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24 Avril 2025

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23 Avril 2025

L'UEFA a rendu public le versement de ses rétributions aux clubs pour la mise à disposition de leurs internationaux sur les dernières compétitions. Le PSG, Monaco et Rennes figurent sur le podium....

Fin de saison pour Eduardo Camavinga victime d'une rupture du tendon de l'adducteur gauche

Le Real Madrid a annoncé jeudi la blessure d'Eduardo Camavinga : le Français souffre d'une rupture complète du tendon adducteur gauche. Il devrait être absent environ trois mois et manquer le Final Four de la Ligue des nations, la Coupe du monde des clubs, en plus de la finale de la Coupe du Roi samedi contre le Barça.
Fin de saison pour Eduardo Camavinga victime d'une rupture du tendon de l'adducteur gauche

Lors de la victoire du Real Madrid contre Getafe (1-0), les Merengues ont vu David Alaba et Eduardo Camavinga sortir sur blessure. Entré au début de la seconde période, le Français n'a pas pu finir la rencontre et a été contraint de laisser son équipe jouer à dix, tous les changements ayant déjà été effectués.

Le Real Madrid a communiqué sur sa blessure jeudi matin : "À la suite des examens effectués aujourd'hui sur notre joueur Eduardo Camavinga par les services médicaux du Real Madrid, il a été diagnostiqué une rupture du tendon adducteur gauche."

Blessé pour la troisième fois de la saison, après des pépins au genou et aux ischios, le milieu de terrain devrait être éloigné des terrains au minimum trois mois. Il manquera donc la finale de Coupe du Roi samedi face au Barça (à suivre sur la chaîne L'Équipe), le Final Four de la Ligue des nations, avec une demi-finale France-Espagne le 5 juin, et la Coupe du monde des clubs (14 juin-13 juillet) aux États-Unis.

L’OL stoppe le fiasco Matic plus tôt que prévu

Sous contrat avec l’OL jusqu’en 2026, Nemanja Matic sera poussé vers la sortie dès l’été prochain par le club rhodanien, qui souhaite s’en séparer.

L’OL stoppe le fiasco Matic plus tôt que prévu

Recruté par l’Olympique Lyonnais en janvier 2024 pour apporter son expérience et sa qualité technique au milieu de terrain, Nemanja Matic a rendu de fiers services au club rhodanien durant ses premiers mois dans la capitale des Gaules. La patte gauche du Serbe a été précieuse afin de permettre à l’OL de remonter de la dernière à la sixième place au classement l’an passé sous les ordres de Pierre Sage. Mais depuis la prise de fonctions de Paulo Fonseca, l’ancien milieu de terrain de Chelsea, de l’AS Roma ou encore de Manchester United n’a clairement plus le même rayonnement.

C’est le moins que l’on puisse dire, Matic étant même remplaçant dans les grands matchs ces dernières semaines, comme face à Manchester United en Europa League. Dans son édition du jour, L’Equipe fait justement le point sur l’avenir du Serbe de 36 ans, à qui il reste encore un an de contrat puisque son bail court jusqu’en juin 2026. A en croire les informations du quotidien national, la volonté de la direction sportive de l’OL est clairement de mettre fin à l’aventure entre Matic et les Gones plus tôt que prévu.

L'OL veut se séparer de Matic cet été
Le nouveau statut de remplaçant du joueur n’est plus en adéquation avec son imposant salaire, estimé par nos confrères à 400.000 euros par mois. La situation financière du club présidé par John Textor rend impossible de conserver un joueur à un tel niveau de salaire pour qu’il soit un simple remplaçant. L’idée sera donc de lui trouver une porte de sortie cet été… à condition que le principal intéressé soit d’accord pour partir, ce qui n’est pas encore certain. Malheureux à Rennes car la situation de ses enfants n’était pas idéale, le Serbe a trouvé son équilibre à l’OL et sa famille y est heureuse. Dans ce contexte, le faire partir ne sera pas si simple pour Laurent Prud’homme et John Textor, qui vont devoir espérer un pont d’or d’un club exotique pour convaincre Nemanja Matic de partir une année plus tôt que ce qui était programmé.

Eduardo Camavinga inquiète sérieusement

Quatre ans après son arrivée au Real Madrid, et cinq ans après sa première sélection en Bleus, Eduardo Camavinga ne s’est encore imposé nulle part comme un titulaire indiscutable. Et sa méforme du moment ne passe pas inaperçue en Espagne.
Eduardo Camavinga inquiète sérieusement

Cette saison 2024/2025 n’aura pas été le big bang promis pour Eduardo Camavinga. Appelé à occuper un rôle plus central au Real Madrid après la retraite de Toni Kroos, le Français peine toujours à s’affirmer comme un titulaire à part entière. Ce n’est pas un hasard s’il a terminé seulement 6 rencontres sur ses 15 dernières disputées depuis son retour de blessure début février. L’ancien Rennais a connu quelques jolies parenthèses, à l’image de son 1/16e de finale aller de Ligue des Champions contre Manchester City il y a deux mois, mais il ne semble pas encore trouver pleinement sa place dans ce collectif, en tout cas celle espérée en interne et chez les supporters.

Face à la crise de confiance de son milieu de terrain, Carlo Ancelotti s’était affairé à le défendre en conférence de presse il y a deux semaines, révélant qu’il jouait avec des douleurs au dos. Si l’absence de continuité liée à ses blessures peut en partie expliquer cette période de turbulences (il en a eu 3 cette saison), le prétexte du manque de stabilité à un même poste ne tient plus vraiment la route. Cette saison, Camavinga n’a été utilisé qu’à 4 occasions comme latéral gauche, jouant le reste du temps au milieu de terrain, dans un rôle partagé entre pointe basse et relayeur (il a joué 31 matchs cette saison). Les opportunités n’ont donc pas manqué, surtout avec le repositionnement de Tchouameni comme défenseur central, mais le natif de Miconje (Angola) n’a pas su saisir les perches tendues.

Il n’est toujours pas un titulaire indiscutable, ni en club, ni en sélection
Aujourd’hui, Camavinga nage en plein doute, et ce n’est pas sa dernière prestation ratée face à Arsenal (3-0) qui devrait rasséréner sur sa situation. Coupable de la faute amenant le deuxième coup franc de Declan Rice, et expulsé pour une faute bête en fin de rencontre, le milieu de 22 ans a symbolisé à lui seul les errances de son équipe dans le coeur du jeu. «Camavinga ne trouve pas la sortie du tunnel. Le Français cherchait à s’imposer dans l’équipe cette saison avec le départ de Kroos et avec un Modric en fin de carrière, mais lors des derniers matchs, il a redémarré à reculons», écrit Marca. Contrairement à un Randal Kolo Muani (surtout en 2024), on ne peut pas non plus affirmer que les trêves internationales sont ses cures de jouvence, son actualité en Bleus n’étant pas plus enthousiasmante qu’en club.

Appelé à prendre le pouvoir et à assurer la transition générationnelle en sélection, le Madrilène manque encore de personnalité pour assumer ce rôle. Derrière Rabiot, il était pourtant le plus ancien des milieux de terrain convoqués en mars, lui qui était devenu international en 2020 bien avant les Guendouzi, Tchouameni, Fofana, Manu Koné, Zaïre-Emery et co. Son ancienneté n’a d’ailleurs pas empêché Didier Deschamps de le mettre sur le banc lors de la double confrontation face à la Croatie, ce qui pouvait laisser penser que le Madrilène était un 4e, voire un 5e choix dans l’esprit du sélectionneur… Mais il n’y a pas qu’en sélection que son rendement déçoit. Selon Mundo Deportivo, l’entourage de Florentino Perez serait globalement déçu de l’impact du joueur en ce moment.

Benoît Costil refuse de parler de retraite et s’amuse en Kings League

Sans club depuis la fin de son contrat avec la Salernitana fin juin, Benoît Costil a joué ce dimanche en Kings League avec l’équipe française F2R, du streamer AmineMaTue. Interrogé par So Foot en zone mixte après le match, le sosie officiel d’Olivier Giroud a fait le point sur sa situation sportive.

Benoît Costil refuse de parler de retraite et s’amuse en Kings League

La Kings League, ça va être génial
"Si je ne communique pas par rapport à ça, c’est parce que je ne m’interdis rien. Je suis super lucide par rapport à ma situation, a-t-il indiqué dans un premier temps. Je sais pourquoi aujourd’hui je suis sans club. J’ai fait un choix familial, géographique, mais aussi un choix mental pour moi, pour ma personne. Ce n’était pas un choix uniquement sportif. Si j’en suis là, c’est de ma propre volonté. Je n’étais pas contre repartir et je ne le suis toujours pas d’ailleurs, mais je ne demande rien. Je veux juste kiffer le truc, kiffer la compétition." L’ancien portier de Rennes, installé en Bretagne, a eu plusieurs sollicitations, mais aurait préféré trouver un projet dans le coin.

Et la Kings League, alors, ça donne quoi ? "C’est cohérent sans être exceptionnel. C’est normal, car beaucoup de joueurs la découvrent, même si certains ont déjà une expérience. J’ai trouvé ça pas mal, mais ça va être génial dans les matchs à venir, c’est évident."

Laurent Batlles limogé par Clermont cinq mois après son arrivée

À la tête de l’équipe première de Clermont depuis octobre 2024, Laurent Batlles n’aura pas duré chez les Auvergnats. La défaite contre le Paris FC vendredi dernier (2-0) était celle de trop pour celui qui n’a pas remporté la moindre rencontre depuis le 10 janvier, et pointe à une chaotique 17e place de Ligue 2. Le CF63 annonce ce lundi matin se séparer de son technicien.

Laurent Batlles limogé par Clermont cinq mois après son arrivée

La dégringolade clermontoise
Le club remercie Laurent Batlles pour son engagement et son professionnalisme depuis son arrivée, indique le club dans un communiqué. Nommé à l’automne, l’homme de 49 ans avait pour mission principale de redynamiser l’équipe et de faire remonter le club au classement.

Eh bien, c’est loupé : 5 victoires (dont 2 en Coupe de France) en 21 matchs, de quoi positionner le club à l’avant-dernière place du championnat, juste devant Caen.

Le Clermont Foot 63 connaît sa première saison dans l’antichambre du football français après trois années en Ligue 1, et risque donc la relégation pour son retour en deuxième division. Pour remettre le club dans le droit chemin, la direction a nommé Sébastien Mazeyrat, directeur du centre de formation et entraîneur de l’équipe U16 du CF63.

La nouvelle vie de Pierre-Yves André

Le deuxième meilleur buteur de l'histoire du Sporting club de Bastia, qui a évolué au club entre 1997 et 2001 puis de 2004 à 2010, a ouvert le centre sportif Mantinum, depuis ce lundi 31 mars, dans le centre-ville de Bastia. Un espace bien-être qui se place comme le premier vrai projet post-carrière footballistique de ce corse d'adoption.
La nouvelle vie de Pierre-Yves André

Grand sourire, paroles bienveillantes et accueil chaleureux, Pierre-Yves André déploie sa grande silhouette pour placer les clients dans les meilleures conditions possibles. L'ancien attaquant phare du Sporting club de Bastia (1997-2001 et 2004-2010), est comme un poisson dans l'eau, au cœur de sa nouvelle vie. À 50 ans, celui qui habite à Erbalunga depuis plusieurs années, vient d'ouvrir un centre de bien-être dans le centre-ville de Bastia, en association avec Anthony Paoli et Ismaël Bakari.

Le centre sportif Mantinum, établi sur plus de 400 m² et 300 m² de jardin, rue du Castagno, est le premier vrai projet du deuxième meilleur buteur de l'histoire du Sporting, depuis la fin de sa carrière footballistique. Salle Cross fit, pilates, hot pilates, hot yoga, ostéopathie, salle de gym, bar à matcha, futur espace restauration, cabine de cryothérapie, l'établissement propose un concept quasi inédit à Bastia. Le tout à des prix que les gérants présentent comme dans "la moyenne" : jusqu'à 85 euros par mois pour le cross fit ou une vingtaine d'euros pour une séance de pilates.

Des terrains de football aux postes de consultant sportif pour la télé
Après plusieurs expériences avortées ou non, dans l'agriculture ou les médias, Pierre-Yves André peut enfin s'intégrer pleinement dans un projet : "À la fin de ma carrière, j'ai fait consultant pour la télévision auprès de BeIn Sports, ensuite je suis passé par Eurosport. Dans un second temps, j'avais un projet dans l'agriculture, avec l'envie de planter de l'immortelle. Mais cela n'a pas pu se faire. Je suis donc parti pour trois ans à Londres avec ma famille où j'ai travaillé pour la chaîne Media Pro. J'étais sur le bord du terrain pour les matchs de Ligue 1 ou de coupe d'Europe."

En 2022, le manque de la Corse se fait sentir, pour ses deux enfants, Evan et Nina et sa femme, Marielle, originaire de Bastia. Vient alors l'heure du retour : "Je n'avais pas de projet particulier en tête. J'ai rencontré Anthony Paoli, gérant de la salle de Cross fit, rue Campinchi. Il cherchait une plus grande salle. J'ai eu l'opportunité de m'associer avec lui en visitant les nouveaux locaux."

L'établissement propose un concept quasi inédit à Bastia.
L'occasion aussi de se poser définitivement dans une île et une ville qu'il affectionne particulièrement. Lui, le Breton de souche, devenu Corse d'adoption : "Le cadre de vie est idyllique, ici on ne risque rien. Quand je suis arrivé, les gens m'ont tout de suite accueilli. Il faut adopter des codes. J'ai tout vécu au Sporting, ce club c'est ma vie. De la coupe d'Europe à la descente en Ligue 2. J'ai tout donné et le club me l'a bien rendu. Ma plus belle récompense, c'est de voir les gens s'arrêter dans la rue pour me parler de mon passage au Sporting."

Pour l'ex-footballeur, corse d'adoption, "cette salle, c'est mon avenir"
Et quand on lui demande s’il aurait pu s'investir au Sporting club de Bastia, il en parle encore avec passion : "J'aurais aimé rendre ce que ce club m'a donné. Mais ça ne s'est pas fait malgré une opportunité en 2010. Je me voyais bien dans une fonction d'ambassadeur auprès des jeunes. Ici, c'est une terre de football et il y a une vraie passion autour du Sporting. J'avais toutes les clefs pour jouer ce rôle. Mais je suis bien dans mon projet. Cette salle, c'est mon avenir. Un beau lieu pour donner envie aux gens de faire du sport."

Paul-Georges Ntep va jouer la Kings League

Et revoilà un visage très connu des amateurs de football français. L’ancien international français Paul-Georges Ntep, qui a ensuite choisi de représenter le Cameroun, va faire son retour en France puisqu’il a décidé de participer à la Kings League, compétition créee par Gérard Piqué. Il a été annoncé dans l’équipe du Youtubeur Michou.

Paul-Georges Ntep va jouer la Kings League

Passé par Rennes, l’ailier de 32 ans était sans club depuis son départ du Vietnam et du Ho Chi Minh-Ville FC. Là-bas, il avait disputé 10 matches pour un petit but. Ce week-end, il aura donc l’occasion de refaire parler de lui avec l’équipe Génération Seven dans cette Kings League qui s’annonce palpitante.

Lucien Aubey condamné à de la prison pour escroquerie

Jugé pour escroquerie, l’ancien footballeur Lucien Aubey (40 ans), notamment passé par Toulouse, Lens, Rennes et l’équipe de France espoirs, écope de deux ans de prison (dont un avec sursis). Le célèbre styliste Mohamed Dia est également condamné dans cette affaire.
Lucien Aubey condamné à de la prison pour escroquerie

Le verdict est tombé lundi soir. Défenseur central aux près de 150 matchs de Ligue 1 en carrière entre 2001 et 2012, Lucien Aubey (40 ans) a été condamné à deux ans de prison, dont un an avec sursis, pour des faits d'escroquerie, rapporte La Dépêche du Midi. Dans cette affaire, le célèbre styliste Mohamed Dia est également condamné à un an de prison avec sursis.

Les faits se sont déroulés dans la région toulousaine entre 2015 et 2017. À cette période, Aubey et Dia se lancent dans un projet de label musical. L’ancien joueur de Toulouse (2001-2007), Lens (2007-2008) ou encore Rennes (2008-2009), à la retraite depuis deux ans après une dernière expérience peu concluante à l'Olympiakos Nicosie (Chypre), propose à son voisin, un cordonnier nommé Sébastien, d’investir une grosse somme d’argent dans l’entreprise.

"Il venait de s'installer à côté de chez moi. Au bout de deux mois, il m'a dit qu'il allait toucher près de 200.000 euros suite à un accident de voiture. Il cherchait à placer cette somme, je lui ai indiqué ce que moi je faisais pour faire fructifier mon patrimoine", a décrit l’ancien footballeur, éphémère joueur de Premier League (3 matchs avec Portsmouth en 2008), dans des propos rapportés par La Dépêche du Midi.

Une escroquerie à hauteur de 145.000 euros
Sébastien se laisse alors convaincre par Aubey, qui lui promet "le million dans trois ans". Il investit 145.000 euros. Si la société est bel et bien créée par le duo d’entrepreneurs, le voisin de l’ancien joueur du TFC ne verra aucun retour sur investissement. Il n’était d’ailleurs pas au courant de la situation financière de l’ex-international espoirs (7 sélections), qui était alors interdit bancaire.

Selon la procureure de la République, Aubey s’est "servi de son aura pour récupérer les économies de la victime". De son côté, le principal intéressé a toujours nié les accusations, assurant n’avoir "jamais volé personne".

D’après La Dépêche du Midi, Franck Ribéry était censé être entendu comme témoin dans cette affaire. L’ancien international français est un proche d'Aubey, qu'il a connu chez les Espoirs français. Pour convaincre son voisin de participer à son projet de label, l'ancien Toulousain et international congolais (5 sélections) aurait à l'époque téléphoné devant lui à l'ex-star du Bayern Munich.

Jorge Sampaoli règle ses comptes avec le Stade Rennais

Limogé de son poste d’entraîneur du SRFC fin janvier, l’Argentin est retourné au Brésil. Toujours sans club, il a concédé une interview dans laquelle il explique son départ précoce de Bretagne.
Jorge Sampaoli règle ses comptes avec le Stade Rennais

Sur le papier, Rennes avait frappé un grand coup médiatique. Le 11 novembre 2024, le club breton officialisait l’arrivée de Jorge Sampaoli. El Pelado débarquait pour succéder à Julien Stéphan et aider le SRFC à redresser la barre en Ligue 1 (13e du classement après 3 victoires, 2 nuls et 6 défaites en 11 matches). Mais très vite, les premières sensations n’ont pas été très bonnes. Comme à son habitude, l’Argentin a réclamé des recrues pour sortir l’équipe du marasme, mais sur le terrain, les pensionnaires du Roazhon Park continuaient de couler.

Sampaoli a fait passer Rennes de la 13e à la 16e place (premier barragiste) en à peine deux mois avec un bilan catastrophique (17 points, 5 victoires, 2 nuls, 12 défaites, 0,8 point par match). La greffe n’a jamais pris, ce qui a poussé les Rouge et Noir à se séparer de leur coach le 30 janvier dernier, soit un peu plus de deux mois après l’avoir engagé. Aujourd’hui, Rennes ne regrette pas son choix. Huit matches plus tard, les Rouge et Noir d’Habib Beye sont douzièmes avec 32 points. Le SRFC n’est pas encore à la hauteur de ses ambitions, mais il s’est éloigné de la zone rouge (8 unités d’avance sur le premier barragiste). De quoi voir la fin de la saison avec un peu de sérénité.

Les dirigeants du SRFC pointés du doigt
De son côté, Jorge Sampaoli est sorti du silence pour revenir sur son expérience rennaise. Et visiblement, l’Argentin n’avait pas envie de faire son mea culpa. Pour lui, si sa mission s’est soldée par un échec, c’est principalement la faute des dirigeants bretons. « Vous arrivez dans un club en espérant changer les choses, faire des choses importantes. Le propriétaire du club est une personne très importante en France et, franchement, mes attentes en ce qui concerne le mercato n’ont pas été entendues. Le directeur sportif a décidé de faire un marché qui n’avait rien à voir avec ce dont nous avions besoin. Nous avons préféré couper les ponts », a-t-il déclaré à Globoesporte, avant de conclure.

« Je ne pouvais pas représenter une équipe dont je n’avais pas choisi les joueurs au mercato d’hiver. On a même parlé de joueurs qui avaient déjà joué pour nous pour faciliter les choses, mais on n’a pas été très écouté. Il vaut donc mieux ne pas continuer. L’équipe a trouvé de très bonnes réponses footballistiques à court terme, nous avons bien joué dans certains matchs. Cela aurait pu être un processus fructueux à long terme, mais quand on se heurte à des idées différentes, il vaut mieux se séparer ». Visiblement satisfait de ses matches à Rennes, Sampaoli se cherche maintenant un nouveau club et la presse brésilienne assure qu’il serait intéressé par le poste de coach de Fluminense.

Julien Stéphan balance ses vérités

Limogé par les dirigeants rennais en novembre dernier, Julien Stéphan a évoqué la situation du club breton désormais entraîné par Habib Beye. L'occasion d'un bilan pour l'ancien coach du Stade Rennais.

Julien Stéphan balance ses vérités

Julien Stéphan n'est pas le plus bavard des entraîneurs, et il s'était fait discret depuis son licenciement par Rennes le 7 novembre dernier, suite à la défaite à Rennes et les 11 points pris en dix journées par son équipe. Remplacé par Jorge Sampaoli, le technicien français a ensuite assisté au limogeage de ce dernier alors que le club plongeait vers la zone rouge au classement de Ligue 1, puis à la nomination d'Habib Beye. Si le Stade Rennais a retrouvé des couleurs, la défaite à Lens a remis le doute dans les esprits. À présent consultant pour DAZN, Julien Stéphan s'est exprimé sur la situation actuelle de son ancien club, et il a plaidé la cause d'Habib Beye, estimant que ce dernier avait besoin de temps, les changements ayant été très nombreux et très rapides.

Rennes doit donner du temps à Habib Beye
Loin de s'en prendre frontalement aux dirigeants du Stade Rennais et d'avoir un discours revanchard, Julien Stéphan a fait un état des lieux lucides. "Dans ces moments-là, les torts sont souvent partagés. L’analyse sera faite par ceux qui ont les responsabilités en fin de saison pour savoir comment ils souhaitent réorganiser le projet. Mais, il y a eu beaucoup de changements à l’intersaison, de mémoire, il y a eu douze signatures avec énormément d’étrangers et de nationalités différents qui ne connaissaient pas la Ligue 1, donc ça demandait un temps d’adaptation. Une partie de ces joueurs sont partis, il y a eu un investissement important au mercato d’hiver, encore plus important que l’été dernier. Cela a de nouveau chamboulé l’effectif, sans parler des changements de staff. Maintenant il faut laisser Habib travailler avec son staff et les nouveaux joueurs. Il faut laisser du temps pour qu’il mette en plus des choses, mais cela ne se fait pas en deux ou trois mois, il faut du temps. Il ne faut pas imaginer que cela va se décanter en trois semaines. Je sais que dans le football, on n’a pas beaucoup de temps, mais malgré tout, il y a eu beaucoup de changements et il faut laisser Habib bosser tranquillement", a prévenu l'ancien entraîneur du Stade Rennais.

Vers une surprise nommée Désiré Doué ?

Ce jeudi, Didier Deschamps va dévoiler la liste de l'équipe de France pour les quarts de finale de Ligue des nations face à la Croatie les 20 et 23 mars prochain.
Vers une surprise nommée Désiré Doué ?

Une liste dans laquelle Kylian Mbappé devrait faire son grand retour après avoir manqué les deux derniers rassemblements. Mais ce n’est pas tout. Le sélectionneur français pourrait convoquer de nouvelles têtes pour ces deux rencontres de ligue des Nations.

Selon les informations de RMC Sport, Marcus Thuram pourrait être forfait pour les prochaines rencontres des Tricolores. Un possible forfait qui pourrait faire une place à l’attaquant du Paris Saint-Germain Désiré Doué qui rayonne depuis plusieurs mois au sein de l’effectif de Luis Enrique.

A cet instant, le numéro 14 des Rouge et Bleu possèderait une longueur d’avance sur d’autres profils prometteurs et très en vue cette saison comme Maghnès Akliouche, Rayan Cherki ou Hugo Ekitike.

Désiré Doué séduit la planète football
Désiré Doué ne cesse de séduire et de monter en puissance au fil des matches. Auteur de 7 buts et de 11 passes décisives toutes compétitions confondues, le jeune parisien a une nouvelle fois ébloui les observateurs ce mardi soir en Ligue des Champions face à Liverpool.

Son entrée pleine de personnalité a impressionné et lui a permis de marquer des points auprès de Didier Deschamps. Reste à savoir s’il va déjà intégrer le groupe France en ce mois de mars. Une chose est sûre : s’il continue sur cette lancée il ne fait aucun doute qu’il sera un nouvel international français.

Pourquoi Eduardo Camavinga n'est toujours pas plus qu'un joker de luxe ?

Freiné par les blessures cette saison, Eduardo Camavinga peine toujours à être régulier et à devenir un titulaire indiscutable au Real Madrid, qui affronte le Rayo Vallecano ce dimanche à 16 h 15.
Pourquoi Eduardo Camavinga n'est toujours pas plus qu'un joker de luxe ?

L'histoire entre le Real Madrid et Eduardo Camavinga s'apparente à d'interminables montagnes russes depuis son arrivée à l'été 2021. Capable du meilleur comme à Liverpool en Ligue des champions (0-2, le 27 novembre en phase de ligue), comme du nettement moins bon, à l'image de ses dernières prestations. Son talent est indéniable et a toujours fait l'unanimité au sein de la Maison Blanche. Mais le manque de constance du Français dans ses performances reste son sempiternel problème.

Une irrégularité sur laquelle il travaille pourtant, au même titre que ses sautes de concentration et d'un impact offensif qu'il aimerait supérieur. "C'est vrai qu'il n'a pas eu de continuité cette saison, a reconnu samedi son entraîneur, Carlo Ancelotti, avant d'en expliquer la principale raison. Il a eu deux blessures importantes (*). Et après, c'est plus difficile pour retrouver son meilleur niveau, mais il s'améliore petit à petit."

(*) Entorse du genou gauche en août, six semaines d'absence ; blessure musculaire à une cuisse fin novembre, deux semaines ; une aux ischios fin janvier, trois semaines.
L'ancien Rennais traverse pourtant une période trouble. Depuis son match raté contre l'Atlético, mardi dernier en huitièmes de finale aller de C1 (2-1), il est, pour la première fois, la cible de critiques aiguës. Sa passivité et sa naïveté sur le but de Julian Alvarez ont notamment du mal à passer. "Il ne fallait jamais disputer le duel, mais juste se mettre en opposition, s'était irrité en direct sur la radio Cadena SER Alvaro Benito, ancien joueur et entraîneur des jeunes du Real. Je ne comprends pas comment un milieu défensif de haut niveau n'a pas ce genre d'appréciation tactique dans la tête."

Trois penalties concédés
Sur ses dernières sorties, Camavinga s'est aussi rendu coupable de nombreuses pertes de balle, de passes manquées et de fautes grossières très évitables et fortement préjudiciables. À l'image de ses trois penalties concédés cette saison, qui ont coûté cher au Real (0-1 à Lille en C1 le 2 octobre, 2-5 face au Barça en finale de Supercoupe d'Espagne le 12 janvier, 1-1 sur la pelouse d'Osasuna en Liga le 15 février).

Dernièrement, il n'a plus non plus le même impact défensif, à la relance et dans sa faculté à créer du surnombre et des décalages. "Sur les derniers matches, des douleurs au dos ne lui ont pas permis de jouer à 100 %, l'a défendu Ancelotti. Il a serré les dents pour aider l'équipe, et je suis sûr qu'avant la fin de la saison, il redeviendra lui-même."

On pourrait aussi ajouter que Camavinga n'a que 22 ans. Mais, pour sa quatrième saison madrilène, il s'apparente toujours à ce remplaçant de luxe. Dani Ceballos lui était même passé devant dans la hiérarchie. La blessure de l'Espagnol pourrait à nouveau lui offrir la régularité après laquelle il court. Même si, désormais, la concurrence de Luka Modric recommence à lui faire de l'ombre.

Benoît Costil raconte le jour où Salma Hayek a perturbé le vestiaire

Dans l'émission RMC Mercato sur Twitch, Benoît Costil, l'ancien gardien du Stade Rennais, revient sur une visite de Salma Hayek dans le vestiaire.
Benoît Costil raconte le jour où Salma Hayek a perturbé le vestiaire

Invité de RMC Mercato sur Twitch, jeudi 6 mars, Benoît Costil a bien entendu évoqué ses années au Stade Rennais. À cette occasion, son ancien entraîneur de gardiens Christophe Revel lui a adressé un message, filmé depuis une belle côte bretonne.

"Ce paysage me fait penser à un soir au Roazhon Park. On était très concentrés dans notre préparation de match. Subrepticement puis de manière plus précise, on entend des bruits de talons. Et là, rentre dans le vestiaire madame Salma Hayek. À ce moment-là, j'ai vu sur ton visage que toute la préparation, les dernières heures de concentration, la dernière causerie de Fred Antonetti n'existaient plus. (...) Et là, je me suis dit comment on va s'en sortir?"

Elle a une classe de fou
Salma Hayek est, depuis 2009, l'épouse du richissime homme d'affaires François-Henri Pinault, propriétaire du Stade Rennais. L'actrice mexicaine, dont l'attrait pour le football est notoire, a été aperçue plusieurs fois au stade.

Invité à réagir à cette anecdote, Benoît Costil confirme avoir été impressionné. "Qui ne le serait pas? Avec tout mon respect. C'est une dame fantastique par tout ce qu'elle a fait. On connaît tous Salma Hayek. Elle a une classe de fou. C'est la grande classe", a confié l'ancien international français (une sélection).

Malgré cette rencontre, Benoît Costil n'a pas pu échanger quelques mots avec la comédienne. "Cela aurait été un honneur de faire une photo", admet-il aussi. Un espoir qu'il nourrissait avec un éventuel sacre en Coupe de France. Mais lors de son passage entre 2011 et 2017, Rennes a échoué en finale contre Guingamp en 2014. Ce n'est qu'en 2019 que le club a décroché son troisième sacre dans cette compétition. "Pas de Coupe de France, pas de photo".

Fils de Lucas Severino, Pedro Severino est en état de mort cérébrale

Grand espoir du football brésilien, Pedro Severino (19 ans), le fils de l’ancien Rennais Lucas Severino a été victime d’un grave accident de la route ce mardi 4 mars. Le jeune attaquant est actuellement en état de mort cérébrale.

Fils de Lucas Severino, Pedro Severino est en état de mort cérébrale

Terrible nouvelle pour l’ancien attaquant du Stade Rennais, Lucas Severino. Son fils de 19 ans, Pedro Severino est actuellement en état de mort cérébrale.

Joueur prometteur prêté par Botafogo Futebol Clube (Ribeirão Preto) au Bragantino (club filial du groupe Red Bull) depuis fin février, il a été victime d’un grave accident de la route en compagnie de son coéquipier Pedro Castro, mais qui, lui, en est sorti légèrement blessé.

Procédure pour confirmer la mort cérébrale en cours
Pedro Severino a subi une intervention chirurgicale en raison d’un traumatisme crânien après l’accident au cours duquel sa voiture a percuté l’arrière d’un camion dans l’État du Goiás, au Brésil.

Selon le journal brésilien Globo , l’hôpital municipal Walder Tebaldi de São Paulo a annoncé mardi soir l’ouverture de "procédure pour confirmer la mort cérébrale. Le patient doit subir un test d’apnée et des examens complémentaires". Une procédure qui peut prendre jusqu’à 24 heures après l’ouverture du protocole.

Serhou Guirassy tacle le Stade Rennais

Plus qu’en réussite avec le Borussia Dortmund, Serhou Guirassy est le meilleur buteur de la campagne actuelle de la Ligue des champions avec 10 réalisations en 10 rencontres. L’attaquant guinéen de 28 ans s’est confié sur sa carrière avant le huitième aller de Ligue des champions face à Lille et regrette son expérience au Stade Rennais.

Serhou Guirassy tacle le Stade Rennais

"À Rennes, par exemple, c’était un environnement nocif. À la fin, j’ai abandonné, ça ne servait à rien : quoi que tu fasses, quand tu es la tête de turc, tu es la tête de turc. Dans certains contextes, tu te persuades que si tu loupes ton occasion, tu es mort, et là, tout se complique. C’est trop facile de se trouver des excuses, de mettre ça sur le dos du collectif. Même quand l’équipe va moins bien, comme à Dortmund cette saison, il faut tenter de sortir son épingle du jeu", a-t-il lâché dans un entretien à L’Équipe.

S.G.S.B.

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