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Avant un match risqué contre Toulouse, la préfecture prend des mesures préventives

En avril 2024, une bagarre impliquant une centaine de supporters, toulousains et rennais, avait éclaté à Rennes (Ille-et-Vilaine), faisant dix blessés. Les deux équipes s’affrontent dimanche 10 novembre 2024, au Roazhon park. La préfecture vient de prendre de mesures préventives contre les supporters du Toulouse Football Club (TFC).

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Une affiche sous tensions. Sportives tout d’abord. Ce dimanche 10 novembre 2024, le Stade Rennais reçoit le Toulouse Football Club, pour le compte de la 11e journée de Ligue 1, le championnat de France de football. Les Rennais sont classés, pour le moment, à la 13e place, un point derrière leur hôte de dimanche. Manque de résultats, jeu peu enthousiasmant, c’est déjà la crise chez les Rennais.

Ce match sera aussi sous tension, à cause de la rivalité entre les clubs de supporters des deux équipes. « Depuis le vol en 2009 de la bâche des supporters « ultras » Indians Tolosa 93, par les supporters « ultras » du Roazhon Celtic Kop (RCK), ces deux groupes entretiennent des rapports conflictuels qui donnent régulièrement lieu à des affrontements entre eux, pendant et en marge des rencontres », cadre la préfecture d’Ille-et-Vilaine, dans un communiqué.

Des mesures contre les fans toulousains
En avril 2024, une violente bagarre avait éclaté entre des supporters rennais et toulousains, quelques heures avant le coup d’envoi d’une rencontre opposant les deux équipes, au Roazhon Park. Un groupe d’une cinquantaine de personnes avait pris à partie des supporters toulousains qui se trouvaient devant un bar PMU, rue de Châtillon. Bilan : dix blessés, dont l’un transporté à l’hôpital en urgence relative par les pompiers.

D’après la préfecture, il existe un risque « avéré de troubles à l’ordre public », ce dimanche. Aussi, les services de l’État ont pris deux mesures principales à l’encontre des fans toulousains. « De 9 h à 23 h 59, il est interdit à tout supporter du club du Toulouse Football Club de se prévaloir de cette qualité notamment en affichant une écharpe, un insigne, un vêtement, un drapeau permettant d’identifier ce club, dans la commune de Rennes, à l’exception de l’enceinte du stade Roazhon Park », d’une part.

D’autre part, « de 9 h à 23 h 59, sont interdits la possession, le transport et l’utilisation de tous pétards ou fumigènes, drapeaux et banderoles dont les inscriptions appellent à la provocation, à la violence ou à la haine et tout objet pouvant être utilisé comme projectile, dans la commune de Rennes, y compris dans l’enceinte et aux abords du stade. »

La préfecture d’Ille-et-Vilaine prévient, enfin, que « les forces de police seront pleinement mobilisées, à l’occasion de cette rencontre sportive classée à risque, afin d’assurer le maintien de l’ordre public et le respect de ces mesures. »

La programmation du derby contre le FC Nantes est connue

La Ligue de football professionnel (LFP) a dévoilé ce mercredi 6 novembre la programmation de la 14e journée de Ligue 1, avec notamment le derby entre le FC Nantes et le Stade Rennais au programme.

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Le FC Nantes et le Stade Rennais s’affronteront au stade de la Beaujoire lors de la 14e journée de Ligue 1. La Ligue de football professionnel a dévoilé mercredi la programmation de la 14e journée, et le derby a été programmé au dimanche 8 décembre à 17 h. Il sera diffusé sur DAZN.

D’ici là, les Rouge et Noir reçoivent Toulouse ce dimanche 10 novembre (17 h), se déplacent à Lille dimanche 24 novembre (15 h) et accueillent Saint-Étienne samedi 30 novembre (17 h).

Les Rouge et Noir ont touché le fond

Le Stade Rennais a subi une humiliation à Auxerre (défaite 4-0). Auteurs de l’un des pires matches du club depuis des années, les Rennais rendent rendent la situation de leur entraîneur Julien Stéphan intenable.

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On avait le sentiment que le Stade Rennais était sur le fil du rasoir semaine après semaine. Qu’il ne dégageait aucun enthousiasme, aucune ferveur, et au contraire qu’il rencontrait une défiance de plus en plus nette. Mais il pouvait toujours se réfugier derrière des résultats pas encore catastrophiques, voire une esquisse de dynamique positive. Et il espérait, après la victoire contre Le Havre (1-0) qui avait laissé tout le monde dubitatif, pouvoir se libérer. On a vu.

Difficile de ne pas voir dans ce qui s’est passé à l’Abbé-Deschamps un tournant de la saison rennaise. Une humiliation comme les plus jeunes supporters du SRFC n’en ont peut-être jamais vécue. Et surtout, la pire prestation de la saison, alors que pas mal de sorties avaient déjà inquiété depuis le mois d’août.

Julien Stéphan : J’ai de l’énergie pour continuer
Un 4-0 tellement limpide que Julien Stéphan n’a même pas cherché à mettre en avant les deux buts (logiquement) refusés à Arnaud Kalimuendo, dont le deuxième qui a surtout été transformé en penalty auxerrois. Son équipe n’était de toute façon pas en droit de revendiquer mieux après 45 premières minutes cataclysmiques.

« Il y a un sentiment de honte, ne pouvait qu’expliquer Stéphan. Dans ces moments-là, il faut d’abord s’excuser auprès de certaines personnes : les propriétaires, les supporters, ceux qui suivent le club. C’est une prestation indigne. Il n’y a rien eu en première période, rien dans l’utilisation du ballon, pas de rythme, pas de dynamisme, pas assez de choses dans l’intensité, dans les duels. En plus, on prend des buts sur des situations que l’on avait identifiées. On a fait trois changements à la mi-temps, on aurait pu en faire beaucoup plus si le règlement nous l’avait permis. »

Comme il l’avait déjà fait à Brest il y a deux semaines, le parcage rennais a encore réclamé la démission de son entraîneur. Lui-même sait pertinemment que sa situation apparaît de plus en plus intenable, alors que son équipe attendait le résultat de Nantes face à Marseille pour savoir si elle se retrouverait 13e ou 14e de Ligue 1. Quasiment au tiers du championnat.

Mais c’est peut-être plus l’encéphalogramme plat général qui rend un électrochoc indispensable aujourd’hui, une semaine après l’audit réclamé par le président Arnaud Pouille sur les cellules de performance du club. « C’est surtout un gros décalage entre ce que l’on avait travaillé cette semaine et ce que l’on a pu réaliser, déplore Stéphan. On met des choses en place, on analyse l’adversaire, on cherche à s’améliorer dans les connexions collectives. Il faut être réaliste sur ce que l’on a produit aujourd’hui. Clairement, ce n’est pas la production d’une équipe de première partie de tableau, loin de là, mais celle d’une équipe de bas de tableau. »

Santamaria : Il va falloir que quelque chose se passe
L’entraîneur avait même anticipé les questions sur son avenir personnel en conférence de presse, sachant qu’il se retrouve plus que jamais au centre de toutes les attentions : « J’ai de l’énergie pour continuer, pour me battre, tout mettre en œuvre pour faire progresser l’équipe. Si je suis menacé ? Ce n’est pas à moi de répondre, je n’ai pas les clés. »

Et alors que ses joueurs, aussi décevants soient-ils ces dernières semaines, n’avaient jamais semblé lâcher leur staff, le doute est permis pour ce qui est d’hier. « Posez leur la question », rétorque Stéphan. Sans viser son coach, Baptiste Santamaria a tout de même donné un élément de réponse : « Il va falloir que quelque chose se passe pour que tout change. » Et il y a de plus en plus urgence.

La honte de Julien Stéphan après la déroute de Rennes

Il y a 28 ans, son père, Guy, ramassait 7-0 à Auxerre avec l’OL. C’est de famille.

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Nettement battu, voire humilié par l’AJ Auxerre ce dimanche en Bourgogne (4-0), le Stade rennais est en crise. Et Julien Stéphan, son entraîneur, a bien vu la prestation cataclysmique de son équipe. "Il y a un sentiment de honte qui nous anime. Je crois que dans ces moments-là, il faut s’excuser auprès de certaines personnes : le propriétaire, les supporters, ceux qui suivent le club parce que c’est une prestation indigne", a-t-il d’abord affirmé en conférence de presse après le revers. En entrant un peu plus dans les détails, il a déploré le premier acte, où il n’y a rien eu "dans l’utilisation du ballon, pas de dynamisme, pas assez de choses dans l’intensité, dans les duels".

"On a fait trois changements à la mi-temps, on aurait pu faire beaucoup plus si le règlement nous l’avait permis", a-t-il également glissé. Forcément, avec cette déroute, son poste est menacé. Avant même que la question ne lui soit posée, il a promis : "J’ai de l’énergie pour continuer, pour me battre, pour tout mettre en œuvre pour faire progresser cette équipe." S’il assume que la performance de ce dimanche est "une production d’une équipe de bas de tableau", il a également insisté sur le fait qu’il y avait eu un "décalage" entre son plan de jeu et l’exécution de celui-ci.

Jocelyn Gourvennec a déjà refait son CV.

Le Stade Rennais coule à Auxerre et inquiète toujours plus

Une soirée cauchemardesque, de A à Z, où rien ne va… A comme annulé (logiquement), à l’image des deux buts rennais de Kalimuendo, Z comme zéro, la note à donner à une telle prestation. Toujours sans succès à l’extérieur depuis le début de la saison, le Stade Rennais espérait bien débloquer son compteur à l’Abbé-Deschamps. Raté, et pire encore, les « Rouge et Noir » ont totalement sombré en Bourgogne. Le jeu, lui, est toujours porté disparu…Priez pour eux !

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Que ressortir d’une telle rencontre ? Rien, si ce n’est d’entrevoir les mêmes lacunes, semaine après semaine, voire aggravées, et de constater un sentiment d’impuissance palpable à tous les niveaux. Si cela ne suffisait pas, les Bretons ont donné le bâton pour se faire battre : « On se met dans la merde tout seul », s’agaçait déjà Ludovic Blas au micro de DAZN au moment de rentrer aux vestiaires.

Une première période catastrophique
Inexistants en première période, les joueurs de Julien Stéphan, plus que jamais sur la sellette après cette débâcle, multiplient les cadeaux. Des relances mal assurées et une sanction logique, peu avant la demi-heure de jeu, sur un ballon remis plein axe par Matusiwa. Gaëtan Perrin, beaucoup trop seul à l’entrée de la surface de réparation, récupère le cuir et a tout le loisir d’enchaîner sa frappe après un contrôle poitrine. Le ballon prend le chemin du petit filet et trompe Steve Mandanda (1-0, 27’).

Après le cadeau, place au contre d’école avec, au départ de l’action, un centre rennais. Le gardien auxerrois relance vite et le contre s’organise. Traoré trouve magnifiquement Perrin qui, toujours seul, ajuste Mandanda pour la doubler la mise (2-0, 38’). Côté rennais ? Le néant, avec comme seul frisson le but refusé à Arnaud Kalimuendo en début de match, coupable d’une main dans la surface. C’est à peu près tout pour une première période dominée de la tête et des épaules par Auxerre, méritant et disposant au moins d’un plan de jeu clair et appliqué (2-0).

Probablement (très) mécontent de la prestation de ses joueurs en première période, Julien Stéphan décide de faire trois changements à la mi-temps : Amine Gouiri, Baptiste Santamaria et Mikayil Faye rentrent à la place de Glen Kamara, Azor Matusiwa et Christopher Wooh. Si la copie globale est évidemment inadmissible, le début de seconde période est tout de même meilleur (maigre consolation), mais quand rien ne va…

Julien Stéphan plus que jamais en danger
Alors que les Rennais se procurent enfin des occasions par l’intermédiaire d’Amine Gouiri, parvenant même à réduire l’écart sur un contre, là aussi d’école, conclut par Arnaud Kalimuendo, la VAR intervient et désigne… un pénalty pour Auxerre. Mikayil Faye est repris par la patrouille, coupable d’avoir ceinturé son adversaire au début de l’action. Sinayoko transforme et replonge Rennes dans ses doutes (3-0, 64’).

La dernière demi-heure est beaucoup plus débridée et le SRFC n’y est plus, tentant simplement de sauver l’honneur. Les Auxerrois, eux, vont finir d’achever les Bretons. Finalement logique tant les locaux enchaînaient les situations depuis plusieurs minutes. Sur un long ballon aérien, Léo Ostigard perd un énième duel, le ballon revient dans les pieds de Sinayoko qui transmet à Ado Onaiwu. L’attaquant ouvre parfaitement son pied et met fin à l’agonie rennaise (4-0).

Après dix journées, le Stade Rennais pointe à la 13e place de Ligue 1, à seulement un petit point de Saint-Etienne, premier relégable. La situation est inquiétante, critique même, et la crise est là, ne pouvant plus être ignorée. La question de l’entraîneur va plus que jamais se poser avec un Julien Stéphan sans solution. L’issue paraît inévitable et les prochaines heures ou prochains jours risquent d’être mouvementés sur les bords de la vilaine…ou dans les bureaux parisiens où beaucoup de choses se décident. Novembre est bien là, et son ciel gris avec, une semaine avant de recevoir Toulouse au Roazhon Park.

Julien Stéphan a creusé sa fosse

Déception de ce début de saison en Ligue 1, Rennes s’est encore noyé ce dimanche en subissant la loi d’Auxerre (4-0). Une défaite "honteuse", comme l’a qualifiée Amine Gouiri, et qui pourrait bien sonner la fin de l’aventure de Julien Stéphan sur le banc breton.
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La mèche est allumée, et on se demande quand la bombe va exploser. S’il n’y avait pas besoin d’attendre ce soir et la gifle reçue face à l’AJ Auxerre (4-0) pour savoir que Rennes n’était pas l’équipe de ce début de saison en Ligue 1, ce match nous a au moins rappelé qu’elle était l’une des plus faibles, tant dans le contenu que dans le résultat brut. «Il faut que je saisisse comme une opportunité pour, excusez-moi de l’expression, faire fermer des bouches et continuer à avancer (…) Il y a une très forte motivation de ne pas lâcher, de lutter contre des vents contraires, des ouï-dires», déclarait Julien Stéphan ces derniers jours en conférence de presse.

Après cette nouvelle bouillie de football servie par Rennes, et pas la première cette saison, on ne voit pourtant pas pourquoi les mêmes causes ne continueraient pas à produire les mêmes conséquences. Amorphes, sans idées, incapables de réagir, les Bretons ont encore joué petit bras et le bilan est salé : toujours aucune victoire à l’extérieur, seulement 5 points pris sur les 6 dernières journées, et une 13e place en L1, bien loin des attentes générées par le mercato XXL de cet été. On sait combien la théorie de la défaite "encourageante" est fragile, mais à Rennes, même les défaites ne sont pas encourageantes.

Difficile de voir Stéphan continuer
Dernièrement, nous vous révélions que Julien Stéphan était sur un siège éjectable, faute de résultats en phase avec les ambitions du club. Depuis, Rennes a obtenu un point très bien payé face à Brest (1-1) et décroché un succès étriqué face au Havre, candidat au maintien (1-0), avant d’être rattrapé par sa nature profonde ce soir avec ce non-match contre l’AJA. «C’est une honte, c’est honteux, on prend 4-0 à Auxerre, il n’y a pas de réaction… On joue comme une équipe qui joue la relégation, on ne peut pas remplir nos objectifs en jouant comme ça, c’est impossible», se lamentait Amine Gouiri après la rencontre.

Dès le coup de sifflet final, les réactions des autres joueurs rennais en disaient long sur la gravité de la situation. Furieux, Arnaud Kalimuendo regagnait le vestiaire, quand une autre partie du groupe, passive et le regard vide, donnait la sensation de subir la situation comme sur le terrain. Forcément, difficile de se remettre la tête à l’endroit après une telle sortie de route, même si Julien Stéphan appelait à se remettre au travail : «on a honte, c’est une prestation indigne sur l’ensemble de la rencontre, pas en phase avec ce qu’on avait préparé et imaginé. C’est une soirée difficile, dans ce genre de situation, il faut se réfugier dans le travail. Si je me sens menacé ? J’ai du courage et l’envie de travailler, faire progresser les choses», confiait-il sur DAZN. Pas certain que sa direction soit du même avis ce soir. Ni ses supporters, dont les doléances se font de plus en plus massives sur les réseaux sociaux, et qui ne verraient pas un départ de leur entraîneur comme un crève-cœur… Selon nos informations, la direction bretonne privilégierait déjà un profil francophone pour le remplacer…

Julien Stéphan viré, ils n'en doutent plus une seconde

Nouvelle débâcle pour Rennes, qui ne s'en sort pas cette saison. Le lourd revers à Auxerre risque de mettre un terme à l'aventure de Julien Stéphan.

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Cela sent la fin pour l’épisode 2 de Julien Stéphan à Rennes. Déjà hué à domicile la semaine dernière malgré la victoire face au Havre, l’entraineur breton risque d’avoir du mal à tenir le cap après le match de ce dimanche à Auxerre. Les Rennais ont coulé, individuellement et collectivement, en encaissant un cinglant 4-0 face à une formation d’Auxerre qui n’en demandait pas tant. Il y a désormais un match à domicile face à Toulouse avant la trêve, mais le sort de Julien Stephan pourrait être scellé rapidement. En tout cas, chez les supporters "Rouge et Noir" comme les observateurs, l’avenir du fils de Guy Stéphan était bien compromis. "On attendait un résultat avec la manière. On a vu l’inverse, une humiliation honteuse. Personne n’est au niveau: les joueurs , le coach, le directeur sportif. Le premier fusible, c’est Stephan. On voit mal comment il pourrait rester. Parce que Rennes joue le maintien désormais" a ainsi expliqué le journaliste de TV Rennes Vincent Simonneaux.

"Je suis descendu du train Julien Stéphan. Je suis patient mais là…", "la seule bonne nouvelle du match, c’est qu’on va se séparer de Stéphan", "Stéphan n’est pas le seul responsable mais c’est lui qui va trinquer", ont noté les supporters du club breton, pour qui Julien Stéphan ne pourra pas tenir le cap de cette série de résultats, qui met Rennes avec un seul point d’avance sur la relégation alors que le retour en Coupe d’Europe était ambitionné.

Julien Stéphan fait le point sur le groupe et il annonce une pluie d’absences

Alors que le Stade rennais se prépare pour son déplacement à Auxerre dimanche, l’entraîneur Julien Stéphan a fait le point sur la situation de son effectif. L’équipe a pour objectif non seulement de récolter des points, mais aussi d’améliorer son image après un début de saison compliqué.

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Malgré une victoire contre Le Havre, la manière dont le match a été gagné n’a pas convaincu les supporters, qui l’ont fait savoir aux joueurs à la fin de la rencontre. Pour le match contre l’AJA, Stéphan devra composer sans Seidu, suspendu à cause d’une accumulation de cartons jaunes.

D’autres absences sont également à signaler dans l’équipe. Mikayil Faye, blessé lors du dernier match, n’a pas participé aux entraînements de la semaine. Andres Gomez, victime d’un choc à l’entraînement, a également dû s’absenter de la séance de ce matin.

Cependant, une note positive vient de la participation de Henrik Meister, qui, après une longue blessure, a pu s’entraîner ce matin. Cette nouvelle pourrait renforcer le moral de l’équipe avant le déplacement crucial à Auxerre.

Rennes vient pour gagner le match pour remonter au classement

En regain de forme depuis la fin du mois de décembre, l’AJ Auxerre a trois points d’avance sur la zone rouge avant la 10e journée de Ligue 1. Dimanche, les Bourguignons affronteront le Stade Rennais, une équipe proche au classement. L’entraîneur icaunais, Christophe Pélissier était en conférence de presse ce vendredi.

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"En Ligue 1, si on baisse dans la concentration, on peut être en difficulté. L’équipe de Rennes vient pour gagner le match pour remonter au classement. On connait leurs qualités et individualités. Nous, on doit continuer à être aussi performant collectivement. Les résultats valident le travail. Tout ne se fait pas d’un coup de baguette magique. Les joueurs arrivent à mieux communiquer sur le terrain. Les résultats positifs amènent un élan positif, aux entraînements notamment. Mais, ces deux derniers matches doivent nous permettre d’avoir cette confiance, mais il ne faut pas faire preuve de suffisance. Rien n’est jamais acquis."

Le Roazhon Park gronde, les Bretons au bord de l’implosion

Malgré la victoire obtenue au Roazhon Park face au Havre vendredi soir (1-0), Rennes n'a pas réellement relevé la tête, et a été confronté aux sifflets de son public. Après plusieurs semaines lassantes, la crise pointe le bout de son nez.

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Réputé dans le football français pour sa relative tranquillité depuis de longues années, le Stade Rennais est en train de connaître de sérieux remous. Les Bretons sont à la peine depuis de longs mois, et affichent un niveau bien loin de celui d'une équipe visant la qualification européenne chaque saison.

Un flou total autour du projet de rennes
Suite à un exercice 2023-2024 maussade, de grandes manœuvres ont été entamées, et cela s'est ressenti durant le mercato. Le club breton a été l'un des plus actifs de l'hexagone, ce qui a considérablement bouleversé l'effectif. Avec ce nouveau groupe, Julian Stéphan peine à trouver la solution depuis le début de la saison.

Les Rennais sont peu convaincants, et font preuve d'une irrégularité frustrante. Avant la neuvième journée de Ligue 1, ils affichaient un piètre bilan de huit points en huit matchs. Naturellement, la question de l'avenir du coach rennais commence à se poser. Des rumeurs ont d'ailleurs déjà évoqué le nom d'Igor Tudor en potentiel remplaçant. Au sommet du club, des décisions importantes ont été également prises récemment.

La famille Pinault a fait le choix de se séparer du président Olivier Cloarec, pour le remplacer par Arnaud Pouille, qui avait fait ses preuves au RC Lens auparavant. Tout ce remue-ménage a fini par lasser les supporters, qui n'arrivent plus à suivre la ligne conductrice du club. Et ces derniers l'ont fait ressentir vendredi soir.

Les supporters rennais sifflent leurs propres joueurs
Face au HAC, tout semblait indiquer que la soirée allait bien se passer. Sur le terrain, ce fut le cas. Les Rennais ont accroché les trois points en s'imposant 1-0, grâce à un but de Carlos Andres Gomez. Malgré tout, cela n'a pas suffi à conquérir un public frustré par le manque d'efficacité de son équipe (20 tirs) contre un adversaire en plein doute (cinq défaites consécutives). Les Bretons ont même frisé la correctionnelle dans les dernières minutes.

Résultat, le traditionnel clapping pour célébrer une victoire a été zappé, les joueurs étant copieusement sifflés par leurs propres supporters. En interview d'après match, Julian Stéphan a préféré mettre en avant la victoire sans insister sur cette scène, dans des propos rapportés par Ouest France :

“On n’a peut-être pas répondu à toutes les attentes du public s’il a réagi comme ça. c’est aussi notre fin de match un peu difficile qui a amené ça. mais il faut bien prendre conscience que ce qui est essentiel pour nous, c’est la victoire, elle est vraiment importante.

Provisoirement 8e avec 11 points, Rennes va se déplacer à Auxerre avant de recevoir Toulouse dans les quinze prochains jours. Les six points sont obligatoires pour ne pas plonger dans une crise malvenue.

Stéphan rétropédale sur ses déclarations chocs

S’il était désireux de "faire fermer des bouches" en se relançant avec le Stade Rennais alors que son avenir était sur la table et qu’on parlait d’Igor Tudor pour le remplacer, Julien Stéphan n’a pas souhaité commenter sa sortie choc après la victoire face au Havre (1-0).

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Julien Stéphan (sur DAZN) : "Est-ce que ça vous est arrivé de poser de mauvaises questions ? Bah moi ça m’est arrivé de mal répondre à une question… (Sur son avenir et ses mots en conférence de presse) Je n’ai peut-être pas très bien répondu et ce n’était peut-être pas la meilleure formule.

Gagner, c’était important comptablement
Ce soir, on a affronté un bloc très très bas, qui sortait peu, avec très peu d’espace. On a beaucoup contourné en première mi-temps. On manquait de verticalité sur des courses. On a eu beaucoup de coups de pied arrêtés et énormément de corners en première mi-temps (…) C’était un match où il fallait faire preuve de patience. Alors bien sûr il y a des choses à améliorer dans l’attaque de la ligne mais il y a eu un beau but d’Andrès (Gomez) en deuxième période. Les 20-25 dernières minutes étaient plus difficiles, on était entre-deux. Nous sommes restés à la merci d’un ballon long, d’un centre lointain. Malgré tout, on reste sur la lignée. On prend quatre points sur six sur les deux derniers matchs. On continue notre dynamique d’un neuvième match consécutif avec au moins un but et pour notre gardien, c’était important de ne pas encaisser.

On a gagné ce match-là. Il fallait le gagner. C’était important comptablement. Important pour augmenter le niveau de confiance et bien se préparer pour un match à l’extérieur à Auxerre où ce ne sera pas simple. L’AJA a fait tomber quelques belles équipes chez eux : Nice, Brest, Reims… Ils ont des références chez eux."

Une victoire sous les sifflets

Dans un duel d’équipes en quête de renouveau, Rennes s’est imposé contre Le Havre sur le score de 1 à 0, ce 25 octobre, lors de cette neuvième journée. Mais, au Roazhon Park, ces trois points arrachés avec difficulté avaient un goût amer, presque de défaite. Dès la fin de la rencontre, les sifflets ont retenti dans le stade. Dès l’issue du match, certains supporters demandaient aux joueurs de rentrer bien vite au vestiaire. Même Lorenz Assignon, tentant de montrer son attachement au club d’un geste de la main sur le cœur, n’a pu atténuer la déception palpable. Il s’est éclipsé avec ses camarades, sans un seul clapping.

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Pourtant, le Kop avait adressé un message clair dès le coup d’envoi. "Honorer cette ville est votre devoir", affichait une large banderole déployée devant la tribune rose. Bien que tancée vertement, l’équipe (au complet) a démarré sur un tempo prudent, voire timide. Face au bloc compact du Havre, le jeu rennais paraissait stérile, malgré une défense bien organisée et des tentatives de Jota et Gomez soutenues par un Ludovic Blas, dynamique. Heureusement, à la 18e minute, Blas réveilla le Roazhon Park d’une frappe inspirée, détournée par le portier havrais. Quinze minutes plus tard, il se distinguait à nouveau sur une tête, mais les gants de Desmas contenaient une fois encore l’élan rennais.

À la reprise, les Rennais sont revenus sur le terrain avec davantage d’énergie. Il trouvait le chemin des filets grâce à une superbe frappe enroulée d’Andrés Gomez, qui trompa habilement le gardien. On crut alors les Rennais libérés. Mais voilà, les nombreux changements opérés par Julien Stéphan ont peu à peu brisé cette dynamique?! Ils offraient aux spectateurs un dénouement laborieux, ponctuée de glissades, de dégagements approximatifs et même d’un carton rouge pour les Havrais. "Notre fin de rencontre a été bien plus pénible", reconnaissait Julien Stéphan. "On a manqué de maîtrise, de lucidité dans nos choix. Quand on ne marque pas de deuxième but, on reste vulnérables. Il va falloir travailler pour éviter de donner de telles occasions à l’adversaire."

En dépit de cette victoire étroite face à une équipe havraise modeste, Julien Stéphan tentait de relativiser. "Je ne suis pas soulagé, mais content d’avoir gagné, car dans notre métier, c’est le résultat qui compte. Pour nous, il était crucial de prendre ces trois points pour retrouver un élan positif." Mais hier soir, un désamour profond semblait poindre entre les supporters et le club rennais, teinté d’une certaine tristesse. La confiance pourrait être longue à restaurer… malgré les belles performances de Seidu, Faye et Blas.

Meister absent, Ostigard espéré

Pour la réception du Havre, vendredi (20 h 45) en Ligue 1, le Stade Rennais ne pourra une nouvelle fois pas compter sur Meister, blessé, alors qu’Ostigard fait son retour.

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Déjà absent samedi à Brest (1-1), l’attaquant Henrik Meister n’est pas remis pour affronter Le Havre, ce vendredi (20 h 45). De son côté, Léo Ostigard a "repris l’entraînement collectif" ce mercredi et pourrait intégrer le groupe des 20, qui sera connu vendredi matin.

Après la faillite durant une bonne partie du match à Brest de son 3-4-3, Julien Stephan devrait repasser en 4-2-3-1 dès le coup d’envoi. "Il y a des ajustements à trouver. Ce sera le premier match où on aura tous les profils de l’effectif à disposition, Jota et Gomez pourraient être en capacité de débuter", a indiqué l’entraîneur.

L’équipe probable :

Mandanda (cap.) - Assignon (ou Hateboer), Seidu, Faye, Truffert - Matusiwa, Kamara - Blas, Gronbaek, Jota - Kalimuendo.

Stéphan reconnait des faiblesses mais se félicite du point pris

Ce samedi, et depuis 17 heures, le Stade Rennais se déplaçait sur la pelouse du Stade Brestois pour le compte de la 8e journée de Ligue 1.

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On ne sait si le point pris à Brest (1-1), ce samedi, permettra à Julien Stéphan de rester sur le banc de touche du Stade Rennais dans les prochaines semaines. Seule certitude, son équipe n'a pas montré grand chose lors de ce derby breton et ce sont, en toute fin de rencontre, quelques changements, et notamment l'entrée de Gronbaek, qui ont enfin permis au SRFC de se montrer dangereux. Et d'égaliser par l'intermédiaire de Jota.

Les joueurs ont été récompensés
Au terme de la rencontre, le technicien rennais est venu partager ses impressions au micro de BeIN Sports. "On a eu beaucoup de difficultés une bonne partie du match. On a été trop pauvres dans le jeu pendant une heure. On a tenu le ballon plus haut par la suite, les entrants ont apporté du dynamisme. Les joueurs ont été récompensés de s'être battus. Une équipe à deux visages ? Oui. On est en quête de réussir à intégrer tout le monde et notamment ceux qui ont eu une préparation tronquée cet été. Le point positif, c'est d'avoir réagi, de ne pas avoir baissé les bras. Il nous fallait tenter autre chose une fois qu'on était menés au score. Mais on a encore beaucoup de choses à améliorer sur le plan collectif. Gronbaek ? C'est un joueur de 30 derniers mètres, très bon pour attaquer la surface adverse."

Brest-Rennes : Les tops et flops

Malgré un grand Romain Del Castillo, Brest n’a pu faire mieux que match nul (1-1) samedi face au Stade rennais, pour la 8e journée de Ligue 1.

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Pierre Lees-Melou réussit son retour
C’est un retour décidément réussi. Après plusieurs semaines d’absence, Pierre Lees-Melou refoule les pelouses de Ligue 1, pour notre plus grand bonheur. Le milieu français a encore réalisé une bonne performance ce samedi lors du match nul entre Brest et Rennes. Bien aidé par Magnetti et Camara, le joueur de 31 ans a provoqué le penalty sur une frappe contrée par Matusiwa. Remplacé par Martin à la 73e minute, Lees-Melou sera attendu contre Leverkusen dans quelques jours, en Ligue des champions.

Romain Del Castillo remuant
Sans doute l’homme du match. Auteur du penalty transformé à la 54e minute, Romain Del Castillo a été le plus remuant de l’attaque brestoise et a été meilleur que Ajorque et que Pereira Lage. Remplacé par Romain Faivre à la 81e minute, l’ancien joueur de Lyon confirme sa bonne forme et sera aussi attendu mercredi en Ligue des champions.

L’attaque rennaise en berne
Une longue après-midi. Dans un 3-4-2-1 qui ne les avantageait certes pas beaucoup, Kalimuendo, Gouiri et Blas n’ont pas beaucoup impacté le jeu et n’ont pas porté le danger dans la défense brestoise. Les entrées de Jota, qui a marqué, et de Gronbaek, ont donné du tonus aux Bretons. Ce match difficile vient confirmer un début de saison très moyen de l’équipe entraînée par Julien Stéphan. Mais le calendrier abordable pourrait aider les Rennais dans les semaines à venir.

Steve Mandanda en difficulté
Lui aussi a été en souffrance. Même s’il n’a pas grand-chose à se reprocher sur le penalty, Steve Mandanda n’a que très rarement rassuré sa défense ce samedi. L’ancien international français a pris au moins un but pour le quatrième match de suite. Il n’a gardé sa cage inviolée qu’à deux reprises cette saison en Ligue 1. Les semaines à venir nous montreront si sa place de titulaire est en danger ou non.

S.G.S.B.

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