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Où en est Clément Grenier ?

Trois semaines après la fin du mercato, certains internationaux sont toujours en quête d’un club. Parmi eux, Clément Grenier qui reste sur un bilan très honorable au Stade Rennais et qui s’entraîne d’arrache-pied dans l’attente d’un challenge d’envergure. Si les contacts ne manquent pas, aucun club n’a encore franchi le pas.
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Le 30 juin dernier, Clément Grenier quittait le Stade Rennais après la fin de son bail de trois ans entamé durant l'été 2018. Une victoire en Coupe de France en 2019, une épopée en Ligue Europa et la Ligue des Champions, l'ancien Lyonnais a tout connu en Bretagne. À 30 ans et après 93 matches disputés en Rouge et Noir (9 buts et 12 passes décisives), Grenier ne devait pas manquer de propositions en tant qu'agent libre.

Mais pour l'international tricolore (5 sélections), rien ne s'est passé comme prévu et il se trouve toujours en quête d'un club. Si le natif d'Annonay ne souhaite pas communiquer pour le moment, nous avons contacté l'un de ses proches pour savoir où il en était et ce qu'il devenait. « Clément est toujours libre et s’entraîne avec un préparateur physique une à deux fois par jour. Il bosse comme un fou pour être prêt quand un projet sérieux sera là », nous explique-t-on.

Des contacts au Qatar, en Espagne en Italie et même en France
Les contacts sont là et de nombreux clubs ont sondé le joueur durant l’été et ces derniers jours, sans que cela aboutisse à quelque chose de concret. « Il est toujours en discussion avec des clubs en Europe, en Italie et en Espagne notamment. Mais pour l’instant, il n’y a pas d’avancée spéciale. Un club au Qatar est proche de lui et des clubs de MLS s’intéressent à lui pour la saison prochaine, mais le mercato là-bas ne commence qu’en janvier. À ce moment-là, des places de Designated Players (NDLR : la règle du Designated Player permet aux franchises de la MLS d'inscrire jusqu'à 3 joueurs qui peuvent dépasser le salary cap du club en question) vont se libérer et ils sont prêts à le prendre, mais janvier, c’est très loin… »

Et la perspective d’évoluer en Ligue 1 étant donné qu’il peut signer où il le souhaite du fait de son statut d’agent libre peut-il être possible ? À écouter une source proche du joueur, rien n’est impossible. « Il a eu des contacts avec des clubs de Ligue 1 durant l’été et c’est toujours d’actualité. Mais, pour le moment, ça n’avance pas pour diverses raisons et il attend surtout que ça bouge à l’étranger », explique notre source avant d'aller plus loin. « Ce n’est pas une question d’argent pour Clément. Il a déjà fait ça à Guingamp. Il ne court pas après l’argent, mais après un vrai projet ». Si Radamel Falcao a réussi à rebondir au Rayo Vallecano, que Javier Pastore a signé à Elche et que Franck Ribéry a débarqué à la Salernitana, Clément Grenier reste pour l’instant en quête d’un nouveau challenge. À seulement 30 ans, l’ancien Romain n’aspire qu’à une chose, retrouver l’ambiance des vestiaires et les vertes pelouses. Avis aux amateurs.

Séville vire Joris Gnagnon pour manque de professionnalisme

Ancien grand espoir du Stade Rennais, le défenseur, parti à Séville en 2018, vient d'être mis à la porte par les dirigeants andalous.
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Le Stade Rennais sait exporter ses jeunes talents. Récemment, le club breton a vendu sa pépite Eduardo Camavinga au Real Madrid pour environ 40 M€, bonus inclus. Trois ans plus tôt, le SRFC comptait un autre grand espoir dans ses rangs : le défenseur Joris Gnagnon. Lancé dans le grand bain de la Ligue 1 lors de l’exercice 2015/2016, le natif de Bondy avait ensuite réalisé deux saisons pleines avant de prendre son envol.

Durant l’été 2018, le défenseur a pris la direction de Séville, club auquel il a été vendu pour 13,5 M€. Malheureusement pour lui, ce qui devait être le transfert de la confirmation s’est transformé en cauchemar. En Andalousie, l’aventure de Gnagnon a rapidement viré au fiasco. Apparu à seulement sept reprises en Liga, le joueur âgé aujourd’hui de 24 ans a eu l’opportunité de revenir au bercail sous forme de prêt pour se relancer en 2019/2020.

Encore et toujours un problème de poids
Résultat : 19 matches de L1 (14 titularisations) et retour à Séville. Sauf que la situation s’est empirée. À son retour, il est jugé en surpoids. Ensuite, c’est tout simple : Joris Gnagnon n’a pas joué le moindre match officiel la saison dernière. Et aujourd’hui le Diario de Sevilla nous apprend que le Français, dont le contrat court jusqu’en 2023, ne rejouera plus jamais sous la tunique nervionense.

Le quotidien local révèle en effet que les dirigeants de Séville ont décidé de résilier le bail de leur défenseur. La raison ? Manque de professionnalisme. En clair, Gnagnon n’aurait pas une condition physique digne d’un professionnel. Non inscrit en Liga, l’ancien Rennais y est décrit comme un élément ayant toujours affiché des problèmes de surpoids depuis son arrivée en Espagne. Un sacré gâchis.

Le nouveau club de Ben Arfa est connu

Hatem Ben Arfa devrait s'engager avec l’Espérance de Tunis dans les prochains jours.

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Libre de tout contrat depuis son départ des Girondins de Bordeaux, Hatem Ben Arfa serait sur le point de rejoindre l’Espérance de Tunis, selon les informations du média espagnol AS.

Après l'Olympique Lyonnais (2004-2008), l'Olympique de Marseille (2008-2011), Newcastle (2011-2014), Hull City (2014), l'OGC Nice (2015-2016), le Paris Saint-Germain (2016-2018), le Stade Rennais (2018-2019), Valladolid (2020) et les Girondins de Bordeaux (2020-2021), le champion de Tunisie en titre devrait donc devenir le dixième club du milieu offensif français, qui souhaitait finir sa carrière dans son pays d’origine. 

Camavinga a déjà l’espagne à ses pieds

Auteur de débuts exceptionnels sous le maillot du Real Madrid, Eduardo Camavinga a déjà conquis tout le monde à Madrid.
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Il n’a fallu que 34 minutes de jeu à Eduardo Camavinga sous le maillot blanc pour marquer les esprits dans la capitale française. Le jeune prodige français s’est attiré les feux des projecteurs en signant un but et une passe décisive en deux apparitions avec les Merengue. Il n’en fallait pas plus pour les socios locaux afin de l’élever au rang d’un futur grand, tandis que la presse ibérique multiplie les éloges à son en droit.

La presse madrilène en fait le favori pour le Golden Boy
Ce vendredi, et c’est un fait assez rare pour être signalé, l’international français fait la une des deux principaux quotidiens Marilènes, à savoir Marca et AS. Dans le premier, il est exposé seul en avant avec le titre « Chico Listo », que l’on pourrait traduire par « un garçon intelligent ». Il est souligné que l’ex-prodige du SRFC a déjà répondu à une bonne partie des attentes qu’il suscitait et que le prochain objectif est d’obtenir une première titularisation. Cela pourrait être chose faite dimanche lors d’un déplacement à Valence.

Du côté d’AS, on a illustré la jeune recrue tricolore comme étant le chef de file d’un groupe de jeunes qui incarnent la nouvelle ère au Real. Et à l’intérieur du journal, on souligne que le natif d’Angola est aujourd’hui le candidat numéro 1 pour aller chercher le titre du Golden Boy. Une sorte de Ballon d’Or pour les jeunes et que des stars comme Kylian Mbappé et Erling Haaland ont remporté ces dernières années.

 

Camavinga, un joli clin d'oeil au Stade Rennais

Buteur dès son premier match sous le maillot du Real Madrid face au Celta Vigo en Liga dimanche, Eduardo Camavinga (18 ans) s'est une nouvelle fois distingué en offrant la passe décisive à Rodrygo sur le but victorieux des Merengue dans les ultimes secondes de la rencontre de Ligue des Champions contre l'Inter Milan à San Siro (0-1 pour le Réal).

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Interrogé après le coup de sifflet final, Eduardo Camavinga a adressé un joli petit clin d'oeil à son club formateur, le Stade Rennais :

"On savait que ça allait être un match difficile. Quand je rentre, le coach me dit qu'il y aurait beaucoup d'espaces. Sur mon but, c'est un enchaînement que j'ai appris au Stade Rennais grâce à Mathieu Le Scornet. Je travaille chaque jour pour être encore plus performant. Mais il ne faut pas s'arrêter là, il y a un match ce week-end contre le FC Valence en Liga", a confié le jeune milieu de terrain international français, formé à Rennes, après la belle victoire du Real Madrid en Ligue des Champions face à l'Inter Milan.

Adrien Hunou : "J’ai appelé mon agent, et je lui ai dit "On y va""

Après Marine Capon, épouse de Benjamin Bourigeaud, c’est Adrien Hunou qui a accepté en exclusivité pour Ouest-France et Prolongation de se raconter. De raconter, surtout, son exil aux États-Unis, lui, l’enfant du Stade Rennais, tatoué rouge et noir, le chouchou du Roazhon Park, le buteur parti en MLS, le championnat américain, en avril dernier. Pourquoi, comment. Le choix, la vie là-bas.

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En avril dernier, Adrien Hunou, 27 ans, attaquant du Stade Rennais, annonçait son départ pour le club de Minnesota United et le championnat de MLS. En manque de temps de jeu à Rennes, le buteur faisait là un choix de carrière fort, déclenchant des centaines de messages touchants de la part des supporters au moment de dire au revoir.

Adrien Hunou a accepté, en exclusivité pour Ouest-France et Prolongation, de chroniquer sa vie là-bas, aux États-Unis. Le cheminement qui l’a conduit à la MLS, l’éloignement, les changements d’habitudes, de culture, les petites peurs. Ce sera chaque mercredi pendant un mois. Let’s go !

"C’était un vrai choix pour moi de rejoindre la MLS. Vous le savez, j’étais en manque de temps jeu au Stade Rennais les derniers mois. C’était un choix de carrière mais aussi de vie. Quand on est de l’autre côté de l’Atlantique, en Europe, le regard porté sur la MLS peut être assez critique. Quand il y en a un. Je vous parlerai dans un prochain épisode de ce championnat, des infrastructures et de tout ce que j’ai découvert depuis que j’ai rejoint Minnesota United.

Je n’avais pas une vraie "culture US" comme on dit. Au centre de formation du Stade Rennais, et même après, je suivais la NBA mais ça s’arrêtait là. La MLS, j’en avais surtout entendu parler quand des David Beckham, Thierry Henry ou Didier Drogba l’avaient rejoint, ça m’avait interpellé, mais je regardais ça de loin.

En revanche, j’allais voir, chaque été, Romain Alessandrini lorsqu’il jouait au Los Angeles Galaxy (2017-2019). On avait joué ensemble au Stade Rennais, il était comme un grand frère pour moi. Alors je le suivais. Nos saisons étaient terminées en Europe, lui était en plein dedans. Il m’hébergeait, m’invitait à des matches, me faisait visiter la ville, une ville très, très agréable. Je pouvais concilier vacances, amis et amour du foot. L’idéal.

Ainsi, chaque été, j’avais pu mesurer la démesure des États-Unis. Là-bas, tout est plus grand, plus large, plus haut. Les gens sont accueillants, peuvent te dire dans la rue qu’ils adorent tes chaussures, discuter de tout et de rien. J’avais découvert ça. Un été. Puis deux. Puis trois. J’étais content de partir là-bas, conscient aussi de la chance que j’avais de pouvoir vivre ça dans des conditions idéales, privilégiées. Et je m’étais dit : "Un jour, pourquoi pas". Juste ça, rien de plus, parce que j’étais très attaché au Stade Rennais, que j’y progressais d’année en année. Si j’avais pu faire toute ma carrière ici et jouer, je l’aurais fait. J’avais le cœur rouge et noir.

"Je me suis posé plein de questions, un footballeur est un homme"

Donc j’étais dans cet état d’esprit. Jusqu’à l’année dernière, où j’ai très peu joué. C’était le moment de voir autre chose.

Le club de Minnesota United me suivait depuis trois saisons et était venu me voir jouer au Roazhon Park. En janvier, il était revenu à la charge, constatant que je jouais peu. Nice, un peu avant, s’était intéressé à mon cas. D’autres clubs français. Puis Minnesota, une nouvelle fois, en mars. Le mercato fermait assez tôt chez eux et ils devaient être fixés. Ça s’est accéléré ensuite. C’est un peu une phrase toute faite, vous me direz. Je vais essayer de vous raconter l’heure du choix.

 Je me suis posé plein de questions. Un footballeur est un homme, on l’oublie souvent. Les États-Unis, est-ce que ce serait un bon choix pour ma carrière ? Et pour ma vie de tous les jours, sachant que j’accorde beaucoup d’importance à mon équilibre personnel ? Et ma famille ? Et mes amis rennais, nombreux, si importants à mes yeux ? Je me suis ouvert à eux, même si je savais que la décision finale me reviendrait de toute façon. Il y avait bien sûr Bourige (Benjamin Bourigeaud), mais aussi mes amis qui ne sont pas dans le milieu du football, une majorité d’entre eux. Jérémy, Hugo, Pierre-Marie, Théo. Et puis ma mère, mon père, et beaucoup ma sœur aînée, Marie, parce que j’allais souvent les voir à Nice ou ailleurs dès qu’on pouvait profiter de trêves où de temps de repos dans le calendrier. Ils sont un peu partout en France. Ils sont de réels piliers dans ma vie.

Voilà. Je leur disais, je me disais : "Est-ce que je reste en France pour continuer ma progression ? Est-ce que je pars ? J’ai déjà 27 ans, ça passe vite une carrière. Il faut optimiser ces années-là. Je me vois encore débarquer au centre de formation du Stade Rennais en 2010 ou signer mon premier contrat pro. Le foot, c’est ma passion, je ferai tout pour ce jeu jusqu’à la dernière seconde de ma carrière, mais j’accorde aussi de l’importance à l’à-côté. Je suis très famille, très "amis". À Rennes, j’avais sans cesse l’habitude de me retrouver avec du monde, tous les jours. Voilà. Est-ce que je serai capable de partir seul ?"

J’ai essayé de ne pas me laisser emporter par les émotions. J’ai pris du recul, assez vite, de la distance pour prendre la meilleure décision.

Pour la famille, les potes, ça penchait pour l’aventure aux États-Unis, malgré la tristesse de se dire qu’on ratera des moments ensemble à court ou moyen terme. La vie, c’est des concessions. Encore que, c’est sans doute un mot trop fort parce que je partais pour vivre de ma passion, une expérience sportive et d’homme, pour apprendre l’anglais, qui me sera utile dans mon après carrière, pour découvrir, pour me cultiver. Peut-on dans ce cas parler de concessions ?

"Je crois que c’est le projet sportif, comme toujours, qui fait pencher la balance"

Le projet sportif de Minnesota m’avait séduit, au fond. Et j’avais senti un réel intérêt de la part des dirigeants et du coach de me faire venir. Je crois que c’est le projet sportif, comme toujours, qui fait pencher la balance. J’ai appelé mon agent et je lui ai dit "On y va".

Les trois semaines qui ont suivi, durant lesquelles j’ai attendu mon visa, ont été particulières. On était en plein Covid, ce qui m’empêchait de dire au revoir comme il se doit aux supporters rennais. Je devais couper mais aussi me préparer mentalement car j’allais enchaîner une deuxième saison, sans réelles vacances. Pas mal d’émotions se bousculaient : de l’envie, de l’impatience, de l’appréhension un peu, celle de changer de contexte, de pays, de culture, de langue, le petit spleen de quitter tout le monde évidemment. Et la solitude, un truc que je déteste, mais qui reste somme toute relative dans le football parce qu’on est tout de suite mis dans le bain, qu’on rencontre rapidement plein de coéquipiers et de gens. Il y avait le déménagement à anticiper. La paperasse, les résiliations. J’ai eu la chance d’être bien accompagné, et de mentalement avoir pu me décharger de cette partie.

Alors j’ai fait une grande tournée, auprès de mes proches, de ma famille, entre Rennes, Nice et Paris. Dans le même temps, je suivais un programme de préparation physique que je recevais du staff de Minnesota United, in english. La saison avait commencé là-bas, il fallait être prêt de suite.

Est arrivé le "vrai" voyage, le train au départ de Rennes pour Paris, puis l’avion. Marine (Capon, la femme de Benjamin Bourigeaud) montait elle aussi sur Paris pour des rendez-vous. Elle m’a accompagné dans le train ainsi que mon meilleur ami, Jérémy. La veille au soir, par chance, Romain Salin avait organisé un dîner chez lui avec tout le monde. C’était une belle soirée, forte en émotions parce qu’on savait qu’il allait y avoir d’autres départs que le mien. Ça clôturait bien l’aventure avec les gars.

En se quittant, je crois que je ne me rendais pas trop compte des choses. Assis dans l’avion, j’ai posté une petite photo sur Instagram. J’ai reçu une avalanche de messages de la communauté rennaise. Ça m’a beaucoup touché. Les derniers questionnements se sont invités, un peu par surprise, c’est humain. Mais non, j’étais bien arrivé au bout de l’aventure à Rennes, il fallait partir. Les États-Unis étaient devant moi, de l’autre côté de l’Atlantique. Et je me disais : "Vis cette expérience à fond". Je le prenais vraiment comme une expérience de vie.

Après le Stade Rennais, il roule pour le vélo en ouvrant sa boutique près de la gare

Sébastien Guéguen, ancien directeur de la communication et du marketing du Stade Rennais, a ouvert cet été la Vie Cyclette, un point de vente et de réparation de vélos de ville, près de la gare SNCF. Son originalité : il propose aussi de la location de flottes pour les salariés des entreprises.

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« Avec le Covid, j’ai vu la pérennisation des pistes cyclables en ville. Cela a été un déclic, je me suis dit qu’il fallait faire quelque chose. » Sébastien Guéguen, ancien directeur de la communication et du marketing du Stade Rennais a ouvert l’été dernier la Vie Cyclette, un point de vente de vélos de ville et vélos électriques, ainsi que des vélos d’occasion rénovés, près de la gare SNCF, parvis sud, à Rennes.

Le vélo, « une histoire de famille »
À 47 ans, ce nouvel entrepreneur tient à vivre de sa passion. « Je ne voulais pas rebondir dans le foot, et le vélo c’est une histoire de famille. J’ai fait un sport étude de vélo sur route, piste et cyclo-cross. Depuis très longtemps, et dès que je le peux, j’utilise le vélo pour mes déplacements, y compris professionnels ou domicile-travail. »

Après avoir quitté le Stade Rennais en octobre 2019 et s’être accordé un temps de réflexion, Sébastien s’est lancé dans l’aventure de la Vie Cyclette. Une boutique de 100 m² qui propose de la vente et de la réparation de vélos. « Je veux créer une boutique de vélos avec des produits recherchés. Je travaille avec certaines marques comme la française O2feel, marque lilloise. Leurs vélos électriques sont d’un excellent rapport qualité prix. Ils sont assemblés en France. » Des accessoires dénichés au Danemark ou en Allemagne sont aussi proposés à la vente.

Location de flottes aux entreprises
Depuis quelques mois, avec l’aide de son épouse et de Maxime, il propose la location de flotte de vélos à assistance électrique aux entreprises pour leurs salariés. Deuxième acteur rennais en la matière avec le Star, il s’adresse à toutes les entreprises, de la TPE au grand groupe en passant par la PME. « Cette alternative à la voiture de fonction est une nouvelle tendance, favorisée par la prise de conscience des entreprises de leur responsabilité sociale et sociétale. Elles sont de plus en plus nombreuses à favoriser la mobilité douce de leurs collaborateurs. Il ajoute : En application de la Loi N° 2015-992, une entreprise peut bénéficier de la réduction d’impôt pour mise à disposition d’une flotte de vélos pour les déplacements de ses salariés entre leur domicile et leur lieu de travail. Naturellement l’entreprise peut autoriser ses salariés à utiliser également les vélos pour d’autres trajets (déplacements professionnels ou privés). »

Sébastien Guéguen veut aussi faire de la Vie Cyclette un lieu de vie, « un bon coin des cyclistes où l’on peut échanger, discuter sans forcément acheter. »

La Vie Cyclette, 13 bis rue de Châtillon, parvis sud de la gare SNCF. Ouvert du lundi au samedi, de 9 h à 19 h 30. Tel : 09 82 59 84 04.

Eduardo Camavinga mal accueilli en Espagne

Eduardo Camavinga a été victime de propos racistes lors de sa présentation au Real Madrid. La télévision espagnole a ouvert une enquête.

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Arrivé en cette fin de semaine à Madrid, Eduardo Camavinga a été présenté à la presse avec son nouveau maillot. Avec la fin du mercato et la trêve internationale, le milieu de terrain n’avait pas encore eu le temps de terminer les formalités en raison de sa signature très tardive. C’est désormais chose faite, et avec le sourire. Le joueur n’a pas oublié de souligner le bon état d’esprit dans lequel il quittait son club formateur, le Stade Rennais, qui récupèrera environ 30 millions d’euros dans la transaction. Camavinga a ensuite répondu aux journalistes lors de la conférence de presse, qui a été diffusée sur plusieurs chaines espagnoles.

A cette occasion, un commentaire rebutant et raciste a fait hurler les suiveurs de la chaine RTVE. A la fin d’une question auquel l’international français répondait, une intervention d’une journaliste de la chaine a été clairement audible pour les téléspectateurs avec cette phrase glaçante : « Este tío es más negro que el traje » (« ce type est plus noir que son costume »). Des propos entendus très distinctement, mais uniquement pour les téléspectateurs, et pas par le joueur en personne. Ils n’ont en tout cas pas empêché l’autre présentateur d’enchainer pour essayer de rapidement passer à autre chose, l’intervenante en question n’ayant visiblement pas compris qu’elle pouvait être entendue à l’antenne. En tout cas, les internautes n’ont pas laissé passer ça, demandant des comptes à la chaîne espagnole.

La RTVE ouvre une enquête

RTVE s’est excusé platement, auprès de ses auditeurs et d’Eduardo Camavinga en personne. « C’est un manque de respect et ce sont des mots totalement inappropriés, surtout à la télévision publique et nous les condamnons fermement », a notamment fait savoir la chaine, qui a annoncé avoir ouvert une enquête interne afin de prendre les mesures appropriées auprès de celle qui a prononcé ces mots. La personne en question ne ferait pas partie du personne de la RTVE, mais serait une collaboratrice sollicitée pour cette émission.

Interview de François Denis

François Denis a la parole.il incarne pour moi le Stade Rennais lors de la remontée en D1 en DC avec Michel Sorin.

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Ton parcours footballistique.
J'ai commencé le football à Saint Nazaire jusqu'à 19 ans. 1er match en 4ème division à 16 ans.

Ton meilleur souvenir?
match contre Lorient pour la montée en 1ère division

Le pire adversaire?
Adversaire le plus difficile Marseille à l'époque .

Le joueur qui t'as le plus impressionné?
Sony Anderson .

Ton plus grand regret sportivement parlant?
Regret de ne pas avoir pu jouer une coupe d'Europe. Nous étions pas loin une année . Juste fais l'intertoto

La personne la plus importante dans ta carrière?
Raymond Keruzoré qui m'a donné ma chance alors que j'étais amateur .

Que deviens tu?
Je travaille à la Direction des sports de Rennes dans l'événementiel .

Quel club dans lequel tu aurais aimé jouer ?
J'aurais aimé jouer dans un club du sud-ouest .

Quelles différences entre le football d aujourd'hui et de celui de tes débuts?.
Le football est maintenant beaucoup plus médiatisé

Philippe Montanier : « Il faut se satisfaire de cette victoire et la dédier aux supporters qui ont été bien meilleurs que nous ce soir »

Relayée par Sud Ouest, la conférence de presse du match entre Pau et Toulouse (0-1) a vu deux entraîneurs aux sentiments opposés défiler. Alors que Didier Tholot était mécontent , Philippe Montanier est apparu satisfait. Même avec une petite victoire, le coach et le TFC avancent bien dans cette Ligue 2. De bon augure, pour reprendre l’expression utilisée par le technicien !

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« Je trouve qu’on avait très bien démarré et après on s’est un petit peu perdu. On a eu de bonnes séquences mais pas assez et au niveau technique on a eu pas mal de déchet qui a permis au Pau FC de continuer à y croire, on a cependant été très solides derrière. On aspire évidemment à mieux faire mais maintenant, si on gagne 1-0 les matchs quand on n’est pas très bons, c’est de bon augure. Il faut se satisfaire de cette victoire et la dédier aux supporters qui ont été bien meilleurs que nous ce soir. »

Julien Stephan revient sur ses échecs qui l'aideront à strasbourg

Nouvel entraîneur du RC Strasbourg, Julien Stephan retrouve les terrains de Ligue 1 après une expérience ponctuée de succès à Rennes, où il aura beaucoup appris.

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C'est l'une des attractions de la reprise en Ligue 1. À 40 ans, Julien Stephan débutera sa deuxième expérience sur un banc de Ligue 1, après la belle histoire rennaise. En Bretagne, l'entraîneur avait notamment soulevé la Coupe de France en 2019, atteint les 8es de finale de la Ligue Europa, et disputé les phases de poules de la Ligue des Champions. De quoi faire de lui l'un des techniciens les plus désirés de l'hexagone, et c'est le RC Strasbourg qui a finalement mis la main dessus.

Remplaçant de Thierry Laurey, le Rennais de naissance s'est confié dans les colonnes du Parisien sur son expérience du côté du Roazhon Park et sur ce qu'elle lui apportera à La Meinau : "J'ai passé 27 mois à Rennes, il y en a eu 25 de grands succès et deux plus compliqués. J'ai pu me questionner pendant cette coupure de trois mois, analyser ce qui avait marché, ce qu'on pouvait améliorer avec le staff. J'ai pris du recul sur mon travail, j'adore mon métier. Il faut être en perpétuelle réflexion, en perpétuelle remise en question, explique l'entraîneur du RCSA. Par définition, l'expérience te fait faire les choses différemment. Mais je n’en veux pas avoir de pensées négatives sur mon aventure rennaise, je n'ai pas de regrets.

Rebondissement en vue pour Ousmane Dembélé

Alors que la prolongation de Lionel Messi est proche, Ousmane Dembélé est aussi concerné par une fin de contrat. L'ailier français de 24 ans va voir son bail s'achever en juin 2022. Si les tendances n'étaient pas à la prolongation, les choses seraient sur le point de changer.
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L'histoire d'amour entre le FC Barcelone et Ousmane Dembélé est loin d'être un long fleuve tranquille. Débauché au Borussia Dortmund à l'été 2017 afin de compenser le départ de Neymar, l'ailier français n'a jamais atteint le niveau du Brésilien. Avec pas moins de douze blessures qui lui ont fait manquer 658 jours de compétition (95 matches), le natif de Vernon a aussi eu un manque d'impact et d'efficacité dans le jeu catalan. Sa dernière saison est encourageante avec 11 buts et 5 passes décisives en 44 rencontres, mais encore une fois, on reste sur notre faim.

 Arrivant en fin de contrat en juin 2022 avec le FC Barcelone, il s'est longtemps posé la question d'une prolongation. Si la volonté du FC Barcelone a depuis longtemps été orientée autour d'une extension du contrat du Français de 24 ans, ce dernier a étudié la possibilité de partir libre. Une première offre a d'ailleurs été formulée il y a quelques semaines, mais celle-ci a été refusée par le clan Ousmane Dembélé. Depuis, le FC Barcelone mettait la pression sur le joueur.

Un ou deux ans supplémentaires pour Ousmane Dembélé !
Finalement, les intérêts des différentes parties de ce dossier pourraient s'y retrouver selon les dernières indiscrétions de Sport. Alors qu'on était dans une situation fermée il y a peu, le clan Dembélé ainsi que les dirigeants du FC Barcelone se sont rapprochés. L'ancien joueur du Borussia Dortmund serait finalement sur le point d'étendre son bail selon le média catalan et un accord pourrait arriver lors des prochains jours. La tendance serait même à l'optimisme du côté de l'état-major des Blaugranas.

Ousmane Dembélé pourrait ainsi accepter une prolongation d'un ou deux ans, soit jusqu'en 2023 ou en 2024. Une belle chose pour le FC Barcelone si cela se confirme puisqu'elle ne sera pas sous le coup de voir son ailier partir gratuitement en juin prochain. Ousmane Dembélé serait d'ailleurs prêt à accepter une légère baisse de salaire. Ce qui n'est pas négligeable dans un contexte où l'heure est aux économies du côté du Camp Nou.

Arthur Sorin, ancien joueur du Stade Rennais, ouvre un bar-pizzeria

L'ex-joueur du Stade Rennais Arthur Sorin, qui a mis fin à sa carrière de footballeur, va prochainement ouvrir avec trois associés un bar-pizzeria rue de l'Arsenal, à Rennes.

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À 35 ans, il se lance dans un nouveau défi professionnel. Après avoir raccroché les crampons l’an passé, Arthur Sorin, formé au Stade Rennais, va ouvrir un bar-pizzeria rue de l’Arsenal à Rennes, à deux pas de l’hôtel de police.

Pour l’accompagner, ses amis et associés Christophe Le Loarer et Loïc Durocher, gérants du restaurant le P’tit St-Etienne mais aussi des bars le Vieux St-Etienne et le Caveau, et Julien Roquais, le pizzaïolo.

Vainqueur de la coupe Gambardella avec le Stade Rennais
Une équipe expérimentée et réputée pour entourer celui qui débute dans le milieu de la restauration. Depuis presque cinq ans, il travaillait en tant que chargé de recrutement chez Samsic, après avoir longtemps foulé les pelouses de Vannes, Sedan, Kalmar (Suède), Århus (Danemark) et dernièrement Vitré.

Sans oublier évidemment celles de la Piverdière avec le Stade Rennais, son club formateur, avec qui il a remporté la coupe Gambardella (la coupe de France pour les jeunes) en 2003, accompagné pêle-mêle par Yoann Gourcuff, Jimmy Briand, Arnold Mvuemba, Grégory Bourillon ou encore Jacques Faty.

Ouverture espérée à la fin du mois de juillet
Alors, il n’a pas eu à chercher bien longtemps le nom de l’établissement, la Roulette. Référence au geste technique dont Zinédine Zidane avait le secret mais également à l’ustensile de cuisine pour couper des parts de pizzas.

L’avancée des travaux a été retardée en raison de la crise sanitaire mais « on espère ouvrir à la fin du mois de juillet« , indique le fils de Michel Sorin, ancien joueur et entraîneur du Stade Rennais, récemment nommé à la tête de la toute nouvelle équipe des féminines.

José Mourinho ne veut pas de Steven Nzonzi ni de Javier Pastore à l'AS Rome

Le nouvel entraîneur de la Roma, José Mourinho, a dévoilé son groupe de présaison dans lequel n'apparaissent ni l'international français Steven Nzonzi ni l'ancien Argentin du PSG Javier Pastore.

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Le nouvel entraîneur de l'AS Rome, José Mourinho, a convoqué un groupe de 27 joueurs pour préparer la saison 2021-2022, dans lequel ne figure pas le milieu Steven Nzonzi. L'international français de 32 ans, prêté depuis un an et demi au Stade Rennais, est sous contrat jusqu'en 2022 avec le club italien.

Le technicien portugais ne compte pas non plus sur l'international argentin et ancien milieu du PSG (2011-2018) Javier Pastore (32 ans), très souvent blessé, ni sur Ante Coric, Federico Fazio, Justin Kluivert, Robin Olsen, Pedro et Davide Santon.

Un ancien du Stade Rennais au comptoir de ce nouveau "bar à pizza"

La Roulette, 14, rue de l’Arsenal, près de la Rotonde, ouvrira mi-juin à Rennes. Arthur Sorin, ancien footballeur formé au Stade Rennais, s’est associé avec Christophe Le Loarer et Loïc Durocher, patrons du Vieux et P’tit Saint-Etienne et du Caveau, et avec Julien Roquais, pizzaïolo.

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Si le bar le Vieux Saint-Etienne et la pizzeria le P’tit Saint-Etienne ont su séduire les amateurs de football et de pizzas, il y a fort à parier que la Roulette fasse de même. Le bar à pizzas, situé 14, rue de l’Arsenal, près de l’hôtel de police et de la Rotonde, ouvrira mi-juin.

Aux manettes, Arthur Sorin, ancien joueur du Stade Rennais, formé à Rennes, passé par Vannes (National), Sedan (Ligue 2), et dont le parcours a été marqué par huit saisons en Suède et au Danemark. À 35 ans, le Rennais a mis fin à sa carrière en juin 2020, après cinq ans en tant que défenseur à l’AS Vitré.

"Me reconvertir dans la restauration-bar me trottait dans la tête depuis longtemps, confie-t-il. Avec mes amis Christophe Le Loarer, Loïc Durocher et Julien Roquais, nous avons décidé de nous associer." Ces trois derniers sont bien connus dans le milieu des bars et de la restauration. Ils gèrent le Vieux et le P’tit Saint-Etienne, rue de Dinan, ainsi que le bar de nuit le Caveau, dans le Vieux Rennes, 1, rue de la Psalette.

Grandes pizzas à partager
Pourquoi le nom la Roulette ? "C’est un clin d’œil à l’ustensile pour pizzas et au foot : c’est une geste technique", répond Arthur Sorin. Quel sera le concept ? "L’établissement sera ouvert de 11 h à 1 h du matin (couvre-feu levé). Le midi, on proposera des pizzas et des plats au choix. L’après-midi, nous ferons bar et le soir, il y aura possibilité de partager des grandes pizzas, des planches de charcuterie et de fromage. Pour ceux qui préfèrent déguster leurs pizzas chez eux, la Roulette proposera aussi des pizzas à emporter. C’est un combiné du Vieux et du P’tit Saint-Etienne", détaille Christophe Le Loarer.

Côté déco, tout est encore en chantier, les associés refont tout de A à Z dans cette ancienne crêperie. La salle accueillera un large bar, et 30 places assises. La terrasse quant à elle pourra accueillir 40 personnes. Deux écrans seront installés en salle afin de diffuser les matchs de foot.

Coupe Gambardella
Impossible de ne pas évoquer le Stade Rennais avec Arthur Sorin. "J’ai joué avec la génération Yoann Gourcuff, Jimmy Briand, Romain Danzé, etc. Nous avons remporté la coupe Gambardella en 2003. Cela reste l’un de mes plus beaux souvenirs. On avait une très grosse équipe. Puis je suis parti en Suède pendant deux ans. On a décroché un titre de champion de Suède et une Coupe de Suède. Puis est arrivé le Danemark où je suis resté 5 ans. Entre-temps, j’ai aussi joué à Sedan, où j’ai fait la connaissance de Benoît Costil. J’ai ensuite terminé ma carrière à l’AS Vitré où mon père (Michel Sorin) fut entraîneur."

S.G.S.B.

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