L’attaquant du Stade Rennais Arnaud Kalimuendo intéresserait l’AS Roma de son nouveau directeur sportif, Florent Ghisolfi.

Auteur de 15 buts cette saison et déjà sur le départ en janvier, avec une offre de l’Eintracht Francfort, Arnaud Kalimuendo (22 ans) ne manque pas de prétendants. Désormais directeur sportif de l’AS Roma, Florent Ghisolfi, qui avait fait venir "Kali" en prêt du PSG à Lens, s’intéresse au buteur du Stade Rennais, sous contrat jusqu’en 2027.

De son côté, Fabian Rieder (22 ans, 2027) a indiqué au média suisse, "Berner Zeitung", qu’il avait posé ses conditions à la direction bretonne : soit il part, soit on lui donne vraiment sa chance…

Le Stade Rennais a connu une saison désastreuse, échouant à se classer dans la première moitié du tableau de Ligue 1, malgré des ressources considérables et un effectif conçu pour viser le top 5.

Le Stade Rennais a terminé à la 10e place de la Ligue 1 pour la saison 2023/24, un résultat médiocre comparé aux dix dernières années. Malgré des investissements importants et un centre de formation réputé, les choix de recrutement récents de Florian Maurice, arrivé en 2020, sont critiqués. Des joueurs clés comme Nayef Aguerd et Hamari Traoré n’ont pas été remplacés efficacement. Les nouveaux joueurs, souvent surpayés, n’ont pas répondu aux attentes. Julien Stéphan, l’entraîneur, a également connu une fin de saison difficile.

Le club fait face à de nombreux départs potentiels (Doué, Truffert, Wooh, Omari, Assignon, Yildirim, Rieder, Blas, Theate) et un nouveau directeur sportif est attendu, avec Grégory Lorenzi du Stade Brestois en tête de liste. Le Stade Rennais devra renforcer son équipe cet été, notamment en défense et en attaque, pour espérer retrouver un meilleur niveau la saison prochaine.

Sauf improbable revirement, le Turinois francophone Frédéric Massara, ex-directeur sportif de l’AS Rome et de l’AC Milan, devrait prendre la succession de Florian Maurice au Stade Rennais. Pour la première fois de son histoire, le club breton confierait à un étranger la direction de son secteur sportif, avec un carnet d’adresses forcément à consonance internationale. Un vrai virage au SRFC.

La fin d’une époque, le début d’une nouvelle ère ? Si le dossier n’est pas encore totalement ficelé, Frédéric Massara devrait, comme révélé sur notre site internet ce lundi 27 mai, et sauf revirement de situation, prendre la tête du secteur sportif au sein d’un Stade Rennais en plein chamboulement.

Alors que Florian Maurice serait en passe de s’engager avec Nice, et que Grégory Lorenzi (l’autre piste priorisée) est parti pour rester à Brest, Massara est proche d’un accord avec les dirigeants du club breton.

L’Italien devrait arriver aussi avec un nouveau responsable du recrutement pour l’épauler, Jérôme Bonnissel étant lié à Maurice. Francophone par sa mère qui est avignonnaise, il s’est très vite montré intéressé par le projet du Stade Rennais, et les contours de son contrat seraient déjà actés.

L’image d’un bosseur qui parle peu
Évoquer Massara (avec lequel le président exécutif Olivier Cloarec a mené les discussions depuis une bonne semaine, en compagnie de l’actionnaire) fait forcément penser aussi à la famille Pinault : le fils François-Henri dirige l’entreprise Kering, lequel contrôle notamment plusieurs marques de luxe aux ramifications évidemment nombreuses à Milan, là où avait officié Massara de 2019 à 2023.

Né à Turin il y a 55 ans, l’ancien ailier à la carrière modeste (surtout en Serie B et C italienne) était devenu chez les Rossoneri un dirigeant aussi discret que respecté, après avoir été entraîneur adjoint à Pescara ou Benevento, puis manager à Palerme et l’AS Rome. « Comme un projet à l’étranger l’intéressait, ce n’est pas très surprenant que ce soit Rennes, qui a la réputation d’un club bien structuré en Italie, explique Valentin Pauluzzi, installé dans la botte et spécialiste du foot italien, qui a déjà eu l’occasion de le croiser. Massara a l’image du bosseur qui parle peu, avec une grande connaissance du foot et des hommes, mais pas forcément uniquement par le réseau des agents. »

En Italie, le rebond de Massara était surveillé. « Il doit beaucoup sa carrière de dirigeant à Walter Sabatini, ancien directeur sportif historique en Italie, avec lequel il avait travaillé notamment à la Roma, reprend Pauluzzi. Au Milan, il a formé un duo efficace avec le directeur technique Paolo Maldini, qui prenait toute la lumière et se fiait à Massara, lequel avait la vision du club à 360 degrés, y compris auprès des jeunes. Malgré des moyens moindres qu’à une certaine époque, ils ont refait du Milan un club compétitif, avec notamment le titre de champion en 2022 et une demi-finale de Ligue des champions en 2023. »

Quelques jolis coups à son palmarès
Devenu propriétaire du club en 2022, le fond américain RedBird, souhaitant redéfinir la stratégie de recrutement, avait provoqué en 2023 son licenciement conjoint avec Maldini. « Massara est très bon dans les relations humaines, très apprécié dans les clubs » , loue un agent bien implanté dans l’environnement du club milanais. Durant ses quatre années en Lombardie, il aura contribué à réussir quelques jolis coups de recrutement, de Bennacer à Leao en passant par Maignan, Théo Hernandez, Giroud ou Tonali.

Un joueur comme Kjaer l’a aussi suivi dans plusieurs clubs en Italie, alors que l’on sait le Stade Rennais à la recherche d’un défenseur central expérimenté, l’ancien international danois (35 ans, passé par Lille) étant libre de tout contrat… Cette piste est-elle pour autant à l’ordre du jour au SRFC ? En l’état, et a priori, non.

En tout cas, pour Rennes, le virage serait d’importance, puisque le club confierait pour la première fois sa politique sportive à un étranger, avec un réseau international, une culture et une exigence différentes. Massara arriverait évidemment avec un plan précis, et à Rennes il aurait des moyens. Même si la non-participation à la Coupe d’Europe va grever un peu ses finances, et donc peut-être limiter certains investissements.

Habitué à côtoyer des joueurs internationaux et à manier de gros dossiers, l’Italien serait séduit par la perspective d’un nouveau projet à bâtir, avec un effectif à redessiner en partie. L’avenir dira de quelle manière il compterait s’y prendre, en s’appuyant sur quels collaborateurs (notamment pour mieux appréhender le marché français), et avec quelle stratégie sur le moyen terme.

L'ancien directeur sportif de l'AC milan et de la Roma, Frédéric Massara, doit s'engager rapidement avec le Stade Rennais.

Révélée dans nos colonnes le 19 mai dernier, la piste menant à Frédéric Massara doit aboutir. Le Stade Rennais, en quête d un directeur sportif avec le départ annoncé de Florian Maurice et l'ancien directeur sportif de l'AC Milan et de l'AS Rome sont tombés d'accord contractuellement en fin de semaine dernière.

Le dirigeant italien, francophone, doté d'une solide réputation sur la scène continentale, a déjà commencé à travailler sur les contours de l'effectif la saison prochaine. Massara, sollicité également par Lens avec lequel il a eu des échanges très concrets, a privilégié le challenge rennais.

Désiré Doué, le jeune joueur du Stade Rennais, serait dans le viseur d’Arsenal en vue du prochain mercato estival 2024.

Arsenal est prêt à rivaliser avec Tottenham, Manchester United, le Bayer Leverkusen, le Bayern Munich et le Borussia Dortmund pour recruter la star rennaise Désiré Doué. Le Stade Rennais espère pouvoir conserver son jeune joueur mais sait que la pression et les offres des grands clubs seront difficiles à repousser. La concurrence est donc importante et nul doute que les Gunners devront faire une offre à la hauteur. Selon le Mirror, celle-ci pourrait être supérieure à 30 millions d’euros. Cette saison il a inscrit quatre buts et fait six passes décisives en 43 matchs avec Rennes. Son contrat actuel court jusqu’en juin 2026

Kieran Tierney pas chaud de rentrer
Dans le même temps, Arsenal envisagerait de prolonger et rapatrier Kieran Tierney qui a passé la saison en prêt du côté de la Real Sociedad. Interrogé sur le sujet, l’international écossais n’envisage pas de rester : » Regardez la profondeur de l’équipe à ce poste maintenant. Ils ont (Oleksandr) Zinchenko, (Jurrien) Timber, (Takehiro) Tomiyasu, (Jakub) Kiwior. Quatre joueurs peuvent y jouer. Donc si j’y retourne et que c’est comme avant, je ne suis pas idiot, je sais qu’il y a de fortes chances que je parte. Mais on ne sait jamais dans le football. Vous avez le cas rare avec (William) Saliba, où il est revenu après quelques bonnes saisons (en prêt), mais on ne le voit pas trop souvent avec quelqu’un qui a joué pendant quatre ans, qui est parti, puis qui revient. pour rejouer. Des choses plus étranges se sont produites. Je pourrais y retourner et il y aurait une place pour moi. Je suis donc prêt pour les deux » a-t-il déclaré.

Le Stade Rennais FC prépare la saison à venir avec l’exhumation de dossiers mercato. Le SRFC vise le défenseur Jesper Daland, malgré l’absence de compétitions européennes l’année prochaine. Julien Stéphan et les recruteurs du club Rouge et Noir ne chôment pas et ont déjà identifié plusieurs cibles pour consolider l’équipe, surtout en défense.

Jesper Daland, le solide défenseur central norvégien, actuel joueur du Cercle Bruges, est au cœur des attentions du club breton. Avec une étiquette de prix estimée à 5,5 millions d’euros, Daland représente une option alléchante pour renforcer les Rouge et Noir lors de ce mercato. Sa performance en Jupiler Pro League cette saison, marqué par son but et sa passe décisive en 38 matchs, ne sont pas passées inaperçues aux yeux du staff rennais.

Mais Rennes ne met pas tous ses œufs dans le même panier. Le club garde également un œil sur Kevin Denkey, coéquipier de Daland à Bruges, signe que la direction rennaise est bien en alerte sur plusieurs fronts pour tirer son épingle du jeu durant ce mercato.

La stratégie des bretons semble claire : construire une équipe compétitive pour la saison à venir avec des joueurs robustes et confirmés comme Daland. Ce genre de recrutement promet de dynamiser l’équipe et d’offrir aux supporters rennais de nouvelles raisons d’espérer des jours meilleurs.

Le Stade Rennais, avec cette approche proactive du mercato, démontre qu’il ne faut pas forcément être en Europe pour afficher de grandes ambitions. Mais comment finaliser rapidement ce dossier du défenseur de 1,91m avant que la concurrence ne débarque et que les prix n’explosent ? Rennes doit sortir les 5,5 millions d’euros réclamés par ses dirigeants même si sa valeur marchande sur Transfermarkt n’est que de 3,5 millions d’euros.

Le joueur sous contrat jusqu’en juin 2025 serait en tout cas favorable à une signature en Ligue 1 et au SRFC qui est un des 5 meilleurs clubs du championnat. Julien Stephan n’a plus qu’à mettre le turbo pour finaliser ce dossier pour lequel les négociations s’intensifieraient ces dernières heures.

Le Stade Rennais vient d’officialiser la signature de Rayan Bamba, un jeune défenseur franco-ivoirien de 20 ans. Cible de nombreux clubs de Ligue 1, le jeune formé à l’académie du club a décidé de poursuivre sous les couleurs du SRFC.

C’est désormais officiel. Le jeune latéral droit Rayan Bamba a signé son premier contrat professionnel au Stade Rennais. Le club a annoncé la nouvelle ce lundi 27 mai 2024. Il s’est engagé avec les Rouge et Noir jusqu’en juin 2025. Rayan Bamba a remercié tous ceux qui ont œuvré pour la signature de ce bail.

« Je suis très heureux, je remercie ma famille pour son soutien et le club qui me permet de signer mon contrat professionnel. Je remercie aussi toutes les personnes qui m’ont fait évoluer à l’Académie. C’est une étape de franchie, il ne faut pas se reposer sur ses lauriers. J’ai eu la chance de monter régulièrement aux entraînements des pros », a réagi le joueur.

Rayan Bamba a disputé deux matchs avec le Stade Rennais cette saison en Ligue 1 contre le RC Strasbourg et le FC Nantes et a livré de belle performance. Il envisage de travailler pour permettre au club de surfer sur les vagues du succès.

« J’ai aussi eu l’opportunité de découvrir le monde professionnel, avec des convocations à Strasbourg et Nantes, c’était une joie et j’espère le revivre plus souvent. Il va falloir que je me batte pour continuer d’être convoqué. Malheureusement on n’a pas pu monter avec la N3 mais dans l’ensemble ça s’est bien passé cette saison. Le groupe était top », a-t-il ajouté.

Directeur sportif du Stade Brestois, Grégory Lorenzi a de nouveau été annoncé partant du club finistérien ce samedi soir. Au SB29, c’est silence radio sur le sujet.

Alors que le Stade Brestois jouera la Ligue des champions la saison prochaine, Grégory Lorenzi sera-t-il toujours directeur du club finistérien ? Alors que le directeur sportif brestois est annoncé partant par le quotidien L’Équipe il y a une semaine, le média « Le 10 sport » a affirmé samedi que Grégory Lorenzi « a pris la décision de quitter Brest, malgré l’ultime tentative brestoise de le conserver ». D’après nos informations, cette issue n’avait pas été communiquée par l’intéressé à sa présidence à 21h, ce samedi soir.

Selon plusieurs retours, il avait travaillé « normalement » cette semaine à Pen-Helen, dans l’idée de préparer la saison à venir du SB29. À l’amorce de ce week-end, décisif dans la décision finale du Corse de 40 ans, deux possibilités s’offraient à Lorenzi : rester à Brest, où il œuvre depuis 2016, ou s’envoler vers un autre club. Les sollicitations ne manquent pas : Rennes et le RC Lens sont toujours les deux pistes les plus chaudes. Dans la journée de vendredi, les échos avaient été contradictoires sur une quelconque tendance, dans le sens d’un départ ou son envie de continuer avec Brest. Rennes étudie aussi le profil de l’Italien Frederic Massara, qui doit rencontrer les dirigeants rennais ce week-end.

Comme ceux de Brest, ils veulent être rapidement fixés sur l’identité de leur prochain directeur sportif.

Le FC Nantes va en vouloir à son voisin. Alors que Waldemar Kita avait fait part il y a quelques jours à son homologue rennais de sa volonté de lever l’option d’achat de Matthis Abline, à hauteur de 6 M€, Olivier Cloarec lui a répondu aujourd’hui que son club allait activer la clause lui permettant de faire revenir l’attaquant dans son club formateur (2 M€).

Ouest-France a confirmé cette information divulguée par L’Equipe, précisant que les Canaris sont particulièrement déçus. Antoine Kombouaré comptait sur le jeune joueur de 21 ans auteur d’une excellente fin de saison (4 buts sur ses 7 derniers matchs). L’entraîneur souhaitait même en faire l’un de ses hommes de base. Nantes ne fera pas surenchère dans ce dossier.

Départ ou pas ? Le directeur sportif du Stade Brestois a rencontré son président hier. Un rendez-vous crucial pour l’avenir proche du club.

C’était un rendez-vous au sommet au Stade Brestois. Un rendez-vous crucial pour l’avenir du club. Un rendez-vous dont rien n’avait filtré en début de soirée. Il s’est tenu hier en fin d’après-midi entre Denis Le Saint, le président, et Grégory Lorenzi, le directeur sportif. L’enjeu ? Sous couvert de feuille de route pour l’an prochain, il s’agissait d’e s’accorder pour continuer main dans la main une aventure démarrée il y a huit ans, ou pas. Une collaboration qui a amené le club de la Ligue 2 à la Ligue des champions. Une incroyable réussite dont le directeur sportif est l’artisan majeur.

Du choix improbable du coach actuel, Eric Roy, au développement de joueurs vendus ensuite à prix fort (Perraud, Diallo, Faivre, Honorat…), Grégory Lorenzi a souvent vu juste. Ça en fait aujourd’hui le directeur sportif le plus courtisé de France.

A 40 ans, le Corse est à la croisée des chemins. L’incroyable saison du Stade Brestois le rend particulièrement “bankable”. A Rennes, François Pinault, l’actionnaire principal, en a fait sa priorité, devant l’italien Frédéric Massara, au CV qui mentionne quand même AS Rome et Milan AC.

Hier en début de soirée donc, Denis Le Saint et Grégory Lorenzi se sont entretenus. Dans l’idée du président, il s’agissait de convaincre son directeur sportif qu’il aurait les moyens de travailler l’an prochain alors que ce dernier pourrait être las des maigres enveloppes financières dont il dispose en Finistère, le stade brestois ne pouvant faire autrement jusqu’à l’été dernier.

Lorenzi, viscéralement attaché au club, intégré aussi au projet du nouveau stade prévu pour 2027, et très proche de son président, sait qu’il n’aura pas forcément d’opportunité aussi intéressante que cette saison de mouvements au poste de directeur sportif. Le temps de voir ailleurs viendra, il aura alors un salaire autre, des moyens autres, mais sera moins libre d’agir comme il veut.

Alors, envie d’un ailleurs immédiat ou pas ? Grégory Lorenzi a soigneusement évité jusqu’ici de s’exprimer sur le sujet. Comme son président. La qualification en Ligue des champions pèsera-t-elle lourd dans sa réflexion ? À Brest, le chantier est vaste, même si le club dispose d’une manne financière inattendue (18,6 millions a minima en droits d’entrées en Ligue des champions). Il faudra encore densifier l’effectif.

Lorenzi fera-t-il le choix du cœur, celui de rester et d’aider le club dans une année si particulière ? Ou celui de la raison et de son plan de carrière après huit années de bons et loyaux services ? Un départ serait un vrai traumatisme en Finistère et ne donnerait pas un signe rassurant à certains joueurs sollicités qui pourraient dès lors eux aussi avoir des velléités de départ.