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Les Rouge et Noir qualifiés pour les demi-finales

Défaits aux tirs au but lors de la dernière journée du Challenge Espoirs, les hommes de Sébastien Tambouret attendaient l'issue de la rencontre disputée ce mardi entre le Paris FC et le SM Caen pour savoir s'ils allaient affronter Toulouse en demi-finale.

Les Rouge et Noir qualifiés pour les demi-finales

La réponse est oui, puisque les Caennais qui étaient dans l'obligation de s'imposer pour passer devant les Rennais au classement n'ont pas fait mieux qu'un match nul 2-2 sur le terrain du Paris FC. Les Rouge et Noir terminent donc deuxièmes de la poule B dominée par Monaco qui recevra Montpellier pour une place en finale.

Les résultats Rouge et Noir dans ce Challenge Espoirs :

  • défaite 1-0 à Monaco
  • match nul 1-1 face au Paris FC (victoire 4-5 aux tirs au but)
  • victoire 3-0 contre Auxerre
  • victoire 2-1 contre Caen
  • match nul 2-2 contre Ajaccio (défaite 6-7 aux tirs au but)

Classement :

  1. AS Monaco - 14 points
  2. Stade Rennais F.C. - 11 points
  3. Stade Malherbe de Caen - 11 points
  4. AC Ajaccio - 10 points
  5. AJ Auxerre - 8 points
  6. Paris FC - 2 points

En Avant Guingamp se relance en dominant le Stade Rennais

Les U19 d’En Avant Guingamp se sont imposés face à leurs homologues du Stade Rennais, ce dimanche 6 avril 2025. Un match plein qui les relance.
En Avant Guingamp se relance en dominant le Stade Rennais

Après quatre journées sans victoires, Guingamp s’est logiquement imposé ce dimanche à domicile face à Rennes. Les "Rouge et Noir" se montraient dangereux avec Djegou sur corner, dont la tête fuyait le cadre (13’) et un numéro de soliste de Bouchoukh, qui ne parvenait pas à conclure (27’). La troisième grosse occasion était la bonne. Houlbert s’emmenait le ballon d’une aile de pigeon avant de servir Cideme qui concluait avec sang-froid (1-0, 32’). Belazzoug empêchait Guingamp de doubler la mise en repoussant la tentative de Kitenge, bien servi par Richer (39’). Rennes égalisait juste avant la mi-temps sur une passe en profondeur qui trouait la défense guingampaise et offrait tout le loisir à Dongopandji de marquer dans le but vide (1-1, 45’+3). "On se prend un but on se demande comment mais dans l’ensemble, ils n’ont pas eu grand chose", analysait Jonathan Dru, le coach guingampais.

Un non-match de notre part
Guingamp reprenait les devants en début de second acte à la suite d’un long rush d’Houlbert qui changeait le jeu sur Richer à l’opposé. Ce dernier servait Djegou sur un plateau, lequel plaçait le cuir sous le portier rennais (2-1, 53’). Alors que Rennes siégeait la surface guingampaise pour revenir au score, les locaux aggravaient le score. En contre-attaque, Bouchoukh était trouvé en profondeur, le milieu trompait de près Belazzoug pour assurer les trois points (3-1, 85’). "C'était un non match de notre part", fustigeait le coach rennais, William Stanger.

Philippe Barraud, le mystérieux directeur du recrutement des jeunes au Stade Rennais

Difficile de sonder la personnalité de Philippe Barraud, l’une des chevilles ouvrières historiques du recrutement des jeunes au Stade Rennais, et donc de la réussite de la formation à la mode Rouge et Noir. Avant Rennes - Nice dimanche 30 mars (14 h 30) en quart de finale de la Coupe Gambardella, on a cherché à en savoir un peu plus sur ce personnage très discret, parti quatre mois à Nice en milieu d’année dernière, avant de vite revenir au bercail.

Philippe Barraud, le mystérieux directeur du recrutement des jeunes au Stade Rennais

Discret. Réservé. Fuyant la lumière, voire même fuyant tout court pour certains. Philippe Barraud est un personnage d’autant plus difficile à cerner qu’il s’est toujours tenu éloigné des micros ou des caméras. On l’a sollicité cette semaine, il a songé à faire une exception à ses habitudes, mais le contexte du match de Coupe Gambardella dimanche 30 mars entre Rennes et Nice l’a incité à décliner pour l’instant.

Nice, c’est le club que le directeur du recrutement de l’Académie du Stade Rennais avait rejoint en juin 2024, dans le sillage de l’ex directeur sportif du SRFC Florian Maurice, puis qu’il avait quitté quatre mois plus tard pour revenir à Rennes. Les dirigeants niçois en étaient restés interdits, alors qu’ils lui avaient confié un rôle élargi dans le recrutement et la gestion administrative du centre de formation des Aiglons.

« Un choix du cœur », aurait justifié ce Rochelais de 59 ans, qui fut pour Arnaud Pouille (arrivé en octobre 2024) l’un des premiers enjeux de gouvernance. Peu après son intronisation, le président du Stade Rennais s’était déplacé sur la Côte d’Azur pour le convaincre de rentrer au bercail. « On va retrouver cet équilibre entre la partie recrutement et formation, où chacun à sa place contribuait à la réussite de l’ensemble, disait le directeur du centre de formation Denis Arnaud début décembre. Son départ était une grande perte pour le club, donc son retour ne fait que me réjouir ! Ses prérogatives sont totales, du choix des joueurs, jusqu’aux négociations et à leur engagement contractuel. Je sais sa compétence, mais aussi ce qu’il est capable d’amener à son équipe de recruteurs. »

Une filiation en Rouge et Noir depuis 1980
Philippe Barraud a aussi l’oreille d’Arnaud Pouille, fait partie du comité de direction du SRFC. Dans l’organigramme chargé de définir la stratégie sportive du club, en partant de la base, c’est-à-dire des jeunes, son rôle devrait aller en se renforçant.

Dans le milieu, il est vu comme une référence en matière de détection de jeunes talents, un métier qu’il exerce au Stade Rennais depuis le début des années 2000. En plus de vingt ans, il a contribué à faire venir à Rennes Camavinga, Dembélé, Désiré Doué, Tchaouna, Boey, Rutter, Belocian, Tel, Jacquet ou Cissé, pour ne citer que certains des plus récents.

Sa filiation est très forte avec un club qu’il avait commencé à fréquenter en 1980, comme… joueur du centre de formation, à ses 15 ans. Barraud, avait démarré sa carrière pro en 1984 à Rennes, et elle sera restée assez modeste. Il avait ensuite évolué à Lille, puis à Tours, La Roche-sur-Yon ou Poitiers.

C’est là-bas, dans la Vienne, que Patrick Rampillon était allé le débaucher. « J’étais encore joueur pro à Rennes quand j’avais connu Philippe, il était à l’époque un jeune du centre, se souvient l’ancien patron de la formation (1987-2013). J’avais joué aussi avec Luc, son oncle, dans les années 80, et je l’avais pris au départ dans mon équipe, pour s’occuper de la détection dans la région poitevine. Philippe avait été un milieu offensif, créatif, fin techniquement, qui se déplaçait bien et comprenait vite le jeu. En tant que recruteur, il a l’œil du footeux, le nez, une réflexion sur le jeu qu’il a appliquée à la manière de faire son métier. »

Creuser avec le joueur, la famille, voir et revoir…
Barraud est décrit comme un gros bosseur, habile pour présenter à ses cibles le projet de formation du Stade Rennais. Il aurait toujours eu un penchant pour les joueurs fins techniquement, plus intelligents que grands ou costauds, portés dans le caractère et l’éducation par le goût de l’effort, sur le terrain comme en dehors. « Voir la qualité du footballeur, déceler son potentiel, évaluer sa marge de progression et mesurer la qualité de l’homme : c’est toujours l’enjeu, sourit Rampillon. Le premier boulot de Philippe, c’était de se déplacer sur le terrain, puis de creuser avec l’individu, la famille, de voir et revoir… Il pouvait y avoir une trentaine de rapports écrits sur certains joueurs, notés selon un barème d’étoiles. »

Culte du secret va de pair avec sa fonction. « La discrétion, c’est une qualité quand on travaille sur le recrutement d’un joueur, et pour convaincre les familles, ça compte aussi ! Repérer un potentiel, c’est bien, mais parvenir à le faire signer, c’est mieux, et c’est souvent le plus difficile ! »

Ce processus n’implique pas que Barraud. Il demande souvent du temps, de la patience, quitte parfois à risquer de se faire doubler par la concurrence, et nécessite de « marcher main dans la main » au sein du club. « Un Eduardo Camavinga, par exemple, on ne le forme pas, on réussit plutôt à l’accompagner », ajoute Patrick Rampillon, faisant référence à l’importance de posséder dans la structure une équipe d’éducateurs à même de développer vers le haut niveau tel ou tel profil identifié, en y incluant le projet scolaire. « La base de la réussite d’un centre de formation, rappelle Rampillon, c’est la qualité du recrutement. » Lequel n’est toutefois que la première pierre d’un édifice vers la réussite long à consolider, où les acteurs sont nombreux.

Le Stade Rennais s’éclate face à Bergerac

Les Rennais se sont imposés logiquement, dimanche 23 mars en U19 nationaux face à Bergerac (4-0), en maîtrisant la rencontre dans son ensemble. De bon augure avant le match de Coupe Gambardella contre l’OGC Nice, le week-end prochain.

Le Stade Rennais s’éclate face à Bergerac

Il n’y a clairement pas eu photo. Après leur revers face à la solide formation lavalloise la semaine dernière (2-1), les Rennais ont remis la marche avant à domicile contre Bergerac, dimanche 23 mars. Une bonne répétition générale avant le quart de finale de Gambardella contre l’OG Nice, qui se disputera au Roazhon Park le 30 mars prochain.

Une victoire bien construite au fil des minutes, comme le mentionnait William Stanger, l’entraîneur rennais, dans son analyse d’après match : "C’est un match maîtrisé avec de l’efficacité. C’est une bonne répétition avant la semaine prochaine. Je suis content car j’ai trouvé que l’on avait été sérieux et appliqué. C’est très bien."

Il est clair que la formation rouge et noir n’a pas trop laissé l’opportunité aux Bergeracois de s’exprimer offensivement. Bellazoug, le portier rennais, n’a pas eu grand-chose à faire à part sur la tête de Eshaibi (61’) ou encore sur la frappe cadrée de Azani, bien servi par Prades (65’). C’est à peu près tout ce que l’on pouvait noter. Trop peu pour inquiéter des Rennais bien en place.

Offensivement, le Stade Rennais a montré des choses intéressantes. Dans l’ordre : Traoré n’a pas manqué de justesse pour reprendre la frappe repoussée de Dongopandji par Dubois le portier bergeracois (7’). Ce même Dongopandji s’est offert, quant à lui, un doublé. Tout d’abord sur penalty (2-0, 55’) puis sur une longue chevauchée victorieuse (3-0, 70’).

Avec un peu plus de réussite, Coutadeur et Akwa auraient pu s’inviter à la table des buteurs mais c’est finalement la frappe détournée d’Ugochukwu par Freulon dans son propre but qui a scellé les débats (4-0, 90’+4). Un résultat propre, net et sans bavure.

STADE RENNAIS - BERGERAC : 4-0 (1-0).

Arbitre. M. Guadisiabois.

BUTS. Traoré (7’), Dongopandji (55’sp, 70’), Freulon (90’+4 csc).

Flers n’a pas trouvé les armes et s’incline face à la réserve de Rennes

Face à une équipe tout en maîtrise, les Flériens ont subi un second revers consécutif, ce samedi 22 mars, face à la réserve de Rennes (0-2). Ils restent englués dans la zone rouge.

Flers n’a pas trouvé les armes et s’incline face à la réserve de Rennes

Crispés en ce début de match, les Flériens laissaient l’initiative à leurs adversaires. Prévost s’interposait une première fois sur une frappe de Le Bret (11’). Au fil des minutes, les Ornais s’enhardissaient, mais se heurtaient à une défense très athlétique. Les Bretons allaient logiquement ouvrir la marque. Sur le côté droit, Truffert trouvait Henrick Do Marcolino dans l’axe. L’attaquant Rennais ouvrait idéalement son pied pour tromper Prévost (0-1,29’). L’entame du second acte ne changeait pas la physionomie de la rencontre. Sur corner, Limon, tout heureux de se trouver au bon endroit trompait l’infortuné Prévost (0-2, 51’). "Sur un terrain très compliqué, nous avons eu du mal à installer notre jeu, souligne Sébastien Tambouret, le coach rennais.

Nous avons reculé
Les Flériens n’y étaient plus. Prévost évitait le pire (55’). Ensuite, nos adversaires jouent leur va-tout et nous avons reculé." En effet, Diayté, puis Hardoin faisaient renaître l’espoir chez les Ornais, mais leurs frappes fuyaient le cadre (62’et 69’). Le temps fort flérien se poursuivait. Diayté aurait pu prétendre à un pénalty. L’arbitre ne bronchait pas (73’). Ouhammou avait également une grosse occasion (74’). Trop désordonnés, les Flériens n’arrivaient pas à réduire le score. Leur coach, Tony Rouillon ne pouvait que constater les manques de son équipe. "Certains joueurs ne m’ont rien montré aujourd’hui. Il va falloir avoir un autre état d’esprit pour se maintenir."

FLERS - STADE RENNAIS : 0-2 (0-1)

Arbitre : M. Espondé

800 spectateurs

BUTS. Rennes : Do Marcolino H (29’), Limon (51’).

AVERTISSEMENTS. Ouhammou (35’), Peisson (54’) pour Flers. Limon (35’), Do Marcolino (78’) pour Rennes

FLERS : Prévost (c), Dayoro, Lasne, Lecerf-Gosselin, Duval (Diayté, 43’), Peisson, Ndalla, Kottoy (Cramoisan, 65’), Gosselin (Moussa, 65’), Hardoin (Boukmouch, 81’), Ouhammou. Entraîneur : Tony Rouillon.

RENNES (B) : Silistrie, Soukouna, Gbené, Do Marcolino A (c), Borval, Ngangué (Ledain, 81’), Truffert, Limon (Samaké, 61), Baruti (Chebbi, 87’), Do Marcolino H, Le Bret (Nvodo, 61’). Entraîneur : Sébastien Tambouret.

Le FC Nantes donne une leçon d’efficacité au Stade Rennais dans le derby

Pourtant auteurs d’une prestation correcte, les Rennais sont tombés, 0-3, face à des Nantais beaucoup plus réalistes dans les phases de transition offensive dans le cadre du championnat U19.

Le FC Nantes donne une leçon d’efficacité au Stade Rennais dans le derby

Entré en jeu à la 85e minute samedi soir à Louis II contre l’AS Monaco en lieu et place de Ludovic Blas, Kader Meïté figurait quand même bien sur la feuille de match pour le derby face à Nantes. Entreprenant, l’attaquant rennais, à l’image de son équipe, n’a pas été en mesure d’inverser le cours du match malgré pas mal de situations de but intéressantes. Parmi les plus dangereuses, on retiendra sa frappe cadrée (21’), son tir puissant claqué par Natiez le portier nantais (51’) ou encore sa tentative de peu à côté (67’). On n’oubliera pas non plus au niveau des occasions rennaises ce sauvetage de Mwanba sur la ligne sur la reprise de Chebbi alerté par Coulibaly (49’). Pour terminer, il y a aussi eu ce tir au ras du poteau ligérien de Gbeme (83’).

Le Stade Rennais pouvait logiquement nourrir des regrets comme le mentionnait William Stanger, le technicien rouge et noir : "Le score est lourd. On est tombé face à une équipe qui est plus mature et qui a mieux géré les temps de match. C’est un bon révélateur pour nous car on a joué avec des jeunes joueurs. On doit apprendre de ça pour continuer à avancer. Malgré tout, on a pris des initiatives et je pense qu’en début de seconde période si l’on revient au score, le match peut être tout autre."

Les Canaris changent de système
Pour parler maintenant du FC Nantes, la prestation d’ensemble a été solide. Les Nantais ont vraiment été intéressants dans leurs transitions vers l’avant. À l’image du début de match avec ce poteau de Letoux finement servi par Gassama (2’). Ils ont d’ailleurs été très vite récompensés par l’ouverture du score sur le penalty par Dabo après une main de Ledain dans la surface (0-1, 4’). À la demi-heure de jeu, sur un contre bien mené, le centre de Dabo a réussi à trouver Gassama au second poteau (0-2, 30’). En fin de match, Dabo toujours aussi précis dans ses transmissions a permis à Djonda d’une belle frappe croisée d’alourdir sévèrement le score (0-3, 77’).

Une belle opération qui plus est dans le derby comme le signalait Stéphane Moreau l’entraîneur nantais : "C’était un bon match et on a eu en plus le plaisir de le gagner. J’ai changé de système à la mi-temps car on aurait fini par subir. On a eu un peu de réussite en début de deuxième car s’ils reviennent à 1-2, je pense que le match peut basculer. En tout cas, je suis content du contenu et de ce que l’on a fait."

Stade Rennais - Fc Nantes : 0-3 (0-2).

Arbitre. M. Grot.

Buts. Dabo (4’sp), Gassama (30’), Djonda (77’).

Avertissements. Stade Rennais : N’Siala (85’). FC Nantes : Nzita (71’).

Le Stade Rennais n’a pas trouvé la solution face au Vannes OC

Face à une formation vannetaise bien en place, les Rennais, diminués, n’ont pas réussi à faire basculer la rencontre de leur côté, samedi 25 janvier. Score final nul et vierge : 0-0.

Le Stade Rennais n’a pas trouvé la solution face au Vannes OC

Quand on n’arrive pas à gagner un match, il faut savoir ne pas le perdre. Face à une équipe vannetaise expérimentée et bien organisée, les Rennais ont eu des opportunités pour faire basculer la rencontre mais sont tombés sur un Petitgenet, le portier morbihannais, vigilant. De leur côté, les Vannetais ont aussi eu l’occasion en seconde période de rafler la mise. Un match nul finalement assez logique au regard de la rencontre.

Sébastien Tambouret, l’entraîneur rennais donnait sa version des faits dans les couloirs de la Piverdière : « En ce moment, on est un petit peu diminué. On a très bien commencé le match et on a eu de bonnes intentions. Il nous a manqué cet allant dans les derniers mètres. Ça fait deux fois que l’on fait 0-0 mais marquer des buts, c’est ce qu’il y a de plus dur. Je trouve que l’on a eu des bonnes réponses même s’il en a manqué dans les vingt derniers mètres. » Avec un peu plus de réussite, les Rennais auraient effectivement pu prendre l’avantage notamment par l’intermédiaire de Rosier (17’) mais surtout de Mukiele particulièrement en vue (42’, 64’, 72’).

Dans le camp vannetais, on pouvait légitimement regretter cette grosse occasion avec ce double arrêt de Silistrie sur les tentatives de Piquionne et Kerviche (68’). Sylvain Didot le technicien morbihannais, se montrait plutôt satisfait de ce partage des points : « À Rennes, c’est toujours un bon point de pris. J’ai eu trois blessés importants le week-end dernier il aurait fallu que l’on soit au complet pour faire un petit peu mieux. On leur a laissé le moins d’espace possible et on a été solide et solidaire. En étant un petit peu plus juste techniquement sur la deuxième mi-temps, on aurait pu finir nos actions. »

STADE RENNAIS - VANNES OC : 0-0.

Arbitre. M. Le Cann.

Avertissements. Stade Rennais : Diallo (50’). Vannes OC : Fablet (37’).

STADE RENNAIS : Silistrie - F. Truffert, Soukouna, Borval (cap), Habri - Do Marcolino, Ngangue, Mukiele, Diallo (Traoré, 90’+ 1) - Rosier, Baruti (Mvodo Mvodo, 74’). Entraîneur : Sébastien Tambouret.

VANNES OC : Petitgenet- Guiillemot, Kervis, Amanakow, Bourles - Clémandot, Le Bolloch, Flégeau (cap), Fablet (Vallot, 78’) - Perez, Salibur, Piquionne. Entraîneur : Sylvain Didot.

Le Stade Rennais mis en échec par le Stade Plabennecois

Au terme d’un match ou chacun a eu sa période, Rennais et Plabennecois se séparent sur un match nul et vierge logique.
Le Stade Rennais mis en échec par le Stade Plabennecois

National 3 (13e journée). Plabennec - Stade Rennais (B) : 0-0
Une satisfaction pour Yann Pennes qui "prend quatre points sur six contre des équipes de haut de tableau après la trêve. On a été solidaire et dépensé beaucoup d’énergie. C’est un petit point mais qui j’espère sera précieux à la fin". D’entrée, ses joueurs montraient très vite la volonté de presser vite et fort l’adversaire. Noel était le premier à s’illustrer à gauche en effaçant son vis-à-vis, mais son centre fuyant était capté par Belazzoug (3’). Sur corner, Gaulmin était tout près de surprendre le portier Rennais d’une belle volée aux 16m (7’). La belle entame se poursuivait jusqu’à la demi-heure, durant laquelle Madec créait le danger à droite (12’) puis en profondeur (17’).

Et Pinvidic y allait de sa tête sur un corner de Pellen (25’). Le pressing intense rouge et blanc mettait le milieu rennais en difficulté, et le groupe de Sebastien Tambouret adoptait un jeu plus direct en profondeur. De cette manière, Baruti-Liamba s’échappait mais trouvait un Laurent vigilant sur sa trajectoire (17’). Scénario inverse à la reprise, où les Rennais revenaient logiquement avec de meilleures intentions. Laurent, tout juste remis d’un choc lors d’un duel avec Mukiele (58’), validait son rétablissement sur une frappe de Diallo qui prenait le chemin de la lucarne (66’).

Diallo contré par Pinvidic (90’) et Baruti-Liamba sur la barre (90’+4) faisaient passer des frissons à Kerveguen, sans conséquence. Sebastien Tambouret, frustré "par le manque d’intensité et d’énergie" des siens, restait sur sa faim. "On a utilisé nos forces sur la fin, mais fallait plus d’envie. En face ils étaient bien en place, c’est une bonne perf mais on n’a pas eu ce supplément qui transforme les nuls en victoire".

La fiche technique

Arbitre : M. Eveno.

Spectateurs : 400.

Avertissements. Plabennec : Zeggai (27’), Barry (82’) ; Rennes : Mukiele (58’)

PLABENNEC : Laurent, Gilles, Abily, Zeggai, Pinvidic (c), Merrien, Pellen, Gaulmin (Cornily, 90'), Madec (Rivoalen, 65'), Kujabi, Noel (Barry, 55’). Entr : Yann Pennes

RENNES : Belazzoug, Truffert, Habri, Ake (Soukouna, 85'), Borval, Ngangue, Diallo, Cisse, Baruti Liambo, Rosier, Mukiele (c). Entr : Sebastien Tambouret.

La réserve du Stade Rennais perd deux points sur tapis vert

Pour avoir aligné un joueur suspendu, le 7 décembre (J10), la réserve du Stade Rennais (N3) a perdu sur tapis vert son match contre Le FC Saint-Lô Manche (1-1 sur le terrain).
La réserve du Stade Rennais perd deux points sur tapis vert

L’évocation des dirigeants du FC Saint-Lô Manche a été entendue par la Fédération Française de Football (FFF) qui a confirmé que le jeune (17 ans) Rennais Joël Emmanuel Coulibaly était suspendu et qu’il n’aurait donc pas dû participer à la rencontre de N3 (groupe C) entre le Stade Rennais B et le FC Saint-Lô Manche du 7 décembre dernier (J10).

Deux points en moins pour Rennes
En conséquence, le match nul (1-1) sur le terrain s’est transformé en défaite sur tapis vert pour Rennes qui écope au passage d’un point de pénalité et passe ainsi de la 4e à la 6e place, à égalité, justement, avec Saint-Lô (16 points). Les 37 minutes jouées avant d’être expulsé étaient donc 37 minutes de trop pour Joël-Emmanuel Coulibaly et la réserve du Stade Rennais.

Premier contrat professionnel pour Joël-Emmanuel Coulibaly

Après Yaël Thébault, Lucas Rosier, Ayoub Akabou et Mohamed Meïté, le Stade Rennais a annoncé ce mercredi 11 décembre la signature du premier contrat professionnel de Joël-Emmanuel Coulibaly, lui aussi de la génération 2007. Le milieu de terrain est désormais lié jusqu’en 2028 avec les Rouge et Noir.

Premier contrat professionnel pour Joël-Emmanuel Coulibaly

Le Stade Rennais continue de sécuriser l’avenir de ses jeunes talents les plus prometteurs. Après Mohamed Meïté, Yaël Thébault, Lucas Rosier et Ayoub Akabou, le club bretillien vient d’annoncer, ce mercredi 11 décembre, la signature du premier contrat professionnel de Joël-Emmanuel Coulibaly, lui aussi de la génération 2007. Le milieu de terrain récupérateur est désormais lié jusqu’en 2028 avec les Rouge et Noir.

Joël-Emmanuel Coulibaly a rejoint le Stade Rennais en juillet 2020, après avoir évolué au Stade Français, à Boulogne-Billancourt, au Paris FC, au Paris Alesia FC et à l’US Villejuif. Il compte huit sélections en équipe de France U16 et U17, en 2023.

"Joël est un potentiel que l’on estime intéressant pour aller au haut niveau. Il y a des matches à franchir mais il a une certaine mentalité, c’est un leader intergénérationnel, développe Denis Arnaud, le directeur de l’Académie, dans le communiqué du club. Il arrive à faire le lien avec les plus grands et les plus petits. Il est capable d’amener les autres dans le travail, la compétition et la gagne. C’est une qualité rare, et c’est important."

"C’est un jour important car c’est le résultat de ce qui a été entrepris depuis que je suis tout petit, s’est pour sa part réjoui Joël-Emmanuel Coulibaly. Je suis passé par des bons et mauvais moments, et celui-là sera gravé. Je suis très heureux de pouvoir profiter de la qualité de formation du Stade Rennais. C’est une grande fierté de signer pro avec l’un des meilleurs clubs en termes de formation. Passer après Eduardo Camavinga, Mathys Tel, Désiré Doué, Jeanuël Belocian… Ça ne peut que me motiver."

Face à Lorient, le Stade Rennais peut nourrir des regrets

Dominateurs, notamment en première période, les jeunes Rennais ont laissé passer leur chance et se sont fait punir par les Lorientais en toute fin de match (0-1).

Face à Lorient, le Stade Rennais peut nourrir des regrets

On ne rappellera jamais assez l’importance d’être efficace dans la zone de vérité adverse lorsque les opportunités se présentent. William Stanger, le technicien rennais, ne cachait d’ailleurs pas son agacement en livrant son analyse après une rencontre que son équipe aurait pu ou dû remporter.

Une défaite sévère
Ses mots résumaient parfaitement la physionomie de ce derby, marqué par le réalisme des Lorientais en toute fin de match : "C’est une défaite un peu sévère, comme souvent en ce moment. Quand tu ne concrétises pas tes occasions, tu n’es pas à l’abri d’un coup de pied arrêté, comme on l’a vécu. Sur l’ensemble du match, on a la maîtrise et les occasions. Le match doit être plié en première mi-temps."

La première période a clairement tourné à l’avantage des Rennais, avec plusieurs occasions franches. Legendre, en manque de réussite dans le dernier geste, s’est illustré à deux reprises (7’, 19’), tandis que Mvodo a vu sa tentative stoppée par Pain, le gardien lorientais (19’). Moins tranchants offensivement en seconde période, les Rennais n’ont eu que leurs yeux pour pleurer sur le coup de pied arrêté conclu froidement par Blot dans la surface (0-1, 88’).

Une adversité de référence
Du côté de la formation lorientaise justement, l’accent a d’abord été mis sur une défense bien en place, tout en cherchant à exploiter les opportunités de contre. On retiendra aussi la frappe légèrement trop croisée de Said Haribou (12’), ainsi qu’une triple occasion signée Trules, Salomon et Said Haribou, malheureusement sans succès (26’). En seconde période, la tête de Salmon aurait pu connaître un meilleur sort (52’).

"Les garçons ont bien répondu, appréciait Flavien Binant, le coach du FCL. Ce sont des matchs pour la formation qui sont très intéressants. C’est toujours une adversité de référence pour nous. On n’a pas concédé beaucoup de choses et on a eu quelques situations, notamment cette frappe sur le poteau en première mi-temps. Je trouve que l’on a été peu mis en danger, si ce n’est en première période. Globalement, c’était un match très cohérent avec de bonnes choses. Le travail suit son cours."

Prolongation de la convention entre la TA Rennes et le Stade Rennais jusqu'en 2026

Signature officielle de la convention entre la TA Rennes et le Stade Rennais, prolongeant notre collaboration jusqu’en 2026.

Prolongation de la convention entre la TA Rennes et le Stade Rennais jusqu'en 2026

Cette convention a été signée par Jacques Aubry, président de la TA Rennes, avec Denis Arnaud, Directeur du centre de formation du Stade Rennais, et Corentin Bataille, Responsable de la pré-formation.

Un grand merci au Stade Rennais pour leur confiance et leur soutien dans ce partenariat, qui promet de belles perspectives pour nos jeunes talents.

Rennes fait passer pro le milieu francilien Joël Coulibaly

Le milieu de terrain de 17 ans, Joël Coulibaly, né à Paris, va signer un premier contrat professionnel de trois ans avec le Stade Rennais cette semaine.

Rennes fait passer pro le milieu francilien Joël Coulibaly

Le Stade Rennais n’en finit plus de prolonger ses jeunes espoirs. Après Mohamed Kader Meïté (attaquant), Yaël Thébault (latéral droit), Lucas Rosier (ailier gauche) et Ayoub Akabou (gardien), un cinquième élément de la génération 2007 s’apprête à signer son premier contrat professionnel. Selon nos informations, Joël Coulibaly, 17 ans, va passer pro cette semaine. Il sera, à son tour, récompensé par la direction qui a décidé de ne pas traîner pour blinder ses meilleurs talents.

Formé en Île-de-France, le milieu de terrain de l’équipe de France U17 (également passé par les U16) a bourlingué avant d’intégrer le centre de formation du Stade Rennais. Passé par le Stade Français, où il signera sa première licence à 5 ans, l’AC Boulogne-Billancourt, le Paris FC, Paris Alésia et l’US Villejuif, il s’est distingué au fil des ans par son son endurance et son élégance balle au pied. Courtisé par le PSG et Rennes, il avait opté pour l’académie du club breton en 2022.

« Joël possède un gros de volume de course, enchaîne les efforts avec la capacité de courir vite et longtemps, gratte des ballons, défend mais il est capable également d’orienter le jeu, de bien voir les situations et de jouer simple, nous expliquait José Alcocer, à son sujet le 23 décembre 2023. Il fait aussi preuve de maturité peut-être en raison de son parcours de vie, a du caractère et de la personnalité. C’est aussi ce qu’on recherche chez les joueurs. Aujourd’hui, il a le potentiel pour aller le plus haut possible. » Pas encore apparu avec l’équipe première, le jeune Coulibaly a fait ses débuts la saison dernière en National 3 où il évolue encore cette année.

Ayoub Akabou, jeune gardien de l’Académie, signe son premier contrat professionnel

Le Stade Rennais enchaîne les annonces de contrats pros pour les jeunes de son Académie actuellement. Après Mohamed Kader Meïté, Yaël Thébault et Lucas Rosier, c’est le gardien Ayoub Akabou qui vient de parapher le sien.

Ayoub Akabou, jeune gardien de l’Académie, signe son premier contrat professionnel

Semaine après semaine, le Stade Rennais sécurise ses pépites de l’Académie. Comme souvent à cette période de l’année, il fait signer leur premier contrat professionnel à ses joueurs les plus talentueux. C’est le tour de la génération 2007 et surtout celui d’Ayoub Akabou. Le gardien suit les traces de Mohamed Kader Meïté, Yaël Thébault et Lucas Rosier qui ont signé le leur ces dernières semaines.

Originaire de région parisienne, le gardien a rejoint le Stade Rennais en 2022 après deux saisons à l’INF Clairefontaine. Joueur au gabarit imposant (1,94 m), il a été sélectionné dans trois catégories d’âge avec les équipes de France (U16, U17 et U18).

Un honneur de signer mon premier contrat à Rennes
"C’est un jour très spécial pour ma famille, mes proches et moi, c’est beaucoup d’émotions. Ce n’est qu’une étape mais il fallait la franchir, livre le joueur sur le site du club. C’est un marathon, il faut gravir les marches petit à petit, ne pas se précipiter et tout faire pour y arriver. C’est beaucoup d’années de travail et d’acharnement, c’est un honneur de signer mon premier contrat à Rennes. Je suis très bien entouré, que ce soit à l’Académie ou lorsque je m’entraîne avec les pros. Steve Mandanda est une très bonne personne, il nous transmet énormément de conseils sur ses capacités à lire les situations, on profite de son expérience. J’essaie de prendre le maximum."

Une signature importante pour le club, qui n’a pas l’habitude de sortir des bons gardiens de son Académie ces dernières années. Et qui s’est engagé dans un projet pour justement s’améliorer dans ce domaine très spécifique. "On sait que l’on a la capacité de faire éclore de bons joueurs de champ. On a fait évoluer le projet pour former des gardiens à haut potentiel pour le Stade Rennais, explique Denis Arnaud, le directeur de l’Académie. C’est une fierté de pouvoir concrétiser le travail des éducateurs et des recruteurs. Il faudra de la patience mais il présente de belles qualités. C’est un garçon qui présente une maturité avancée sur le plan mental, il a un très bon jeu au pied, c’est aujourd’hui indispensable dans le football de haut niveau pour relancer."

Rennes fait passer pro le milieu francilien Joël Coulibaly

Selon nos informations, le milieu de terrain de 17 ans, Joël Coulibaly, né à Paris, va signer un premier contrat professionnel de trois ans avec le Stade Rennais cette semaine.

Rennes fait passer pro le milieu francilien Joël Coulibaly

Le Stade Rennais n’en finit plus de prolonger ses jeunes espoirs. Après Mohamed Kader Meïté (attaquant), Yaël Thébault (latéral droit), Lucas Rosier (ailier gauche) et Ayoub Akabou (gardien), un cinquième élément de la génération 2007 s’apprête à signer son premier contrat professionnel. Selon nos informations, Joël Coulibaly, 17 ans, va passer pro cette semaine. Il sera, à son tour, récompensé par la direction qui a décidé de ne pas traîner pour blinder ses meilleurs talents.

Formé en Île-de-France, le milieu de terrain de l’équipe de France U17 (également passé par les U16) a bourlingué avant d’intégrer le centre de formation du Stade Rennais. Passé par le Stade Français, où il signera sa première licence à 5 ans, l’AC Boulogne-Billancourt, le Paris FC, Paris Alésia et l’US Villejuif, il s’est distingué au fil des ans par son son endurance et son élégance balle au pied. Courtisé par le PSG et Rennes, il avait opté pour l’académie du club breton en 2022.

"Joël possède un gros de volume de course, enchaîne les efforts avec la capacité de courir vite et longtemps, gratte des ballons, défend mais il est capable également d’orienter le jeu, de bien voir les situations et de jouer simple, nous expliquait José Alcocer, à son sujet le 23 décembre 2023. Il fait aussi preuve de maturité peut-être en raison de son parcours de vie, a du caractère et de la personnalité. C’est aussi ce qu’on recherche chez les joueurs. Aujourd’hui, il a le potentiel pour aller le plus haut possible." Pas encore apparu avec l’équipe première, le jeune Coulibaly a fait ses débuts la saison dernière en National 3 où il évolue encore cette année.

S.G.S.B.

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