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Le stade de la Beaujoire va sonner très creux

En plus de la fermeture partielle de la tribune Loire, le parcage sera également fermé ce dimanche, pour le derby entre Nantes et Rennes.

Le stade de la Beaujoire va sonner très creux

Ce dimanche à 17 heures, la 14ème journée de Ligue 1 va proposer le derby entre le FC Nantes et le Stade Rennais, au stade de la Beaujoire. Deux équipes assez proches au classement (3 points d’écart), même si les Rennais n’auront pas l’occasion de pousser leurs joueurs depuis le parcage. En effet, la préfecture de Loire-Atlantique a pris un arrêté pour interdire la venue des fans rennais.

Un recours encore possible
La rivalité entre les deux clubs et les incidents des rencontres précédentes expliquent cette décision, mais également la grosse tension autour du FCN, qui a vu certains ultras de la Brigade Loire tenter d’envahir le terrain face au Havre (0-2). De ce fait, les supporters du SRFC seront aussi interdits de se montrer dans l’intégralité des 24 communes de la métropole nantaise, à partir de samedi 18 heures, jusque lundi 8 heures.

Cependant, un recours de l’Association nationale des supporters peut encore avoir lieu devant le Conseil d’État, comme c’était le cas avec les supporters nantais, interdits, puis acceptés au Parc des Princes samedi dernier. À noter qu’il y aura également une fermeture partielle de la tribune Loire du stade de La Beaujoire.

Consignes claires, intransigeance, plaisir et Jordan James... pourquoi la première de Sampaoli au Roazhon Park a été une réussite

Battu de peu à Lille (1-0) pour sa première sur le banc breton, Jorge Sampaoli a réussi ses débuts au Roazhon Park avec le Stade Rennais en disposant largement de Saint-Etienne samedi (5-0). Même si il est trop tôt pour parler de greffe réussie, les Rennais sortent de ce match avec beaucoup d'indices positifs alors que le calendrier semble sur le papier dégagé jusqu'à Noël.
Pourquoi la première de Sampaoli au Roazhon Park a été une réussite

Lorsqu'on a délaissé le terrain pour regarder les tribunes, ce sont des scènes oubliées auxquelles on a assisté samedi dernier au Roazhon Park. Arnaud Pouille, le Président et Frederic Massara, le directeur sportif, sourire aux lèvres en loge présidentielle. Des supporters debout pour applaudir. Oui, Rennes a retrouvé des couleurs dans une ambiance que l'on n'avait pas vu depuis la 1ère journée et un 3-0 face à Lyon qui laissait alors espérer une belle saison. Le dernier succès rennais à la maison datait d'il y a un mois, mais ce pénible 1-0 face au Havre du 25 octobre dernier ne ressemblait en rien à une victoire. Pour la première fois, il n'y avait même pas eu l'habituel clapping mais plutôt une bordée de sifflets. Samedi, la traditionnelle communion de fin de match était de retour avec le blessé Alidu Seidu et ses béquilles en chef d'orchestre face au kop.

Comment qualifier cette victoire du Stade Rennais? Réjouissante, c'est certain pour les 27.000 supporteurs présents mais aussi rassurante pour l'ensemble du club et ses dirigeants. Jorge Sampaoli a apprécié ce qu'a montré son équipe: "Je suis évidemment satisfait. L'équipe avait été en progrès défensif contre Lille. Aujourd'hui, elle a été en progrès offensif. On peut travailler dans la sérénité et ce match peut être un point de départ". Bien sûr, personne n'oublie que le large score vient aussi du carton rouge contre Cafaro de la 39e entraînant l'ouverture du score sur pénalty et la supériorité numérique. Mais les Rennais maîtrisaient déjà jusque-là les débats face à des Verts venus sans grandes ambitions apparentes ce qu'a souligné l'Argentin. "Saint-Etienne était devant nous au classement. Je ne les considère pas faible et je donne beaucoup de valeurs au style que l'on a mis en place. On a joué avec beaucoup de plaisir et ce plaisir va nous amener beaucoup".

On sait exactement ce qu'on doit faire
La prestation rennaise du soir donne en tout cas de bons signaux sur l'adaptation des joueurs rennais à leur nouveau coach arrivé en Bretagne il y a maintenant trois semaines. Sampaoli avait fait passer quelques messages forts en conférence de presse d'avant-match. Morceaux choisis: "La situation de chaque joueur est réévaluée si je suis là. Je fais mes choix. Je vois des joueurs pour le moment pas à la hauteur de mon analyse de leurs capacités. Vu l'état de l'équipe, je vais privilégier des joueurs qui sont agressifs et ont beaucoup d'énergie. Si on joue de manière désordonnée contre Saint-Etienne, on va perdre ! On peut s'en sortir en jouant de manière anarchique mais il faut des joueurs qui gagnent le match tout seul et à Rennes je n'en vois pas".

L'Argentin veut refaire de Rennes une équipe. L'analyse de ses choix dans le onze amène déjà quelques enseignements. Avec des gagnants (Mandanda, Assignon, Hateboer, Ostigard, Nagida, Matusiwa, Gouiri, Kalimuendo ont enchainé les deux rencontres) et des perdants (Wooh, Santamaria ou Jota par exemple n'ont pas joué pour les deux premiers ou sont seulement entrés en jeu comme le Portugais). Les joueurs rennais interrogés semblent en tout cas adhérer au discours. Ils n'ont de toute façon pas le choix. "Sampaoli demande beaucoup d'énergie tous les jours de la concentration. Ne jamais faire les choses moins bien et être toujours prêt. Il est très clair sur ce qu'il veut. Si tu le fais, tu pourras jouer. Sinon, tu auras des problèmes", lance Leo Ostigard. Une intransigeance nouvelle et une clarté dans le discours tactique bienvenue à en croire le défenseur. "On sait exactement ce qu'on doit faire. Avant, on était trop exposé. On ne savait pas ce qu'on allait faire exactement offensivement et défensivement". Une pierre dans le jardin de Julien Stéphan accréditant le fait que l'ex-entraîneur, malgré sa bonne volonté, avait perdu ses troupes.

Même à 5-0 on voyait qu'on voulait plus
Samedi en après-match, Amine Gouiri relevait aussi: "On travaille à l'entraînement les circuits de passe, l'intensité technique avec le ballon. Il veut qu'on joue tout simplement, qu'on répète les passes, qu'on domine l'adversaire pour avoir le contrôle du match. C'est ce qu'on a fait". Avec à l'origine du pénalty sur le premier but, un corner joué à deux entre Blas et Gouiri sur une combinaison "un travail avec le nouveau staff qu'on repète depuis dix jours".

Sur le banc à Lille ce qui avait surpris, Ludovic Blas "pas content" avouait lui avoir "beaucoup travaillé la semaine pour être titulaire. Le coach vient d'arriver. Je dois montrer que je peux être présent". Il l'a montré dans les grandes largeurs en sortant un gros match avec un but deux passes décisives et un pénalty directement provoqué ce que son entraîneur a souligné. Interrogé sur la patte Sampaoli dans le résultat du soir, Blas décryptait: "Le visage de l'équipe montre ce qu'on est maintenant. Même à 5-0, on voyait qu'on voulait plus. A chaque perte de balle, on courrait pour la récupérer. Il nous répète çà. Quand on perd la balle, être directement concerné. C'est ce qu'il nous a amené dès son arrivée". La consigne n'est pas révolutionnaire en soit mais c'est une preuve que l'état d'esprit et la mentalité des Rennais ont changé.

Un choix de Sampaoli a aussi directement pesé sur le match: la titularisation de Jordan James dans l'entrejeu. Arrivé cet été, le jeune joueur de 20 ans a été la révélation de la rencontre titulaire au côté d'Azor Matusiwa. James n'avait eu le droit qu'à trois entrées en jeu en début de saison avant de disparaître de la circulation n'étant parfois même pas sélectionné dans le groupe. Le Gallois, formé à Birmingham en Championship, international et titulaire avec sa sélection, a enfin pu montrer toutes ses qualités (98 ballons touchés, 93% de passes réussies, sept passes en profondeur, deux passes clés amenant une occasion). Pressing, contre-pressing, justesse technique, jeu vers l'avant, "il a fait un très grand match conforme au joueur que je voyais avec le Pays de Galles. Il a été l'un des meilleurs" l'a félicité Jorge Sampaoli en après-match. Une nouvelle tâche pour le bilan de son prédécesseur Julien Stéphan qui n'a jamais vraiment expliqué pourquoi James n'entrait pas dans ses plans, au contraire de profils plus restrictifs aux cotés de Matusiwa comme Kamara ou Santamaria. James évidemment "très frustré des premiers mois" où il n'a pas eu sa chance, a marqué les esprits.

Nantes, Angers puis le mercato pour s'affirmer
Désormais 12e au classement, le plus important reste maintenant pour Rennes de confirmer. Les Bretons regardent encore derrière. Ils n'ont que deux points d'avance sur le barragiste Le Havre et trois points sur le FC Nantes leur prochain adversaire dans un derby toujours particulier à la Beaujoire dimanche prochain. Suivra derrière la réception d'Angers, 14e. Le calendrier doit permettre aux Rennais et à Jorge Sampaoli de s'affirmer et de prendre leurs aises sur le bas à Noël. Après les 32es de Coupe de France arrivera alors la trêve puis le mercato d'hiver qui s'annonce actif dans les deux sens. Sampaoli aime travailler avec un groupe de 22-23 joueurs.

L'effectif en l'état est trop large. Des choix clairs seront alors faits par l'entraîneur, certains éléments ne répondant pas aux attentes devront trouver une porte de sortie s'ils veulent jouer. D'autant que l'Argentin compte bien demander des renforts. Le sujet a été discuté dans la négociation de sa venue et il a le feu vert de la direction. Il est trop tôt pour savoir combien de joueurs seront visés mais un défenseur suite à la longue blessure de Seidu, un milieu de terrain et un attaquant seraient attendus. Les pistes annoncées par la presse brésilienne, comme celui de Gerson (Flamengo) que Sampaoli a eu à l'OM, Fabricio Bruno (Flamengo) ou Joao Mario (Besiktas), n'ont pas encore été engagées ni par l'entraîneur ni par la direction. Les dirigeants rennais prioriseraient en premier lieu un recrutement en France pour ne pas internationaliser encore plus un vestiaire déjà bien chamboulé l'été dernier.

2 supporters stéphanois ont fini au commissariat de rennes

Le déplacement de l’AS Saint-Étienne au Roazhon Park, samedi 30 novembre 2024, restera comme une soirée à oublier sur tous les plans. Sur le terrain, les Stéphanois ont été balayés par un Stade Rennais en grande forme et se sont lourdement inclinés 5-0. Hors des terrains, des débordements impliquant certains supporters ont également été observés.

2 supporters stéphanois ont fini au commissariat de rennes

La rencontre face à Rennes marquait les débuts de Jorge Sampaoli sur le banc rennais à domicile, en Ligue 1. Face à des Bretons dans une mauvaise passe, rien n’a souri aux Stéphanois. Réduits à dix dès la 37? minute après une main de Mathieu Cafaro dans la surface, sanctionnée d’un carton rouge, les Verts ont été complètement dépassés.

L’ASSE n’avait plus encaissé cinq buts à Rennes depuis 1950, un chiffre qui illustre l’ampleur de la déroute. Le Stade Rennais, qui n'avais pas besoin de jouer à 11 contre 10 pour dépasser les Verts, n’a laissé aucune chance à ses adversaires, préparant idéalement son derby contre Nantes. De leur côté, les Stéphanois devront vite réagir avant la réception de l’Olympique de Marseille, dans un climat où chaque point devient crucial pour éviter une crise plus profonde.

Huit interpellations de supporters en marge de rennes-asse
Si la situation sportive est préoccupante, les événements en tribune n’ont fait qu’ajouter à la déception du week-end. Des incidents ont été relevés en marge de la rencontre, impliquant des supporters stéphanois. Selon les forces de l’ordre, des ultras des Verts ont tenté de contourner les contrôles de sécurité pour introduire des engins pyrotechniques dans le stade comme le rapporte Ouest France.

Ces tentatives ont provoqué un mouvement de foule et une intervention policière. Six supporters ont été interceptés avec du matériel pyrotechnique et ont écopé de verbalisations. Par ailleurs, deux autres ultras ont été interpellés pour outrage et rébellion, avant d’être placés en garde à vue au commissariat de la Tour d’Auvergne.

Il faut dire, sans excuser ces débordements, que l'entrée dans le stade des supporters stéphanois n'aura pas été des plus limpides. Arrivés 1h avant la rencontre devant le stade, ils sont entrés dans le parcage après 15 à 30 minutes de jeu. La faute à des contrôles de billets qui ont trainé en longueur et à l'intervention des forces de l'ordre pour calmer l'un ou l'autre supporter.

Kombouaré a son plan pour le derby

Après le très bon match nul ramené par le FC Nantes de son déplacement au PSG, 1-1, l’entraîneur Antoine Kombouaré s’est tourné vers le derby contre Rennes.

Kombouaré a son plan pour le derby

« Ce n’est qu’un point, mais il représente énormément pour nous » : même si le FC Nantes n’a toujours pas gagné depuis dix matches, Antoine Kombouaré ne faisait pas la fine bouche samedi soir après le match nul de son équipe sur le terrain du PSG (1-1). Le 5-3-2 mis en place par le coach des Canaris a bien fonctionné mais il ne sera pas forcément reconduit contre Rennes le week-end prochain.

Contre Rennes, on ne pourra pas jouer comme ça
« Contre Rennes, on ne pourra pas jouer comme ça, a expliqué le Kanak. Il faudra porter le danger. Mais je signe de suite pour les écraser 1-0. « C’est un point essentiel pour la confiance, même s’il ne nous permet pas d’avancer. Il devra être bonifié contre Rennes », a quant à lui soutenu Pedro Chirivella.

Pour y parvenir, il faudra donc être au rendez-vous dimanche prochain, 17 heures, au stade de la Beaujoire.

Marc Bollengier s'est exprimé sur l'expulsion de Cafaro

Ce samedi, Rennes s'est imposé (5-0) à domicile face à l'ASSE dans un match où les Verts ont reçu un carton rouge en début de rencontre. L'arbitre s'est exprimé sur sa décision.

Marc Bollengier s'est exprimé sur l'expulsion de Cafaro

Un carton rouge qui a coûté très cher. Ce samedi, Rennes s'est imposé (5-0) à domicile lors de la 13e journée de Ligue 1 face à l'ASSE, qui n'a jamais trouvé la solution pour stopper l'hémorragie. D'autant qu'un fait de jeu à la 37e minute n'a pas arrangé la situation. Alors que le score était nul et vierge, l'arbitre de la rencontre, Marc Bollengier, siffle un penalty en faveur de Rennes et exclut le Stéphanois Mathieu Cafaro. Une décision qui a lourdement pénalisé Saint-Étienne, qui a dû subir toute la rencontre face à une équipe rennaise déterminée à s'offrir sa première victoire sous l'ère Sampaoli.

L'arbitre de la rencontre a appliqué les lois du jeu
Interrogé à la fin du match par le diffuseur BeIN Sports, Marc Bollengier a expliqué sa décision de sanctionner coup sur coup les Stéphanois avec un penalty suivi d'un carton rouge : "Tout simplement, au regard de la situation qui s'est présentée, vous avez une augmentation artificielle de la surface corporelle, ce qui entraîne cette décision du penalty. Je vois immédiatement le caractère sanctionnable de la main. Sur le terrain, j'ai un doute sur le contact entre le ballon et le bras. Je laisse mon collègue de l'assistance vidéo travailler. Il est factuel avec moi en m'indiquant qu'il y a bien un contact entre le bras et le ballon. Je suis invité à venir voir l'image. Une fois devant l'écran, je vois le contact entre le bras et le ballon. À partir de ce moment-là, la décision technique est un penalty et, après cela, je demande à mon collègue de l'assistance vidéo de me donner plusieurs angles pour analyser le côté disciplinaire, c'est-à-dire une exclusion potentielle. Vous avez un geste délibéré qui entraîne ce contact du bras sur le ballon et une frappe qui part en direction du but, raison pour laquelle la sanction disciplinaire, dans la continuité du penalty, est donc l'exclusion", a-t-il confié.

Rennes s'amuse contre Saint-Etienne

Bien aidés par l'exclusion précoce de Mathieu Cafaro, les Rennais ont offert un après-midi de fête au public du Roazhon Park ce samedi après-midi face à l'ASSE (5-0), lors de la 13e journée de championnat. Le trio d'attaque Blas-Gouiri-Kalimuendo s'est refait une santé ; le dernier cité a même inscrit un triplé, dont 2 pénalties. Les Bretons remontent provisoirement à la 11e place.
Rennes s'amuse contre Saint-Etienne

Rennes s'est amusé. Ce samedi après-midi, les Rennais ont aisément battu Saint-Étienne (5-0), lors de la treizième journée de Ligue 1. Au Roazhon Park, Arnaud Kalimuendo s'est illustré en réussissant son premier triplé chez les professionnels (39e sp, 61e, 67e sp). A ses côtés, ses partenaires en attaque, Ludovic Blas (45e+6) et Amine Gouiri (53e), ont également marqué. Au classement du championnat de France, les Bretons gagnent quatre places et se retrouvent onzièmes. De son côté, l'ASSE en perd une et occupe désormais la quatorzième position.

Rennes attendait cela depuis le 25 octobre dernier. Ce jour-là, les Bretons avaient remporté leur ultime match de Ligue 1. Surtout, la formation désormais entraînée par l'Argentin Jorge Sampaoli avait inscrit son tout dernier but. Cette disette a donc enfin pris fin, après trois défaites et sept buts encaissés. Comme un symbole, ce sont Arnaud Kalimuendo et Ludovic Blas, co-meilleurs buteurs du club, cette saison, dans l'élite, avec trois réalisations chacun, qui ont sonné la révolte. Le premier à s'être illustré a été Kalimuendo. L'attaquant n'a pas tremblé au moment de tromper Gautier Larsonneur, pris à contre-pied, sur penalty (39e, 1-0). Après l'heure de jeu, l'avant-centre a réussi un second penalty (67e, 5-0), après son doublé, marqué cette fois dans le jeu (61e, 4-0), bien servi par Blas.

L'exclusion de cafaro, le tournant du match
Son compère en attaque a réussi un doublé de passes décisives, après avoir également trouvé Amine Gouiri (53e, 3-0), qui n'avait plus marqué dans l'élite depuis le 18 août. Juste avant la pause, Ludovic Blas avait aussi profité d'un contre favorable pour faire parler sa puissance et permettre aux siens de respirer enfin un peu mieux (45e+6, 2-0). Une autre de ses tentatives a été parfaitement bien repoussée par le portier adverse (32e). Larsonneur s'est ensuite également montré vigilant face à Jordan James (47e), puis Adrien Truffert (77e) et Kalimuendo, en quête du quadruplé (79e). De son côté, Albert Gronbaek a trouvé la barre transversale (77e).

Rennes était parfaitement bien entré dans cette rencontre, en monopolisant le ballon (72% de possession). En face, Saint-Étienne le rendait trop vite et s'est ensuite encore plus compliqué la tâche lorsque l'arbitre, après avoir lui-même vérifié les images, a directement expulsé Mathieu Cafaro, coupable d'une faute de main ayant amené le penalty de l'ouverture du score (37e). Une bien mauvaise nouvelle à plus d'un titre pour les Verts, car il s'agissait du Stéphanois le plus en vue dans ce début de rencontre. Cafaro s'était procuré la première occasion, mais sa puissante frappe avait heurté le poteau gauche de Steve Mandanda (17e).

Cette rencontre avait été interrompue pendant six minutes, entre les 3e et 9e, en raison de fumigènes. Les ultras rennais étaient, quant à eux, également en grève d'encouragements. Par la suite, les supporters ont eu de quoi se faire à nouveau entendre, cette fois par la voix. Saint-Étienne confirme ses énormes difficultés à l'extérieur et n'a pris qu'un point sur 21 possibles, avec une moyenne de plus de trois buts encaissés par match. De son côté, en panne offensive mais également en manque de confiance, Rennes aurait tout intérêt à s'appuyer sur cette belle performance collective pour essayer de débuter une série positive. Quoi qu'il arrive, l'ère Sampaoli est lancée et il faudra confirmer à Nantes, autre équipe en manque de points, le dimanche 8 décembre à 17h00.

Cafaro expulsé, l'arbitre avait parfaitement raison

Alors que l'ASSE tenait le choc à Rennes, les Verts ont craqué sur un penalty consécutif à une main de Cafaro dans la surface, lequel a en plus été expulsé. Certains se sont offusqués. A tort.

Cafaro expulsé, l'arbitre avait parfaitement raison

Une fois qu'il a visionné les images de la VAR, Monsieur Bollengier a rapidement indiqué le point de penalty, mais également brandi un carton rouge sous le nez de Mathieu Cafaro, le milieu de terrain de l'AS Saint-Etienne. Auteur d'une main, ce dernier a détourné le ballon qui semblait filer vers les filets de Larsonneur (37e). Résultat, non seulement les Verts se sont retrouvés menés au score, mais en plus, ils ont joué à dix, ce qui a abouti au résultat que l'on connait. Sur X, certains se sont offusqués de ce qu'ils ont assimilé à une double peine. Pierre Ménès a notamment confié son étonnement, avant de retirer son message, tandis que sur Beinsports l'heure était aussi à l'incompréhension. Cependant, le ton a rapidement changé, car très vite il a été précisé que l'arbitre était dans son bon droit en expulsant Cafaro et en accordant penalty pour Rennes. En effet, les règles prévoient précisément ce cas de figure dans sa loi 12.

« Si un joueur empêche l'équipe adverse de marquer ou annihile une occasion de but manifeste en commettant une main délibérée, le joueur doit être exclu quel que soit l'endroit de la faute (excepté le gardien de but dans sa propre surface de réparation) », précisent les règles. Autrement dit, Monsieur Bollengier n'avait d'autre choix que d'expulser le joueur stéphanois, furieux de cette décision et qui a été calmé par Larsonneur, gardien de but et capitaine de l'AS Saint-Etienne. Un rouge et un penalty qui ont un prix terrible pour les Verts, qui ont encore sombré loin de Geoffroy-Guichard.

Sampaoli sonne les cloches d’une attaque en hibernation

Muette depuis trois matches, l’attaque du Stade Rennais n’est pas aidée par le reste de l’équipe, mais elle est attendue au virage contre Saint-Etienne, samedi 30 novembre (17 h) au Roazhon Park. Quelle sera la formule choisie par le coach Jorge Sampaoli, qui ne s’est pas privé cette semaine de bousculer un peu les ego de ses joueurs offensifs ?

Sampaoli sonne les cloches d’une attaque en hibernation

306 minutes sans marquer ni se créer beaucoup d’occasions. Gouiri muet depuis la 1re journée contre Lyon, Kalimuendo incapable de marquer dans le jeu depuis la 4e journée contre Montpellier, et les autres guères plus brillants...

C’est déjà trop pour ce Stade Rennais qui ne peut pas se fier à grand-monde pour sortir de l’ornière. Apparemment, c’est ce que pense aussi Jorge Sampaoli, qui avait gardé son bonnet sur la tête mais enlevé ses gants vendredi en conférence de presse, à l’heure de décrire ce qu’il pense du rendement de ses joueurs.

Niveau de diagnostic global après quasiment trois semaines de travail ? "Certains ne sont pas à la hauteur de mon analyse faite avant d’arriver ici. Cela peut être lié au contexte, à la situation psychologique, ce qui fait que tout est plus complexe à présent…"

Prendre plus de risques sur le plan offensif ? "La priorité, c’est d’ordonner cette équipe, de la stabiliser. C’est uni et bien organisé qu’on réussira. On peut s’en sortir de manière anarchique, mais il nous faut des joueurs qui font la différence, gagnent des matchs tout seuls. Et à Rennes, je ne vois pas ce genre de joueur…"

Sur le billard à plusieurs bandes auquel joue Jorge Sampaoli, il y a sûrement une boule pour justifier l’ode au collectif qu’il récite depuis son arrivée. Mais aussi une boule pour préparer le mercato d’hiver, et une boule pour chatouiller l’ego d’une escouade offensive dont le rendement est à mille lieues de son coût financier pour le club...

Andres Gomez, vraie option en piston droit
C’est peu de dire que le réveil de l’attaque est attendu face aux Verts, 17e défense de l’élite, 25 buts encaissés en 12 matches. Cela passera aussi par des milieux plus inspirés pour créer la connexion, des pistons plus impactants, puisqu’on a compris que ni Vinicius ni Gyokeres ne jouent à Rennes. Et par des choix de Sampaoli, avec lequel personne n’est à l’abri d’aller faire un tour sur le banc.

On a interrogé le coach argentin sur l’opportunité de succomber à l’une de ses vieilles habitudes, à savoir l’utilisation d’un faux numéro 9 façon Luis Enrique : à Marseille, il avait offert une seconde jeunesse à Payet dans ce rôle que Gouiri pourrait éventuellement tenir. "Payet s’y était habitué très vite parce qu’il avait compris l’utilisation des espaces, et si on évolue avec ce genre de joueur, il faut que les autres s’y adaptent, avec des ailiers jouant dans la profondeur", a répondu Sampaoli.

Ils ne sont pas légion dans l’esprit du coach, lequel voit Blas et Jota comme des joueurs aimant repiquer à l’intérieur du jeu. Sampaoli pourrait-il du coup reconduire le trio Gronbaek - Kalimuendo - Gouiri ? L’option Andres Gomez piston droit, elle, est dans les cartons : "c’est un joueur que je connais depuis l’Amérique du Sud. J’aime ses capacités, il peut nous amener de la rapidité, de la profondeur..."

Il est question aussi de responsabilités à assumer bien davantage, chez ceux censés hausser le niveau de l’équipe. Notamment Gouiri, encore lui. « Aujourd’hui, il n’est pas un leader d’attaque, sans doute pour de multiples facteurs que je n’ai pas encore terminé d’analyser, assène Sampaoli. Avec Marseille, j’avais énormément souffert ici. Rennes était rapide avec et sans ballon. Ça, Rennes l’a perdu. Pour qu’il y ait un leadership, il faut que je retrouve ces joueurs qui soient déséquilibrants… »

Ce que redoute Olivier Dall’Oglio à Rennes

Demain, à compter de 17 heures, l’ASSE se déplace sur la pelouse du Stade Rennais, mal en point au classement de Ligue 1. L’entraîneur des Verts, Olivier Dall’Oglio, sait que le début du match risque fort d’être animé.

Ce que redoute Olivier Dall’Oglio à Rennes

Un test, un de plus pour l’ASSE cette saison. Qui va donc tenter de prendre un ou trois points supplémentaires en terrain adverse, à Rennes en l’occurrence. Pas vraiment du luxe pour les Verts qui, rappelons-le, n’ont ramené qu’un seul point de leurs différents déplacements lors du match à Nantes. Le reste n’est guère brillant avec des déroutes, notamment, à Nice, à Brest mais également à Angers.

Ils vont nous attaquer tout de suite
Demain, c’est face à un Stade Rennais malade que les joueurs d’Olivier Dall’Oglio évolueront. Une bonne chose ? Pas forcément. Le technicien stéphanois redoute en effet les premières minutes de la rencontre. « Le collectif rennais n’est pas encore rodé, un nouveau coach vient d’arriver, mais les individualités font peur. Il faut garder notre mental de fer, ils vont nous attaquer tout de suite, le public attend ça. On connaît Sampaoli et son caractère, il va amener sa grinta. On est prévenu, il faudra être résistant, montrer quelque chose de solide et cohérent techniquement pour les gêner, conserver le ballon. »

Au sujet de Sampaoli, battu le week-end dernier sur le terrain de Lille (0-1), ce sera sa première sur le banc de touche rennais au Roazhon Park.

Une énorme surprise signée Sampaoli à Rennes ?

Si Olivier Dall’Oglio devrait rester fidèle à sa dernière composition à l’AS Saint-Étienne, Jorge Sampaoli pourrait surprendre dans le onze du Stade Rennais (17h).

Une énorme surprise signée Sampaoli à Rennes ?

Le Roazhon Park devra sortir le grand jeu cet après-midi (17h) pour redonner vie à une équipe du Stade Rennais qui en manque cruellement depuis le début de la saison. Pour ce faire, L’Équipe affirme que Jorge Sampaoli devrait poursuivre en 3-4-3 contre l’ASSE, mais avec Jordan James en découverte au milieu et un ailier (Andrés Gomez) en piston droit dans le onze de départ pour faire bouger les lignes. Déjà aligné dans le Nord, le trio offensif Gronbaek- Kalimuendo-Gouiri serait à nouveau parti pour débuter, au détriment de Jota et Blas.

Abdelhamid demande confirmation
Du côté des Verts, Olivier Dall’Oglio devrait rester fidèle à sa dernière composition victorieuse contre le Montpellier HSC à Geoffroy-Guichard (1-0). Le quotidien sportif précise que Mathieu Cafaro debuterait à droite et Zuriko Davitashvili à gauche. En défense centrale, Yunis Abdelhamid doit confirmer son redressement.

Le Stade Rennais se déplacera à Nice le vendredi

La programmation de la 16e journée de Ligue 1 a été dévoilée. Les matchs se joueront le vendredi 3, le samedi 4 et le dimanche 5 janvier 2025. Monaco et le PSG s’affronteront fin décembre en match avancé.

Le Stade Rennais se déplacera à Nice le vendredi

Pour le premier match de l’année 2025, le Stade Rennais se déplacera à Nice, le vendredi 3 janvier 2025 à 21 heures. Le match sera diffusé par la chaîne DAZN. Au cours du week-end, le Stade Brestois se rendra, lui, sur le terrain du SCO d’Angers au coeur du multiplex du dimanche 5 janvier. La partie se tiendra à 15 heures et sera diffusée toujours sur DAZN.

La programmation complète

Mercredi 18 décembre 2024 à 21 h sur beIN sport 1

    • AS Monaco - Paris SG

Vendredi 3 janvier 2025 à 21 h sur DAZN

    • OGC Nice - Stade Rennais

Samedi 4 janvier 2025 à 17 h sur DAZN

    • AS Saint-Étienne - Stade de Reims

Samedi 4 janvier à 19 h sur DAZN

    • Lille - FC Nantes

Samedi 4 janvier à 21 h sur DAZN

    • Olympique Lyonnais - Montpellier

Dimanche 5 janvier 2025 à 15 h sur DAZN

    • RC Lens - Toulouse
    • Angers SCO - Stade Brestois
    • RC Strasbourg - AJ Auxerre

Dimanche 5 janvier 2025 à 20 h 45 sur DAZN

  • Olympique de Marseille - Le Havre

Jorge Sampaoli cherche des joueurs agressifs, capables de se rebeller

Le nouvel entraîneur du Stade Rennais Jorge Sampaoli espère enfin trouver du caractère dans son groupe. Pour avancer sur le plan comptable.

Jorge Sampaoli cherche des joueurs agressifs, capables de se rebeller

Après sa première infructueuse à Lille (0-1), le nouvel entraîneur du Stade Rennais Jorge Sampaoli a cherché cette semaine les solutions. Face à Saint-Etienne, ce samedi, l’Argentin se sait attendu sur le plan comptable, et pas seulement sur ses ambitions dans le jeu. Rennes est en immense besoin de points, encore plus face à un concurrent pour le maintien. Car, oui, pour l’heure, le Stade Rennais joue bien sa survie en L1.

Le groupe rennais pour défier l’ASSE

À l’approche du match contre Saint-Etienne, l’équipe présente à l’entraînement est presque au complet, à l’exception notable d’Alidu Seidu. Le Stade rennais, actuellement en difficulté en championnat, cherche à retrouver le chemin de la victoire.

Le groupe rennais pour défier l’ASSE

Sous la direction de Jorge Sampaoli, qui a récemment pris les rênes de l’équipe, le Stade rennais espère redresser la barre après une première défaite contre Lille. Ce sera le premier match de l’Argentin au Roazhon Park en tant qu’entraîneur.

Malheureusement, Alidu Seidu ne pourra pas prendre part à cette rencontre en raison d’une blessure sérieuse subie dimanche. Sa saison est d’ores et déjà terminée, ce qui constitue un coup dur pour l’effectif.

En revanche, Adrien Truffert fait son retour après avoir purgé une suspension. Il vient renforcer un groupe qui, à l’exception de Seidu, est au complet pour affronter Saint-Etienne.

Ce match est crucial pour le Stade rennais, qui doit à tout prix s’extirper de la zone rouge avant la fin de l’année 2024. L’absence de Seidu est un défi supplémentaire pour Sampaoli et ses hommes.

Dall’Oglio annonce une mauvaise nouvelle avant Rennes

Ce samedi (17h, sur beIN Sports 1), l’ASSE se déplace sur la pelouse du Stade Rennais et alors qu’on attendait plutôt de bonnes nouvelles concernant les blessés, Olivier Dall’Oglio a douché l’optimisme ambiant.

Dall’Oglio annonce une mauvaise nouvelle avant Rennes

Si le début de semaine avait été marqué du sceau de l’optimisme avec les rumeurs autour d’un retour plus rapide de Mickaël Nadé ainsi que de la possible présence d’Yvann Maçon à Rennes, Olivier Dall’Oglio n’a pas donné que de bonnes nouvelles lors de sa traditionnelle conférence de presse à 48 heures du match. Non seulement les deux hommes restent à l’infirmerie… Mais ils sont rejoints par Augustine Boakye.

"Augustine Boakye a ressenti une douleur sur un démarrage et ne jouera pas ce match. On a toujours un problème avec le genou d’Yvann Maçon. Sinon, les retours d’Anthony Briançon et Thomas Monconduit sont encourageants. Même si ça va être progressif les concernant ! Pour Mickaël Nadé, c’est encourageant, il a repris la course. Ben Old a reposé le pied au sol avec les béquilles", a fait savoir le Gardois. Il y aura donc au moins six absents du côté de l’ASSE au Roazhon Park ce samedi : Ben Old, Anthony Briançon, Thomas Monconduit, Yvann Maçon, Mickaël Nadé et Augustine Boakye.

Le retrait du brassard d’Abdelhamid ? C’était pour le décharger
Malgré tout, "ODO" est prêt à la bataille d’Ille-et-Vilaine : "On s’attend à ce que Rennes nous attaque de suite. On connaît Jorge Sampaoli, les gens vont venir pour voir de la grinta, de l’intensité. Il faudra être résistants, mais aussi solides techniquement pour être capables de conserver le ballon. (…) On doit passer un cap à l’extérieur".

Il a aussi été question du retrait du brassard à Yunis Abdelhamid contre Montpellier. Un choix que Dall’Oglio justifie : "C’était pour le décharger, même si je sais qu’il est important dans la parole au sein de l’équipe. Je préfère qu’il se concentre sur lui-même (…) Il se sent mieux, il est rassuré".

Deux sanctions prévues contre la Brigade Loire, privée de derby face à Rennes

Si la Commission de discipline ne sévira pas avant mi-décembre contre la Brigade Loire, le principal groupe de supporters du FC Nantes pourrait prendre deux sanctions anticipées.

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Les coups de sang de la Brigade Loire à l’occasion de la défaite du FC Nantes face au Havre (0-2) dimanche à la Beaujoire devraient cette fois-ci coûter très chers aux Canais et à leur principal groupe de supporters.

Alors que, comme révélé par Ouest-France, le Ministère de l’Intérieur envisage la dissolution pure et simple de la Brigade Loire et que le dossier devrait être placé en instruction par la commission de discipline de la LFP, qui rendra son verdict dans trois semaines, des sanctions à titre conservatoire (en attendant un éventuel retrait de points pour le club) vont déjà tomber.

Des sanctions préliminaires contre le PSG et Rennes ?
Selon L’Equipe, une interdiction de déplacement des fans nantais samedi prochain à Paris pour PSG – FC Nantes est dans les tuyaux et devrait être prononcée via un arrêté dans la semaine. Étant donné la gravité des faits reprochés à la Brigade Loire, il est aussi possible qu’un huis clos total (ou partiel) soit aussi prononcé dès ce mercredi le temps de l’instruction en attendant la décision de la LFP… Et cela toucherait directement le derby FC Nantes – Stade Rennais programmé le 8 décembre prochain (14ème journée).

S.G.S.B.

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