• ds_2498.jpg
  • ds_3342.jpg
  • ds_1248.jpg
  • DS_0018b.jpg
  • ds_3054.jpg
  • ds_0542.jpeg
  • ds_1290.jpg
  • ds_1119.jpg
  • ds_0364.jpg
  • ds_1310.jpg
  • ds_2981.jpg
  • ds_2895.jpg
  • ds_3210.jpg
  • ds_2326.jpg
  • ds_2265.jpg
  • ds_1728.jpg
  • ds_2971.jpg
  • ds_0918.jpg
  • ds_1800.jpg
  • ds_1765.jpg

Le Stade Rennais et Jorge Sampaoli vont droit dans le mur

Le Stade Rennais, toujours en réaction et effrayant défensivement, a subi une cinquième défaite en autant de matches disputés cette année, samedi 25 janvier à Monaco (3-2). Le club breton pourrait devenir barragiste de Ligue 1 ce dimanche. Le coach Jorge Sampaoli tourne en rond avec des joueurs défaillants, mais ses choix interpellent aussi sérieusement.

Le Stade Rennais et Jorge Sampaoli vont droit dans le mur

Cela ressemble à une descente aux enfers dont on ne voit pas le bout. Ce dimanche 26 janvier, si Nantes prend au moins un point à domicile contre Lyon, le Stade Rennais, et son recrutement à plus de 100 millions d’euros, sera barragiste de Ligue 1.

Cela lui pend au nez, parce que, semaine après semaine, dans ce début d’année 2025 de grande déprime, les mêmes maux produisent les mêmes effets.

La faute des joueurs, ou de l’entraîneur ? Les deux, bien sûr. Mais franchement, on peine à voir où veut aller comme ça Jorge Sampaoli, avec cette animation à cinq dont l’efficacité est nulle, qu’il répète inlassablement, jusqu’à se fracasser contre le mur.

Le système tactique, Nagida piston droit, Fofana dans un rôle hybride, toujours meilleur quand il a reculé en deuxième période… Ses choix interpellent, on dirait même jusque dans le vestiaire, grand classique du genre aussi quand une équipe enchaîne les défaites et risque la désunion.

Des faillites individuelles incroyables
Rennes a encaissé trois buts mais aurait pu en encaisser le double, si Samba (très suspect toutefois sur le deuxième but signé Biereth à la 52’) ne s’était pas employé. Le SRFC a été dépassé par la technique et le mouvement d’une équipe de Monaco qui n’a eu qu’à se baisser pour profiter d’errements incroyables d’une équipe qui défend comme des pupilles.

Évidemment, en pareille situation, tout est indiqué pour encaisser en bonus un but venu d’ailleurs, qui fut l’œuvre d’un Akliouche de gala, ciseau dans la lucarne (15’), sur l’ouverture du score.

Sampaoli est têtu, sûrement… ou tellement peu confiant en ses joueurs qu’il n’ose pas aligner un défenseur de moins... Vu l’incapacité d’Ostigard et Hateboer (notamment) à défendre dès que ça s’accélère au sol, on peut vraiment douter aussi qu’un schéma à quatre suscite le miracle.

Mais tant qu’à faire, autant y aller gaiement et prendre des risques, comme l’a d’ailleurs suggéré Fofana en rejoignant le bus, dans un discours, disons, très tranché… « On devrait jouer avec encore plus de joueurs derrière, avait auparavant ironisé Sampaoli, quand on l’a relancé sur les critiques que génèrent ses choix. On s’est entraîné dans un système différent (en 4-3-3) cette semaine, mais on n’a pas pu le mettre en place… Le problème n’est pas sans ballon, mais quand on l’a et qu’on le perd en essayant de faire le jeu. On a eu des possessions dans des zones où on ne doit pas le perdre, et c’est là qu’on a pris des buts. On fait trop d’erreurs avec le ballon, on offre à l’adversaire l’occasion de jouer son meilleur jeu dans la transition. »

Impossible d’obtenir un résultat contre une équipe de ce calibre avec autant de légèreté derrière, avec un milieu aussi peu impactant aussi : James et Matusiwa ont vécu un calvaire hier. « On a du mal à récupérer les ballons et à faire le jeu au départ, on travaille beaucoup sur ça », assure encore Sampaoli, qui semblait quand même bien dépité dans la salle de conférence de presse du stade Louis-II.

On est toujours menacé quand on est entraîneur
La fin de mercato comme bouée de sauvetage, vraiment ? « On a exprimé nos besoins, on approche de la fin… On va voir le président demain (dimanche) et évoquer les solutions d’arrivées… » Il va en falloir, même si le remue-ménage permanent dans ce club semble fragiliser encore plus l’ensemble.

Changer, toujours, encore et encore… Et encore d’entraîneur ? Un coach qui perd est un coach dont on s’interroge sur son sort, forcément. El Pelado a dirigé dix matches depuis son arrivée, pour sept défaites, et Rennes vient d’encaisser quatre revers de rang (cinq avec le fiasco de Troyes en Coupe de France) pour la première fois depuis février-mars 2021.

Il reste sur neuf matches sans victoire à l’extérieur, du jamais vu aussi depuis 2004-2005. « On est toujours menacé quand on est entraîneur, a répondu sèchement Sampaoli sur ce thème. Mais je sens également la possibilité de faire quelque chose pour ce club, du mieux que je peux pour le sortir d’une situation difficile. » Elle est même grave, même s’il reste encore quinze matches. Strasbourg, dimanche prochain au Roazhon Park (17 h 15), se jouera à couteaux tirés.

Related Articles

S.G.S.B.

SGSB

Boutique de Mumbly

Boutique

Cantine de Mumbly

Cantine

Hébergé par

Reglyss.bzh

Free Joomla templates by Ltheme