Supporters et Supportrices, Peuple rennais

C’est avec une grande émotion mais aussi une immense fierté et le sentiment du travail accompli qu’il est temps pour moi de prendre mon envol pour une nouvelle aventure.

Une expérience de vie et de foot à l’étranger, avec ma famille.

Après ces 7 merveilleuses années à vos côtés, 7 années de travail acharné.

En ayant #TOUTDONNÉ du début à la fin.

Je veux que vous sachiez que j’ai pris énormément de plaisir à partager avec vous cet amour pour nos couleurs Rouge et Noir ainsi que nos valeurs : qui sont celles du Stade Rennais et d’un territoire.

J’ai pris également énormément de plaisir :

- À pouvoir effacer des blessures douloureuses du passé avec cette magnifique Coupe de France face au PSG.

- À traverser l’Europe, de Jablonec à San Siro, en Europa League, en Conference League et en Champions League pour montrer à tous ce qu’est le Stade Rennais et ses supporters.

- À partager autant d’émotions et de vibrations à travers nos performances. Avec des souvenirs qui resteront dans nos mémoires pour toujours.

Depuis 2017, le Stade Rennais est devenu pour moi bien plus qu’un club mais bel et bien une famille. Car grâce à vous, j’ai pu grandir sur le plan sportif et me surpasser sur le terrain qui m’ont amené à battre des records. Mais aussi sur le plan humain. Je pense que je n’aurai jamais assez de mots pour vous remercier de tout l’amour que ma famille et moi avons reçu durant tout ce temps.

Ma femme, mon 1er enfant Timao et moi avons grandi à travers vous.

Et nous avons même agrandi notre famille avec un 2e petit, Paolo, né à Rennes.

Alors pour ça MERCI

Et je tiens à remercier aussi les différents coachs et staffs (du staff technique au médical), les différents présidents et dirigeants, l'ensemble des salariés ainsi que la famille Pinault sans qui je n’aurais pas pu vivre cette formidable aventure.

Je resterai un fidèle supporter rennais jusqu’à la fin de mes jours. Aujourd’hui je me sens aussi bien Nordiste que Breton, Lensois que Rennais.

On ne se dit pas adieu car je reviendrai vous voir un jour.

Mais je vous dis à bientôt en vous souhaitant à tous le meilleur pour la suite

Allez Rennes

Je vous aime

BB14

Conseiller de Warmed Omari, Frédéric Guerra estime que l’OL n’a pas été honnête avec son joueur lors de son recrutement l’été dernier. Il vide son sac.

Prêté cette saison à l’OL par le Stade Rennais, Warmed Omari (25 ans) ne verra pas son option d’achat (10 M€) levée chez les Gones. Il faut dire que l’international comorien n’a jamais réellement dépassé le statut de joueur de complément, ne disputant que 4 rencontres depuis son arrivée en août.

Ils ont été très malhonnêtes
Invité de notre Talkshow OL spécial Mercato sur YouTube, son agent Frédéric Guerra a évoqué le dossier sans langue de bois, estimant avoir été floué par l’OL : "Je déplore que l’Olympique Lyonnais nous a trahi. Ils nous ont trahi au mois d’août quand l’Olympique Lyonnais est venu sur le dossier en nous disant : Il va jouer chez nous. Effectivement, il a fait deux très bons matchs de Coupe d’Europe puis il y a eu Bourgoin, sur un champ de patates, avec une équipe de Lyon qui n’avait pas faim. Après, ils lui ont fait payer le match de Bourgoin. Mais ils lui ont fait payer dès septembre. Ils nous ont roulé dans la farine. Ils avaient besoin de se rassurer en ayant un quatrième défenseur s’il y avait deux croisés par çi, trois blessés par-là, des suspendus… Ils nous ont fait croire certaines choses et là je dirais qu’ils ont été très malhonnêtes".

Un nouveau départ pour Omari cet été
Pour Warmed Omari, l’avenir va donc s’écrire ailleurs mais plus forcément à Rennes où il est encore sous contrat jusqu’en juin 2027. Frédéric Guerra nous l’assure : il y a encore de la demande pour le natif de Bandraboua et cela devrait bouger dans le bon sens le concernant : "On va remonter un peu dans le temps le concernant. A Rennes, quand il était en formation, Stéphan ne voulait pas le garder. Le club l’a fait signer un an. Ensuite Bruno (Genesio) est arrivé et ils lui ont fait une prolongation monstrueuse. Pourquoi ? Parce qu’à l’époque Luis Campos au Paris Saint-Germain avait sollicité le club et nous-même. Rennes avait pensé que c’était trop tôt mais il avait de la demande de très très haut niveau à l’époque. Après, quand ça s’est mis à boiter entre la direction et Bruno Genesio, il a trinqué. Il a aussi trinqué de beaucoup de choses ce garçon…"

Newcastle United, fort d'une qualification pour la prochaine Ligue des Champions, pourrait bien soumettre une grosse offre de 30 millions d’euros pour Arnaud Kalimuendo, selon les informations du journaliste Sébastien Vidal.

Le club anglais, déjà séduit par la saison exceptionnelle de l’attaquant rennais (17 buts en 33 matchs de Ligue 1), envisagerait de frapper vite et fort pour renforcer son secteur offensif, alors que l’avenir de Callum Wilson reste incertain.

Le Stade Rennais a donné son feu vert : Kalimuendo est libre de discuter avec d’autres clubs, une décision confirmée par le président Arnaud Pouille. Arrivé en 2022 en provenance du PSG, le buteur de 23 ans n’a jamais autant brillé, terminant troisième meilleur buteur du championnat. Sa cote a explosé, et Rennes, qui doit équilibrer ses comptes après une saison sans Europe, espère bien profiter de cette envolée.

Leverkusen en embuscade, la concurrence s’organise
Le Bayer Leverkusen n’a cependant pas dit son dernier mot. Le vice champion d’Allemagne, qui pourrait perdre Victor Boniface cet été, a également entamé des démarches pour attirer Kalimuendo. Si aucune offre formelle n’a encore été transmise au Stade Rennais, le club allemand voit en lui le profil idéal pour renforcer son attaque en vue de la Ligue des champions.

Le SRFC pourrait donc bien profiter de la forte concurrence pour Arnaud Kalimuendo pour faire grimper les enchères et toucher le jackpot.

Le Stade Rennais veut rapidement avancer sur son mercato pour permettre à Habib Beye d'optimiser la préparation estivale. Pour cela le SRFC aurait jeté son dévolu sur Rodrigo Zalazar, le milieu uruguayen de Braga, selon TeamFootball.

À 25 ans, Zalazar s’est imposé comme un leader technique et un joueur clé du club portugais, avec 8 buts et 9 passes décisives en 30 matchs cette saison. Son profil plairait visiblement à Habib Beye, qui cherche un meneur capable de guider un collectif jeune en pleine mutation. Zalazar, c’est la grinta sud-américaine, la créativité balle au pied, mais aussi une polyvalence rare : il peut évoluer en relayeur, meneur ou même ailier droit selon les besoins du coach.

Après une saison décevante, Rennes veut rebondir et miser sur un joueur d’expérience, capable de prendre ses responsabilités dans les moments chauds. Zalazar coche toutes les cases : volume de jeu, mental d’acier, expérience européenne et potentiel de revente important. Un scout portugais résume : "Zalazar, c’est du pressing, de la percussion, du mental. Il assume quand ça chauffe".

Rennes devra d'abord vendre

Toujours selon la même source, Rennes aurait déjà entamé les discussions avec l’entourage de Zalazar et se montrerait prêt à investir entre 12 et 14 millions d’euros pour convaincre Braga, qui pourrait céder sous la pression financière. Le joueur, lui, serait séduit par le projet rennais et souhaiterait relever un nouveau défi en Ligue 1. Mais attention, la concurrence s’organise : Newcastle, Leverkusen et la Lazio surveilleraient aussi de près ce milieu complet, capable de changer le visage d’une équipe.

Si on ne doute pas d'un possible intérêt du Stade Rennais pour Rodrigo Zalazar, le club breton ne fera probablement aucune offre sans avoir dégraissé son effectif préalablement. En effet, le président Arnaud Pouille a été clair à ce sujet : l'objectif pour la saison prochaine sera de tourner avec un effectif resserré de 25 éléments (gardiens compris).

Recruté l’hiver dernier, l’attaquant japonais Kyogo Furuhashi devrait déjà quitter le Stade Rennais. Parmi les clubs intéressés figure Bournemouth, qui songe aussi à Adrien Truffert.

Avant d’accélérer sur les arrivées, le Stade Rennais doit d’abord dégraisser. Avec 46 joueurs sous contrat professionnel à l’heure où nous écrivons ces lignes, le club breton n’est plus très loin de l’overdose. Pour la reprise de l’entraînement prévue le 28 juin, le staff technique ne devrait convoquer que 25 joueurs dont 3 gardiens. D’ici-là, il faut donc des départs. Six mois à peine après son arrivée du Celtic pour 12 millions d’euros, Kyogo Furuhashi (30 ans) devrait déjà quitter Rennes. Sous contrat jusqu’en 2027, l’attaquant japonais fait partie des éléments à vendre.

Recruté à la demande de l’ancien coach Jorge Sampaoli, il n’a que très peu joué sous les ordres d’Habib Beye qui lui a préféré l’émergence du jeune Kader Meïté pour densifier sa ligne d’attaque. Le joueur veut partir et garde une belle cote outre-Manche où Bournemouth, selon nos informations, s’est positionné pour connaître les conditions de sortie.

Le club anglais, 9e de Premier League, dispose d’une belle manne financière après la vente de Dean Huijsen au Real Madrid. Très attentif au marché français, il suit aussi la situation d’Adrien Truffert que Rennes souhaiterait prolonger mais dont l’envie serait plutôt de partir à un an de la fin de son contrat (2026).

Dans un entretien donné à L’Équipe, Arnaud Pouille, directeur général du RC Lens entre 2017 et 2024, actuel président du Stade Rennais, a défendu l’achat de ses anciens joueurs, Brice Samba et Seko Fofana.

Arnaud Pouille sous le feu des critiques
Interrogé sur sa volonté d’accrocher l’Europe pour contrebalancer le salaire de Brice Samba et Seko Fofana, Arnaud Pouille réfute l’idée d’un pari : "Ils arrivent parce que dans l’espèce d’enlisement dans lequel était le club, ils étaient les deux seuls noms sur lesquels Sampaoli et Frédéric Massara étaient complètement d’accord. Ce ne sont pas les hommes du président qui débarquent. On agit avec l’accord de la propriété."

Face aux critiques sur l’investissement salarial, avec un salaire qui a doublé par rapport à leur passage au RC Lens (20M€ pour Fofana, 14M€ pour Samba, à l’année), les propulsant parmi les 30 joueurs les mieux payés du championnat, Pouille se défend. "Prenez le mercato de janvier 2024 et celui de 2025. Faites les plus et les moins et voyez si le dernier était une abomination au niveau de l’investissement. On a anticipé pour la saison à venir", a t-il assuré.

Le président du Stade Rennais a aussi pris le temps de défendre ses deux joueurs sur l’aspect sportif : "Brice a ramené plus de points qu’il n’en a coûtés. Seko, c’est un autre sujet, lié notamment à la réathlétisation de joueurs de retour du Golfe, comme Jota. Il n’est pas logique qu’on mette autant de temps à réathlétiser un joueur." Avec son intervention, l’ancien directeur sportif des Sang et Or espère faire taire les critiques à son sujet, souvent associé à la flambée des salaires au RC Lens. "Ils ont dépensé comme des malades’, c’est peut-être lié à mon passé et à tout ce qui se raconte sur moi, qui est complètement bidon, j’y reviendrai un jour", a promis Arnaud Pouille.

Le Stade Rennais a décidé de prolonger le contrat de son défenseur central Jérémy Jacquet pour deux années supplémentaires, le liant ainsi au club jusqu’en 2029. Cette initiative vise à sécuriser l’avenir du joueur, particulièrement convoité par le RB Leipzig.

Jacquet, qui avait été rappelé de son prêt à Clermont durant l’hiver, a manifesté un potentiel prometteur, incitant les dirigeants rennais à agir rapidement pour garantir sa présence au sein de l’équipe. Cette décision montre l’engagement du club envers le développement de ses jeunes talents.

La prolongation de Jacquet souligne également l’ambition du Stade Rennais de maintenir une défense solide en vue des saisons à venir. En conservant ses joueurs clés, le club breton espère renforcer ses performances sur le terrain et atteindre de nouveaux sommets.

Le président du Stade Rennais, Arnaud Pouille, a pris la parole ce lundi dans l’émission Pleine Lucarne de Ouest-France.

Invité ce lundi de l’émission Pleine Lucarne de Ouest-France, le président du Stade Rennais, Arnaud Pouille, s’est confié sur les dossiers chauds qui entourent le club Rouge et Noir. Le patron du SRFC s’est notamment exprimé sur l’avenir d’Habib Beye, annonçant qu’une prolongation du technicien de 47 ans était dans les tuyaux.

"Il n’y a aucun sujet. Habib est sur une dynamique positive, sur les quatre mois qu’il a passés ici. Il a apporté de l’énergie, il n’y a aucune raison pour ne pas continuer avec lui. C’est même allé au-delà de nos espérances. Pour la mise en place d’un Djaoui Cissé, même si l’on savait tous ses qualités, il n’a pas eu froid aux yeux. Il échange positivement avec Loïc Désiré depuis la semaine dernière. Il est central dans cet espoir que l’on a. La question, c’est comment on construit autour d’Habib Beye. Des discussions pour une prolongation du coach ? Il y en a forcément. Maintenant, c’est Loïc Désiré qui va incarner le projet sportif, il a eu une discussion hyper positive avec Habib Beye."

Assignon, Truffert et Kalimuendo veulent partir
Arnaud Pouille a aussi été interrogé sur le mercato estival à venir. Le président rennais a annoncé que Lorenz Assignon, Adrien Truffert et Arnaud Kalimuendo avaient demandé à partir cet été. "Il faudra moins de contrats et plus de connaissance de la Ligue 1. L’ossature est bâtie autour des joueurs arrivés en janvier et sur les jeunes de l’Académie. Sur les joueurs qui reviennent de prêt, il y aura peut-être des bonnes surprises et gens qui méritent que l’on se penche sur eux. Certains sont déjà prévenus que l’on ne les conservera pas. On souhaite un groupe d’entraînement à 22 joueurs, plus trois gardiens. Je ne compte pas les joueurs en développement, sachant qu’il y a quelques à qui le club a promis un départ. Lorenz Assignon nous a demandé de partir. Adrien Truffert, c’est une vraie problématique, il pense que c’est l’heure pour lui de partir. Arnaud Kalimuendo nous a demandé l’autorisation de discuter avec d’autres clubs."

Après le changement de directeur sportif, le Stade Rennais a déjà déclenché les grandes manœuvres pour renforcer l'équipe d'Habib Beye. Et c'est en Allemagne que le club breton a déjà flairé le bon coup avec un jeune défenseur français.

Lorenz Assignon, jeune latéral droit du Stade Rennais, étant sur le départ pour rejoindre Stuttgart contre un montant dépassant 13 millions d'euros, le club breton ne peut pas rester le bras croisé. Nouveau directeur sportif, et donc patron du recrutement de Rennes, Loïc Désiré n'a visiblement aucun doute concernant celui qui sera à même de remplacer Lorenz Assignon au sein de l'effectif mis à la disposition d'Habib Beye. Et si Assignon part vers l'Allemagne, c'est également de ce pays que devrait venir le nouveau latéral droit du club breton. Journaliste pour Ouest-France, Guillaume Lainé révèle l'intérêt du Stade Rennais pour Kiliann Sildillia, vice-champion olympique avec l'équipe de France l'été dernier lors des JO de Paris.

Rennes a regardé les JO de Paris pour son mercato

Sous contrat avec le SC Fribourg encore un an, le latéral de 23 ans formé au FC Metz est en pole position pour venir renforcer la défense rennaise et Kiliann Sildillia pourrait rejoindre le club de Ligue 1 moyennant 10 millions d'euros. Pour l'instant, rien n'est encore fait, mais Loïc Désiré a le visiblement jeté son dévolu sur le joueur de Fribourg, et ce qui pourrait rapidement se concrétiser par une première offre de Rennes. Les grandes manœuvres commencent pour le club de la famille Pinault, après un mercato d'été 2024 qui a tourné au fiasco. En recrutant Kiliann Sildillian, le Stade Rennais reviendrait à des choix plus rationnels et moins à des paris insensés.

Steve Mandanda, à 40 ans, se retrouve à un carrefour de sa carrière. Après avoir quitté le Stade Rennais, il ne sait pas encore s’il continuera à jouer. Cependant, le gardien français a reçu plusieurs propositions intéressantes.

Il a confié au Canal Football Club qu’il a des offres pour être gardien titulaire en Ligue 1, ainsi que pour occuper un poste de numéro 2. En outre, il envisage également une possible reconversion en tant que dirigeant dans un club.

Malgré son âge, Mandanda exprime toujours un grand plaisir à évoluer sur le terrain. "Je prends encore énormément de plaisir sur les terrains et ce n’est pas négligeable. Sur ce que je peux voir et montrer à l’entraînement, je me sens encore performant."

Parmi les options qui s’offrent à lui, Lille est mentionné comme une possibilité. Toutefois, Mandanda reste incertain quant à l’issue de cette piste. "Lille ? Ça peut être une opportunité. Est-ce que ça se fera ou pas, aujourd’hui je ne peux pas le dire."

La décision de Mandanda d’être titulaire ou de prendre sa retraite n’est pas encore actée. Son avenir est en suspens, et il pèse soigneusement ses choix pour la suite de sa carrière.