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L’écran de fumée du premier contrat pro de 5 ans

Après plusieurs semaines d’échanges, l’Assemblée nationale a définitivement adopté le 24 février la proposition de loi visant à démocratiser le sport en France. Parmi les mesures votées, la possibilité d’étirer le premier contrat pro jusqu’à cinq ans contre trois auparavant. Les clubs attendaient cela avec impatience, mais est-ce la recette miracle pour accroître la compétitivité de la Ligue des talents ?

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En France, l’écran de fumée du premier contrat pro de 5 ans
Qui n’a jamais voulu protéger son bébé le plus longtemps possible ? C’est l’objectif premier de Cédric Roussel, député LREM des Alpes-Maritimes, « pas footballeur, mais comme beaucoup de Français j’ai un vrai intérêt pour le sport qui n’est pas uniquement un bien commun ou commercial » . Son amendement, relatif à la possibilité d’étirer jusqu’à cinq ans la durée du premier contrat pro (à partir de 18 ans), était l’une des priorités de cette loi visant à démocratiser le sport. « Jusqu’alors, la loi figeait la discussion à trois ans maximum. Mais j’ai pu aller voir à l’étranger comment ça se passait, au Bayern Munich, au Real Madrid, à l’AS Roma. Là-bas, ça va jusqu’à 5-6 ans pour ce premier contrat. » Comprenez que la France ne jouerait pas dans la même cour que les écuries du big five européen et qu’in fine, « on doit revenir à une logique sportive, appuie Cédric Roussel. On veut des jeunes talents qui évoluent le plus longtemps possible sur les terrains de Ligue 1. »

La démarche est louable. « Sur le fond, je suis d’accord, estime l’agent de joueurs Thomas Buanec, mais ça pouvait fonctionner comme ça en 1982 » , plus aujourd'hui. « À l’époque, les jeunes restaient le plus longtemps possible dans leur club formateur. Le vrai élément important, c’est l’absence de clause libératoire. Le joueur se sent beaucoup plus prisonnier de son contrat en France qu’à l’étranger. » L’agent éclaire son discours : « Si un joueur est sûr d’avoir un club capable de payer les indemnités de formation, il va peut-être préférer partir à l’étranger pour signer seulement trois ans ou moins, pour avoir le sentiment d’être moins bloqué s’il explose. À l’étranger, on peut signer pour cinq ans avec une clause à deux millions pour les deux premières années par exemple, ce qui est interdit en France. »
Tu me fais tourner la tête...

Au fond, « l’intérêt est pour les clubs de verrouiller les joueurs le plus longtemps possible, mais je pense aussi que ça va faire tourner les têtes parce que beaucoup de jeunes joueurs qui ont signé un contrat pro par anticipation n’ont jamais joué pro ensuite. Attention à faire les choses étape par étape, pour que les jeunes puissent se structurer. Je trouve assez fou de mettre cinq ans sur la table de suite. » Cela n’aurait pas forcément chagriné Franck Triqueneaux, ex-formateur de Valenciennes, qui n’a pas oublié le départ d’Arthur Masuaku à l’Olympiakos, à l’été 2014. À l’époque, le défenseur ne paraphe qu’un contrat d’un an pour son arrivée dans la cour des grands. « Il flambe avec Daniel Sanchez, qui n’avait pas voulu le faire signer trois ans et derrière il file en Grèce pendant qu’on ne touche presque rien, rejoue, un brin amer, son formateur. Les clubs qui font signer ce type de contrat, c’est une aberration complète, parfois le garçon a besoin de plus de temps pour s’affirmer dans le milieu pro. S’il ne le fait pas sur sa première année, on a parfois tendance à le condamner et à le libérer. Et après, on se rend compte qu’il réussit ailleurs. » Franck Triqueneaux admet « qu’avec cinq ans pour percer, le joueur n’aura pas le couteau sous la gorge, même s’il faudra être très convaincant pour faire signer sur une si longue durée » . « Certaines personnes refuseront de le faire, abonde Thomas Buanec. Ceux qui ont un très grand potentiel ne le feront pas. Si on pouvait mettre une clause libératoire, d'accord. Mais il y a déjà une grosse difficulté pour faire parfois signer un premier contrat pro, il ne serait pas tenable de basculer sur cinq ans... »

L'amour dure trois ans ou cinq ans ?
Comme si, au fond, aucune durée idéale de ce premier contrat – au détriment parfois de ceux stagiaires qui finissent par disparaître – ne pouvait exister. « Il n’y a pas de durée parfaite, jure Thomas Buanec. Et quand on nous parle du contrat d’un an, il ne faut pas oublier qu’en réalité, le club a une option de deux années supplémentaires qu’il peut activer au 1er janvier qui suit, même s’il y a un quota (deux contrats de ce type par club, NDLR). » Si le député Roussel affirme que « certains clubs français, notamment ceux frontaliers comme Strasbourg, ont expliqué être démunis face à leurs voisins allemands » , l’UNFP freine des quatre fers sur l’amendement. En 2018, le syndicat des joueurs pros avait brandi la menace de grève quand le sujet était arrivé sur la table, craignant aussi l’absence de revalorisation salariale si le joueur venait à éclore durant ces cinq années. Cédric Roussel explique n’avoir eu « aucun retour » de l’UNFP pendant que Philippe Piat, coprésident du syndicat, entend surtout « tordre le cou à ces idées que les joueurs sont pillés par les étrangers. Sur les quatre dernières saisons, les clubs français ont perdu 0,05 % de joueurs en Ligue 1 et 0,06 en Ligue 2 qui n’ont pas signé leur premier contrat à 18 ans pour aller ailleurs. C’est une excuse pour ce projet de loi. »

Un autre agent sollicité argue que « l’UNFP ne pige rien et pense surtout au pognon pour les joueurs » . Au fond, peu importe la durée du premier contrat, « c’est surtout le marché qui dicte la loi » , relance Franck Triqueneaux, qui n’a pas oublié le départ précoce de Dayot Upamecano au Red Bull Salzbourg dans l’idée de « combler les trous » . Avant de poursuivre : « Après deux ans de Covid et au vu du contexte, on peut quand même s’interroger sur cette mesure. Aujourd’hui, les clubs sont en difficulté financière. Ismaël Doukouré a été vendu (à Strasbourg) non pas pour faire de l’argent, mais pour boucher un trou. Pour le club qui n’a pas d’obligation de vendre, ok c’est gagnant-gagnant. Mais là, que le joueur parte après quinze matchs, qu’il ait trois ou cinq ans de contrat, ça ne rapportera rien de plus. Certains vont s’imaginer une hausse des prix des transferts à cause d’un contrat longue durée, mais ça ne marche pas comme ça. » D’autant que « si un joueur a envie de partir, il fera en sorte de partir » .

L'élection présidentielle retardera l'échéance
Thomas Buanec raisonne foot, « mais la loi est-elle pensée pour le foot seulement ? Je ne pense pas. » La durée n’est pas la seule unité à prendre en compte, le projet sportif aussi : « Il y a actuellement un vrai manque de visibilité pour certains joueurs, d’après Cédric Roussel. Là, avec cinq années signées, même si on peut imaginer des clauses de revoyure, il sentira que son club le veut. » Franck Triqueneaux insiste : « Pour ces cinq années, il faut que le club ait envie de s’appuyer sur ses jeunes, ce qui n’est pas le cas partout. On trouvera toujours des excuses pour dire que cinq ans, c’est trop. » L’UNFP débroussaille de son côté une piste : « Si à la fin des trois premières années, le temps de jeu est conforme à ce qui était prévu avec le club, le joueur peut se voir obliger de rester un an de plus, mais lui aussi peut exiger une année supplémentaire par le club, c’est réciproque, explique Philippe Piat. Dans le règlement qu’on veut mettre en place, on va changer les minimums de salaire de ceux qui vont signer ce 3+1+1. » Le pire, c’est que cette notion des cinq années n’est même pas sûre de voir le jour... « Nous avons posé le sujet et ouvert le débat, conclut Cédric Roussel. Maintenant, c’est aux pouvoirs publics et aux instances d’entériner un accord collectif. Ça peut aboutir ou non, l’évolution dépendra d’eux, et le décret fixera les limites. » Mais d’ici avril, il faudra passer aux urnes pour l’élection présidentielle et « il ne faut pas se leurrer, avec ces élections, on ne sait pas qui sera là dans quelques semaines. Plusieurs mois seront encore nécessaires, c’est évident » .

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