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Rennes est en discussions avancées avec Hatayspor pour son attaquant international Espoirs turc Bertug Yildirim.
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Comme révélé par le journaliste turc Ertan Süzgün, Rennes a manifesté son intérêt pour l'attaquant international Espoirs turc Bertug Yildirim (21 ans), qui évolue à Hatayspor. Cet attaquant d'1,91 m (8 buts en 48 matches de Süper Lig depuis 2021) viendrait donc compléter le compartiment offensif dans un registre différent des profils rennais actuels sur le poste d'attaquant axial (Kalimuendo, Gouiri).

Le dossier semble en bonne voie, pour un transfert de l'ordre de 5 millions d'euros, mais il n'y a pas encore d'accord entre les clubs.

Rieder et Sanchez, les autres dossiers chauds
Rennes espère aussi finaliser l'arrivée du milieu international suisse Fabien Rieder (Young Boys Berne), qui doit d'abord disputer ce mardi soir le barrage retour de Ligue des champions contre le Maccabi Haïfa (0-0 à l'aller). Les deux clubs ont un accord de principe.

En défense centrale, le club breton s'est bien positionné sur le défenseur axial colombien Davinson Sanchez, comme évoqué ce mardi matin sur notre site, en cas de départ d'Arthur Theate, courtisé par le RB Leipzig. Le club allemand aimerait un prêt avec une option d'achat de l'ordre de 30 millions d'euros, qui ne serait pas obligatoire.

Désireux de s'attacher les services de Davinson Sanchez, le Stade Rennais a formulé une offre de 9 M€ auprès de Tottenham pour son expérimenté défenseur central colombien.

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À la recherche d'un défenseur central confirmé pour renforcer son équipe, le Stade Rennais explorait plusieurs pistes ces derniers jours, et l'heure est désormais venue de se lancer dans une phase plus concrète de son recrutement dans ce secteur.

Le club breton a décidé de se lancer sur Davinson Sanchez (27 ans) en transmettant à Tottenham une offre estimée à 9 millions d'euros.

Tottenham prêt à le lâcher contre 10 à 15 M€
Le club londonien n'a pas encore répondu mais il serait prêt à laisser partir son international colombien (54 sélections), auquel il ne reste qu'un an de contrat, pour une somme comprise entre 10 et 15 millions d'euros.

Doté d'une forte expérience en Premier League (143 matches), Sanchez évolue depuis six ans avec les Spurs. Il est apparu une fois cette saison, lors de la première journée contre Brentford (2-2), avant de passer les deux suivantes sur le banc.

Invité de l’After Live sur RMC Sport, ce dimanche avant le coup d’envoi de Nice-Lyon, Clément Grenier s’est confié sur son avenir. L’occasion pour l’ancien Lyonnais d’évoquer sa situation à Majorque et d’envoyer un nouveau message au club rhodanien, où il a été formé et où il s’est révélé. «Est-ce que je dis oui si l’OL m’appelle ? Bien sûr, évidemment, c’est mon club de cœur», a ainsi déclaré le Français de 32 ans, à l’heure où les dirigeants s’activent pour trouver un nouveau milieu de terrain.

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«Je l’ai toujours dit, je ne me cache pas, après ce n’est pas moi qui décide. J’ai encore beaucoup de choses à transmettre sur le terrain et en dehors, je vis un moment un petit peu délicat avec mon club actuellement, il peut se passer beaucoup de choses dans les quatre derniers jours. Je suis ouvert à un projet sportif. Je suis dans le loft actuellement. L’entraîneur m’a dit qu’il ne comptait pas sur moi sur ce début de saison. Je m’entraîne très bien. Je suis en pleine réflexion pour savoir si je résilie ou pas pour m’engager librement dans un club. Evidemment que l’OL est toujours dans mon cœur, maintenant ce n’est pas moi qui décide».

Le Stade Rennais a concédé un match nul au goût de défaite, face au Havre ce dimanche (2-2), alors qu’il menait 2-0 et qu’il a évolué trente minutes en supériorité numérique. Un sabordage en bonne et due forme.

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Les matches nuls n’ont pas tous la même saveur. Vendredi soir, alors qu’ils avaient mené 2-0, puis 3-1, les Nantais s’étaient retrouvés bien heureux d’obtenir un point face à Monaco (3-3). Hier, à l’heure du repas dominical, c’est un Stade Rennais un peu bedonnant qui a concédé le nul face au promu havrais dans des circonstances assez irréelles. « Une faute professionnelle », pour Ludovic Blas.

Les joueurs de Bruno Genesio ont ainsi grillé un avantage de deux buts, à domicile, alors qu’ils ont joué à onze contre dix pendant 35 minutes… « Il n’est pas admissible de ne pas faire la différence et de se faire remonter de la sorte », glisse le technicien, plus désabusé que vraiment en colère. Cela fait tache, vraiment, au cœur d’un début de saison que tous espéraient brillant, Rennes ayant une pancarte d’outsider collée au dos depuis plusieurs semaines.

Le deuxième but, c’est Vidéo Gag
Les Rouge et Noir l’ont justifié à merveille pendant 30 minutes, le temps pour eux de mener 2-0 avec notamment le premier but de Blas sous ses nouvelles couleurs, entaché d’un hors-jeu flagrant de Gouiri mais non signalé par le VAR (10’). Après le but de Wooh, opportuniste à la réception d’un coup franc de Bourigeaud (24’), l’assistance s’imaginait même passer un après-midi joyeux, avec une fessée similaire à celle infligée à Metz quinze jours plus tôt.

Mais les Bretons ont une fâcheuse tendance à relancer leurs adversaires. Le deuxième but havrais en est un fidèle exemple. Sur une situation « anodine », dixit le coach du HAC Luka Elsner, Nabil Alioui s’est offert un doublé après une succession d’erreurs individuelles presque comiques (70’). « De la perte de balle jusqu’au but qu’on encaisse, c’est Vidéo Gag », ose Genesio.

À défaut de savoir s’il y avait vraiment une caméra cachée, on peut noter que ce mal rennais perdure et qu’il serait préférable d’y remédier rapidement, car tous ces petits points perdus dès le mois d’août peuvent être ceux qui manqueront à l’emballage final au printemps. C’est d’autant plus frustrant que les Rennais ont eu les occasions pour l’emporter en fin de rencontre avec Blas par deux fois (90’, 90’+5) et Doué (90’+5).

Mais cette équipe, qui a parfois « joué à la baballe », souligne Bourigeaud a en plus manqué de liant, de volume physique et de changements de rythme pour vraiment mettre à mal son adversaire dans la durée. « Ça reste un match, on ne va pas s’alarmer, mais ça doit nous mettre en alerte sur ce qu’on doit corriger », prolonge le technicien qui, s’il s’est dit satisfait de son groupe en l’état avant la rencontre, va tout de même le voir évoluer d’ici à vendredi prochain.

Le Stade Rennais ne peut plus tolérer ce genre de mésaventure dans sa quête de grandeur. Au matin du 28 août, il peut mesurer tous les progrès qu’il doit encore accomplir.

Le Stade Rennais est en discussions avancées avec les Young Boys de Berne pour leur milieu polyvalent suisse de 21 ans Fabian Rieder.
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Comme l'a révélé Foot Mercato, Rennes est en discussions avancées avec les Young Boys de Berne pour recruter Fabian Rieder, milieu polyvalent de 21 ans. Le club suisse, engagé en barrages de Ligue des champions (0-0 à l'aller face au Maccabi Haïfa, retour mardi), demanderait 20 M€ pour son international suisse (15 capes), qui a participé à la Coupe du monde au Qatar et au dernier Euro Espoirs.

Vendredi, le coach rennais Bruno Genesio avait indiqué que son club était en quête d'un milieu supplémentaire. Avant tout transfert éventuel, Rieder doit jouer le barrage retour de C1 de mardi avec les Young Boys de Berne.

Joël Matip serait également pisté
Par ailleurs, la question du départ d'Arthur Theate au RB Leipzig reste en stand-by. Rennes a déjà un profil en tête en cas de départ du défenseur axial belge, qui ne serait pas Morato (Benfica). Joël Matip (Liverpool) ferait partie des profils ciblés. Rennes devrait aussi attirer, lors de la fin du mercato estival, un attaquant axial dans un registre différent d'Arnaud Kalimuendo.

L'équipe de Bruno Genesio a mené 2-0 avant d'être rattrapée par le promu Le Havre à onze contre dix. Plusieurs mouvements sont attendus.
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« Une faute professionnelle », pour Ludovic Blas. « Un bon coup derrière la tête », pour Lorenz Assignon. « Pas admissible », aussi, pour Bruno Genesio. Dimanche après-midi, après 38 matches sans nul au Roazhon Park (dont 30 succès), les Rennais ont dû partager les points contre le promu havrais, alors qu'ils menaient 2-0 après 24 minutes, et 2-1 à onze contre dix à l'heure de jeu. Après avoir marché sur Metz (5-1, le 13 août) et extrait un point à Lens (1-1, le 20 août), l'un des candidats au podium, cette saison, a lâché deux points avant un déplacement à Brest, samedi. De quoi être irrité. Explications et perspectives.

Erreurs défensives
À 0-2, Le Havre a réussi à défaire quelque peu la maîtrise rennaise et à se rapprocher de la surface bretonne. « On s'est un peu endormis », constatait Genesio. Et Christopher Opéri, côté gauche, a eu tout le temps de centrer sur Nabil Alioui, qui a devancé Adrien Truffert pour une tête hors de portée de Mandanda (40e). Arthur Theate, lui, était trop collé à Christopher Wooh.

Mais Le Havre, en plus, a égalisé. « Un but gaguesque », pour Genesio, signé encore Alioui (70e), qui a profité d'une « accumulation d'erreurs du début à la fin, due à un manque d'agressivité et de concentration, pas acceptable si on a des ambitions comme on en a. On ne peut pas être aussi vite en danger sur ce type d'action. » À l'arrivée, Alioui n'a pas été inquiété par Wooh et a pu placer sa frappe. Rennes avait été surpris après un engagement contre Metz, et sur corner à Lens. Défensivement, il n'est pas encore au point.

Il manquait le troisième but
Les Rennais ont pris le match par le bon bout, avec un pressing payant de Blas au milieu suivi du premier but de l'ancien Nantais sous le maillot rennais, du gauche, en deux temps (10e). Truffert aurait pu marquer le deuxième mais sa frappe s'est envolée (18e), et c'est Wooh qui a exploité un coup franc de Bourigeaud dévié par Kalimuendo puis relâché par Desmas pour accentuer l'écart (24e).

Kalimuendo a eu le troisième au bout du pied mais il était trop court (32e) et Gautier Lloris a écarté devant sa ligne une frappe de Gouiri (55e). À 2-2, Le Fée n'a pas cadré (74e), ni Gouiri (87e), Desmas a repoussé une reprise de Blas (90e) et Désiré Doué a trouvé le poteau sur une ouverture de Matic (90e+5). « On a eu les occasions, je regrette d'avoir un peu trop tardé sur les changements », dira Genesio, qui a lancé Doué et Ibrahim Salah à la 80 minute de jeu.

Encore un changement par ligne ?
Si Rennes n'a pas été chamboulé au mercato, il doit encore se régler. La nouvelle paire côté droit (Blas-Assignon) a plutôt bien fonctionné dimanche, l'ancien Nantais ayant été souvent dans les bons coups. Derrière, Wooh suppléait Omari, suspendu, et il manquait peut-être de jus après l'heure de jeu. Au milieu, Matic et Le Fée ont démarré pour la première fois ensemble, avec Bourigeaud, et ce milieu a parfois ronronné.

Devant, Gouiri a provoqué mais n'a pas été en réussite, et Kalimuendo n'a pas brillé. C'est aussi la dernière semaine de mercato, et le club breton va encore bouger. Il est en discussion avancée avec les Young Boys Berne pour leur milieu international suisse de 21 ans Fabian Rieder, et sur la piste d'un attaquant axial au registre différent de Kalimuendo. Derrière, Rennes finira sans doute par s'entendre avec le RB Leipzig pour un départ de Theate s'il lui trouve un successeur, sans doute plus expérimenté. Joël Matip (Liverpool) ferait partie des profils ciblés.

Le Stade Rennais a concédé un match nul frustrant ce dimanche face au Havre lors de la 3e journée de Ligue 1 (2-2). Sur le plan du mercato, le club travaille avant la fin de la fenêtre de transferts avec possiblement trois recrues. Une par ligne.

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Le Stade Rennais a concédé un match nul frustrant face au Havre ce dimanche (2-2), mais ce n’est pas la seule actualité qui entoure le club ce dimanche. Le mercato, qui se clôture vendredi prochain, devrait encore être animé avec possiblement trois arrivées, une par ligne.

Le club a ainsi pris des contacts pour recruter un défenseur. Le nom de Morato (Benfica) avait fuité ces derniers jours mais il ne devrait pas venir en Bretagne. Une arrivée en défense est évidemment conditionnée à un départ d’Arthur Theate. Mais à cette heure, malgré une première offre de Leipzig, aucun accord n’a été trouvé.

Rieder en contacts avancés
Autre dossier en cours, celui d’un milieu de terrain, pour remplacer le départ de Lovro Majer mais aussi celui à venir de Flavien Tait. Le club est en discussions avancées avec Fabian Rieder (21 ans, Young Boys Berne). Il n’existe pas encore d’accord avec l’international suisse, mais cela pourrait s’accélérer dans les prochains jours.

Enfin, le Stade Rennais travaille sur le dossier d’un attaquant, plutôt un profil de grande taille, pour diversifier son animation offensive. Ce ne sera donc pas le Messin Mikautadze, annoncé par certains médias ces derniers jours.

Quoi qu’il en soit, les cinq derniers jours de mercato seront animés.

Le Stade Rennais et En Avant Guingamp sont en deuil. Passé par les deux clubs, en tant que joueur à Rennes puis entraîneur adjoint, et historique coach d'EAG entre 2002 et 2004, Bertrand Marchand s'est éteint à l'âge de 70 ans.

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La Bretagne perd l'un de ses personnages historiques dans le monde du football. Le Stade Rennais vient d'annoncer le décès de Bertrand Marchand à l'âge de 70 ans. Découvreur de Didier Drogba, qu'il tente de recruter à Rennes en 2001 avant de conseiller à Noël Le Graët de le recruter à Guingamp, le Dinanais a aussi brillé en Tunisie, où il mène en 2007 l'Etoile du Sahel à la victoire finale en Ligue des Champions africaine. Il aura conduit En Avant Guingamp à son meilleur classement en Ligue 1 avec une 7e place obtenue en 2003. Les Costarmoricains avaient terminé à trois points seulement du podium.

Bertrand Marchand a aussi été un consultant de qualité pour France Bleu Armorique entre 2004 et 2006, après son passage sur le banc de Guingamp, et avant de s'envoler pour son aventure tunisienne, sa deuxième patrie, où il a entraîné trois clubs (le Club Africain, l'Etoile du Sahel et le CS Chebba) et fait un court passage à la tête de la sélection en 2010. Nous adressons à sa famille nos plus sincères condoléances.

"Je trouvais que c'était un précurseur c'est-à-dire qu'il était dans la discussion, dans l'humain. Alors on va dire, qu'aujourd'hui, c'est un peu le maître mot. Mais il y a 20 ans, c'était déjà un avant-gardiste", rend hommage Gaël Danic, ancien joueur de Bertrand Marchand et actuellement consultant football pour France Bleu Armorique.

"Pour moi, j'ai une petite affection particulière parce que quand j'avais seize ans, c'est lui qui m'avait surclassé en équipe réserve. Il te disait pas les choses que tu avais envie d'entendre. Il te disait les choses qui étaient la vérité du moment. Et c'est le rôle qu'il a rempli à merveille", poursuit Gaël Danic.

La LFP va lancer le mois prochain l'appel d'offres des droits TV de la Ligue 1 pour 2024-2028. Actuellement, Amazon et Canal+ se partagent les droits, mais un nouveau candidat se fait connaître ce samedi.

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Une fois le mercato terminé, la Ligue de Football Professionnel lancera le 12 septembre prochain l’appel d’offres des droits TV pour la L1 et la L2 concernant la période 2024 à 2028. Un contrat qui pourrait ramener 1 milliard d’euros par saison, c’est du moins ce qu’espère Vincent Labrune. Pour cela, la LFP compte sur la concurrence entre les diffuseurs, et cela même si Canal+ ne semble pas vouloir faire un retour fracassant à la table des négociations. Cependant, la Ligue peut se réjouir, car ce samedi, c’est DAZN, désormais distribué sur MyCanal, une société anglaise qui avait déjà postulé à l’acquisition des droits en 2021, qui annonce qu’elle va tenter de rafler une partie des lots actuellement détenus par Amazon et Canal+. Dans le quotidien sportif, le patron de DAZN affiche la couleur et prévient quand même que pour acheter la Ligue 1, il devra taper sur le porte-monnaie des abonnés.

Dazn veut sa part de la Ligue 1

Répondant à Sacha Nokovitch, Shay Segev, PDG de DAZN Groupe affiche ses ambitions et ce que cela peut avoir comme effet sur les éventuels futurs abonnés. « DAZN participera à l'appel d'offres et veut être un diffuseur important de la L1, un acteur majeur. La France est une grande nation de football, on le voit comme un marché clé avec l'ambition d'offrir la meilleure expérience aux fans. À long terme, DAZN peut réduire la fragmentation des droits sportifs en France, explique le grand patron du média, avant quand même de prévenir que tout cela aura un coût…pour les téléspectateurs. Le sport est un contenu premium, nous devons payer très cher les ligues pour acheter les droits. Et en même temps, il y a un nombre limité de consommateurs capables de payer pour cela. Pour viser la rentabilité, il faut soit plus de pubs, soit plus de consommateurs, soit qu'ils payent plus. Nous avons récemment augmenté les abonnements des marchés que vous avez cités mais si, avec le temps, nous augmentons l'audience et le nombre d'abonnés, nous serons en capacité de réduire le prix. » A noter que ce samedi, et dans le cadre d'un accord récent avec Canal+, DAZN diffusera le match au sommet entre le PSG et Lens.

Grâce à un doublé contre Lens et un but et une passe décisive au Havre, Romain Del Castillo est le tube de l’été en Ligue 1. Talent trop souvent bridé par les blessures ou la concurrence dans ses différents clubs, le gaucher a trouvé ses marques à Brest. Entretien avec un crack qui n’oubliera jamais ses entraînements avec Farès Bahlouli.

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Comment expliques-tu l’excellent début de saison brestois ?

Après notre entame ratée l’an dernier, on avait à cœur de bien mieux démarrer. Le groupe se connaît depuis plusieurs années, donc ça a facilité le travail cet été. Certains clubs accumulent les transferts et il y a un temps d’adaptation obligatoire au début de saison. Ici, ce n’est pas le cas. On a peut-être besoin de recrues, mais je préfère conserver la colonne vertébrale. Même si Franck Honorat, Haris Belkebla et Jean-Kévin Duverne sont partis, le fait d’avoir la même ossature chaque année permet d’éviter un retard à l’allumage.

Éric Roy n’avait plus entraîné depuis plus de dix ans avant d’arriver à Brest. Est-ce que ça s’est ressenti ?

Non, pas du tout ! Je suis sûr qu’il a beaucoup travaillé avant de venir, pour être prêt dès le départ. Il est arrivé tranquillement, sans faire de fracas, il a pris ses marques, et tout s’est fait naturellement.

Qu’est-ce qu’il a apporté à un groupe alors dans la zone rouge ?

Beaucoup de confiance, et on en manquait énormément ! On avait de très bons joueurs, mais qui n’étaient pas assez en confiance. Au niveau psychologique, on a vu que quand la tête allait, tout suivait. Aujourd’hui, le coach me fait pleinement confiance, je pense que ça se ressent sur le terrain. Même si j’étais déjà un cadre l’an dernier, le départ de Franck (Honorat) doit me faire passer un cap.

Je préfère jouer toutes les semaines plutôt que regarder des matchs de coupe d’Europe sur le banc.

Vous avez longtemps été à la lutte pour le maintien la saison passée. Après avoir connu l’Europe avec Rennes, ce n’est pas frustrant pour toi de jouer le bas de tableau ?

À Rennes, je me suis heurté à une trop grande concurrence, donc j’étais surtout frustré de ne pas avoir de temps de jeu. Je préfère jouer toutes les semaines plutôt que regarder des matchs de coupe d’Europe sur le banc. À Brest, j’enchaîne les matchs, donc il n’y a jamais eu de frustration de descendre d’un cran en Ligue 1. Avant ça, quand j’étais à l’OL, j’avais été prêté à Bourg-en-Bresse, puis Nîmes, pour prendre ce temps de jeu.

En 2021, tu es arrivé dans le Finistère le dernier jour du mercato. C’est un transfert qui s’est fait dans la précipitation ?

Non, je dirais que ça a surtout tardé. Grégory Lorenzi me voulait depuis longtemps, et j’ai hésité de mon côté. À trois heures de la fin du mercato, j’ai enfin pris ma décision et je crois qu’on a signé à la dernière minute. (Rires.)

Tu n’étais pas stressé à l’idée de repartir pour une saison à cirer le banc avec Rennes ?

Je suis plutôt du genre à prendre les choses du bon côté. Je me disais que j’étais à un an de la fin de mon contrat, donc ça aurait toujours été une bonne expérience. Finalement, le projet brestois m’a attiré et m’a permis de jouer plus. Je reste en Bretagne, une région que j’ai appris à connaître, même s’il pleut beaucoup trop par rapport à Lyon.

Depuis ton arrivée à Brest, tu as terminé deux fois meilleur passeur du club, et dans ta carrière, tu as toujours plus passé que marqué. Comment l’expliques-tu ?

Je suis un joueur altruiste, ça c’est sûr. J’ai toujours eu ce goût pour la passe depuis que je suis gamin. J’ai toujours pensé au collectif avant tout. Je suis souvent guidé par le sens du collectif. Même dans la vie, j’adore faire plaisir aux autres, à mes proches ou mes coéquipiers.

Aujourd’hui, c’est le titre de meilleur buteur brestois que tu cherches ?

J’ai déjà battu mon record de buts sur une saison l’an dernier (6 réalisations, NDLR). J’y arrive un peu mieux parce que j’y accorde de l’importance pour aider l’équipe, mais je veux quand même garder mes passes avant tout.

Ça m’énerve d’avoir une étiquette de joueur fragile.

Ton altruisme te pousse à souvent revenir défendre et a provoqué quelques blessures. Est-ce que ce goût de l’effort et du collectif n’a pas freiné ta carrière ?

Ça m’énerve d’avoir une étiquette de joueur fragile. Je pense que je n’ai pas eu de chance, mais je fais tout mon possible de mon côté pour éviter de nouvelles blessures. Ça passe par le renforcement, l’hydratation, l’alimentation, etc. Par contre, il ne faut pas dire à mes coéquipiers que j’aime défendre, sinon ils vont me pousser à tout le temps revenir. (Rires.)

Tu n’as plus dépassé les 30 matchs dans une saison depuis 2017-2018, en Ligue 2. Est-ce que, sans cette inconstance, tu aurais pu être plus haut à 27 ans ?

À Rennes, je n’étais pas régulier et pas assez bon pour me faire une place. Ensuite, les pépins physiques sont arrivés à Brest, avec une pubalgie notamment. Là, c’est plus frustrant, car je suis titulaire et ça me freine considérablement.

Quand je voyais Farès Bahlouli sur le terrain… C’était tellement incroyable, je n’ai jamais vu ça ensuite.

Avant Brest et Rennes, il y a eu l’Olympique lyonnais. C’est un regret de ne pas avoir percé dans ta ville natale ?

Lyon, c’est mon club de cœur. Chez moi, tout le monde est supporter de l’OL, donc il y avait forcément un peu d’attente autour de moi. C’était une fierté indescriptible de rejoindre le centre. Surtout que je n’étais pas destiné à devenir professionnel, je jouais surtout au foot avec mes potes, pour m’amuser avant tout. Ensuite, quand tu en fais partie, c’est sûr que tu veux y jouer le plus longtemps possible. Malheureusement, ça n’a pas été le cas, mais je me dis qu’il y a une bonne raison et que c’est à moi d’apprendre pour réussir ensuite, même si c’est ailleurs.

Tu es issu de la génération 1996 (avec Gaëtan Perrin, Samuel Moutoussamy et Aldo Kalulu entre autres) qui a atteint la finale de Gambardella 2015. Comment tu expliques que, hormis Mouctar Diakhaby, aucun d’entre vous ne se soit fait une place à Lyon ?

On a tous joué quelques matchs en pro, mais on n’a pas vraiment eu notre chance sur la longueur. Même Gaëtan Perrin, qui s’est montré en marquant, n’a pas réussi à se défaire de la concurrence folle. La génération Lacazette-Tolisso n’était pas encore partie et ça ne permettait pas à la nôtre de s’imposer. Je pense qu’on avait la même mentalité, c’est-à-dire jouer à tout prix, donc on est parti en prêt ou définitivement vers des clubs un peu moins huppés pour lancer nos carrières.

Je crois qu’on galère tellement au fil des ans quand on est au centre que lorsque l’un d’entre nous perce en pro, c’est une petite victoire pour toute la génération.

Avant vous, il y a eu la génération d’Anthony Martial et de Farès Bahlouli qui a été surmédiatisée et qui vous a laissés dans l’ombre…

Ils étaient surtout bien plus talentueux que nous et ils ont aussi eu du mal à s’imposer à l’OL. Lors des oppositions le mercredi, ils nous impressionnaient, donc inconsciemment on a dû se dire qu’on avait du retard. Quand je voyais Farès sur le terrain… C’était tellement incroyable, je n’ai jamais vu ça ensuite. Derrière, tu vois qu’il n’a pas de temps de jeu en pro, donc tu prends une claque et tu vas jouer ailleurs.

En équipe de France Espoirs, tu t’es retrouvé avec Mouctar Diakhaby, Houssem Aouar ou Lucas Tousart qui se sont fait une place à l’Olympique lyonnais pendant que tu enchaînais les prêts. Ce n’est pas rageant de voir ça ?

J’en parlais beaucoup avec Mouctar vu qu’on a fait toutes nos classes ensemble depuis le centre de formation. Lucas est arrivé plus tard, et Houssem est plus jeune. Mais, honnêtement, à l’époque, j’étais tellement content pour lui, il n’y avait aucune jalousie ou rancœur. Je crois qu’on galère tellement au fil des ans quand on est au centre que lorsque l’un d’entre nous perce en pro, c’est une petite victoire pour toute la génération.

Absent des deux premières feuilles de match de l’OL en championnat, Karl Toko-Ekambi a trouvé un nouveau challenge. Le Camerounais s’est engagé jusqu’en 2025 en faveur du club saoudien d’Abha. Il quitte ainsi Lyon, où ses relations étaient conflictuelles avec les supporters depuis de longs mois maintenant.

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Le Groupama Stadium et Karl Toko-Ekambi, c’est terminé. L’attaquant camerounais s’est officiellement engagé, ce vendredi 25 août, en faveur du club d’Abha, qui évolue en première division saoudienne. Il quitte ainsi le Rhône trois ans après son arrivée en provenance de Villarreal, avec 38 buts et 19 passes décisives en 114 matches toutes compétitions confondues avec l’OL.

Les supporters, je m’en fous
Depuis de longs mois, il entretenait une relation conflictuelle avec les supporters rhodaniens, qui ont fait de lui leur tête de Turc, alors que dans le même temps, le joueur ne s’est pas gêné pour les chambrer à plusieurs reprises. Lors d’une interview accordée à SoFoot, il disait : "Les supporters, je m’en fous. Honnêtement, je n’en ai rien à foutre."

Alors que Laurent Blanc lui avait accordé un certain crédit à son arrivée sur le banc lyonnais, il l’a laissé hors de la feuille de match lors des deux premiers matches de la saison à Strasbourg (2-1) et contre Montpellier (1-4). Preuve qu’il n’avait plus vraiment d’avenir au club.

En Arabie Saoudite, à Abha, il retrouvera notamment Grzegorz Krychowiak, qui a porté les couleurs du PSG, ainsi que l’ancien Bordelais François Kamano. Pour le reste, l’effectif est bien loin de celui des "cadors" du championnat national, comme Al-Nassr ou Al-Hilal.

Manchester City a officialisé ce jeudi l'arrivée de l'ailier belge Jérémy Doku (21 ans) en provenance du Stade Rennais. Le joueur a paraphé un contrat jusqu'en 2028 contre un chèque estimé à une soixantaine de millions d'euros.
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La plus grosse vente de l'histoire du Stade Rennais est officielle. Ce jeudi, Manchester City a confirmé le transfert du virevoltant Jérémy Doku (21 ans), qui a signé jusqu'en 2028. Ce transfert serait de l'ordre de 60 M€, loin devant Nayef Aguerd (35 M€ à West Ham l'année dernière). Les Rennais réalisent une plus-value de grande ampleur, car l'ailier belge avait été acheté 26 M€ en 2020.

Si sa production statistique était correcte sans être impressionnante (six buts et deux passes décisives en 29 apparitions la saison dernière en L1), Doku a séduit les Citizens par sa faculté d'élimination (6,59 dribbles réussis par 90 minutes). Pisté par des clubs anglais à l'adolescence, il aura finalement attendu ses 21 ans pour tenter le grand saut.

Jérémy Doku est reconnaissable parmi tous. Sur le terrain, il est capable de chevauchées fantastiques vers la cage adverse. Par ses crochets admirables, il laisse sur place des défenseurs aux abois. Sans être un grand buteur (douze buts et dix passes décisives), il est bien mieux : il est altruiste. Il livre des centres au millimètre près pour ses coéquipiers heureux de se retrouver avec de telles offrandes devant des buts.

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Ce jeune international belge survole la pelouse. Ses crampons effleurent à peine l’herbe grasse où le maestro joue ses meilleures partitions. Dans un éclair de génie, il fait lever un stade, fait hurler le Kop et ravit les plus blasés. Il est une pépite polie au rythme des bons conseils de son entraîneur de Bruno Genesio. Impossible de rappeler ses exploits footballistiques en quelques lignes. Mais à Rennes où il a brillé durant deux ans (malgré quelques blessures), les aficionados ont découvert un jeune devenir talentueux au fil des rencontres. Ils ont vu naître une future star du ballon rond.

Jeremy est un jeune joueur très enthousiasmant et je suis très heureux qu’il nous rejoigne. txiki begiristain

Ces trois années avec vous m’ont fait évoluer en tant que joueur de football peut-être, mais surtout, et c’est le plus important, en tant qu’homme", a expliqué le joueur. A Manchester (son nouveau club), Jérémy poursuivra son chemin, loin des contrées bretonnes. Il réjouira les Britanniques  Pour 65 millions d’euros, il enchantera l’un des plus beaux championnats européens durant au moins cinq ans.

"C’est un grand jour pour moi, tant sur le plan personnel que professionnel", a déclaré Doku. "Manchester City est la meilleure équipe de football au monde, donc la rejoindre est quelque chose de très spécial pour moi et ma famille. Je suis très excité, car la Premier League est un championnat que je regardais toujours avec mon père et mon frère le dimanche soir. Je suis prêt, mais je vais devoir le montrer", a-t-il confié. En espérant qu’un jour, on puisse le revoir au Roazhon Park, lors d’une confrontation entre Rennes et Manchester City, en Ligue des Champions. Voir son interview.

Doku était un joueur exceptionnel. Mais au regard de ses nombreuses blessures, le Stade Rennais fait peut-être là une belle opération financière (record du club) et footballistique. En trois saisons, il n’a joué que 43 rencontres.

Sous la menace d’une fermeture suite à l’usage d’engins pyrotechniques lors de la victoire face au RC Lens (3-2), la tribune Quimper sera bien ouverte face au Stade Rennais.

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Le Stade Francis-Le Blé fera une nouvelle fois le plein face au Stade Rennais le 2 septembre prochain. En effet, un doute quant à la fermeture de la tribune Quimper subsistait suite à l’utilisation de fumigènes face à Lens. Malgré cette possible sanction, la tribune sera finalement bien ouverte pour ce derby breton. D’ailleurs, cette dernière affiche déjà complet à plus d’une semaine de la rencontre.

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