Conséquence du report de Nantes - PSG, obtenu par le club de la capitale afin de se concentrer sur son quart de finale de Ligue des champions contre Aston Villa, le derby entre le Stade Rennais et le FC Nantes ouvrira la 30e journée de Ligue 1 vendredi 18 avril.

Si la programmation de la 30e journée de Ligue 1 (le week-end du 18 au 20 avril) n’a pas encore été communiquée par la Ligue de football professionnel, on sait déjà que le derby entre le Stade Rennais et le FC Nantes, au Roazhon Park, aura lieu vendredi 18 avril.

Un changement dû à la qualification du PSG en quart de finale de la Ligue des champions
Les Canaris ont obtenu que le derby ouvre la 30e journée du championnat pour jouer quatre jours plus tard contre le Paris Saint-Germain, mardi 22 avril. La rencontre entre Nantes et le PSG, initialement prévue le week-end du 11 au 13 avril, a en effet été reportée à la demande du club parisien.

Celui-ci souhaitait se concentrer sur son quart de finale de Ligue des champions contre Aston Villa (match aller mercredi 9 avril, match retour mardi 15 avril) et a obtenu gain de cause auprès de la LFP.

Nantes passera donc deux semaines sans match entre celui à Nice vendredi 4 avril et celui à Rennes vendredi 18 avril, avant d’enchaîner trois matches en neuf jours (Rennes, Paris et Toulouse).

Le Stade Rennais a concédé samedi à Lens sa deuxième défaite de suite en Ligue 1. Mais la pilule ne passe pas pour Habib Beye, révolté par deux potentiels penaltys oubliés par Stéphanie Frappart en faveur de son équipe.

Douzième de Ligue 1, le Stade Rennais avait l’occasion de revenir sur Auxerre et Toulouse en cas de succès sur la pelouse de Lens samedi soir. Trop inoffensifs, les joueurs d’Habib Beye se sont finalement inclinés à Bollaert mais après la défaite de son équipe dans le Nord (1-0), l’entraîneur rennais en avait après l’arbitrage de Stéphanie Frappart. C’est malheureusement devenu une habitude, le corps arbitral ne fait pas l’unanimité en Ligue 1 et Habib Beye a, à son tour, critiqué les décisions de l’arbitre française de 41 ans. En cause, deux potentiels penalty oubliés. Le premier pour une poussette sur Lorenz Assignon en première mi-temps et le second sur une main de Ruben Aguilar alors que le ballon prenait la direction des buts de Mathew Ryan. Deux situations qui ont mis l’ancien consultant de Canal+ en colère, même si ce dernier a tenté de rester calme et mesuré dans ses propos au micro de DAZN après le match.

Beye frustré par l'arbitrage de Mme Frappart
"Je n’aime pas commenter, je ne commente pas ça, c’est très très clair. Je pense que pour moi, les images sont très très claires. J’ai vu en Ligue des Champions un penalty sifflé contre Lille, donc si celui-ci n’est pas sifflé… Je ne commente pas les décisions. Je suis convaincu que, si on regarde la situation, il y a un aspect positionnel de Lorenz Assignon avec un joueur de Lens qui est derrière et le ballon qui est devant... mais on me dit qu’il y a rien. Donc il n’y a rien. La main d’Aguilar, je l’ai vu aussi. Ce sont des faits de jeu sur lesquels on peut discuter, je pourrais polémiquer sur ces deux situations. Elles me semblent claires. Je veux bien que la position de la main est naturelle. Si ça l’est, je l’accepte. J’ai des idées très claires sur les deux situations mais Madame Frappart en a décidé autrement" a expliqué Habib Beye, qui aurait sans doute apprécié que Stéphanie Frappart siffle au moins un penalty sur les deux situations rennaises. Mais cela n’a pas été le cas, et les Bretons, trop timorés offensivement, se sont donc inclinés à Lens.

Le coach du Stade Rennais Habib Beye n’avait pas apprécié certaines attitudes sur la fin de match contre le Paris SG (1-4) la semaine dernière au Roazhon Park, et il l’a fait savoir à son vestiaire puis aux médias avant le déplacement du SRFC à Lens samedi 15 mars (21 h 05).

Que jouera le Stade Rennais ce samedi 15 mars à Lens, lui qui est coincé dans le ventre mou de Ligue 1 (12e), assez loin de la zone rouge mais encore plus des places européennes ?

Habib Beye, déjà, attend une réaction après le 4-1 collé par le PSG la semaine dernière au Roazhon Park. Une défaite dont certains contours n’ont pas plu au coach du SRFC, lequel l’avait fait vertement savoir aux joueurs à chaud dans les vestiaires, puis en débriefing vidéo en début de semaine.

Soit on est capable de faire ces efforts-là…
Face aux médias, il en a remis une couche jeudi 13 mars : On a eu des manques sur pas mal de choses, qu’il faut absolument gommer et ne plus voir, en termes d’état d’esprit. On a très bien fait pendant un long moment, mais si on prend 2 buts en 4 minutes, c’est qu’il y a des raisons, on les a aussi analysées…

C’est une question d’attitude et d’implication sur l’effort, pas de tactique. La course de 5, 10, 30 mètres n’est pas négociable. Ces attitudes sur la fin de match, cela m’a manqué. Soit on est capable de faire ces efforts-là quel que soit le moment du match, soit on s’élimine naturellement. Il est important que le groupe le voit et en soit conscient. On progressera en tant qu’équipe de cette manière.

Le message, qui ressemble aussi à son premier vrai recadrage public depuis son arrivée, est clair. Certains replis défensifs ont laissé à désirer face à Paris, dans un match où l’apport des quatre entrants (Furuhashi, Matusiwa, Fofana, Al-Tamari) avait été décevant.

Faut-il y voir un rapport avec la décision de Beye de ne pas convoquer Mousa Al-Tamari dans le groupe pour le voyage à Lens ? L’attaquant jordanien est en tout cas resté à la maison, comme Lilian Brassier, qui est gêné au niveau des ischios, et Rennes sera invité à ne pas mégoter sur les efforts à Bollaert.

L’entraîneur du RC Lens, Will Still, était présent ce jeudi midi en conférence de presse à deux jours de la réception du Stade Rennais. Voici ses principales déclarations.

Le point médical

"Il n’y pas d’incertain et de suspendu. Tout le monde est présent sauf les absents de longue durée avec Denis Petric, Jhoanner Chavez, Martin Satriano, Rémy Labeau-Lascary. Sinon, tout le monde est opérationel. Kyllian Antonio est parti en sélection." Ce qui veut dire qu’Hervé Koffi fera son retour dans le groupe lensois.

"On a envie de battre tout le monde"
La victoire à Marseille et le match face à Rennes

"On a montré que c’était une base de travail. On doit avoir cet esprit là, maintenant c’est un autre match, un autre adversaire. On doit faire preuve d’un même sens de sacrifice. On a envie de battre tout le monde. On a montré qu’on pouvait faire de bonnes choses, il faut gagner à domicile pour partager avec les supporters."

La concurrence

"Le groupe avait besoin d’un renouveau avec la concurrence. C’est une bonne chose."

Le retour de Mendy comme titulaire

"Nampalys Mendy est important, il ne perd pas souvent le ballon, il nous apporte de l’équilibre."

Alors que le Stade Rennais se déplace à Lens, samedi 15 mars (21 h 05), pour le compte de la 26e journée de Ligue 1, Ludovic Blas est forfait en raison d’une lésion à la cuisse. Jordan James, lui, n’était pas présent à la séance d’entraînement des Rouge et Noir à la Piverdière, ce jeudi 13 mars en matinée, car il est malade.

Ludovic Blas ne pourra pas tenir sa place et Jordan James est incertain, samedi 15 mars (21 h 05), lors du déplacement du Stade Rennais à Lens.

À deux jours de cette rencontre de la 26e journée de Ligue 1, le milieu de terrain et l’attaquant n’étaient pas présents avec le reste de l’effectif, ce jeudi 13 mars, lors de la séance matinale d’entraînement des Rouge et Noir.

Quelle animation offensive sans Blas ?
Le Gallois est malade. "Il y a un petit virus qui traîne, on espère compter sur lui pour samedi", dit le coach Habib Beye.

Ludovic Blas, lui, avait été contraint de quitter ses partenaires en fin de rencontre lors de la défaite du Stade Rennais face au PSG (1-4), le week-end dernier, touché à la cuisse. L’attaquant rennais est en soins. "Il a une petite lésion à la cuisse", ajoute Beye, qui reste prudent sur la durée d’indisponibilité du joueur.

Cette absence nécessitera pour le coach Habib Beye de modifier son animation offensive, où l’ancien Nantais est indiscutable. Face à Paris, c’est Mohamed Meïté et Arnaud Kalimuendo qui avaient démarré.

Au stade Bollaert, Rennes va récupérer au milieu Djaoui Cissé, qui était suspendu contre Paris. Mais devra faire sans Seko Fofana, suspendu à son tour.

Le Colombien Andres Gomez est en phase de reprise mais sera forfait pour Lens.

Pour l’ancien arbitre de Ligue 1, Saïd Ennjimi, le premier but parisien inscrit lors de Stade Rennais – PSG (1-4), qui a fait polémique, aurait dû être refusé.

Si le Paris Saint-Germain s’est largement imposé samedi dernier sur la pelouse du Stade Rennais (1-4), à l’occasion de la 25e journée de Ligue 1, le match a été entaché d’une grosse polémique arbitrale. En effet, le premier but parisien, inscrit par Bradley Barcola juste avant la demi-heure de jeu (28e), aurait pu être refusé par l’arbitre de la rencontre, Mathieu Vernice, le coup-franc amenant son but n’ayant pas été joué au bon endroit et quasiment 10 mètres devant.

Mais malgré cela, la VAR n’est pas intervenue pour faire refuser le but de l’ailier gauche du PSG. Une décision incompréhensible pour l’entraîneur rennais, Habib Beye. "Il me dit que mes joueurs ne sont pas prêts. Mais je ne comprends pas qu’un coup-franc cinq mètres dans leur terrain soit joué cinq mètres dans le nôtre. Jérémy Jacquet ne peut pas regagner 10 mètres par rapport à la situation jouée. Il me dit : "Vous savez, les touches sont parfois jouées deux ou cinq mètres plus loin". Ça me paraît étrange, on fait avec cette explication qui ne va pas", a pesté l’ancien coach du Red Star en conférence de presse d’après-match.

Pour Saïd Ennjimi, le but de Barcola aurait dû être refusé
Selon l’ancien arbitre français, Saïd Ennjimi, que nous avons joint pour échanger sur cette situation litigieuse, la VAR aurait dû intervenir et ce but de Bradley Barcola aurait dû refusé. "Si on se penche exclusivement sur l’aspect technique des choses, le coup-franc aurait dû être joué à l’endroit de la faute. Donc, la VAR aurait pu, aurait dû annuler le but de Barcola et filer un coup de main à l’arbitre (Mathieu Vernice), qui était, lui, emporté dans l’élan du jeu. Et puis, vous avez un autre paramètre, les Rennais n’ont pas eu le temps de se replacer. Je pense que l’arbitre, de bonne foi, a voulu laisser jouer, car c’est ce qui est demandé aux arbitres, mais malheureusement, ça n’a pas été cohérent réglementairement."

Dans un match de Ligue 1, Rennes s’est incliné face au Paris Saint-Germain avec un score de 1-4. Malgré la défaite, les Bretons ont montré une performance notable, mais l’entraîneur, Habib Beye, n’a pas caché son mécontentement concernant certaines décisions arbitrales.

Habib Beye a exprimé son irritation après un échange avec l’arbitre concernant une action qui a mené à un but parisien. L’entraîneur rennais a contesté le positionnement d’un coup franc, estimant qu’il avait été joué à un endroit incorrect.

Il a déclaré : "Je ne comprends pas qu’un coup franc cinq mètres dans leur terrain soit joué cinq mètres dans le nôtre, Jérémy Jacquet ne peut pas regagner dix mètres par rapport à la situation jouée." Cette remarque souligne son désaccord avec la gestion de l’arbitrage.

Beye a également rapporté les propos de l’arbitre qui justifiait la décision en disant : "Vous savez, les touches sont parfois jouées deux ou cinq mètres plus loin." Pour Beye, cette explication ne tenait pas, ajoutant à sa frustration après le match.

Le match de la 25e journée de Ligue 1 opposant le Stade rennais Football Club (SRFC) au Paris-Saint-Germain (PSG) ce samedi 8 mars 2025 à Rennes suscite une attention particulière des autorités. Face aux risques avérés de troubles à l’ordre public, le préfet d’Ille-et-Vilaine a pris un arrêté préfectoral visant à encadrer la venue des supporters parisiens et à assurer la sécurité des personnes et des biens.

Depuis plusieurs années, les tensions entre les groupes ultras du Stade rennais et du Paris-Saint-Germain sont connues des services préfectoraux. Afin de prévenir tout incident, la préfecture a décidé d’imposer des mesures strictes le jour du match. Le samedi 8 mars 2025, de 8 h à 23 h 59, il sera interdit à tout supporter du PSG de se prévaloir de cette qualité dans la ville de Rennes, sauf dans l’enceinte du Roazhon Park. Cela inclut l’interdiction de porter des écharpes, insignes, vêtements ou drapeaux aux couleurs du club parisien dans l’espace public.

Les fans parisiens se rendant au Roazhon Park devront obligatoirement suivre un dispositif encadré, avec un point de rendez-vous défini par la direction interdépartementale de la police nationale, et des trajets sécurisés en transport collectif. Pour garantir le bon déroulement de la rencontre, la possession, le transport et l’utilisation de pétards, fumigènes, drapeaux ou banderoles incitant à la provocation, à la violence ou à la haine seront interdits sur l’ensemble du territoire rennais, y compris aux abords et à l’intérieur du stade. L’usage d’articles pyrotechniques sans autorisation sera également prohibé dans toute la ville.

Fait notable, de 16 h à 20 h, toute personne arborant des signes distinctifs du club de l’Olympique de Marseille (OM) aux abords et dans l’enceinte du stade se verra aussi interdite de circulation sous cette identité. Cette mesure permettra d’éviter toute provocation ou affrontement entre groupes rivaux.

Compte tenu du classement à risque de cette rencontre, les forces de l’ordre seront pleinement mobilisées afin de veiller au respect des consignes. Ces dispositifs visent à garantir la sécurité des spectateurs, des joueurs et de l’ensemble des habitants de Rennes. Le préfet rappelle que toute infraction à ces restrictions exposera les contrevenants à des sanctions. Par cette action préventive, les autorités espèrent éviter les débordements et permettre aux amateurs de football de profiter du match en toute sérénité.

Grâce à un quatrième succès en cinq journées depuis l’arrivée d’Habib Beye, le Stade Rennais poursuit sa spectaculaire remontée en après avoir surclassé Montpellier (0-4), dimanche.

À la suite du premier but du milieu ivoirien Seko Fofana (28’), l’équipe bretonne a ajouté trois autres buts après la pause par le milieu Djaoui Cissé (56’), le latéral Lorenz Assignon (69’) et l’attaquant Arnaud Kalimuendo (87’).

L’équipe d’Habib Beye, renouvelée de fond en comble au mercato (Samba, Fofana, Brassier, Tamari…), est transfigurée depuis la fin du mercato. Cinq rencontres, quatre victoires pleines de pragmatisme et un bond au classement. Après avoir occupé fin janvier la place de barragiste, les Bretons se rapprochent du milieu de tableau (11e) et comptent huit points de retard sur Strasbourg, classé à la 7e place. "Je suis satisfait par la victoire et par l’efficacité au regard du nombre de buts inscrits à l’extérieur. Et je suis satisfait par une dynamique, très positive, a salué l’entraîneur rouge et noir. On est moins satisfait par le contenu de la première période, mais aussi dans mes choix d’animation. On s’en sort sur la première période avec deux buts refusés pour des hors-jeu litigieux."?

Deux victoires consécutives à l’extérieur
Les partenaires d’Adrien Truffert, inefficaces à l’extérieur jusque-là, enchaînent une deuxième victoire trois semaines après celle obtenue chez un autre candidat au maintien, Saint-Étienne (2-0). Portés par un nouvel état d’esprit, à l’image de leur solidité défensive, peuvent-ils espérer mieux en cette fin de saison ? "L’enjeu est de gagner des matchs, d’acquérir encore plus de confiance. Certes, on remonte ?au classement. On est à sept points de ce qui se passe en haut, mais aussi à sept points de ce qui se passe en bas", souligne l’entraîneur dont l’équipe va devoir négocier deux rendez-vous autrement révélateurs en L1 avant la trêve internationale, contre l’intouchable PSG et Lens.

Montpellier, lui, s’enfonce en queue de classement. L’équipe de Jean-Louis Gasset, battue pour la cinquième fois d’affilée (Lens, Strasbourg, Lyon, Nice), paraît impuissante pour renverser le cours d’une saison désastreuse et son déclin. À dix journées de la fin, elle déplore cinq points de retard sur le nouveau barragiste, Le Havre.

La défense héraultaise, plombée par les absences (Omeragic, Maksimovic, Sylla…), a encore craqué, notamment en seconde période.

Le premier but de Cissé
Rennes, bousculé, a fait preuve de réalisme lors de la première période. Peu avant la demi-heure de jeu (28’), l‘ ex-Lensois Fofana a enveloppé une frappe au raz du poteau du portier de Montpellier Benjamin Lecomte pour ouvrir la marque et son compteur breton.

Sinon, Lecomte a repoussé deux frappes de Cissé (5’) et Kalimuendo (30’), avant d‘ être secondé par un sauvetage de Tchato sur la ligne.

Montpellier a manqué singulièrement de réussite. L‘ arbitre M. Batta a refusé deux buts à Enzo Tchato (16’), puis Andy Delort (44’) pour une position de hors de jeu litigieuse. Et, le meneur Téji Savanier a manqué le but ouvert à la suite d’une relance ratée de Brice Samba (22’).

Montpellier, remanié sur le plan tactique à la pause, s‘ est exposé aux contres et a encaissé trois nouveaux buts. Le premier (56’) sur une frappe de 30 mètres de Cissé, le deuxième sur une tête d’Assignon, à la reprise d’un centre de Blas (69’) et le dernier sur un penalty de Kalimuendo (87’). Sans être brillant, Rennes était bien trop fort pour un Montpellier à la dérive.

Ancien capitaine du RC Lens, Seko Fofana, désormais à Rennes, manquera le match à Bollaert le 15 mars, après avoir été averti à Montpellier ce dimanche.

Ancien capitaine du RC Lens, dont il est toujours actionnaire minoritaire, Seko Fofana, recruté par Rennes cet hiver, n'affrontera pas les Sang et Or à Bollaert le 15 mars. L'international ivoirien (29 ans, 22 sélections, 7 buts) a en effet été averti ce dimanche sur le terrain de Montpellier, son troisième avertissement en moins de dix matches, et sera donc suspendu pour la 26e journée de Ligue 1. Fofana a reçu son carton jaune juste après avoir inscrit son premier but avec Rennes à la Mosson.