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Le Stade Rennais restera mon club de cœur

La coupe Gambardella, "Coach Vahid", John Utaka ou Yoann Gourcuff ou encore 54 buts en pro, sans oublier une arrivée chez les Bleus en tant que Rennais. Tout cela, c’est Jimmy Briand, aujourd’hui consultant sur Amazon Prime. Rare dans les médias, l’ancien buteur des "Rouge et Noir" a accepté pour le JRS d’ouvrir le livre à souvenirs et de nous raconter sa nouvelle vie.

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Une nouvelle vie dans les médias

Au cours de votre carrière de joueur, vous n’étiez pas un grand amateur d’interviews ou des rendez-vous médias. Peut-on considérer que le fait de vous retrouver micro en main est une surprise ?

Sincèrement, je n’aurais jamais pensé passer dans le monde des médias. Quand j’étais joueur, je n’étais pas forcément un bon client, comme on dit, je n’ai jamais aimé parler de moi ou me mettre en avant, même si cela faisait partie du métier. Aujourd’hui, j’apprends au quotidien, notamment auprès d’anciens joueurs comme Benoît Cheyrou, Mathieu Bodmer ou Benjamin Nivet. Je les trouve tous les trois excellents, la vision qu’ils avaient sur le terrain se retrouve dans leurs analyses. Ils sont clairement de vraies inspirations. Chez Amazon, j’apprécie beaucoup l’approche et la manière de parler football. Nous ne sommes pas sur des débats perpétuels sur l’arbitre ou autre, ça parle terrain, jeu, et c’est ça que j’aime.

Comment se sent-on de "l’autre côté" et comment vous sentez-vous dans ce rôle, sur cette chaîne ?

C’est très plaisant. Cela permet de garder le contact avec un monde que je n’avais pas décidé de quitter. Quand Amazon m’a proposé de devenir consultant, après que Benoît Cheyrou, dont je suis proche, m’a convaincu de le rejoindre dans l’aventure, je me suis dit "banco, j’y vais". Je n’avais pas de proposition, de nouveau challenge et j’ai accepté avec enthousiasme de relever celui-ci, en expliquant bien que si je trouvais un club d’ici la fin de mercato, je retournerais au terrain.

Proposition qui n’est pas venue en signifiant la fin de votre belle carrière (636 matchs pros, 134 buts inscrits). Regrettez-vous cette fin ?
Non, je n’ai pas de regrets. C’est fini, je suis passé à autre chose. Je suis quelqu’un qui a besoin d’avancer et quand j’ai décidé quelque chose, je ne reviens et ne regarde pas en arrière. J’ai vécu une carrière qui m’a apporté beaucoup de joies, de plaisir, des amis. J’ai connu de très bons clubs, l’équipe de France, la coupe d’Europe et j’ai pu côtoyer de très grands joueurs. C’est toujours compliqué de terminer sur une descente avec Bordeaux mais je retiens tout le positif que m’a offert le foot, pendant près de 20 ans tout de même.

Le Stade Rennais, son club de cœur

Une aventure débutée à Rennes, avec des louanges et des promesses à porter dès vos premières années au centre de formation. Les souvenirs de cette époque sont-ils encore vivaces ?
Bien sûr ! Le centre de formation, c’est une époque dorée, dingue, avec des gars qui sont devenus des amis pour la vie. On a passé pas mal de mercredis au Mac Do, changé les petits-déjeuners avec la complicité du chef de l’époque ! Je suis encore en contact avec beaucoup d’entre eux, nous avons un vécu commun, au-delà de toute victoire ou match. Pour ne rien gâcher, nous avons remporté la coupe Gambardella, qui était l’aboutissement d’un gros travail, mais surtout, d’un groupe de potes. Je pourrais en citer beaucoup mais j’ai peur d’en oublier !

Quels sont vos souvenirs les plus marquants ?
La coupe Gambardella, c’était immense, évidemment. Je n’oublie pas non plus des matchs que je n’ai pas joués et en l’occurrence, deux, la finale face à Guingamp en 2009 et ce match contre Lille, évidemment ! Peut-être aurais-je pu ou dû changer le cours des choses, allez savoir (rires). Plus sérieusement, j’ai toujours aujourd’hui l’immense regret de ne pas avoir pu aider les copains. Côté positif, il y a tellement de bons souvenirs ! J’ai pu atteindre l’équipe de France avec mon club formateur et j’avais toujours cette fierté de voir Rennes affiché lors des sélections. Ma relation au public, aussi, était excellente même si parfois, j’ai pu être chahuté. Il y a toujours eu du respect, y compris quand je suis revenu plus tard avec d’autres maillots.

Côté terrain, Rennes n’était pas aussi performant dans les résultats qu’aujourd’hui mais a eu de grosses équipes, de grands moments. Que manquait-il à l’époque ?
Peut-être l’exigence, la culture de la gagne telle que l’a exprimé Olivier Létang ou aujourd’hui Florian Maurice. Ces hommes-là savent comment on gagne, comment on répète les performances, ont cette culture du très haut niveau. Nos dirigeants de l’époque étaient aussi tournés vers la performance, bien sûr, mais Rennes est clairement monté d’un ton. Nous avons pourtant eu des mecs incroyables comme John Utaka, Yoann Gourcuff, le plus doué de tous, mais aussi des joueurs qui auraient mérité une carrière encore plus grande, comme Jérôme Leroy et Mickaël Pagis. J’ai eu la chance d’avoir ces deux joueurs derrière moi et franchement, ils étaient exceptionnels ! Nous avons kiffé, eu de grands moments mais il nous manquait sans doute la constance pour aller jouer l’Europe régulièrement et titiller les plus grosses équipes du championnat sur la durée.

Le Stade Rennais d’aujourd’hui

Vous connaissez bien Bruno Genesio, que vous avez côtoyé à Lyon, comme Florian Maurice. Comment jugez-vous sa réussite en Bretagne ?
Je ne suis pas surpris. Ici, Bruno a tout pour s’épanouir, un cadre idéal avec Florian à ses côtés, qu’il connait parfaitement. Il y a eu un peu de temps nécessaire pour mettre en place ses idées et principes de jeu mais aujourd’hui, le Stade Rennais devient un véritable rouleau-compresseur qui fait mal à n’importe quel adversaire. C’est un régal de les voir jouer et le coach n’y est pas pour rien. Il est exigeant, sait emmener les joueurs avec lui, concerner tout le monde et ça, croyez-moi, ce n’est pas simple, surtout quand des joueurs jouent peu ou estiment qu’ils devraient jouer. C’est un tacticien fin, humainement très intelligent qui connaît parfaitement le milieu et ses pièges. Mais surtout, comme le coach Antonetti qui m’a énormément marqué, c’est un homme droit, qui ne triche pas. Je suis convaincu qu’il y a encore de très bons moments à venir !

Quels joueurs de l’équipe d’aujourd’hui appréciez-vous ?
J’adore Martin Terrier. Je sais que beaucoup de monde parle de l’équipe de France pour lui et c’est mérité. Je pense qu’aujourd’hui, il en est proche, voire très proche mais paie une très grosse concurrence sur le secteur offensif. Mais au-delà de ça, j’adore sa finesse, son intelligence de jeu, ses déplacements. Aujourd’hui, au sein de l’académie d’attaquants dont je m’occupe, je montre des vidéos de Martin. Croyez-moi, c’est du très, très haut niveau. Dans un registre différent, j’apprécie aussi énormément ce que font Benjamin Bourigeaud, dont la patte droite doit être un régal pour un attaquant, ou Hamari Traoré. Amine Gouiri est aussi très intéressant et je ne peux pas, évidemment, omettre de parler de mon pote Steve Mandanda. Je ne vais pas être objectif, car je l’adore, je le respecte au plus haut point. Ce gardien, au-delà de ses qualités techniques, est un leader naturel. Il symbolise à lui seul l’exigence, la précision et le haut niveau. En le prenant cet été, Rennes a recruté bien plus qu’un gardien et cela se voit dans les résultats.

Jusqu’où ce groupe peut-il aller ?
Sincèrement, une épopée en coupe de France, ou même en Europa League est loin d’être exclue ! Il faut corriger les détails qui ont fait, par exemple, que Fenerbahçe a pu revenir deux fois à égalité malgré de retard de deux et trois buts mais la régularité sur des années et les performances réalisées offrent le droit de rêver à aller loin, très loin.

Rennes champion de France un jour, c’est possible ?
En Ligue 1, tant que le PSG disposera de tels moyens, avec de tels joueurs, ils seront injouables, pour n’importe qui, même si dans un passé récent, Lille et Monaco étaient parvenus à faire l’exploit. En revanche, accrocher la deuxième place est un objectif tout à fait jouable pour Rennes, qui n’a rien à envier aux autres concurrents désignés sur cet objectif.

L’avenir

Peut-on imaginer ton retour à l’avenir au Stade Rennais ?
C’est mon club de cœur, et ça l’a toujours été, tout au long de ma carrière. Je suis un supporter des "Rouge et Noir" et je le resterai. Revenir travailler ici, bien sûr, je peux l’imaginer, ce serait fort mais si cela doit arriver, cela arrivera. Je sais que je ne resterai pas 20 ans dans le monde des médias, même si aujourd’hui, j’y prends beaucoup de plaisir.

Votre prochain objectif est-il de rester dans le foot ?
Clairement, oui. Je souhaite coacher et pourquoi pas, les attaquants. Aujourd’hui, j’ai ouvert la B Striker Academy, près de Bordeaux, pour aider les jeunes, leur transmettre ce que j’ai pu apprendre aux côtés de tous les joueurs que j’ai côtoyés tout au long de ma carrière. Ensuite, je souhaite devenir entraîneur, dans un centre de formation, ou pourquoi pas, dans un staff professionnel.

L’évolution du football, que tu as connue sur 20 ans, t’inquiète-t-elle ? Es-tu parvenu à rester connecté aux nouvelles générations et à en accepter les codes et fonctionnements ?
Tout au long de ma carrière, j’ai toujours été à l’aise avec les jeunes, bien et relax à leur contact. J’ai apprécié ce rôle de grand frère et je ne me sens pas largué face à la jeunesse qui arrive. J’ai aussi mes enfants qui me permettent de garder le contact, je sais ce qu’est un ado aujourd’hui (rires) et je me suis même mis aux réseaux sociaux à la fin de ma carrière ! Il était temps… Pour ce qui est de l’évolution, en revanche, je pense qu’il ne faut pas nier les maux du football français ou mondial mais que rien n’est figé ou perdu. Il faut reprendre les choses à la base, les solutions viendront de l’éducation, des jeunes comme de leurs parents parfois, à qui il faudra peut-être réapprendre ce qu’est le football et ce que sont ses valeurs. C’est un travail de longue haleine mais il en vaut la peine.

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