• ds_1256.jpg
  • ds_1579.jpg
  • ds_1412.jpg
  • DS_0203.jpg
  • ds_0341.jpg
  • DS_0202.jpg
  • ds_3537.jpg
  • ds_1711.png
  • ds_1784.jpg
  • ds_1048.jpg
  • ds_1464.jpg
  • ds_1286b.jpg
  • ds_3219.jpg
  • ds_1033.jpg
  • ds_0830.png
  • ds_0782.jpeg
  • ds_1007.jpg
  • ds_1876.jpg
  • DS_0112b.jpg
  • DS_0148.jpg
Actualité

02 Juin 2025

Le FC Sankt Pauli s'est encore démarqué en créant une œuvre d'art sur... sa pelouse

L'artiste Saype s'est chargé de transformer le Millerntor en symbole d'engagement mondial avec cette...

Actualité

02 Juin 2025

Une consultation a été lancée, ce lundi, pour la fabrication de l'antenne qui va être lancée en août par la LFP pour le démarrage de la saison prochaine. Après la fin de l'aventure DAZN, principal...

Mercato

02 Juin 2025

S’il reste très attaché au FC Nantes, où il est le joueur le plus décisif depuis son arrivée en juillet 2020, Moses Simon (29 ans) serait dans les petits papiers du Stade Rennais sur ce mercato...

Amateurs

02 Juin 2025

Le Stade Rennais et son gardien Mathys Silistrie (19 ans) sont tombés d’accord pour un premier contrat professionnel. Il signera cette semaine pour un an assorti de deux années supplémentaires en...

Mercato

31 Mai 2025

Le latéral droit français Lorenz Assignon va signer à Stuttgart, qui va verser 13 millions d'euros auxquels s'ajouteront 2 millions supplémentaires de bonus. Lorenz Assignon évoluera bien en...

Anciens

31 Mai 2025

Avant d'atteindre la finale de Ligue des Champions qu'ils disputent avec le PSG ce soir à Munich face à l'Inter Milan, Désiré Doué et Ousmane Dembélé ont tous les deux été formés au Stade Rennais....

Mercato

29 Mai 2025

Conseiller de Warmed Omari, Frédéric Guerra estime que l’OL n’a pas été honnête avec son joueur lors de son recrutement l’été dernier. Il vide son sac. Prêté cette saison à l’OL par le Stade...

Mercato

28 Mai 2025

Newcastle United, fort d'une qualification pour la prochaine Ligue des Champions, pourrait bien soumettre une grosse offre de 30 millions d’euros pour Arnaud Kalimuendo, selon les informations du...

Actualité

27 Mai 2025

L’entraîneur Habib Beye a réussi à maintenir le Stade Rennais à la 12e place en Ligue 1, ce qui a automatiquement prolongé son contrat jusqu’en juin 2026. Cette performance suscite une grande...

Mercato

27 Mai 2025

Le Stade Rennais veut rapidement avancer sur son mercato pour permettre à Habib Beye d'optimiser la préparation estivale. Pour cela le SRFC aurait jeté son dévolu sur Rodrigo Zalazar, le milieu...

Mercato

27 Mai 2025

Recruté l’hiver dernier, l’attaquant japonais Kyogo Furuhashi devrait déjà quitter le Stade Rennais. Parmi les clubs intéressés figure Bournemouth, qui songe aussi à Adrien Truffert. Avant...

Mercato

27 Mai 2025

Dans un entretien donné à L’Équipe, Arnaud Pouille, directeur général du RC Lens entre 2017 et 2024, actuel président du Stade Rennais, a défendu l’achat de ses anciens joueurs, Brice Samba et Seko...

Mercato

27 Mai 2025

Le Stade Rennais a décidé de prolonger le contrat de son défenseur central Jérémy Jacquet pour deux années supplémentaires, le liant ainsi au club jusqu’en 2029. Cette initiative vise à sécuriser...

Gambardella

26 Mai 2025

Le Stade Rennais, vainqueur de la Coupe Gambardella 2025 face à Dijon (3-2), a fait tomber un record au 21e siècle. Il ne fallait pas arriver en retard, du côté du Stade de France. Ce samedi...

Amateurs

26 Mai 2025

Week-end faste pour l'Académie ! De la victoire en Gambardella à la qualification en finale de Coupe de Bretagne U14, découvrez les résultats de nos Rouge et Noir ce week-end. U18 - Vainqueurs de la...

Mercato

26 Mai 2025

Le président du Stade Rennais, Arnaud Pouille, a pris la parole ce lundi dans l’émission Pleine Lucarne de Ouest-France. Invité ce lundi de l’émission Pleine Lucarne de Ouest-France, le président du...

Mercato

26 Mai 2025

Après le changement de directeur sportif, le Stade Rennais a déjà déclenché les grandes manœuvres pour renforcer l'équipe d'Habib Beye. Et c'est en Allemagne que le club breton a déjà flairé le bon...

Mercato

26 Mai 2025

Steve Mandanda, à 40 ans, se retrouve à un carrefour de sa carrière. Après avoir quitté le Stade Rennais, il ne sait pas encore s’il continuera à jouer. Cependant, le gardien français a reçu...

Tellement de bons souvenirs avec Rennes

De retour en Ligue 1, Adrien Hunou était revenu en début de saison sur son expérience au sein du championnat américain et avait évoqué son arrivée au SCO avec lequel il affronte son club formateur dimanche, le Stade Rennais.
ds 1042

Moins d’un an et demi après votre départ à Minnesota (MLS), vous êtes déjà de retour en Ligue 1 Uber Eats. La France vous manquait ?
Oui, un peu tout me manquait, mes amis, ma famille. Vivre une expérience à l’étranger permet parfois de se rendre compte qu’on a beaucoup de chance d’être dans un pays comme le nôtre. Mais je ne regrette pas du tout mon passage aux États-Unis. C’était une opportunité que je voulais saisir. C’est un très beau pays multiculturel à découvrir, mais on n’est jamais mieux qu’à la maison. J’ai fait une saison pleine en 2021, où on a disputé les playoffs, avant de moins jouer la saison passée. Aujourd’hui, je suis très heureux d’avoir rejoint Angers et de retrouver la Ligue 1 Uber Eats, un championnat que je connais très bien.

Comment avez-vous vécu cette expérience en MLS ?
Comme une première expérience à l’étranger ! Cela m’a obligé à sortir de ma zone de confort. Parfois, on a des opportunités qui ne sont pas forcément les plus évidentes, mais je me sentais prêt à franchir un nouveau cap et à grandir humainement. J’avais beaucoup discuté avec Romain Alessandrini des États-Unis et c’était devenu un objectif pour moi de performer là-bas. Au final, c’était une très belle expérience à vivre.

Qu’est-ce que ce passage vous a apporté ?
C’est un championnat où tout se fait à l’énergie. Il y a des valeurs et des principes de jeu totalement différents de la Ligue 1. Cela m’a permis d’emmagasiner de l’expérience sur et en dehors du terrain. J’ai découvert une autre culture, un autre environnement, un autre contexte, une autre nourriture… C’était intéressant de pouvoir concilier la vie de footballeur, avec un projet sportif cohérent, et cet aspect de découverte en dehors du foot. Il faut savoir en profiter car une carrière passe vite.

Vous aviez donc également fait ce choix pour le projet sportif ?
Je suis toujours resté dans une logique sportive. Mon départ aux États-Unis a été vu d’une certaine manière. Les gens disaient que j’allais me faire oublier et que je partais en préretraite mais, pour avoir désormais joué en MLS, c’est un très bon championnat qui ne cesse de se développer. La vision qu’on a en France de la MLS n’est pas le reflet de la réalité. Aujourd’hui, j’ai 28 ans, je suis à un âge où je me sens au top, que ce soit physiquement ou mentalement. J’ai toujours envie de progresser, d’aider l’équipe à atteindre ses objectifs et de gagner des titres.

"J’avais besoin de m’aguerrir physiquement"

Quelles sont les principales différences entre la Ligue 1 Uber Eats et la MLS ?
En MLS, tactiquement, la gestion des temps forts et des temps faibles n’existe quasiment pas, c’est un peu plus box to box. En France, on est davantage ancré à des principes de jeu. On analyse plus le comportement de l’adversaire et on sait à quel moment on doit attaquer ou être dans la gestion. On met plus l’accent sur le fait d’être bien en place défensivement avant d’ensuite pouvoir se projeter. Là-bas, il y a plus de liberté, les matchs sont plus ouverts.

Comment viviez-vous les longs voyages qu’impose le championnat américain ?
Je confirme que c’est long ! Les déplacements sont usants et très prenants. Même si le club est un peu plus côté est, il évolue dans la conférence ouest, donc, quand on allait à Los Angeles, Portland, Seattle, il fallait partir deux ou trois jours avant le match (2448 kilomètres à vol d'oiseau entre Minneapolis et Los Angeles par exemple). Après, les mises au vert étaient totalement différentes par rapport à la France. C’est-à-dire que je n’étais pas obligé de rester à l’hôtel. La MLS nous donne de l’argent pour pouvoir manger et se retrouver entre joueurs ou profiter avec nos amis et notre famille, tout en restant dans une logique sportive d’avant-match. Je trouvais ce côté, où on devait se prendre en main, très intéressant. Cela me permettait aussi de pouvoir découvrir des villes.

La préparation d’avant-match était donc différente…
En France, on est un peu plus assisté, plus derrière nous, les repas se font avec le groupe. Là-bas, c’est une tout autre approche. Par exemple, à domicile, il n’y a pas de mise au vert, il faut arriver au stade une heure et demie avant le match et, qu’on soit à l’hôtel ou chez nous, il faut se faire à manger. Encore une fois, cela demandait une prise de conscience et de responsabilité que j’ai trouvé très intéressante.

Avez-vous la sensation d’avoir une palette plus complète après cette expérience ?
Complétement ! Là-bas, j’ai joué seul en pointe, un poste qui n’est pas le mien habituellement, mais j’avais besoin de m’aguerrir physiquement. Il fallait que je devienne un peu plus dur dans mon jeu. En me retrouvant à ce poste, j’ai dû apprendre à davantage prendre la profondeur pour créer des espaces, à plus garder les ballons dos au jeu, à mettre un peu plus les bras, me servir de mon corps et à mieux me situer dans la surface. Le championnat de MLS m’a beaucoup servi sur ces points, donc, oui, je suis plus complet. Après, là où je suis beaucoup plus épanoui, c’est au milieu de terrain ou derrière l'attaquant dans un 4-4-2.

Le titre en Coupe de France restera inoubliable et toujours dans mon cœur
Avant de rejoindre Minnesota, vous avez évolué plus de 10 ans au Stade Rennais. Quels sont les plus beaux souvenirs qui vous reviennent en tête ?
J’en garde de tellement bons souvenirs, de mon arrivée au centre de formation jusqu’à mon départ… Il y a l’épopée en Europa League lors de la saison 2018/2019, où on passe les poules, on bat le Bétis Séville en seizième de finale avant d’être éliminé par Arsenal. L’ambiance avait été incroyable lors du huitième de finale aller (victoire 3-0 du Stade Rennais). Puis, la Coupe de France (2019), forcément. Elle était tant attendue par tout le monde. Pour moi qui ai été formé au club, cette communion avec les supporters était indescriptible. En plus, c’était face au Paris Saint-Germain, au stade de France, et ça, c’était d’autant plus fort. Ce titre restera inoubliable et toujours dans mon cœur.

Vous allez justement croiser le Stade Rennais cette saison. Avez-vous déjà coché la date de votre retour au Roazhon Park ?
Forcément ! J’attends avec impatience le week-end du 30 avril. C’est obligatoirement une date que j’ai regardée quand le calendrier est sorti. Je serai très heureux d’y retourner et de retrouver les copains, mais j’ai changé d’équipe et je vais tout faire pour qu’Angers gagne à l’aller, le week-end du 23 octobre, et au retour.

Rennes a terminé quatrième lors de la saison écoulée. Quel regard portez-vous sur son évolution ?
Je ne suis pas surpris par ces bons résultats. Ça fait déjà plusieurs saisons que le Stade Rennais s’inscrit dans une belle logique, avec une participation constante à une Coupe d’Europe. Il y a une certaine continuité, des infrastructures favorables et des moyens qui permettent de progresser chaque année. J’espère que le club va continuer sur cette voie, car il a tout pour réussir de belles choses.

Vous avez évoqué un peu plus haut votre positionnement. À quel poste devez-vous évoluer pour exprimer la plénitude de votre talent ?
Il y a beaucoup de gens qui me collent cette étiquette d’attaquant. Mais, je le répète, je ne suis pas attaquant ! Je ne vais pas marquer plus de 15 buts par saison. J’ai le sens du but, oui, j’aime me retrouver dans des zones libres, où, certes, je peux atteindre la barre des 10 buts, mais je suis un joueur qui joue derrière un attaquant ou au milieu de terrain. J’ai cette capacité à pouvoir répéter les efforts, à gratter des ballons, à savoir me situer entre les lignes et à organiser le jeu. Mon poste est davantage au centre du terrain. J’ai besoin d’avoir des joueurs autour de moi, de pouvoir combiner avec mes coéquipiers et d’avoir le jeu face à moi.

"Numéro 8, c’est vraiment le poste qui me convient le mieux"

Quels entraîneurs ont réussi à vous utiliser de manière optimale ?
Il y a eu Corinne Diacre ! Lors de mon deuxième prêt à Clermont (2015/2016), j’avais fait une saison pleine au milieu de terrain dans un rôle de numéro 8 (7 buts et 6 passes décisives en 33 matchs de Ligue 2 BKT). On jouait en 4-3-3 avec un six et deux pointes hautes. Je pouvais venir chercher les ballons et organiser le jeu. Je pense que c’est vraiment le poste qui me convient le mieux. Ensuite, il y a également eu Sabri Lamouchi et Julien Stéphan. Je me sentais à l’aise dans leur 4-4-2, où je tournais autour de l’attaquant. C’est une position où je peux me situer plus proche du but et me montrer plus décisif. C’est le deuxième poste où je peux le mieux m’exprimer.

Gérald Baticle va-t-il vous installer à l’un de ces deux postes ?
Ça fait partie des sujets importants que j’ai évoqués avec le coach avant ma venue à Angers. Je ne me voyais pas arriver pour jouer au poste de neuf, comme lors de ma deuxième saison à Minnesota, où le coach me demandait de vraiment rester collé aux défenseurs. Je veux retrouver un poste où je peux m’épanouir, car j’ai envie de pouvoir pleinement apporter ma pierre à l’édifice. Quand on ne joue pas à son poste, on ne peut pas donner le meilleur de soi-même. Au début de la préparation, j’ai joué mon premier match au milieu de terrain, où je me suis senti très à l’aise, puis j’ai enchaîné sur un côté, où c’est un peu plus compliqué. C’est un poste où je n’ai pas mes repères, où il faut percuter. Ce n’est pas vraiment un poste pour moi. Après, il faut savoir élargir sa panoplie, répondre à plusieurs systèmes et aux attentes du coach. Je ne suis pas fermé, mais ce n’est pas là où je vais être le plus performant.

À quoi ressemblerait une saison réussie pour vous ?
Tout d’abord, collectivement, il faut qu’on réussisse une bonne saison. Car le plus important, c’est qu’on se maintienne ! On sait qu’il y a quatre descentes, donc ça va forcément être très compliqué. Chaque point va être important. Ensuite, j’espère réussir à me fondre dans le collectif, bien m’entendre avec mes coéquipiers, prendre du plaisir sur le terrain et en donner aux supporters. Il faut réussir à garder une bonne dynamique et continuer à jouer vers l’avant en gardant notre structure d’équipe tout au long de la saison.

Vous n’avez jamais joué le maintien depuis le début de votre carrière. Comment l’appréhendez-vous ?
C’est sûr que c’est une autre approche. Mais j’estime qu’en tant que footballeur, on se doit d’avoir cette capacité d’adaptation. Forcément, qu’on joue le haut de tableau ou le maintien, c’est totalement différent. On sait que c’est d’autant plus usant et prenant de jouer sa survie. Parfois, on se dit même que ça ne doit pas être évident au quotidien, mais il faut le vivre pour savoir réellement ce que c’est. Je me tiens prêt !

Related Articles

S.G.S.B.

SGSB

Boutique de Mumbly

Boutique

Cantine de Mumbly

Cantine

Hébergé par

Reglyss.bzh

Free Joomla templates by Ltheme