• ds_2012.jpg
  • ds_1987.jpg
  • ds_0454.jpg
  • ds_2089.jpg
  • ds_1270.jpg
  • ds_2951.jpg
  • ds_2851.jpg
  • ds_1176.jpg
  • ds_1953.jpg
  • ds_2299.jpg
  • ds_2510.jpg
  • DS_0014.jpg
  • ds_3220.jpg
  • ds_0609.jpeg
  • ds_0571.jpeg
  • ds_2583.jpg
  • ds_1632.jpg
  • ds_3393.jpg
  • ds_2026.jpg
  • ds_1607.jpg
Mercato

20 Mai 2025

En fin de contrat au Stade Rennais, Steve Mandanda (40 ans) n’est pas le choix numéro du LOSC au poste de gardien en vue du mercato estival. Steve Mandanda en frissonne encore. Ovationné comme...

Mercato

19 Mai 2025

Selon les informations de Mohamed Toubache Ter, Loïc Désiré, qui vient tout juste d’arriver au Stade Rennais en qualité de directeur sportif, travaille déjà sur deux dossiers. Ce qui s’appelle ne...

Féminines

19 Mai 2025

À l'issue d'un parcours presque parfait (17 victoires pour une seule défaite), les Séniors ont été sacrées championnes de Régional 2, accédant ainsi à la division supérieure la saison prochaine....

Mercato

19 Mai 2025

Le Stade Rennais a annoncé un changement majeur pour son avenir à court et moyen terme. C’est un changement stratégique qui ressemble à un virage à 180 degrés après une saison ratée dans les grandes...

Ligue 1

18 Mai 2025

Après le match contre l'OM, le coach rennais Habib Beye n'a pas mâché ses mots au sujet de l'arbitrage. Ce samedi soir, l’Olympique de Marseille recevait le Stade Rennais pour le compte de la 34e et...

Anciens

18 Mai 2025

Sous contrat jusqu'en juin 2026, l'entraîneur du LOSC Bruno Genesio a réussi sa saison avec une 5e place. Moins sa relation professionnelle avec son président Olivier Létang, au point de songer à...

Actualité

18 Mai 2025

Ce samedi soir, le Stade Vélodrome n’a pas seulement vibré pour un dernier match de Ligue 1 riche en buts (victoire 4-2 de l’OM contre Rennes). Il a surtout rendu un hommage immense à l’un de ses...

Mercato

16 Mai 2025

Vidé par son passage au Stade Rennais, Frédéric Massara serait tenté à l’idée de faire une petite pause avant d’accepter un nouveau projet en Italie. Officialisé hier, le départ de Frédéric Massara...

Actualité

15 Mai 2025

Arrivé au Stade Rennais l’hiver dernier, avec un contrat hors-normes, le milieu de terrain Seko Fofana tarde à convaincre. Pis, Habib Beye l’installe même sur le banc des remplaçants. A se demander,...

Mercato

14 Mai 2025

Arrivé cet hiver au Stade Rennais, le Japonais Kyogo Furuhashi ne devrait pas faire de vieux os en Bretagne. Après une première partie de saison catastrophique, le Stade Rennais a investi 75...

Actualité

14 Mai 2025

Parmi les idées émises dans le cadre de la réforme du football professionnel, on a appris que la FFF pensait à créer des play-offs pour déterminer le champion de France de Ligue 1. Une idée qui n'a...

Actualité

14 Mai 2025

Si les pouvoirs de la Fédération française de football visent à être renforcés à l’avenir, l’instance pense déjà à plusieurs réformes pour relancer l’attractivité de la Ligue 1. En pleine...

Actualité

13 Mai 2025

Le Roazhon Park a tous les atouts d'un stade qui fleure bon le football et qui donne envie de s'y éterniser. Mais les résultats du Stade Rennais cette saison ont quelque peu terni une ambiance qui...

Actualité

13 Mai 2025

Le Vélodrome devance le Parc des Princes et Geoffroy-Guichard au premier classement des stades où il fait bon vivre une soirée de Ligue 1. L'idée était toute simple : un stage en immersion dans les...

Actualité

13 Mai 2025

Recrue importante du mercato hivernal du Stade Rennais, Kyogo Furuhashi est loin de répondre aux attentes. Mis de côté par Habib Beye, l’attaquant japonais de 30 ans n’a pas vraiment d’avenir en...

Mercato

13 Mai 2025

Le directeur sportif du Stade Rennais, Frédéric Massara, est sur le départ. Des prétendants se bousculent déjà pour l’accueillir lors du prochain mercato estival. Le directeur sportif du Stade...

Ligue 1

13 Mai 2025

L'arbitre rhodanien a été désigné pour officier samedi soir au Vélodrome pour la réception de Rennes, en clôture du championnat. Il n'avait croisé l'OM qu'une seule fois cette saison, lors de la...

Mercato

13 Mai 2025

Susceptibles de quitter les rangs du PSG à l’issue de la saison, Gonçalo Ramos et Kang-In Lee feraient d’excellents renforts pour le Stade Rennais, selon Pierre Ménès. Alors que le Paris...

Je ne retournerai jamais au qatar, j'y ai vu des choses atroces

Défenseur, Abdeslam Ouaddou l’a été pendant ses treize années de carrière. Sur la fin, il s’est mué en défenseur des droits humains après une douloureuse expérience au Qatar (2010-2012). Cette Coupe du monde, l’international marocain la regardera en dépit du fait "d’avoir été traité comme un esclave" durant son séjour en terres qataries lors de son passage dans deux clubs propriétés du cheikh al-Thani.

ds 1141

Allez-vous regarder cette Coupe du monde ?
Une Coupe du monde, c’est tous les quatre ans. Les amateurs du football attendent cette date avec beaucoup d’impatience et j’en suis un. Je vais la regarder.

En 2012, vous aviez appelé à réattribuer cette Coupe du monde à la suite de votre expérience dans deux clubs qataris.
Pendant cinq ans, avec l’aide de l'International Trade Union Confederation (Confédération syndicale internationale), nous avons tenté d’éclairer les esprits sur les conditions de vie sur place vu que j’y avais vécu. J’avais bien réalisé les atrocités que subissaient ces travailleurs. On a donné des conférences en Allemagne, en Angleterre, au Danemark, aux États-Unis, en Écosse... Il y avait des oreilles attentives, mais ce n’est pas allé plus loin.

En 2012, il y avait encore le temps de réattribuer la Coupe du monde à un pays qui respecte l’environnement, les droits des travailleurs et toutes les valeurs humaines.

Pourquoi ?
Par manque de courage peut-être. Il y a dix ans, les estimations annonçaient la mort de 400 ouvriers chaque année sur les chantiers avec des certificats des ambassades de l’Inde, du Sri Lanka, du Népal à l’appui. On est tombés pile dedans. Aujourd’hui, nous sommes au moins à 5000 morts. En 2012, il y avait encore le temps de réattribuer la Coupe du monde à un pays qui respecte l’environnement, les droits des travailleurs et toutes les valeurs humaines.

Comment avez-vous vécu les récents appels au boycott ?
Je lis toutes ces prises de position, ces volontés politiques de boycotter la retransmission. C’est trop tard. Ce n’est pas à deux mois que l’on monte au créneau, que l’on prend un haut-parleur pour appeler au boycott. Ils n’ont pas découvert juste avant la compétition qu’il n’y avait pas de respect des droits des travailleurs ou que la climatisation des stades allait être un désastre écologique. Toutes les nations ont eu connaissance du cahier des charges il y a bien longtemps.

Que diriez-vous à ceux qui n’ont pas voulu vous entendre à l’époque ?
Je n’ai trop rien à leur dire. Juste : "Regardez cette Coupe du monde, supportez les footballeurs de vos pays. Mais la prochaine fois, soyez plus attentifs. Réfléchissez avant que ce ne soit trop tard. Gardez le même entrain et la même énergie pour mettre la pression sur les institutions au sujet du respect d’un cahier des charges environnemental et social... mais lors de la période d’attribution."

Et pas au moment de la compétition...
C’est du pipi du chat. On parle dans le vide, là. Le mal a été fait. Comment vous voulez-vous arrêter une Coupe du monde un mois avant son début ? La moindre des choses, aujourd’hui, serait d’avoir une pensée, pendant les interviews, pour les travailleurs qui sont décédés dans les stades. Histoire que chaque joueur rappelle qu’il joue sur un terrain de sang.

Est-ce toujours "la Coupe du monde de la honte et du non-respect des droits de l’homme" , comme vous l’aviez déclaré à la suite de votre expérience au Qatar ?
Oui, toujours. Je ne déroge pas à ça. C’est l’une des Coupes du monde les plus sombres de l’histoire.

En 2010, tout le discours sur le Qatar était positif. Je n’ai pas pris la précaution de fouiller sur les droits des travailleurs.

En 2010, quand vous signez à Lekhwiya SC, aviez-vous eu des échos sur les conditions de vie ?
Non. J’ai été attiré et trompé par les reportages que je voyais à la télévision. En 2010, tout le discours sur le Qatar était positif. Je n’ai pas pris la précaution de fouiller sur les droits des travailleurs. Honnêtement, on ne regarde pas souvent ça. Ce qui m’a attiré là-bas, c’est uniquement le football. Même pas l’aspect financier parce que j'avais gagné suffisamment d’argent avec mes précédents contrats. J’étais en fin de carrière, je suis musulman, j’avais envie de découvrir cette partie du monde par curiosité.

Vous avez été privé d'entraînement, vos dirigeants vous ont forcé à changer de club, votre voiture et votre logement vous ont été retirés : qu’est-ce qui a été le plus dur ?
Ce côté arrogant et irrespectueux de la dignité humaine. Le fait d’écraser l’humain puisqu'ils se sentent supérieurs, donc ils ne considèrent aucunement la personne en face d’eux, sous prétexte d’être qatari. On a l’impression que c’est le peuple élu. C’est ça qui frappe le plus. Leurs actes ne sont que le reflet que leur pensée.

Tout ce qui a été fait ces dernières années, c’était dans l’optique de cette organisation. Ils sont souverains. Ils font ce qu’ils veulent sur leurs terres.

L’évolution des droits des travailleurs, pensez-vous que c’est uniquement pour la Coupe du monde ou plus durablement ?
C’est juste pour l’occasion. Ils ont fait beaucoup d’efforts pour rassurer la FIFA sur l’image. La bière est un parfait exemple : ils sont d’accord et puis finalement, non. Tout ce qui a été fait ces dernières années, c’était dans l’optique de cette organisation. Ils sont souverains. Ils font ce qu’ils veulent sur leurs terres. Mais comme il n’y aura plus de Coupe du monde, je pense qu’il n’y aura plus d’évolution.

Vous avez tout de même contribué à la suppression du kafala, ce système qui imposait un tuteur à chaque ressortissant étranger...
Tuteur, c’est le mot gentil. Moi, je dis un "maître" , comme au temps de l’esclavage. Avec l’aide d’associations, on a mis la pression sur le gouvernement qatari. Il y a également eu une révision du code du travail pour protéger plus ces gens-là, comme la possibilité de rentrer chez eux pour revoir leur famille, ce qui était interdit auparavant. Même si en pratique, je ne sais pas si c'est totalement respecté.

C’est donc impossible qu’une compétition d’ampleur fasse évoluer les règles d’un pays comme c’est avancé par les défenseurs de cette Coupe du monde qui, en résumant, disent : "Sans cette organisation, ce serait pire" ?
Ils ont leurs règles, donc quand vous les choisissez, il faut les accepter et arrêter de faire preuve d’hypocrisie. Ce n’est pas après qu’il faut se poser des questions ou critiquer. Si vous ne vouliez pas subir ce genre de position, il fallait réfléchir avant. Si je viens dans votre maison, je ne fais pas ce que je veux et je respecte votre loi. Je ne vous impose rien. Si je ne suis pas d’accord, je ne viens pas. Il y avait possibilité de mettre en alerte en disant : «?Attention, en donnant cette Coupe du monde, il peut se passer ça.?» C’est pour ça que j’étais un des premiers à m’élever contre cette Coupe du monde. Pourtant, je serai un des premiers à la regarder.

Quel est votre regard sur l’attitude de la FIFA ?
Elle essaie de faire bonne figure. Tout le monde sait que ce fut une erreur. La FIFA tente de trouver une communication fédératrice qui lui convienne pour expédier cette Coupe du monde et passer à autre chose. Ils semblent pressés que ça se termine, car elle a fait couler beaucoup trop d’encre. Ils font avec ce gros caillou dans leur chaussure. Même Blatter a dit que c’était une erreur.

En dehors de la FIFA, il y a beaucoup d’influences sur les fédérations et confédérations par rapport à des intérêts diplomatiques, commerciaux ou autre.

Sauf qu’elle a été attribuée sous sa présidence...
Blatter n’est pas seul. Il est président d’une institution. Quand il dit que c'était une erreur, je veux bien le croire. En tant que président d’une institution, vous pouvez influencer en interne, mais ce n’est pas votre vote qui fait changer les choses. Il ne s’est pas joué à une voix (14 pour le Qatar et 8 pour les USA). En dehors de la FIFA, il y a beaucoup d’influences sur les fédérations et confédérations par rapport à des intérêts diplomatiques, commerciaux ou autre.

Plusieurs nations, dont la France, y enverront des représentants politiques ou de gouvernement. Est-ce, là aussi, une erreur ?
À partir du moment où elle est attribuée, j'estime qu’il faut s'y rendre. Diplomatiquement, si tu es invité, tu dois t’y rendre. Être présent ne veut pas dire cautionner. Il s’agit de relations diplomatiques entre pays.

Pourriez-vous retourner au Qatar un jour ?
Ah non non non. Il ne faut même pas y compter. J’ai vu trop de choses atroces en matière de respect de la vie humaine, ce ne sont pas des valeurs qui me correspondent.

Parlons football. Vous êtes désormais manager-entraîneur au Loto-Popo FC (Bénin), vous avez été adjoint de Djamel Belmadi, à la tête de la sélection algérienne. Comment allez-vous vivre ce Mondial ?
Comme un fan de football et avec un œil d’entraîneur en me demandant ce que je ferais pour battre cette équipe, comment je contrerais ses changements tactiques...

J’ai une pensée pour Vahid Halilhodžic. Je suis encore fâché de la manière dont il a été lâché comme un chien.

Vous avez 80 sélections avec le Maroc, comment jugez-vous cette équipe ?
Tout d’abord, j’ai une pensée pour Vahid Halilhodžic. La qualification c’est lui, c’est son travail. La manière dont il a été viré, c’est irrespectueux. Je sais ô combien c’est difficile de se qualifier, surtout dans ces pays africains avec la pression, les infrastructures et les difficultés de voyage. En tant que marocain, je suis encore fâché de la manière dont il a été lâché comme un chien.

Et sportivement ?
Le groupe du Maroc est le plus difficile. Ceci étant, il a une des meilleures générations de tous les temps. Ce sera la surprise du Mondial. Il risque d’avoir des soucis sur le plan défensif, mais offensivement c’est très fort. Le Maroc devra en profiter. Si on commence à ne faire que défendre, l’équipe n’a pas de base assez solide. Nos latéraux sont Mazraoui et Hakimi, il faut exploiter leur potentiel. À la différence des autres années où le Maroc avait surtout une bonne défense.

Vous avez joué la CAN, et cette Coupe du monde a lieu également en hiver. Est-ce un avantage pour les joueurs africains ?
Au-delà de la chaleur, je pense que l’humidité va jouer un vrai rôle sur les équipes. Surtout celles qui sont arrivées les dernières sur place, car leur championnat s’est terminé tard. Les joueurs qui ont l’habitude des climats assez chauds et tropicaux, comme les Asiatiques, Sud-Américains ou Africains ont l’avantage de s’adapter plus rapidement.

Ça serait bien pour Deschamps de gagner une deuxième Coupe du monde et d'entrer définitivement dans l'histoire.

Quels sont vos favoris pour le titre ?
Le Brésil a une très belle équipe, qui se connaît très bien à force. Et puis, leurs organismes connaissent ces climats chauds et humides. La France a un potentiel, notamment offensif, intéressant. La jeunesse et l’expérience sont la clé. Et puis, ça serait bien pour Deschamps de gagner une deuxième Coupe du monde et d'entrer définitivement dans l'histoire*. Il fait partie des tout meilleurs au monde. Et on ne le dit pas assez.

Related Articles

S.G.S.B.

SGSB

Boutique de Mumbly

Boutique

Cantine de Mumbly

Cantine

Hébergé par

Reglyss.bzh

Free Joomla templates by Ltheme