a pas sa place dans notre société », a posté mardi, sur le réseau social, le joueur, qui a raté un tir au but lors de cette rencontre, en Italie, mercredi dernier.

« Je sais d'où je viens, où j'ai commencé et rien de tout cela ne me fera tomber. Avec le travail et l'humilité, le respect règne. » L'attaquant de Bournemouth, Antoine Semenyo, a également été victime d'abus racistes lors de la défaite de son équipe contre Liverpool à Anfield vendredi (4-2). Un homme de 47 ans de Liverpool, qui a été arrêté parce qu'il était soupçonné d'avoir abusé racialement de Semenyo, a été mis en liberté conditionnelle et interdit d'assister à des matches de foot.

S.G.S.B.

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