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La LFP hallucine avec cette offre Royal Deluxe

La LFP pourrait vendre le nom de son championnat à une autre société qu'Uber en vue de la saison prochaine. Et l'Américain McDonald's serait sur le point de parvenir à récupérer la Ligue 1 pour une somme copieuse.

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En grande difficulté sur le plan de la vente des droits télé de son championnat, la LFP a un autre dossier sur la table et pourrait pour le coup réaliser une très belle opération. En effet, le partenariat avec Uber Eats se terminera en fin de saison, et le spécialiste de la livraison de repas entendait bien continuer cette aventure qui lui vaut une belle exposition. Mais la multinationale américaine comptait revoir à la baisse son apport financier, qui était tout de même passé de 8 millions d’euros par saison à l’époque de Conforama, à environ 15 à 16 millions d’euros avec Uber. Mais devant les audiences décevantes sur Amazon Prime et le fait qu’il n’y ait pas de concurrence à ce niveau pour s’associer à la Ligue 1, l’idée était donc de faire baisser les prix.

McDonald's fait une offre folle
Mais dernièrement, dans une approche à pas feutrée, un nouveau venu a fait son apparition et la LFP a retrouvé brutalement le sourire. Selon les informations de Daniel Riolo sur RMC, le géant américain du fast-food McDonald’s a décidé de mettre le paquet pour associer son nom à notre championnat. Une offre de sponsoring de l’ordre de 20 millions d’euros serait sur la table, ce qui balayerait toute la concurrence bien évidemment.

« Toutes les négociations commerciales dans le football en France ne tournent qu’autour du PSG. Je suis désolé, mais c’est la vérité. Uber Eats voulait continuer, mais en donnant beaucoup moins au regard des audiences sur Prime Vidéo. Surtout qu’il n’y avait pas grand-monde pour ce naming… Et Vincent Labrune a vu un dossier arriver sur son bureau de tout en haut avec une somme rondelette. C’est McDo, mais qui n’a pas envie que ça se sache pour le moment, car ils n’ont pas encore prévu la communication. Ils sont en train de bosser dessus », a assuré le polémiste de l’After Foot, pour qui voir la Ligue 1 Mcdonald’s arriver la saison prochaine ne serait pas une surprise. Un naming qui risque de provoquer quelques moqueries forcément, mais c’est quasiment le cas de tous les namings, surtout ceux associés aux compétitions. Si cela devait se confirmer, l’enveloppe serait en tout cas copieuse pour la LFP, qui réussirait un petit exploit tant Uber ne semblait pas vraiment satisfait de son investissement au montant actuel.

McDonald's en pole pour le naming de la Ligue 1

La société américaine McDonald's a de grandes chances de succéder à Uber Eats pour associer son nom à la Ligue 1 lors des trois prochaines saisons.
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Comme l'a annoncé RMC Sport, McDonald's, célèbre chaîne de restauration rapide américaine, est le favori pour accoler son nom à celui de la Ligue 1 et remplacer Uber Eats à partir de la saison prochaine. Depuis des mois, la LFP sonde le marché pour le « naming » de sa principale compétition et elle est en passe d'aboutir.

McDonalds a une longueur d'avance et de très bonnes chances d'être retenu lors du conseil d'administration de l'instance, le 21 mars prochain. Le contrat porte sur les trois prochaines saisons.

McDonalds propose autour de 20 M€ par an
Actuellement, Uber Eats paye, selon nos informations, 16 millions d'euros par an pour associer son nom à la Ligue 1. La société de livraison de repas est prête à augmenter son offre pour conserver le contrat. Mais elle est devancée par McDonalds, qui propose autour de 20 millions d'euros.

Cette hausse est une bonne nouvelle pour la LFP, qui a déjà signé, en septembre dernier, un contrat record de 155 millions d'euros sur cinq ans (31 M€ par an) avec la société de marketing sportif Infront pour les droits de live betting (paris en direct) de la L1, de la L2 et du Trophée des champions sur l'ensemble de la planète (hors France) lors des cinq prochaines saisons.

Mais un gros dossier reste en cours, celui des droits de diffusion de la L1 pour la période 2024-2029, qui n'a pas encore livré son verdict. Après un appel d'offres infructueux, la LFP négocie de gré à gré avec les principaux acteurs du marché et espère toujours obtenir des droits (domestiques et internationaux) proches de 900 millions d'euros annuels.

Combien rapporte un match à domicile au Roazhon Park ?

Actuel 8ème de Ligue 1, le Stade Rennais s'est incliné à domicile le week-end passé face à Lorient (1-2). Mais combien touche le club breton pour chaque rencontre devant son public ?

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Le Stade Rennais est un club très populaire et attractif en Ligue 1. Malgré la saison compliquée des Rouge et Noir - qui se relèvent comme ils le peuvent en championnat - Rennes reste l'une des équipes que les supporters aiment venir voir jouer !

Selon les derniers chiffres de l'UEFA, la billetterie du Stade Rennais rapporterait 800 000€ par rencontre au Roazhon Park. Ce qui fait de Rennes le 5ème bilan français dans ce domaine, à égalité avec le LOSC.

Vers une fin de saison de folie pour le Stade Rennais ?
Très mal embarqués en début de saison, les Rennais retrouvent peu à peu le haut du classement depuis l'arrivée de Julien Stéphan. Les Rouge et Noir surfent sur une série positive avec seulement deux défaites en Ligue 1 depuis le 9 décembre.

D'ores et déjà éliminés de l'Europa League après avoir affronté l'AC Milan en barrages, le Stade Rennais est toujours en course en Coupe de France. Qualifié pour les demi-finales, le club breton tentera d'aller au bout, et pour ce faire, Julien Stéphan connaît la recette. Pour rappel, le tacticien français avait remporté cette même compétition avec Rennes en 2019 !

Ludovic Blas retrouve ses jambes et son jeu

Titularisé une deuxième fois de de suite en Ligue 1, le milieu offensif a aussi enchaîné une deuxième bonne prestation, étant l’un des joueurs les plus impactant d’un effectif émoussé. Enfin, à son niveau, il redevient une option crédible dans ce milieu déplumé, alors que s’annoncent de sacrés échéances.

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On sait que les choses vont vite dans le foot, dans un sens comme dans l’autre. Bruno Genesio, l’ancien coach du Stade Rennais, avait coutume de le répéter, Ludovic Blas confirme cette règle du ballon rond. Conspué il y a deux semaines après l’histoire du penalty chipé à Terrier et manqué contre Clermont (le fameux penaltygate), le milieu offensif a enchaîné dimanche une deuxième titularisation de suite en Ligue 1 et une deuxième bonne prestation.

Il n’a certes pas été en mesure d’inverser le cours du match, mais il a tenté, provoqué, battu des défenseurs. On l’a aussi senti beaucoup plus concerné, comme en témoignent ses 59 ballons touchés (son deuxième plus haut total de la saison, après le match aller contre Le Havre). Il n’a pas non plus rechigné dans le travail défensif, récupérant six ballons.

Il y avait moyen de faire quelque chose
"J’apprends, je sors d’un bon match contre Paris, je retrouve les jambes, avec des situations où je peux percuter et montrer mes qualités. Aujourd’hui, j’ai essayé de faire des choses pour aider l’équipe. Malheureusement, ça n’a pas fonctionné, mais il y a des choses qui sont bonnes, il faut que je reste là-dessus", a déclaré le milieu offensif, qui s’est arrêté en zone mixte après la défaite.

Parmi ces bonnes choses, notons ces nombreuses courses, ces 16 dribbles tentés pour sept réussis, un pourcentage correct, ce bon centre repoussé par Adjei que Bourigeaud manque de reprendre. Mais aussi et surtout ce superbe débordement (19’), où il mystifie Théo Le Bris, que Terrier ne parvient pas à bien reprendre à cause d’un bon retour de Laporte ou encore cette passe dans la surface pour Kalimuendo (21’).

Moins percutant que Désiré Doué, moins dangereux aussi, il lui manque peut-être encore ce changement de rythme, cette fulgurance, dont on le sait capable, qui le réconcilierait avec le Roazhon Park.

À l’issue du match, sa déception était donc à la hauteur de sa prestation, conscient que Rennes a lâché trois points contre un adversaire de bas de tableau. "Il y avait moyen de faire quelque chose en gagnant aujourd’hui. Si on veut montrer notre ambition, c’est dans des matches comme ça qu’il faut le démontrer."

La question, désormais, est de savoir s’il enchaînera dimanche à Lille, alors que Désiré Doué est suspendu. Replacé dans le cœur du jeu, après la sortie de Santamaria, il offre une option supplémentaire crédible à Julien Stéphan.

Et si on arrêtait le chrono pour éviter les polémiques additionnelles?

L'arbitre de la rencontre entre Valence et le Real Madrid a été au cœur des critiques samedi pour avoir mis fin au match en pleine action, juste avant que Bellingham n'égalise. Ce choix surprenant met une nouvelle fois en lumière la complexité de la gestion du temps additionnel. Alors, quand arrêter le chrono une bonne fois pour toutes ?

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"C’est gênant", s’est contenté de lâcher Aurélien Tchouaméni sur les réseaux sociaux quelques minutes après le coup de sifflet final de Jesús Gil Manzano. Les deux premiers souffles de l’arbitre ont été stridents, entendus jusqu’à Madrid dans la soirée de samedi, le dernier, fatal, recouvert par la stupéfaction de Mestalla à la suite de la tête de Jude Bellingham offrant la victoire au Real sur la pelouse de Valence. Face aux Madrilènes fous de rage, l’homme en noir s’est montré inflexible : le but n’était pas valable, la soirée se clôturait sur un nul au goût amer pour chaque équipe (2-2), et l’Anglais écopait d’un carton rouge pour son accès de colère. Une fois celle-ci retombée, les éternelles questions de l’arrêt du chronomètre et de l’inexactitude du temps additionnel reviennent sur la table. Des mesures qui mettent, encore une fois, une balle dans le pied des arbitres eux-mêmes.

Sans tomber dans les rencontres interminables en arrêtant le jeu à chaque fois qu’un joueur est au sol, le football pourrait suivre la voie d’autres sports collectifs comme le rugby, le handball ou le basket. Alors que l’IFAB (l’instance chargée de l’arbitrage international) songe à regarder du côté du ballon ovale pour mettre en place un carton bleu visant à exclure temporairement un joueur, la gestion du temps est intéressante dans le sport où les mêlées sont légion et chaque période écourtée à 40 minutes. Les Pep Guardiola de l’ovalie préfèrent même désormais davantage évoquer un "temps de jeu effectif", plutôt que celui affiché sur le tableau d’affichage. Les matchs seraient-ils plus hachés en raison de coupures fréquentes ? Pas forcément, puisque l’arrêt du chronomètre traîne également avec lui le vieil espoir de voir disparaître les gains de temps, souvent appelés simulations en fin de deuxième période.

L’appel de la sirène
Depuis la Coupe du monde 2022, le temps additionnel s’est étendu au maximum pour rattraper le temps perdu. Le calcul semblait plus conforme, mais s’est heurté au scepticisme quant aux matchs à rallonge. La Ligue 1 a tenté l’expérience cette saison et, si le décompte du quatrième arbitre a été respecté durant les premières journées, on semble maintenant revenu au point de départ avec un temps additionnel qui ne se soucie que des remplacements et du recours à l’assistance vidéo. L’arrêt du chronomètre à chaque événement marquant de la rencontre pourrait éviter ce travail supplémentaire et éviterait quelques casse-tête bien inutiles. Durant la CAN 2021, Janny Sikazwe, arbitre de Tunisie-Mali, s’était débarrassé du tracas en sifflant dès la 85e minute. Ça n’avait pas pour autant apaisé les débats.

De la même façon, le football pourrait s’inspirer de la sirène. Lorsque celle-ci retentit dans les stades de rugby, avec un son plus puissant que le sifflet de Jesús Gil Manzano, les acteurs savent qu’ils entrent dans la dernière action et qu’un simple coup de botte en touche mettrait fin à la rencontre. S’ils sont doués, ils peuvent même jouer 20 minutes supplémentaires comme lors de la victoire française contre le Pays de Galles en 2017. Il est ainsi impossible d’achever un match en plein milieu d’une percée vers l’en-but, mais avant samedi, il semblait également impensable de siffler lors d’un centre. Cette saison, Declan Rice a notamment repris un ballon envoyé par Martin Ødegaard, qui semblait pourtant moins précis que celui de Brahim Diaz, plus de 20 secondes après les six minutes de temps additionnel initial pour offrir une victoire dantesque d’Arsenal contre Luton (3-4), sans la moindre intervention du corps arbitral. Les plus nostalgiques s’accrocheront éternellement à ces souvenirs émus de renversement de situation sur le gong. Or, un arrêt du chronomètre n’altère cela en rien, rappelez-vous du coup franc d’Elohim Prandi à la dernière seconde de la demi-finale du dernier Euro de handball. Ils pourront également noter dans un coin de leur tête la confrontation entre Valence et le Real Madrid qui n’était pas vraiment vouée à faire date.

C'est confirmé, les cartons bleus ne feront pas leur apparition

L'Ifab n'a finalement pas retenu sa proposition de cartons bleus à l'occasion de son assemblée générale annuelle tenue ce samedi en Écosse. Cette nouvelle sanction ayant pour but de punir les fautes d'antijeu n'avait pas été vue d'un bon œil par Gianni Infantino, président de la Fifa.
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La mise à l'essai controversée d'un carton bleu, équivalant à une exclusion temporaire, n'a pas été prise en compte dans les dernières modifications apportées samedi par les législateurs du football pour améliorer le comportement des joueurs.

La proposition de l'International Football Association Board (Ifab), en charge des règles du jeu, consistait en l'introduction de cartons bleus donnant aux arbitres le pouvoir d'expulser des joueurs pendant dix minutes en cas de faute manifeste d'antijeu ou de réaction agressive excessive. Mais elle n'a finalement pas été mentionnée dans le communiqué de presse publié samedi après l'assemblée générale annuelle tenue en Ecosse.

Des coachs de Premier League opposés à la mesure
En février, le quotidien anglais The Telegraph avait rapporté que les cartons bleus devaient faire partie d'un essai au sein des niveaux supérieurs du football professionnel. Mais la réaction négative à cette mesure de la part d'entraîneurs de Premier League comme Jürgen Klopp, le coach de Liverpool, ou Ange Postecoglou, celui de Tottenham, semble avoir joué un rôle dans le report de cet essai.

Le président de la Fifa, Gianni Infantino, avait aussi affirmé vendredi qu'il "n'était pas au courant" d'un recours aux cartons bleus dans le cadre d'un essai, ajoutant que son instance était "complètement opposée" à l'idée. Deux autres protocoles destinés à aider les arbitres à réguler le comportement des joueurs ont en revanche été approuvés, selon le communiqué de l'Ifab.

Deux nouveaux protocoles à tester
Ainsi, les arbitres auront désormais la possibilité de créer des zones réservées aux capitaines ainsi que des zones de mise au calme en cas d'affrontements massifs entre joueurs.

En l'absence de mention d'un potentiel essai des cartons bleus, il est seulement évoqué "l'amélioration des directives actuelles relatives aux exclusions temporaires dans le football de base et le football des jeunes". "Toute application potentielle plus large ne sera envisagée qu'une fois que l'impact de ces changements aura été examiné", précise le communiqué.

Pourquoi la situation des droits TV est toujours figée

À cinq mois et demi du lancement de la saison de 2024-2025, les fans de foot ne savent toujours pas sur quelle chaîne ils pourront regarder les matchs de Ligue 1. Les négociations se poursuivent mais la situation semble figée entre les différents acteurs.
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Le seul média qui a pour le moment mis de l’argent sur la table de la LFP, c’est DAZN. La plateforme britannique s’avance comme le nouvel entrant sur le marché des droits TV de la Ligue 1. Son offre se chiffre à 500 millions d’euros par an pour l’ensemble des matchs de chaque journée en exclusivité. Dans ses échanges avec les dirigeants de DAZN, la LFP pousserait pour qu’ils acceptent de maintenir ce prix mais pour moins de matchs, afin qu’un deuxième acteur vienne compléter l’offre globale. La Ligue, qui souhaiterait vraiment que DAZN devienne son nouveau partenaire de référence, argumente auprès de la plateforme en insistant sur le fait que ce serait le meilleur modèle pour réussir son implantation en France.

DAZN refuse de rehausser son offre… pour le moment
Face à cette demande, les dirigeants de DAZN se montrent circonspects et refusent pour le moment d’aller plus loin dans leur offre, même s’ils restent déterminés à se développer en France. Au sein du "Netflix du sport", on indique que c’est une société à la discipline financière forte et que seuls les montants en capacité d’être remboursés sont investis. Est-ce une stratégie de négociation ou une réalité économique qui les empêche de miser davantage? Ces questions restent en suspens, de quoi figer la situation alors que DAZN aimerait conclure dès que possible pour lancer son recrutement de collaborateurs, son offre commerciale et sa campagne de communication auprès du grand public.

Mais un autre aspect du dossier agace au sein de la plateforme. "Quand les négos prennent une tournure trop politique, ce n’est jamais bon signe", confie un proche du dossier, qui fait référence à l’appui du pouvoir politique dont profite la LFP. Les images du dîner à l’Elysée du mardi 25 février, qui a réuni les dirigeants du foot français, de BeIn Sports autour des chefs d’Etat Emmanuel Macron et de l’émir du Qatar, ne sont pas passées inaperçues.

"Il y a beaucoup de fantasmes sur les interventions politiques sur ce dossier. Il y a des sujets tellement plus importants à gérer", tempère une source proche du pouvoir. Même si les droits TV n’ont pas été abordés lors de ce repas, de nombreux échanges se sont tenus les heures, jours et semaines précédents, la Ligue essayant de convaincre BeIN d’investir sur les quelques matchs en complément de l’offre de DAZN. Les discussions actuelles se basent sur un match en exclusivité et deux autres en co-diffusion.

BeIn Sports à la recherche de rentabilité
Problème: BeIN est quasiment à l’équilibre financier et un investissement conséquent sur les droits replongerait les comptes dans le rouge puisque ce n’était pas prévu dans le business plan. Le directeur général de la chaîne qatarie, Yousef Al-Obaidly, se montre donc, pour l’instant, plutôt réticent. Malgré tout, une réflexion est en cours et tout pourrait s’accélérer si l’état-major de la chaîne donnait son "go".

Nasser Al-Khelaifi, grand patron de BeIN, en contact permanent avec Vincent Labrune, le président de la Ligue, est bien conscient de la nécessité, pour la Ligue en général et le PSG en particulier, de maintenir des recettes importantes de droits TV. La difficulté de BeIN réside dans son lien très étroit avec Canal+, son distributeur exclusif via un contrat important de 250 millions par an. Logiquement, les dirigeants de BeIN estiment qu’en cas de nouveaux droits de L1 acquis, le contrat de distribution devra être réévalué. Mais la tendance du côté de Canal est de limiter au maximum cette réévaluation du contrat, surtout si cela permettrait de finaliser la négociation de la Ligue avec qui les relations restent très tendues. Mais difficile d’imaginer BeIN réaliser un investissement de plusieurs centaines de millions d’euros à perte sans garantie de contreparties aux services de ses intérêts.

Le levier qui pourrait faire avancer le dossier est peut-être celui des droits internationaux, également en négociation. La LFP a déjà vendu ses droits dans plus des deux tiers des territoires de la planète et devrait sensiblement augmenter ses revenus. Le territoire principal qui reste à négocier est l’Afrique, plus gros contributeur des droits internationaux. Aujourd’hui, les droits de la L1 sur ce continent sont détenus par Canal+ Afrique. Rien ne dit que la filiale de Canal les conservera. Les discussions sont intenses. Et le sort de Canal+ Afrique pourrait impacter la suite des négociations.

Chez Prime Vidéo, actuel diffuseur principal de la Ligue 1, les dirigeants maintiennent des contacts réguliers avec la Ligue. La plateforme TV d’Amazon attend de connaître l’identité du diffuseur principal avant de négocier avec ce dernier pour récupérer un match contre environ 80 à 100 millions. S’ils y parviennent, ils devraient proposer cette rencontre uniquement dans l’abonnement Prime, et non plus dans le Pass Ligue 1, qui disparaîtrait.

Carte blanche au graphiste de la section

Graphiste et sérigraphe à Paris, Romain Bernard s’est vu confier la création d’une affiche collector à l’occasion du prochain derby, disponible à la boutique officielle et réalisée en collaboration avec Maison Transversale. Si le SRFC a fait appel à son talent, c’est pour son amour bien évidement des Rouge et Noir mais aussi pour sa sensibilité particulière du football.

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Romain, comment êtes-vous devenu supporter du Stade Rennais F.C. ?
Je suis supporter du Stade Rennais depuis plus de vingt ans. Expatrié à Paris, Je fais partie de la Section Roazhon Pariz (ndlr : section de supporters du RCK à Paris). Graphiste de formation, je me suis orienté sur tout ce qui est création de stickers, d’écharpes, de tifos… Pour le groupe de Paris et celui de la tribune Mordelles bas, pour animer tout ça.

Qu’avez-vous cherché à faire ressortir dans cette affiche ?
J’ai pris le parti d’une vue intérieure de la tribune populaire. J’aime bien le foot, mais j’associe la discipline aux copains, à la camaraderie, la musique, l’ambiance générale de fête, le partage avec les autres. C’est ce qui fait la puissance de ce que procure ce sport. J’ai un coup de crayon plus gras que d’autres illustrateurs, je ne travaille pas forcément que sur ordinateur. J’affectionne le dessin pur, brut, à la main, très illustré, avec un côté presque Bande Dessinée.

« La ville est un repère pour moi, comme une boussole »

Quel supporter êtes-vous ?
Je suis né à Paris mais ma famille est du côté de Josselin, Quimper et Quimperlé. Mon père a fait son service militaire à Rennes et on a habité pendant un moment la capitale bretonne. Je vais au stade depuis que je suis gamin. Mon père m’a fait découvrir l’ambiance, je suis devenu un mordu. Ado, je me déplaçais au stade dès que je le pouvais. Mon histoire avec Rennes ne s’arrête pas là, j’ai fait des mises à niveau d’arts appliqués à LISAA. La ville est un repère pour moi, comme une boussole. J’allie toujours l’esprit de tribune à la mentalité rock 'n' roll de la ville. On va voir le match, et après on va en ville voir un concert de rock 'n' roll, c’est l’esprit.

C’est cet esprit particulier qui fait de vous un supporter engagé ?
Outre le Stade Rennais, les déplacements, les copains, ce qui me fait vibrer c’est d’avoir une utilité pour le groupe, là elle est graphique. À « Roazhon Pariz », je suis nommé le graphiste de la section. Que ce soit pour la création de stickers ou pour l’écharpe « L’Europe mon pote » par exemple, qui a bien marché au RCK et à la SRP, j’aime bien mettre ma patte. Je me dis que ce que je sais faire sert au plus grand nombre. Si les gens aiment, c’est encore mieux.

Et vous venez ajouter votre nom à la liste des cartes blanches du SRFC
À Rennes, je suis fan du pochoiriste Poch qui est très investi dans la Cité. Au-delà de ses œuvres route de Lorient, il avait notamment refait tout le look du bar du RCK il me semble. J’aime beaucoup le travail de Blek le rat également. Le club fait honneur à des mémoires vivantes, pas seulement passées, c’est une grande fierté. Ça nous permet de faire partie de l’histoire du parcours rennais et de participer à l’image que le club renvoie grâce à ses supporters. C’est assez plaisant.

La Ligue 1 gratuite, le projet est lancé

A l'heure où cela négocie toujours pour les droits TV, l'offre de DAZN ne fait pas forcément rêver la Ligue, mais le projet de la plateforme britannique a néanmoins de l'ambition, et notamment des offres alléchantes sur le papier pour le téléspectateur.

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La fin de saison approche, et le football français ne connait toujours pas son ou ses diffuseurs pour les exercices à venir. Amazon Prime ne semble clairement pas déterminé à mettre autant pour conserver la Ligue 1, et Canal+ a confirmé son désintérêt historique pour le championnat. La donne est donc à la fois simple et complexe, puisque la LFP et son président Vincent Labrune vont devoir essayer de maintenir le train de vie actuel malgré beaucoup d’arguments négatifs. Le fait que la Ligue 1 soit désormais à 18 clubs en est un, le désengagement de Canal+ aussi, le départ des stars du PSG également, tout comme le fait qu’Amazon comme BeIN Sports, appelé à la rescousse pour mettre la main à la poche, perdent de l’argent avec le football.

DAZN et ses abonnements à la carte
Nouveau venu dans les discussions, DAZN entend frapper fort, et avait même effectué une offre pour récupérer l’ensemble des matchs du championnat. Fort d’un accord de diffusion avec Canal+, le Netflix du sport a toutefois proposé un montant très bas, ce qui a empêché le deal de se faire. Néanmoins, la plateforme britannique est toujours offensive, et veut au moins récupérer plusieurs matchs pour se développer en France comme elle le fait dans d’autres pays européens.

Pour monétiser ensuite ces futurs transmissions, DAZN étudie toutes les possibilités, et notamment de diffuser gratuitement des rencontres, afin de faire de grosses audiences et de se rémunérer via des publicités. C’est ce que révèle le magazine Challenge. « La prudence dans la gestion des coûts et l'adaptabilité dans l'offre de services, allant de la diffusion gratuite avec publicité à des abonnements premium, illustrent une stratégie bien rodée visant à séduire un public large sans compromettre la viabilité financière », explique ainsi le magazine, qui dévoile certaines idées en effet étudiées chez DAZN.

La volonté de proposer plusieurs types d’abonnement pour permettre à chacun de s’y retrouver, de la version lourdement impactée par la publicité mais gratuite, à l’abonnement à faible prix mais qui ne permet pas d’avoir toute l’offre à celle plus complète et qui se monte à un tarif plus salé à 20 ou 30 euros par mois en fonction des droits récupérés. Une approche différente de ce qui était proposé jusqu’à alors, mais qui ne satisfait pour le moment pas la LFP, en raison notamment de l’offre financière brut qui est bien inférieure aux attentes.

Les arbitres français bientôt équipés de micros

La FIFA a autorisé le football français à expérimenter la sonorisation des arbitres pour expliquer les décisions du VAR lors des actions les plus litigieuses. Les premiers tests devraient être faits dès le printemps pour les play-offs de D1 féminine.
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Lors du dernier comité exécutif de la FFF, le 15 janvier dernier, Antony Gautier, le directeur technique de l'arbitrage, a annoncé, selon nos informations, que la FIFA avait autorisé la France à expérimenter la sonorisation des arbitres. Pas dans n'importe quelles conditions, mais sur un schéma proche de celui mis en place lors de la Coupe du monde des moins de 20 ans organisée entre le 20 mai et le 11 juin derniers en Argentine. À cette occasion, un dispositif de sonorisation permettait aux arbitres de s'exprimer directement pour expliquer aux équipes et au public leurs choix après consultation du VAR.

"Les micros seraient uniquement branchés pour les actions les plus litigieuses, quand l'arbitre les revisionne"

Éric Borghini, président de la commission fédérale des arbitres

La FIFA fixe un cadre et réclame aux pays concernés des moyens techniques performants dans les stades pour la captation du son. La France doit maintenant mettre en musique cette ouverture pour les spectateurs et les téléspectateurs qu'elle n'attendait plus, puisqu'elle avait essuyé, au préalable, plusieurs refus. Selon nos sources, les premiers tests devraient avoir lieu lors des play-offs de la D1 Arkema opposant les quatre premiers de la saison régulière (les demi-finales se tiendront le 12 mai, le match pour la troisième place et la finale le vendredi 17 mai, avec des rencontres sur le terrain des clubs les mieux classés). Un comité exécutif de la FFF, prévu le 22 mars à Lyon, à la veille de France-Allemagne, match de préparation des Bleus à l'Euro, doit définir le programme.

La Ligue 1 devra peut-être attendre la saison prochaine
Éric Borghini, le président de la commission fédérale des arbitres, confirme cet accord donné à la FFF : "Oui, la FIFA a donné l'autorisation d'expérimenter cette pratique à plusieurs pays, dont la France. Les micros seraient uniquement branchés pour les actions les plus litigieuses, quand l'arbitre les revisionne. De notre côté, on est favorable à une sonorisation permanente. Mais la FIFA avance pas à pas. En plus, elle veut être complètement maîtresse de la technologie et l'expérimenter sur ses compétitions dans des conditions qu'elle détermine elle-même avant d'étendre à d'autres épreuves."

Pour la Ligue 1, il faudra peut-être attendre la saison prochaine afin de ne pas bousculer la fin de cet exercice. Mais une accélération est éventuellement possible car Vincent Labrune, le patron de la LFP, et les présidents de clubs sont assez favorables à la sonorisation. "À eux de nous dire s'ils le veulent", confie Borghini, qui pense plutôt à la saison prochaine pour des tests dans l'élite masculine. "Ils vont avoir bientôt un collège des présidents de L1 en mars. Ils vont peut-être en parler à ce moment-là. Je pense que la majorité des clubs sont d'accord, voire la totalité."

Arthur et le jardinier

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Après son match contre Clermont (et une excellente prestation, ce 18 février), le défenseur international belge Arthur Theate rejoignait le parcage pour le traditionnel clapping. Il allait fêter une victoire avec ses copains en rouge et noir. Comme tous les enfants gâtés du foot, il pouvait passer sans un regard pour les jardiniers du Stade, en charge de remettre en état la pelouse du Roazhon park, sa pelouse. Il pouvait baisser la tête et continuer son chemin. Mais non Le jeune Belge a pris un petit sur les épaules et, au passage, il a salué l’un de ceux qui, anonymement, s’occupe de l’herbe. On ne sait pas trop ce qu’ils se sont dit. On ne sait pas trop quelles sont leurs relations. L’image était toutefois belle… comme celle de Benjamin Bourigeaud étreignant son fils au même moment. La déroute milanaise était bien loin. Le retour au Roazhon park avait du bon.

Pas encore de diagnostic pour Nagida

Dimanche, les Rennais recevront Clermont. Julien Stephan devra faire sans Nagida, touché eu genou jeudi lors du match de Ligue Europa à Milan.

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Revenus d’Italie vendredi dans la journée, les Rennais s’entraînent ce samedi après-midi, avant la réception de Clermont dimanche. Ce sera sans Nagida, touché au genou jeudi soir. « On n’a pas de diagnostic exact, mais il y a des chances qu’on l’ait perdu pour un moment », a indiqué Julien Stephan, qui est privé de Kalimuendo et Yildirim suspendus. Rieder et Le Fée sont toujours out et « sont dans leurs protocoles » de reprise.

Gouiri sera titulaire avec Terrier en attaque, Seidu devrait, lui, démarrer face à son ancien club.

Une règle spécifique pour les gardiens de but en cas de carton bleu

Après les révélations sur le projet de l’introduction d’un carton bleu dans le football professionnel, The Telegraph en dit plus ce lundi sur les conséquences de cette nouvelle sanction pour les gardiens de but.
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La Fifa a beau avoir mis les freins, l’Ifab, l’instance qui régit les lois du football, songe bien à introduire prochainement le carton bleu au niveau professionnel. Au moins dans un premier temps sous la forme de tests. Ce nouveau carton qui s’ajoute aux cartons jaunes et rouges a fait beaucoup de bruit depuis les révélations du Telegraph jeudi dernier. Le carton bleu sanctionnera d’une exclusion temporaire de dix minutes un joueur ayant commis une faute d’antijeu qui annihile une attaque comme le tirage de maillot de l’Italien Chiellini sur l’Anglais Saka en finale l’Euro 2021 ou s’il proteste face à un arbitre de la rencontre. Assez claire pour les joueurs de champs, cette règle l’était moins pour les gardiens de but.

Un joueur de champ au but pendant 10 minutes?
The Telegraph rapporte ce lundi que les gardiens ne bénéficieront pas d’une impunité de part leur poste. Puisqu’ils pourront, eux aussi, être sanctionné par un carton bleu, que se passera-t-il quand ils seront expulsés dix minutes laissant leur cage vide? Deux solutions sont possibles pour l’équipe pénalisée rapporte le média britannique. Soit elle opère un changement de gardien mais ce remplacement est définitif et l'équipe finit la rencontre avec le portier remplaçant, soit elle prend le risque de mettre un joueur de champ dans les buts pendant dix minutes avant de retrouver son gardien, une fois les dix minutes écoulées. Cette règle spécifique ne manquera pas de faire encore beaucoup parler, notamment les entraîneurs qui, eux, en revanche, ne pourraient pas écoper d’un carton bleu.

Pour rappel, voici ce qu'a communiqué la Fifa jeudi à propos de ce projet: "De tels essais, s'ils sont mis en oeuvre, devraient se limiter à des tests effectués de manière responsable à des niveaux inférieurs, une position que la FIFA a l'intention de réitérer lorsque ce point de l'ordre du jour sera discuté lors de l'AGA (assemblée générale annuelle) de l'IFAB le 2 mars."

Stéphan a déjà sa petite idée pour remplacer Le Fée

Enzo Le Fée, qui avait un rôle moteur dans le redressement du Stade Rennais depuis fin décembre, avec 8 matches sans défaite toutes compétitions confondues, s’est blessé et pourrait avoir relancé Ludovic Blas par ricochet.

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La tuile pour Enzo Le Fée au Stade Rennais. Julien Stéphan a confirmé hier qu’il serait privé de l’ancien Lorientais sans doute jusqu’à la trêve internationale fin mars, après sa déchirure aux ischio-jambiers mardi. Dans le double pivot du 4-4-2, Le Fée impulsait beaucoup de choses, il verticalisait et fluidifiait le jeu. Il faut donc penser autrement désormais.

"On va voir comment ça se passe, j’ai quelques idées en tête, a glissé le coach du SRFC. Il faudra repenser certaines choses, voir si un des défenseurs centraux peut intégrer la rotation au milieu éventuellement, ou passer aussi avec un milieu à trois avec des profils différents."

L'option de faire reculer Ludovic Blas...
Parmi les défenseurs, Jeanuël Belocian et Guéla Doué ont déjà évolué au milieu durant leur formation ou leur pré-formation. D’après L’Équipe, faire reculer Ludovic Blas, qui a joué devant la défense à Guingamp ou en relayeur au FC Nantes par le passé, peut aussi faire partie des réflexions. "Ça dépend du rapport de forces installé, du moment du match. Sur un match ou un bout de match, ça me semble plausible", conclut Stéphan.

Sans Enzo Le Fée, une gestion à flux tendu au milieu de terrain

Le Stade Rennais, qui joue au Havre dimanche 11 février (13 h) en Ligue 1, va devoir disputer ses huit prochains matches au moins sans Enzo Le Fée, avec seulement deux spécialistes (Baptiste Santamaria et Azor Matusiwa) pour occuper les rôles de milieux axiaux. Le coach Julien Stéphan va devoir les gérer finement, espérer éviter d’autres coups durs, et imaginer aussi quelques alternatives…

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La tuile est confirmée. Et c’est une grosse tuile. Victime d’une déchirure à l’ischio droit mardi 6 février à Sochaux, Enzo Le Fée ne pourra pas faire de miracles, même s’il est du genre à se rétablir plus vite que les autres : l’ex Lorientais devrait être absent jusqu’à six semaines. "Pour l’instant, on table sur un retour après la prochaine trêve internationale, et s’il a une guérison un peu plus rapide, on pourra peut-être envisager Marseille, mais pas avant", confirme le coach Julien Stéphan.

Marseille, ce sera le 17 mars au Roazhon Park, pour la 26e journée de Ligue 1. Dans neuf matches… Une série sans l’éventuelle demi-finale de Coupe de France (prévue le 3 avril), mais avec les deux rendez-vous face à l’AC Milan, PSG au Parc des Princes, ou Lille. Et tout ça sans Le Fée, le joueur rennais le plus technique, qui fait gagner à l’équipe le plus de mètres avec et sans ballon. Un profil à la fois travailleur et créatif, évidemment unique dans l’effectif, que personne ne pourra vraiment remplacer.

Matusiwa et Santamaria, à gérer en croisant aussi les doigts
Mécaniquement, le visage du Stade Rennais va s’en trouver modifié, avec la paire Matusiwa - Santamaria, qu’on va voir à l’œuvre dès dimanche 11 février au Havre, dans un contexte déjà plus corsé que celui de Sochaux. Avec ce duo, le SRFC va au moins gagner en puissance physique à la récupération.

Pointé du doigt par certains pour sa gestion du cas Le Fée, même si c’est plus facile à faire après, Stéphan va devoir la jouer fine dans la gestion de ses deux derniers milieux axiaux disponibles (Rieder ne reviendra pas avant début mars). En croisant les doigts pour que l’un ou l’autre ne se blesse pas ou ne soit pas suspendu… ce qui sera déjà le cas pour Matusiwa, lors le déplacement à Paris le 25 février.

Dans cette gestion rendue obligatoire par l’enchaînement des matches, le coach breton va aussi forcément devoir se montrer imaginatif, et bricoler quelques alternatives sans l’un des deux.

Bourigeaud sera l’option de rechange numéro 1, comme il l’a été en fin de match à Sochaux. Et sinon ? Aucune autre solution ne semble évidente. "On va voir comment ça se passe… J’ai quelques idées en tête, il faudra repenser certaines choses, voir si l’un de nos centraux ne peut pas intégrer la rotation au milieu, ou passer avec un milieu à trois et des profils différents."

Blas ou Désiré Doué au milieu, dans certaines circonstances
Parmi les défenseurs centraux, Omari ou Belocian ont déjà évolué au milieu chez les jeunes, mais le seul qui y a déjà dépanné cette saison… est parti en prêt à Clermont, et c’est Jérémy Jacquet.

Alors, Guéla Doué ? Blas ou Désiré Doué, mais probablement davantage dans un milieu à trois justement ? "Dans certaines circonstances, oui… cela dépend du rapport de forces, du moment du match, répond Stéphan. Cela rentre dans ma réflexion… Je ne suis pas convaincu qu’on puisse faire 3 ou 4 matches d’affilée comme ça, mais sur un match ou un morceau de match, ça me semble plausible."

En tout cas, le coach ne voit pas le passage du 4-4-2 au 4-3-3 comme une solution "palliative" à l’absence de Le Fée. Et il n’a pas de raison de changer non plus une formule de base dans laquelle tout un collectif a trouvé repères et confiance. "Ce n’est pas un joueur qui pourrait me faire modifier le système, confirme le coach, plus le rapport de forces, une gestion de match, des options stratégiques… On l’avait fait contre Lyon et Montpellier, en cours de match avec Enzo." Sans, Stéphan le refera probablement encore. Pas d’entrée au Havre, mais peut-être jeudi 15 février, à Milan…

S.G.S.B.

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