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Tellement de bons souvenirs avec Rennes

De retour en Ligue 1, Adrien Hunou était revenu en début de saison sur son expérience au sein du championnat américain et avait évoqué son arrivée au SCO avec lequel il affronte son club formateur dimanche, le Stade Rennais.
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Moins d’un an et demi après votre départ à Minnesota (MLS), vous êtes déjà de retour en Ligue 1 Uber Eats. La France vous manquait ?
Oui, un peu tout me manquait, mes amis, ma famille. Vivre une expérience à l’étranger permet parfois de se rendre compte qu’on a beaucoup de chance d’être dans un pays comme le nôtre. Mais je ne regrette pas du tout mon passage aux États-Unis. C’était une opportunité que je voulais saisir. C’est un très beau pays multiculturel à découvrir, mais on n’est jamais mieux qu’à la maison. J’ai fait une saison pleine en 2021, où on a disputé les playoffs, avant de moins jouer la saison passée. Aujourd’hui, je suis très heureux d’avoir rejoint Angers et de retrouver la Ligue 1 Uber Eats, un championnat que je connais très bien.

Comment avez-vous vécu cette expérience en MLS ?
Comme une première expérience à l’étranger ! Cela m’a obligé à sortir de ma zone de confort. Parfois, on a des opportunités qui ne sont pas forcément les plus évidentes, mais je me sentais prêt à franchir un nouveau cap et à grandir humainement. J’avais beaucoup discuté avec Romain Alessandrini des États-Unis et c’était devenu un objectif pour moi de performer là-bas. Au final, c’était une très belle expérience à vivre.

Qu’est-ce que ce passage vous a apporté ?
C’est un championnat où tout se fait à l’énergie. Il y a des valeurs et des principes de jeu totalement différents de la Ligue 1. Cela m’a permis d’emmagasiner de l’expérience sur et en dehors du terrain. J’ai découvert une autre culture, un autre environnement, un autre contexte, une autre nourriture… C’était intéressant de pouvoir concilier la vie de footballeur, avec un projet sportif cohérent, et cet aspect de découverte en dehors du foot. Il faut savoir en profiter car une carrière passe vite.

Vous aviez donc également fait ce choix pour le projet sportif ?
Je suis toujours resté dans une logique sportive. Mon départ aux États-Unis a été vu d’une certaine manière. Les gens disaient que j’allais me faire oublier et que je partais en préretraite mais, pour avoir désormais joué en MLS, c’est un très bon championnat qui ne cesse de se développer. La vision qu’on a en France de la MLS n’est pas le reflet de la réalité. Aujourd’hui, j’ai 28 ans, je suis à un âge où je me sens au top, que ce soit physiquement ou mentalement. J’ai toujours envie de progresser, d’aider l’équipe à atteindre ses objectifs et de gagner des titres.

"J’avais besoin de m’aguerrir physiquement"

Quelles sont les principales différences entre la Ligue 1 Uber Eats et la MLS ?
En MLS, tactiquement, la gestion des temps forts et des temps faibles n’existe quasiment pas, c’est un peu plus box to box. En France, on est davantage ancré à des principes de jeu. On analyse plus le comportement de l’adversaire et on sait à quel moment on doit attaquer ou être dans la gestion. On met plus l’accent sur le fait d’être bien en place défensivement avant d’ensuite pouvoir se projeter. Là-bas, il y a plus de liberté, les matchs sont plus ouverts.

Comment viviez-vous les longs voyages qu’impose le championnat américain ?
Je confirme que c’est long ! Les déplacements sont usants et très prenants. Même si le club est un peu plus côté est, il évolue dans la conférence ouest, donc, quand on allait à Los Angeles, Portland, Seattle, il fallait partir deux ou trois jours avant le match (2448 kilomètres à vol d'oiseau entre Minneapolis et Los Angeles par exemple). Après, les mises au vert étaient totalement différentes par rapport à la France. C’est-à-dire que je n’étais pas obligé de rester à l’hôtel. La MLS nous donne de l’argent pour pouvoir manger et se retrouver entre joueurs ou profiter avec nos amis et notre famille, tout en restant dans une logique sportive d’avant-match. Je trouvais ce côté, où on devait se prendre en main, très intéressant. Cela me permettait aussi de pouvoir découvrir des villes.

La préparation d’avant-match était donc différente…
En France, on est un peu plus assisté, plus derrière nous, les repas se font avec le groupe. Là-bas, c’est une tout autre approche. Par exemple, à domicile, il n’y a pas de mise au vert, il faut arriver au stade une heure et demie avant le match et, qu’on soit à l’hôtel ou chez nous, il faut se faire à manger. Encore une fois, cela demandait une prise de conscience et de responsabilité que j’ai trouvé très intéressante.

Avez-vous la sensation d’avoir une palette plus complète après cette expérience ?
Complétement ! Là-bas, j’ai joué seul en pointe, un poste qui n’est pas le mien habituellement, mais j’avais besoin de m’aguerrir physiquement. Il fallait que je devienne un peu plus dur dans mon jeu. En me retrouvant à ce poste, j’ai dû apprendre à davantage prendre la profondeur pour créer des espaces, à plus garder les ballons dos au jeu, à mettre un peu plus les bras, me servir de mon corps et à mieux me situer dans la surface. Le championnat de MLS m’a beaucoup servi sur ces points, donc, oui, je suis plus complet. Après, là où je suis beaucoup plus épanoui, c’est au milieu de terrain ou derrière l'attaquant dans un 4-4-2.

Le titre en Coupe de France restera inoubliable et toujours dans mon cœur
Avant de rejoindre Minnesota, vous avez évolué plus de 10 ans au Stade Rennais. Quels sont les plus beaux souvenirs qui vous reviennent en tête ?
J’en garde de tellement bons souvenirs, de mon arrivée au centre de formation jusqu’à mon départ… Il y a l’épopée en Europa League lors de la saison 2018/2019, où on passe les poules, on bat le Bétis Séville en seizième de finale avant d’être éliminé par Arsenal. L’ambiance avait été incroyable lors du huitième de finale aller (victoire 3-0 du Stade Rennais). Puis, la Coupe de France (2019), forcément. Elle était tant attendue par tout le monde. Pour moi qui ai été formé au club, cette communion avec les supporters était indescriptible. En plus, c’était face au Paris Saint-Germain, au stade de France, et ça, c’était d’autant plus fort. Ce titre restera inoubliable et toujours dans mon cœur.

Vous allez justement croiser le Stade Rennais cette saison. Avez-vous déjà coché la date de votre retour au Roazhon Park ?
Forcément ! J’attends avec impatience le week-end du 30 avril. C’est obligatoirement une date que j’ai regardée quand le calendrier est sorti. Je serai très heureux d’y retourner et de retrouver les copains, mais j’ai changé d’équipe et je vais tout faire pour qu’Angers gagne à l’aller, le week-end du 23 octobre, et au retour.

Rennes a terminé quatrième lors de la saison écoulée. Quel regard portez-vous sur son évolution ?
Je ne suis pas surpris par ces bons résultats. Ça fait déjà plusieurs saisons que le Stade Rennais s’inscrit dans une belle logique, avec une participation constante à une Coupe d’Europe. Il y a une certaine continuité, des infrastructures favorables et des moyens qui permettent de progresser chaque année. J’espère que le club va continuer sur cette voie, car il a tout pour réussir de belles choses.

Vous avez évoqué un peu plus haut votre positionnement. À quel poste devez-vous évoluer pour exprimer la plénitude de votre talent ?
Il y a beaucoup de gens qui me collent cette étiquette d’attaquant. Mais, je le répète, je ne suis pas attaquant ! Je ne vais pas marquer plus de 15 buts par saison. J’ai le sens du but, oui, j’aime me retrouver dans des zones libres, où, certes, je peux atteindre la barre des 10 buts, mais je suis un joueur qui joue derrière un attaquant ou au milieu de terrain. J’ai cette capacité à pouvoir répéter les efforts, à gratter des ballons, à savoir me situer entre les lignes et à organiser le jeu. Mon poste est davantage au centre du terrain. J’ai besoin d’avoir des joueurs autour de moi, de pouvoir combiner avec mes coéquipiers et d’avoir le jeu face à moi.

"Numéro 8, c’est vraiment le poste qui me convient le mieux"

Quels entraîneurs ont réussi à vous utiliser de manière optimale ?
Il y a eu Corinne Diacre ! Lors de mon deuxième prêt à Clermont (2015/2016), j’avais fait une saison pleine au milieu de terrain dans un rôle de numéro 8 (7 buts et 6 passes décisives en 33 matchs de Ligue 2 BKT). On jouait en 4-3-3 avec un six et deux pointes hautes. Je pouvais venir chercher les ballons et organiser le jeu. Je pense que c’est vraiment le poste qui me convient le mieux. Ensuite, il y a également eu Sabri Lamouchi et Julien Stéphan. Je me sentais à l’aise dans leur 4-4-2, où je tournais autour de l’attaquant. C’est une position où je peux me situer plus proche du but et me montrer plus décisif. C’est le deuxième poste où je peux le mieux m’exprimer.

Gérald Baticle va-t-il vous installer à l’un de ces deux postes ?
Ça fait partie des sujets importants que j’ai évoqués avec le coach avant ma venue à Angers. Je ne me voyais pas arriver pour jouer au poste de neuf, comme lors de ma deuxième saison à Minnesota, où le coach me demandait de vraiment rester collé aux défenseurs. Je veux retrouver un poste où je peux m’épanouir, car j’ai envie de pouvoir pleinement apporter ma pierre à l’édifice. Quand on ne joue pas à son poste, on ne peut pas donner le meilleur de soi-même. Au début de la préparation, j’ai joué mon premier match au milieu de terrain, où je me suis senti très à l’aise, puis j’ai enchaîné sur un côté, où c’est un peu plus compliqué. C’est un poste où je n’ai pas mes repères, où il faut percuter. Ce n’est pas vraiment un poste pour moi. Après, il faut savoir élargir sa panoplie, répondre à plusieurs systèmes et aux attentes du coach. Je ne suis pas fermé, mais ce n’est pas là où je vais être le plus performant.

À quoi ressemblerait une saison réussie pour vous ?
Tout d’abord, collectivement, il faut qu’on réussisse une bonne saison. Car le plus important, c’est qu’on se maintienne ! On sait qu’il y a quatre descentes, donc ça va forcément être très compliqué. Chaque point va être important. Ensuite, j’espère réussir à me fondre dans le collectif, bien m’entendre avec mes coéquipiers, prendre du plaisir sur le terrain et en donner aux supporters. Il faut réussir à garder une bonne dynamique et continuer à jouer vers l’avant en gardant notre structure d’équipe tout au long de la saison.

Vous n’avez jamais joué le maintien depuis le début de votre carrière. Comment l’appréhendez-vous ?
C’est sûr que c’est une autre approche. Mais j’estime qu’en tant que footballeur, on se doit d’avoir cette capacité d’adaptation. Forcément, qu’on joue le haut de tableau ou le maintien, c’est totalement différent. On sait que c’est d’autant plus usant et prenant de jouer sa survie. Parfois, on se dit même que ça ne doit pas être évident au quotidien, mais il faut le vivre pour savoir réellement ce que c’est. Je me tiens prêt !

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