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Ousmane Dembélé a-t-il passé un cap avec les bleus ?

Auteur d'une deuxième partie de saison en dent de scie, Ousmane Dembélé devrait toutefois être aligné d'entrée lundi face à la Grèce. Le talent de l'ailier du Barça n'est plus à présenter. Mais son statut en équipe de France reste encore incertain, malgré une place de titulaire lors de la dernière Coupe du monde.

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Dembélé / Coman, Coman / Dembélé… Le débat de l'aile droite des Bleus fait toujours rage. Revenu de blessure tardivement fin avril, Ousmane Dembélé a eu le droit à une reprise progressive avec le groupe France. Contre Gibraltar, le joueur du Barça a terminé le match plutôt qu'il ne l'a débuté (24 minutes), en relais de son alter ego du Bayern Munich. Lundi face à la Grèce, adversaire au calibre plus imposant, l'ancien Rennais devrait retrouver le onze de départ, au milieu des cadres de l'équipe. Un statut dont il ne jouit pas encore pleinement, en dépit de la place de titulaire qu'il a occupée au Qatar l'hiver dernier.

Lucas Hernandez et Benjamin Pavard avaient obtenu une sorte de blanc-seing après la Coupe du monde 2018 de la part de Didier Deschamps. Ousmane Dembélé a lui aussi débuté la quasi-totalité des matches du Mondial 2022, exception faite du match sans enjeu contre la Tunisie. Pourtant, c'est comme si l'ailier ambidextre restait en probation. Sa deuxième partie de saison, post-Coupe du monde ne plaide pas en sa faveur, avec une nouvelle blessure à l'ischio-jambier qui lui a fait rater près de trois mois de compétition. Son vécu en équipe de France n'est pas non plus la meilleure des garanties. Et pourtant…

Moins brillant, davantage nécessaire
L'ancien joueur du Borussia Dortmund a un talent certain, une qualité de provocation, de dribbles, mais aussi de distribution qui, dans une période faste, en font un joueur de classe mondiale. Le type de prestations qu'on ne l'a que trop rarement vu produire sous la tunique tricolore. Avec l'équipe de France, c'est un Dembélé moins efficace, moins décisif surtout que l'on retrouve, loin de ses standards chiffrés en club : quatre buts et trois passes décisives en 35 sélections, contre cinq réalisations et sept offrandes, rien que cette saison en Liga, et en seulement 25 rencontres. Mais en est-il réellement le seul responsable ?

Longtemps, il a été cantonné dans un rôle de "supersub", n'étant aligné d'entrée qu'à quatorze reprises, 40% de ses apparitions en sélection nationale, quand Blaise Matuidi évoluait comme un faux ailier à gauche, alors que Kylian Mbappé se révélait de l'autre côté du trident offensif. Désormais titulaire comme lors de la dernière Coupe du monde, Ousmane Dembélé n'en est pas plus libéré dans le jeu. Au Qatar, Didier Deschamps en a fait un ailier droit hybride, chargé d'une grande rigueur défensive pour boucher l'entrejeu adverse au même niveau qu'Aurélien Tchouaméni et Adrien Rabiot quand Jules Koundé, défenseur central aligné sur le flanc droit derrière, couvrait le couloir. Un rôle à contre-emploi dans lequel Dembélé a fait mieux que se défendre, avant de montrer ses limites dans le naufrage de la première période contre l'Argentine en finale.

En possession du ballon, l'équipe de France a fréquemment penché à gauche, là d'où se lançait Mbappé, et où Adrien Rabiot aspirait la majorité des ballons dans le cœur du jeu. Dembélé, lui, doit davantage manger la craie le long de la ligne de touche, pour ne pas embouteiller l'axe où se trouve avec une certaine liberté Antoine Griezmann, mais aussi pour maintenir en alerte les arrière-gardes adverses sur le côté droit et aérer le jeu des Bleus. Quitte à limiter son nombre de ballons touchés dans une zone où il pourrait faire parler ses qualités naturelles.

A défaut de ses fulgurances, Ousmane Dembélé a su trouver sa place par sa discipline, dont on ne vantait pas forcément les mérites par le passé. A lui désormais de trouver dans ces matches internationaux un moyen de trouver un plus juste équilibre, à la manière de Kingsley Coman, très présent à droite vendredi contre Gibraltar et passeur décisif pour Olivier Giroud. Son utilisation actuelle ne réussit d'ailleurs pas si mal au Blaugrana, auteur de deux de ses trois caviars décisifs avec les Bleus durant la Coupe du monde au Qatar.

Alors que Didier Deschamps a appelé son groupe à un "dernier gros effort" contre la Grèce avant les vacances estivales, Ousmane Dembélé a l'avantage de la fraîcheur par rapport à la majorité de ses congénères. Cela ne s'est pas vraiment fait sentir à Faro vendredi, avec une entrée au mieux quelconque dans un match contre Gibraltar, dont il était de toute façon difficile de tirer le moindre enseignement. L'occasion est idéale pour de derniers coups de rein lundi avant un repos estival bien mérité.

Wahbi Khazri condamné à payer 3000 € pour avoir parié sur des sites sportifs

La commission de discipline de la Ligue de football professionnel a publié, jeudi 22 juin, une liste de joueurs qui ont parié sur des matches malgré l'interdiction. Parmi eux, l'ancien attaquant du Stade Rennais qui a reçu une amende.

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Les footballeurs professionnels sont sensibilisés chaque saison à interdiction générale de parier sur toutes les compétitions de football, qu’elles soient nationales ou étrangères. Et pourtant chaque saison, ils sont nombreux à se faire attraper... La commission de discipline a publié, jeudi 22 juin, la liste de joueurs qui n'ont pas respecté cette interdiction et les a sanctionnés après audition des joueurs ou lecture de leur lettre d’explication.

Parmi eux, Wahbi Khazri, l'ancien attaquant du Stade Rennais qui a été condamné à une amende de 3 000 €. On va dire que c'est un moindre mal pour lui et le MHSC puisque d'autres joueurs ont été condamnés à des matches de suspension fermes. Parmi les autres joueurs condamnés, on retrouve les Nantais Ludovic Blas et Jean-Charles Castelletto.

Asamoah Gyan annonce sa retraite

L’international ghanéen Asamoah Gyan a annoncé sa retraite sportive à l’âge de 37 ans, ce mardi 20 juin. Il a été finaliste de la Coupe de France avec le Stade Rennais en 2009, et demeure le meilleur buteur africain de la Coupe du monde.

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Asamoah Gyan annonce ce mardi prendre sa retraite du football professionnel. L’ancien attaquant international ghanéen (37 ans, 109 sélections) a notamment été finaliste de la Coupe de France en 2009 avec le Stade Rennais, dont il a porté les couleurs entre 2008 et 2010. Il était sans club depuis un an et demi.

Il a été champion des Émirats arabes unis à trois reprises avec Al Ain, entre 2012 et 2015, et fut finaliste de la Coupe d’Afrique des nations en 2010 et 2015. Il est le meilleur buteur africain de l’histoire de la Coupe du monde, totalisant six buts en trois éditions. Sa carrière a notamment été marquée par son penalty manqué à la dernière minute du quart de finale du Mondial 2010 face à l’Uruguay de Luis Suarez, qui aurait pu faire du Ghana la première équipe africaine demi-finaliste de l’histoire de la compétition.

Il a joué en Italie, en Angleterre, aux Émirats arabes unis et en Turquie, mais aussi en Chine et en Inde. "Il est temps de raccrocher le maillot et les crampons dans la gloire", écrit-il dans un communiqué. Il confie son intention de se reconvertir dans le coaching et dans le recrutement.

J’apprécie pleinement ma nouvelle vie

En retrait du football professionnel depuis déjà quatre ans, l’ancien international Yoann Gourcuff (36 ans) prend la parole pour la première fois depuis l’arrêt de sa carrière. En exclusivité pour Ouest-France, il évoque ses souvenirs, son avenir, raconte sa passion intacte pour le jeu, mais aussi sa nouvelle vie épanouie loin des projecteurs, avec ce rôle de père au foyer dans lequel il se "régale"."Quitter le monde du foot m’a fait beaucoup de bien", explique-t-il.

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En ce samedi d’avril, le soleil printanier inonde le littoral morbihannais. Yoann Gourcuff (36 ans) nous accueille chez lui, dans son jardin à Plœmeur, avec son épouse (l’animatrice de télévision Karine Ferri) et ses deux labradors, Bella et Dolmen.

Détendu et souriant, l’ancien talentueux meneur de jeu de l’équipe de France, extrêmement rare dans les médias, accepte de s’ouvrir sur ses passions de toujours, le foot et le tennis, mais aussi sur sa nouvelle vie au plus près des siens, sa femme et ses deux enfants. Et la plénitude qu’elle lui procure, quatre ans après avoir quitté les puissants projecteurs du football professionnel, qui l’incommodaient. Entretien.

Yoann Gourcuff, après 15 ans dans le foot de très haut niveau, à quoi ressemble votre nouvelle vie ?

Elle est simple, sereine, je l’apprécie pleinement. Je m’occupe de mes deux enfants (Maël, 7 ans et Claudia, 4 ans), ma femme se rendant régulièrement à Paris pour son travail. Cela prend du temps et demande de l’organisation. Je balade aussi mes deux chiennes tous les jours pendant une heure minimum, peu importe le temps, quand les enfants sont à l’école. C’est apaisant.

"Je n’ai aucun souci à dire que je suis père au foyer"

Ce rôle de père au foyer vous comble ?

Je me régale. Je n’ai aucun souci à dire que je suis père au foyer. Les journées sont bien remplies, mais voir grandir mes enfants chaque jour, c’est un privilège. Qui plus est dans un contexte paisible. Ici, on n’est pas embêté. Il y a de l’espace, la mer, les plages, les forêts, les sentiers…

Quelle place occupe le sport dans cette vie ?

Une grande place, toujours. Je joue au tennis (championnat régional par équipes avec le TC Larmor-Plage, il est classé 5/6), je fais de temps en temps des tournois dans le coin, j’essaie de m’entraîner une fois par semaine. Je fais du VTT, parfois avec mon père (Christian).LIRE AUSSI. Yoann Gourcuff : "Enfant, on m’a dit que j’avais plus d’aptitudes pour le tennis" (2/2)

"Toute cette exposition ne me plaisait pas"

Et le football ?

Après l’arrêt de ma carrière (janvier 2019), je n’ai pas touché un ballon pendant plusieurs années. Là, je me remets à jouer dans le jardin avec mon fils. On fait des tirs, on alterne le rôle de gardien et d’attaquant. Je l’accompagne aussi à ses entraînements et à ses matches, dans le rôle du papa qui le voit grandir. Je veux surtout qu’il prenne du plaisir et s’amuse avec les copains.

La transition a-t-elle été brutale entre votre fin de carrière et votre nouvelle vie ?

Pas du tout. Cela s’est fait très naturellement. Je suis un passionné de foot, j’aimais le jeu, les entraînements, les matches, mais tout ce qu’il y avait autour et qui prenait de plus en plus d’importance, toute cette exposition, cela ne me plaisait pas. Ce n’était pas moi. Je suis quelqu’un de discret, pudique. Aujourd’hui, je suis très bien dans ma vie.

"Quitter le monde du foot m’a fait beaucoup de bien"

Le contact avec le ballon ne vous a pas manqué ?

Non. Pourtant, quand j’étais gamin ou pro, il était indispensable, particulier. Mais je crois que j’ai compensé avec le tennis. C’est là que je suis allé chercher le plaisir et les sensations, tout en gardant la forme.

La plupart des footballeurs disent ressentir un vide juste après leur carrière…

Je peux le comprendre. Moi j’ai basculé tout de suite vers une nouvelle organisation avec ma famille. Au foot, on doit respecter des horaires, mais avec les enfants aussi. Et je suis bien dans ce cadre. (Il réfléchit) Ma fin de carrière, je l’ai très bien vécue. Je suis revenu à ce que je suis, je maîtrise les choses. Quitter le monde du foot m’a fait beaucoup de bien.

"Je regarde très peu de matches"

Avez-vous été tenté de poursuivre ailleurs, après votre dernière expérience à Dijon ?

J’ai eu des sollicitations pendant six mois, un an. Je continuais à m’entretenir car je n’avais pas fermé la porte. Finalement, les différents contacts n’ont pas abouti. Le cheminement a été naturel vers ma nouvelle vie.

Continuer de jouer au niveau amateur était une possibilité ?

Là aussi, j’ai été sollicité par quelques clubs du coin, comme Concarneau, ou des équipes de moindre niveau. Mais je craignais de ne plus prendre de plaisir à un niveau inférieur, notamment sur le plan technique. S’il y a plus de frustration que de plaisir, cela n’a pas d’intérêt pour moi. Et puis… j’ai beaucoup donné pour le foot, pendant toute ma vie. Quand on a été au bout, il faut savoir passer à autre chose. Il n’y a pas que ça dans la vie.

Vous avez toujours aimé parler de foot. Avez-vous été sollicité pour être consultant TV ?

Oui. Pour l’instant, je n’ai pas franchi le pas. Mais je ne ferme pas la porte. On verra.

Quel est votre rapport au foot aujourd’hui ?

Je regarde très peu de matches depuis que j’ai arrêté. J’ai toujours préféré jouer, être acteur, que spectateur. Je regarde néanmoins quelques rencontres de Ligue des champions avec mes copains d’enfance, pour partager un bon moment mais aussi parce que cette compétition a une atmosphère spéciale. Je suis aussi l’actualité des clubs que j’apprécie et par lesquels je suis passé : Lorient, Rennes, Milan, Bordeaux, Lyon, Dijon.

Vous rendez-vous encore au stade ?

Pendant des années, non. Mais là, mon fils commence à être passionné et demandeur. Alors je l’accompagne. Nous sommes allés voir deux fois Lorient cette saison. Et je compte l’emmener de temps en temps au Roazhon Park, à Rennes, quand on en aura l’occasion.

Le Stade Rennais, c’est un club qui vous est resté cher ?

Forcément, j’y ai été formé. Si j’ai pu faire carrière, c’est grâce à la formation rennaise, à mes équipiers, mes éducateurs. J’y ai vécu beaucoup de beaux moments. Depuis plusieurs années, le club me fait bonne impression. L’équipe est plaisante, cherche à jouer au ballon, il y a de bons joueurs. Là, elle est dans une passe un peu plus difficile mais cela arrive à tous les clubs, c’est normal.

"À Bordeaux, on sentait tous le même foot"

Le summum de votre carrière reste les Girondins de Bordeaux ?

Oui. Deux saisons très intenses (2008-2010, un titre de champion de France en 2009), avec beaucoup de plaisir, de bonheur, de réussite, d’épanouissement avec les autres joueurs. Il n’y avait pas de stars, mais des garçons intelligents, matures, avec une vraie réflexion sur le jeu. Cela s’est aussi très bien passé avec le coach et son staff (Laurent Blanc, Jean-Louis Gasset, etc.). On sentait tous le même foot. Il y avait vraiment une harmonie, aussi avec le public et la ville. J’habitais dans le centre, j’ai senti l’engouement monter. C’était hyper positif. Je mesure ma chance, car je suis conscient que c’est rare de vivre cela dans une carrière.

Des équipes, joueurs, entraîneurs vous ont récemment plu ?

J’aime bien le City de Guardiola, mais je préférais le Barça de son époque. Avec Xavi et Iniesta, deux joueurs que j’adorais, qui respiraient l’humilité, le partage, le fair-play, le respect des équipiers, de l’adversaire, de l’arbitrage… Un peu dans le même registre, j’ai toujours aimé Modric. Ce sont des joueurs qui se dépassent pour faire plaisir à leurs équipiers. C’est devenu plus rare. Je suis sensible à cela.

Avez-vous encore des amis dans le foot ?

Oui. Jérémy Toulalan, Benoît Costil, Étienne Didot, Arnaud Le Lan, Jimmy Briand… Jimmy est venu la semaine dernière à la maison car il était de passage à Lorient. On ne se voit pas tous les jours, chacun est pris dans son quotidien. Mais on s’apprécie beaucoup.

Devenir entraîneur, intégrer un staff, cela vous dirait ?

S’il y a des opportunités quand mes enfants auront grandi, pourquoi pas. Il faudra un contexte favorable, des gens avec qui je partage des mêmes valeurs et une même sensibilité foot. Dirigeant ? Non, moi ce serait le terrain et la transmission.

Si votre fils montre des aptitudes, vous l’encouragerez vers le haut niveau ?

Je le laisserai libre de ce qu’il a envie de faire. S’il aime ça, tant mieux, je pourrai lui donner quelques conseils. Mais il est encore jeune pour se projeter. Qu’il s’amuse déjà avec ses copains, garde son insouciance et on verra plus tard. Le plaisir doit rester la base du foot.

Votre autre grande passion est le tennis. D’où vous vient-elle ?

Foot comme tennis sont des sports qui me procurent du plaisir, une notion primordiale. Depuis tout petit, j’ai toujours été attiré par les balles et les ballons : le rapport à la sphère, la maîtriser, se sentir en harmonie avec elle, le côté esthétique… J’aimais aussi le ping-pong, le basket, le hand, mais je me suis orienté vers le foot et le tennis, car mon père en faisait.

Ce sont deux sports très différents ?

Oui, mais complémentaires. Faire du tennis pendant les coupures, c’est très intéressant pour un footballeur, et vice versa. Au niveau de la coordination, la motricité, l’anticipation, le placement par rapport à la balle, la notion de trajectoire… Le tennis est un sport complet, qui sollicite le haut et le bas du corps.

"À 12 ans, il a fallu faire un choix"

Enfant, vous excelliez dans les deux. Pourquoi avoir choisi le foot ?

Tant que je pouvais, j’ai pratiqué les deux. J’avais des semaines bien chargées. Tous les jours, entraînement de foot ou de tennis, match de foot le samedi, match de tennis le dimanche… À 12 ans, il a fallu faire un choix. Soit je rentrais au centre de préformation de foot de Ploufragan, soit au pôle de Poitiers au tennis.

Et ?

La dimension collective du foot a pesé. Mes amis d’enfance, ils viennent plus du foot. Partager le ballon avec mes potes, cela m’a poussé vers le foot. Au tennis, on est souvent tout seul. Et puis les places sont chères. Il y a très peu d’élus et il paraît que cela devient plus difficile quand on est au-delà de la 150e place mondiale. Je pense que c’est plus facile de réussir dans le foot.

Aimez-vous regarder le tennis ?

Foot comme tennis, c’est surtout le plaisir de jouer. Mais j’aime bien regarder Roland-Garros. Je m’y suis rendu souvent quand j’étais en activité, j’ai même assisté à des finales. D’une façon générale, le sport, je préfère le voir en vrai qu’à la télé. Et si possible assez proche du terrain, à la même hauteur que les joueurs. On se rend alors compte de la difficulté, des effets, de la vitesse, de la force de frappe, de la qualité de déplacements, des impacts, du bruit, de l’anticipation. À la télé ou en haut d’un stade, tout a l’air facile et simple.

"La simplicité, le fair-play, la classe et l’esthétique de Federer"

Vos idoles dans le tennis ?

Federer pour sa simplicité, son fair-play, sa classe, mais aussi le côté esthétique, fluide. Mon père et moi, on a toujours été attiré par le fait de bien faire les choses, mais que ce soit aussi esthétique et agréable.

Et Nadal ?

C’est moins mon style, mais au fil du temps, je l’ai de plus en plus aimé, lui aussi pour son exemplarité, et une autre forme de classe. C’est un exemple important pour les jeunes, très fair-play dans la victoire comme dans la défaite.

Vous auriez pu jouer contre lui à l’Open Super 12 d’Auray, en 1998…

Oui. Je crois que Nadal avait gagné le tournoi et moi, seul Breton issu des qualifications, j’avais été éliminé au premier tour. C’était juste avant que j’arrête le tennis pour me consacrer au foot.

"Aucun regret d’avoir choisi le foot"

Vous jouez au niveau régional aujourd’hui (R1). Cela vous plaît ?

Oui, c’est le championnat par équipes, j’aime la dimension collective. Chacun se dépouille pour apporter des points à l’équipe.

Vos adversaires ne sont pas trop intimidés ?

Je pense que cela a pu arriver, mais une fois que le match commence, c’est oublié, chacun fait de son mieux. C’est très sympa.

Pensez-vous que vous auriez pu faire carrière dans le tennis ?

Je ne sais pas. D’après plusieurs proches, j’avais plus d’aptitudes pour le tennis que pour le foot quand j’étais jeune. Est-ce vraiment révélateur ? Chacun évolue à son rythme. C’est difficile à dire.

Vous auriez aimé ?

Je ne me suis jamais posé la question. J’ai choisi le foot à l’instinct, pour la dimension collective et humaine, et je n’ai aucun regret.

Reprendrez-vous un jour une activité professionnelle ? Votre père (Christian) vous verrait bien prof de tennis…

Oui, il m’en a parlé. Je ne ferme la porte à rien. Et si je devais faire quelque chose, ce serait de toute façon en rapport avec le foot ou le tennis. Mais pour le moment, la priorité est complètement ma famille.

Régis Le Bris sur le départ, Julien Stéphan contacté

Alors que l’entraîneur du FC Lorient, Régis Le Bris, serait sur le départ du côté de l’OGC Nice, les dirigeants lorientais ont contacté, en début de semaine, Julien Stéphan, sans poste depuis la fin de son aventure à Strasbourg, en janvier dernier.

ds 1313Un an à la tête de l’équipe fanion du FC Lorient… et puis s’en va ? L’entraîneur des Merlus, Régis Le Bris, serait sur le départ, direction l’OGC Nice, alors que Florent Ghisolfi (directeur sportif) et Fabrice Bocquet (directeur général des Aiglons), passés par le FCL, ont fait de l’ancien directeur du centre de formation lorientais leur priorité. Même si, selon nos informations, aucun accord n’aurait pour l’heure été trouvé.

Le Bris, dont le bail avec le FCL avait récemment été prolongé jusqu’en 2027, avait laissé planer le doute sur son avenir, à l’issue du dernier match de la saison contre Strasbourg (2-1). Ce dernier voulait se donner "une quinzaine de jours" pour réfléchir.

Pointant du doigt plusieurs dysfonctionnements au club, notamment le mercato hivernal, où deux éléments clés du secteur offensif, Terem Moffi et Dango Ouattara avaient quitté le navire, le Breton ne se voyait pas poursuivre l’aventure.

À moins d’un mois du début de la préparation estivale, les dirigeants lorientais sont donc en quête d’un nouveau technicien. Le board breton aurait jeté son dévolu sur Julien Stéphan, comme révélé par Foot Mercato, ce que nous sommes en mesure de confirmer.

Déjà passé par le FCL, au centre de formation avec les U17 (2010-2012), l’ancien coach du Stade Rennais est sans club depuis qu’il a été évincé du RC Strasbourg, début janvier dernier.

Toulouse va mettre fin aux fonctions de son entraîneur Philippe Montanier

Toulouse a décidé de se séparer de son coach Philippe Montanier, qui sera remplacé par Carles Martinez Novell, déjà présent dans le staff.
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Si les supporters toulousains pensaient passer un été tranquille à se remémorer les moments heureux vécus cette saison, dans l'attente de retrouver la Coupe d'Europe, c'est raté. Après les adieux déchirants des cadres Maxime Dupé, Brecht Dejaegere, Stijn Spierings et Branco Van den Boomen, dont les départs en fin de contrat avaient déjà suscité des interrogations (voir L'Équipe du 29 mai), une autre décision d'importance est venue ternir la belle impression d'ensemble laissée par le TFC.

Bien que le club n'avait toujours pas officiellement communiqué vendredi soir, il ne fait plus aucun doute que Philippe Montanier ne sera plus sur le banc à la reprise. Selon de multiples sources concordantes, le technicien (58 ans), pourtant sous contrat jusqu'en juin 2024, va être limogé.

Malgré une victoire historique en Coupe de France et un maintien en Ligue 1 assuré un an après avoir remporté le titre en Ligue 2, sa direction a décidé de s'en séparer. Déjà affaibli par le licenciement pour faute grave de son adjoint, Michaël Debève, durant la trêve liée à la Coupe du monde, l'entraîneur paierait aussi le classement final de son équipe en L1 (13e), qui ne correspondait pas exactement à l'objectif fixé - « entre la 10e et la 11e place », comme rappelé mardi par le président, Damien Comolli. Ses désaccords avec la responsable de la stratégie sportive, Selinay Gurgenc, qui est aussi la femme de Comolli, auraient fini par convaincre le club de trancher.

« On a passé une saison qui sort de l'ordinaire sur plein de plans, mais qui, en même temps, a provoqué un peu de frustration chez nous », avait confié le dirigeant, pas totalement satisfait. Interrogé sur l'avenir de son coach, Comolli était resté vague : « Une prolongation ? On n'en proposera pas. On lui a proposé l'année dernière une durée plus longue que celle qu'il a acceptée, mais il nous a dit qu'il ne voulait pas s'engager sur le long terme. On va se voir pour discuter ensemble pour faire le point sur la saison et parler de la prochaine. »

Montanier a prévenu plusieurs joueurs de son départ
Avant de partir vendredi en vacances, Montanier avait été fixé sur son sort. Il avait ensuite pris le soin de prévenir lui-même plusieurs joueurs de l'effectif. Mais sollicité par nos soins, il n'a pas souhaité faire de commentaire « pour le moment ». Pas plus que son désormais ex-président, qui n'a pas répondu à nos messages.

Pour remplacer Montanier, Toulouse n'ira pas chercher très loin puisque c'est l'Espagnol Carles Martinez Novell (39 ans), recruté dans le staff cet hiver, qui devrait lui succéder. Il possède la licence UEFA, indispensable pour diriger un club en Ligue Europa, et colle surtout parfaitement au projet de RedBird Capital Partners, construit autour de la data et avec une philosophie centrée sur le jeu de possession.

Pas si différent de celui de Montanier, ni de celui de son prédécesseur Patrice Garande, qui avait fait les frais de son échec en barrages d'accession en L1 contre Nantes (1-2, 1-0), au printemps 2021. Avec en prime un communiqué lapidaire scellant son départ. Les supporters attendent déjà le prochain avec impatience. À défaut de pouvoir profiter de leurs vacances.

Toifilou Maoulida intègre le centre de formation du FC Metz

L’attaquant va occuper plusieurs rôles au sein du centre de formation du FC Metz.

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Toifilou Maoulida, qui a porté le maillot du FC Metz lors de la saison 2003-2004, fait son grand retour. Dans un communiqué, l’actuel deuxième de Ligue 2 annonce "l’homme aux bandelettes" intègre le centre de formation où il va occuper plusieurs rôles. L’attaquant sera entraîneur adjoint d’une des équipes évoluant en championnat National tout en étant en charge des spécifiques attaquants du centre de formation.

Retour à la case départ.. La nouvelle piste surprenante d’Édouard Mendy

Indésirable à Chelsea, le gardien sénégalais de Chelsea Édouard Mendy pourrait faire son grand retour en France.

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Aux dernières nouvelles, le dernier rempart des "Lions" se trouve dans le collimateur de l’AS Monaco qui cherche à renforcer ce poste stratégique de gardien de but.

Sous contrat avec le club londonien jusqu’en 2025, le natif de Montivilliers devrait avoir un bon de sortie lors de la prochaine fenêtre de transferts.

En club depuis 2020, Édouard Mendy a pris part à 105 matchs, toutes compétitions confondues, avec à la clé un bilan de 86 buts concédés et 49 "clean sheet".

Lors de la saison actuelle, ce dernier a pris part à 12 matchs réussissant par ailleurs un seul "clean sheet".

Pour rappel, le gardien de la sélection sénégalaise a passé l’essentiel de sa carrière en France, avec notamment des passages avec l’AS Cherbourg, l’Olympique de Marseille, le Stade de Reims et le Stade Rennais.

Agé de 31 ans, Édouard Mendy a une valeur marchande de 18 millions d’euros dans le site "transfermarket".

Christophe Le Roux futur directeur sportif de l’US Concarneau?

Promue en Ligue 2 la saison prochaine, l’US Concarneau va s’attacher les services d’un directeur sportif. Celui-ci pourrait être Christophe Le Roux.
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Après une saison historique en National avec à la clé une montée et un titre, l’US Concarneau évoluera la saison prochaine en Ligue 2. Une arrivée dans le monde professionnel qui oblige le club finistérien à se structurer davantage et suffisamment rapidement pour préparer déjà l’exercice à venir.

Une personne de confiance
À ce titre, les dirigeants concarnois devraient rapidement nommer un directeur sportif pour épauler Stéphane Le Mignan. "Un responsable de recrutement va être recruté, nous confiait l’entraîneur de l’USC, vendredi. Une personne de confiance. Cela va me permettre de davantage me concentrer sur la partie terrain. Je me suis occupé du recrutement ces trois dernières saisons en National, mais ce n’était plus envisageable en Ligue 2. C’est un aspect qu’on avait déjà évoqué avec le président qu’on matérialise afin de franchir un palier car on est une structure technique assez courte quantitativement. Là, on va pouvoir avancer."

Au FCL de 2014 à 2022
Cette personne pourrait être Christophe Le Roux. Selon nos informations, le Morbihannais de 54 ans serait la priorité des dirigeants concarnois qui souhaiteraient en faire leur directeur sportif pour la saison à venir.

Une fonction que l’ancien joueur professionnel breton a occupée au FC Lorient de 2014 à 2022. Outre une filiation technique avec Stéphane Le Mignan, ce dernier dispose également d’un solide réseau. Chez les Merlus, Le Roux avait été à l’origine de quelques "gros coups", à l’image des venues, notamment, d’Armand Laurienté ou encore de Terem Moffi.

Les discussions entre les deux parties, toujours en cours, pourraient déboucher en ce début de semaine.

Benoît Costil voudrait revenir en Bretagne

En quête d’un gardien, En Avant Guingamp songe sérieusement à Benoît Costil. À bientôt 36 ans, il voudrait retrouver la Bretagne. Rennes et Concarneau songeraient également à lui.
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En fin de contrat à Lille et après avoir joué les 19 matchs premiers matchs de Ligue 1 cette saison avec Auxerre, Benoît Costil pourrait rebondir en Bretagne. Le gardien international français (une sélection) est notamment dans le viseur d’En Avant Guingamp qui s’est mis en quête d’au moins un gardien puisque Dominique Youfeigane ne sera pas prolongé.

Quant à Enzo Basilio, son portier N.1, auteur d’une grosse partie face à Niort, vendredi, il demeure sous contrat jusqu’en 2024 mais son avenir à l’EAG s’écrit en pointillé.

Attaché à la Bretagne
Désireux de se renforcer avec un gardien expérimenté, le club breton lorgne donc sur le Caennais de naissance, qui fêtera ses 36 ans le 3 juillet et dont le CV dit beaucoup du vécu avec notamment 407 matchs de Ligue 1 à son actif sous les couleurs du Stade Rennais, de Bordeaux, d’Auxerre ou encore du LOSC.

De son côté, le joueur reste très attiré par la Bretagne où, en dehors de Rennes, il a également joué à Vannes, alors en Ligue 2, sous les ordres d’un certain Stéphane Le Mignan (saison 2008-2009). Il est par ailleurs propriétaire d’une maison dans le Morbihan. Ces dernières saisons, il a plusieurs fois été question de sa venue à Lorient. Mais cet été, d’autres clubs de la région pourraient concurrencer En Avant sur ce dossier, qu’il s’agisse de Concarneau (Ligue 2), entraîné par Le Mignan et où Costil a des attaches, voire du Stade Rennais, qui songe à lui comme doublure de Steve Mandanda.

Aujourd’hui, je veux un challenge

Libre de tout contrat en juin, Yann M’Vila s’est confié à Goal sur ses envies pour la saison prochaine, pour laquelle il souhaite retrouver un nouveau challenge, avec si possible une coupe d’Europe à jouer.

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À 32 ans, Yann M’Vila a connu maintes expériences depuis son départ de Rennes, en 2013. Du Rubin Kazan à l’Inter Milan, de Sunderland à l’Olympiakos en passant par Saint-Etienne, le milieu de terrain a joué dans plusieurs championnats, et sort d’une saison pleine en Grèce.

"Aujourd’hui, je veux un challenge, je suis animé par ça et je suis prêt à donner beaucoup plus que ce que les gens peuvent imaginer pour vivre ça." confie t-il à Goal. "Quand j’arrive dans un club je donne tout pour ce club. Je n’ai sûrement pas toujours été bon mais je n’ai jamais triché ."

"Aujourd’hui avec mon vécu, j’aimerais bien aider et je pense que je peux aider pas mal de clubs sûr et en dehors du terrain." poursuit plus loin M’Vila, prêt à choisir un projet européen ou non. "Même une équipe qui n’a pas réussi à atteindre son objectif d’Europe League ou de Ligue des champions, je me sens capable de les aider à y aller."

"Je suis open et à l’écoute de chaque proposition." résume enfin le joueur formé au SRFC, qui ne se dit pas fermé à l’idée de rejoindre un championnat comme l’Arabie Saoudite non plus. À Rennes, Yann M’Vila a disputé 150 matchs, inscrit 4 buts et délivré 6 passes décisives.

Dembélé aux côtés de Mbappé, Barcelone en panique

Lié au FC Barcelone jusqu’en 2024, Ousmane Dembélé dispose d’une clause de départ pour cet été. Une option dont le Paris Saint-Germain pourrait profiter pour mieux entourer Kylian Mbappé la saison prochaine. Du coup, la rumeur, qui n’en est pas vraiment une, commence déjà à effrayer les Catalans.

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Kylian Mbappé met de nouveau le Paris Saint-Germain sous pression. Sous contrat jusqu’en 2024, l’attaquant français refuse d’activer l’option pour une année supplémentaire. Ses dirigeants, déterminés à prolonger son bail, seront donc contraints de lui apporter des garanties sportives cet été. Ce qui peut expliquer les pistes ambitieuses déjà annoncées dans les médias. Reste à savoir quels profils seraient les mieux adaptés pour accompagner Kylian Mbappé. Le journal L’Equipe a imaginé des pistes susceptibles de plaire au Parisien.

Des pistes pour accompagner pour Mbappé
Nos confrères ont par exemple validé les dossiers Randal Kolo Muani, Victor Osimhen ou Harry Kane, tous capables de jouer ce rôle de « pivot » pour offrir plus de liberté au numéro 7, attiré par le côté gauche. Quant à l’autre couloir, là encore, le quotidien approuve l’intérêt pour Bernardo Silva, joueur de haut niveau qui colle au profil recherché par la direction, et qui a déjà évolué avec Kylian Mbappé à Monaco. Mais en cas d’échec pour le milieu offensif de Manchester City, quatre alternatives sont proposées, à savoir Moussa Diaby, Rayan Cherki, Dominik Szoboszlai et Ousmane Dembélé.

Julien Stéphan de retour en Ligue 1 grâce à Deschamps ?

Sans club depuis son départ du RC Strasbourg, Julien Stéphan, qui avait si bien réussi au Stade Rennais, conserve une belle image qui pourrait séduire un club de Ligue 1. Et il pourrait compter sur le soutien du sélectionneur de l'équipe de France.

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Julien Stéphan va-t-il retrouver un banc de touche dans les prochaines semaines ? Difficile de le dire à l'heure actuelle. Mais celui qui a réussi au Stade Rennais, avant d'échouer au RC Strasbourg, garderait une certaine cote de popularité à l'AS Monaco.

Deschamps a encore de l'influence
C'est du moins ce qu'affirme le toujours bien informé Mohamed Toubache Ter sur son compte twitter. Précisant que Didier Deschamps, dont l'adjoint est le père de Julien Stéphan, a toujours une certaine influence au sein du club monégasque.

Monterrubio - Frei, duo de légendes recomposé au Roazhon Park

Invités par le Stade Rennais pour donner le coup d’envoi de Rennes - Monaco (21 h), Olivier Monterrubio et Alexander Frei ont pris quelques minutes devant les médias, après avoir visité la Galerie des Légendes au Roazhon Park.
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Leurs sourires témoignent d’une amitié qui perdure. Leurs titres communs de meilleur buteur (20 buts) et meilleur passeur de Ligue 1 (13), en 2004-2005, sont entrés dans la légende du Stade Rennais. Dix-sept ans après son départ, Alexander Frei (43 ans) a remis, pour la première fois, les pieds à Rennes, dès vendredi. Et, ce samedi, avant la réception de Monaco (21 h), où il donnera, avec son compère, le coup d’envoi, il a redécouvert l’enceinte qui l’avait couronné meilleur buteur.

Avec le même tempérament chambreur et un poil ironique. "Ça manque un peu de joueurs francs aujourd’hui. C’est moins spontané. J’ai appris avec mon métier d’entraîneur à être diplomate… Je ne peux pas dire toujours ce que je pense. Il faut assumer ce qu’on dit, sans problème", lance celui qui a été licencié du FC Bâle comme entraîneur, en février dernier.

Fidèle donc à son franc-parler, le goleador suisse a donc rembobiné pour revisiter son histoire bretonne. "Pour moi, Rennes était l’endroit parfait. Ce qui me reste en mémoire de ces trois ans et demi passés à Rennes : au niveau culturel, le fait d’être en bord de mer, les gens qui m’adoraient, la réussite sportive… Hier soir, on m’a dit que j’avais laissé des traces dans les boîtes de nuit rennaises (éclats de rires, ndlr), mais j’espère que celles sur le terrain sont plus grandes", se gondole l’ancien buteur du Borussia Dortmund.

On me parle tout le temps de cette complicité
Pour évoquer son duo avec Monterrubio, le Suisse a rappelé leur "destin commun". "Les six premiers mois avaient été difficiles, on se demandait qui allait être à la gauche de l’autre, sur le banc… J’ai souvent mangé chez Olivier et son épouse, Anne… Le duo est lié, parce qu’on était amis avant, pas uniquement parce qu’on restait un peu plus longtemps à l’entraînement à faire des centres et des frappes", lance-t-il.

"On s’appelle régulièrement, oui. On s’était vus quand il était à Bâle, avec la réserve, moi, je bossais pour Aston Villa. On se revoit toujours avec un grand plaisir, pour passer de bons moments, indique Olivier Monterrubio, fan de… Benjamin Bourigeaud, en passe de battre son record de buts et de passes décisives. Je n’ai jamais retrouvé un tel binôme ensuite. Dans ma carrière, on m’en parle tout le temps de cette complicité avec Alex… Tout le temps, tout le temps. Et on peut en être fiers."

Le regard porté par Frei sur le Stade Rennais d’aujourd’hui est posé. "Rennes n’a jamais été un club arrogant, jamais plus grand que ce qu’il n’est. Les années que nous étions là, à essayer de faire grandir, on voit que Rennes ne fait pas n’importe quoi en achetant cinq joueurs pour 150-200 M€ et puis trois ans plus tard, tu es près de la faillite… Rennes a fait les choses pas à pas et est devenu plus grand qu’à notre époque et figure, aujourd’hui, largement dans les cinq meilleurs de France", glisse celui qui espère retrouver un banc la saison prochaine, peut-être même en D2 suisse. En attendant, la clameur risque d’être forte juste avant 21 h. Pour ces duettistes définitivement dans les cœurs rouge-et-noir.

À 20 ans, Camavinga a désormais gagné tous les trophées possibles avec un club espagnol

Grâce à la victoire du Real Madrid (2-1) face à Osasuna samedi en finale de Coupe du Roi, Eduardo Camavinga a désormais remporté tous les trophées possibles avec le club espagnol, à seulement 20 ans et en l'espace de deux saisons.
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En l'espace de deux saisons avec le Real Madrid, Eduardo Camavinga a déjà tout gagné avec un club espagnol. Samedi, la formation merengue s'est imposée face à Osasuna (2-1) en finale de Coupe du Roi, offrant au joueur français le dernier trophée possible qu'il était en mesure de gagner avec son club.

Arrivé en provenance de Rennes au Real Madrid en août 2021 contre 31 millions d'euros, hors bonus, Eduardo Camavinga a déjà remporté six trophées avec le club madrilène. Pour sa première saison, précieux dans son rôle de joker, il réalisait le triplé Ligue des champions-Liga-Supercoupe d'Espagne.

Le Real Madrid peut encore conserver son titre en Ligue des champions
Le 10 août dernier, le Real Madrid commençait sa saison en battant l'Eintracht Francfort en finale de Supercoupe d'Europe. Puis, l'équipe de Carlo Ancelotti a dominé Al-Hilal le 11 février pour décrocher la Coupe du monde des clubs. Il ne manquait donc plus que la Coupe du roi sur la scène nationale pour que la collection soit complète pour Camavinga.

Cette saison, Eduardo Camavinga a confirmé les attentes placées à son sujet, participant à 52 rencontres toutes compétitions confondues. Si le Real Madrid ne sera pas en mesure de conserver son titre en Liga, il peut toujours ajouter un nouveau titre en Ligue des champions. La demi-finale aller aura lieu mardi face à Manchester City au Santiago Bernabeu.

Présent lors de la dernière Coupe du monde, où il a été reconverti en latéral gauche par Didier Deschamps, Eduardo Camavinga a néanmoins échoué avec les Bleus en finale face à l'Argentine. Au vu de sa polyvalence et de ses prestations, difficile d'imaginer qu'il puisse louper le wagon pour l'Euro 2024 sauf blessure. Il faudra attendre également pour le voir ajouter la Ligue des nations à son palmarès puisque la France n'est pas qualifiée pour le prochain Final Four.

S.G.S.B.

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