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Le journaliste de l’AFP, Arman Soldin, mort en Ukraine mardi 9 mai 2023, a vécu à Rennes dans sa jeunesse - portant même un temps les couleurs du Stade Rennais.
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Journaliste reporter d‘images pour l’AFP, Arman Soldin a été tué mardi 9 mai lors d‘une attaque de roquettes près de Tchassiv Iar dans l’est de l’Ukraine. Né à Sarajevo, le coordinateur vidéo de 32 ans avait grandi à Rennes - fréquentant notamment les bancs du lycée Saint-Martin. "Je me souviens bien de lui quand il est arrivé en seconde, c’était un très bon élève", raconte un ancien professeur.

Fan de football, il avait également porté les couleurs du Stade Rennais entre 2006 et 2008. Sur les réseaux sociaux, le club a posté un message pour honorer sa mémoire. "L‘ensemble du club adresse ses sincères condoléances à la famille et aux proches d’Arman", écrit le SRFC. "Passionné des Rouge et Noir, il avait porté nos couleurs de 2006 à 2008 en U13 et U15".

Nombreux hommages
Parmi les nombreux hommages publiés depuis hier, il y a également celui de Nathalie Appéré la maire de Rennes qui a adressé ses condoléances à sa famille et à ses proches. "Arman Soldin est mort sous les bombes russes en Ukraine alors qu’il faisait son métier de journaliste. Il avait grandi à Rennes. Des pensées solidaires pour sa famille, ses proches et ses collègues". Le président du conseil départemental d‘Ille-et-Vilaine, Jean-Luc Chenut, lui a également rendu hommage.

Le troisième gardien du Stade rennais a vidé son casier au centre d’entraînement, ce mardi 9 mai. En accord avec ses dirigeants, il a été décidé qu’il terminerait la saison avec l’équipe réserve.
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C’est un sujet qui a agité les dernières heures à Rennes (6e de Ligue 1). Alors que le club breton, toujours en course pour accrocher un ticket européen, ne traverse pas sa meilleure période, un événement surprenant est venu bousculer le quotidien des hommes de Bruno Genesio en ce mardi 9 mai. Tout s’est passé dans la matinée. Mécontent du visage de son équipe à Nice samedi dernier (défaite 2-1), l’entraîneur rennais a réuni son groupe avant l’entraînement. Il aurait tenu un discours mobilisateur, rappelant sa confiance envers ses joueurs tout en les mettant face à leurs responsabilités. Jusqu’ici rien d’anormal.

C’est à la sortie du terrain que les membres de l’équipe ont constaté le départ d’un des leurs : Romain Salin. Sans qu’on ne lui demande de le faire, a priori, le troisième gardien dans la hiérarchie derrière Mandanda et Alemdar aurait vidé son casier selon plusieurs sources concordantes. Ce départ précipité a surpris plusieurs de ses partenaires. Joint par nos soins, le portier de 38 ans n’a pas souhaité faire de commentaire.

C’est plus tard dans l’après-midi qu’il a été décidé, en accord avec ses dirigeants, que Salin terminerait la saison avec l’équipe réserve. Le joueur souffre de ne pas jouer davantage (aucun match cette saison) et l’aurait exprimé à sa direction. Il s’entraînera avec le groupe de National 2 ces prochains jours.

Grâce à la victoire du Real Madrid (2-1) face à Osasuna samedi en finale de Coupe du Roi, Eduardo Camavinga a désormais remporté tous les trophées possibles avec le club espagnol, à seulement 20 ans et en l'espace de deux saisons.
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En l'espace de deux saisons avec le Real Madrid, Eduardo Camavinga a déjà tout gagné avec un club espagnol. Samedi, la formation merengue s'est imposée face à Osasuna (2-1) en finale de Coupe du Roi, offrant au joueur français le dernier trophée possible qu'il était en mesure de gagner avec son club.

Arrivé en provenance de Rennes au Real Madrid en août 2021 contre 31 millions d'euros, hors bonus, Eduardo Camavinga a déjà remporté six trophées avec le club madrilène. Pour sa première saison, précieux dans son rôle de joker, il réalisait le triplé Ligue des champions-Liga-Supercoupe d'Espagne.

Le Real Madrid peut encore conserver son titre en Ligue des champions
Le 10 août dernier, le Real Madrid commençait sa saison en battant l'Eintracht Francfort en finale de Supercoupe d'Europe. Puis, l'équipe de Carlo Ancelotti a dominé Al-Hilal le 11 février pour décrocher la Coupe du monde des clubs. Il ne manquait donc plus que la Coupe du roi sur la scène nationale pour que la collection soit complète pour Camavinga.

Cette saison, Eduardo Camavinga a confirmé les attentes placées à son sujet, participant à 52 rencontres toutes compétitions confondues. Si le Real Madrid ne sera pas en mesure de conserver son titre en Liga, il peut toujours ajouter un nouveau titre en Ligue des champions. La demi-finale aller aura lieu mardi face à Manchester City au Santiago Bernabeu.

Présent lors de la dernière Coupe du monde, où il a été reconverti en latéral gauche par Didier Deschamps, Eduardo Camavinga a néanmoins échoué avec les Bleus en finale face à l'Argentine. Au vu de sa polyvalence et de ses prestations, difficile d'imaginer qu'il puisse louper le wagon pour l'Euro 2024 sauf blessure. Il faudra attendre également pour le voir ajouter la Ligue des nations à son palmarès puisque la France n'est pas qualifiée pour le prochain Final Four.

Sous contrat jusqu’en juin 2025 au Stade Rennais et prolongé en début de saison, Bruno Genesio (56 ans) va bien rester en Bretagne la saison prochaine. Après avoir démenti des tensions avec son directeur sportif Florian Maurice, le technicien français souhaite poursuivre l’aventure au SRFC.

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Comme indiqué par L’Equipe, l’ancien coach de l’OL, approché pour un nouveau départ à l’étranger, ne bougera pas de Rennes, et ce quel que soit l’issue de la saison. Qualifié ou non pour l’Europe, le club breton pourra donc miser sur la continuité. Le quotidien précise, par ailleurs, que Genesio devrait également être plus impliqué dans le processus de recrutement…

Après avoir longuement réfléchi à son avenir, l'entraîneur restera à Rennes quoi qu'il arrive, avec la confiance d'un club misant sur la stabilité et la nécessité de s'améliorer dans le recrutement.
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Alors qu'il lui reste deux ans de contrat à Rennes, qui l'avait prolongé en début de saison, Bruno Genesio a eu, dernièrement, une approche intéressante concernant la suite à donner à son avenir. Ceci peut expliquer cette période où il semblait interrogatif, fin mars-début avril, quand son équipe patinait et qu'une autre aventure pouvait se profiler, notamment à l'étranger. Cet épisode est derrière lui. Quoi qu'il arrive, et même si l'Europe n'était finalement pas au bout du chemin, il poursuivra à Rennes et le club breton ne le lâchera pas, privilégiant la continuité d'un banc assez mouvant en 25 ans d'ère Pinault (13 changements).

Parfois, les entraîneurs ont sauté dans un club plus grand (Halilhodzic au PSG, Bölöni à Monaco) quand le plus marquant, Julien Stéphan (Coupe de France et huitièmes de finale de Ligue Europa 2019), était parti de lui-même, ce qu'il a regretté récemment. En mars 2021, Genesio lui succédait et réalisait la saison la plus emballante sur le plan du jeu en 2021-2022 (101 buts marqués toutes compétitions confondues), avec l'éclosion de Martin Terrier.

Genesio (56 ans) a un profil qui colle bien à Rennes, valorisant la formation, exigeant et souple, posé et ambitieux, même s'il a beaucoup plus de mal à piloter son équipe depuis janvier et la grave blessure de son attaquant, notamment. Ici et là, il a souligné des carences (agressivité, inexpérience, vice, maturité, fragilité mentale, coups de pied arrêtés), qui se rejoignent et renvoient parfois au recrutement.

« On n'est pas aussi largués qu'on veut bien le dire »

Bruno Genesio, entraîneur de Rennes

D'ailleurs, la stabilité, celle de son association avec un jeune président, Olivier Cloarec (49 ans), et son ami directeur sportif, Florian Maurice, ne sera pas synonyme d'immobilisme, le but étant de rester dans le haut du pavé avec une équipe plus intense et plus enthousiaste dans l'état d'esprit. Genesio aura globalement plus de prise sur la constitution de l'effectif après un mercato estival 2022 qui n'a pas été géré de façon optimale, quand on se souvient notamment qu'il a fallu trouver un défenseur central fin juillet quand le départ de Nayef Aguerd était acté depuis des mois, le club ayant lambiné sur la piste Kim Min-jae. Avec l'expérience, le trio tâchera de se montrer plus efficace et d'identifier plus efficacement les profils selon les besoins. Il faudra notamment refonder le milieu et définir une défense axiale plus stable.

Pour l'heure, Rennes n'a pas non plus perdu toutes ses qualités, notamment dans l'animation offensive. Si l'équipe de Genesio a lâché assez tôt sa quête de podium, elle peut encore finir septième comme quatrième puisque les autres prétendants ont aussi des trous d'air. L'ancien coach de l'OL sait que sa formation marche au coup par coup : elle peut être incapable de marquer, être solide puis friable, efficace pour transpercer les défenses.

Le Stade Rennais arrive à Nice dans un moment où il est plus libéré à la maison et plus en difficulté à l'extérieur. Jeudi, le technicien cherchait à stimuler ses troupes : « J'observe qu'on a 56 points après 33 journées, comme l'an passé. Que disait-on alors ? Que c'était très satisfaisant. On a le même nombre de points, le même nombre de buts encaissés, juste moins de buts marqués. » Et presque le même nombre de revers (11, contre 12 la saison passée). « Et on était troisièmes, des équipes tournaient moins forts, ajoutait Genesio. Évidemment, on est conscients que la deuxième partie de saison n'est pas ce qu'on aimerait qu'elle soit, mais on n'est pas aussi largués qu'on veut bien le dire. »

Rester européen sans Terrier serait une performance, et si ce n'est pas le cas, Genesio avait indiqué que ce serait un échec personnel. Mais qui ne l'empêchera pas d'avancer encore avec Rennes.

Le départ de Lionel Messi ne fait plus aucun doute pour le PSG, qui doit maintenant se mettre en quête d’un successeur à l’Argentin. Le profil d’Ousmane Dembélé, sous contrat avec Barcelone jusqu’en 2024, fait l’unanimité au sein de l’état-major du club parisien.

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Suspendu deux semaines par le Paris Saint-Germain en raison de son voyage non-autorisé par le club en Arabie Saoudite, Lionel Messi ne prolongera pas son contrat en faveur du club parisien. Son départ à l’issue de la saison est désormais acté, ce qui va permettre à Luis Campos et à Nasser Al-Khelaïfi d’anticiper sur le dossier de la succession de l’Argentin. Avec ce mouvement d'importance, le PSG sera dans l’obligation de recruter du lourd en attaque afin d’épauler Kylian Mbappé et probablement Neymar en attaque la saison prochaine, même si le board parisien rêve toujours de se délester du Brésilien et de son salaire XXL.

En attaque, plusieurs pistes sont connues de tous de Randal Kolo-Muani à Marcus Thuram en passant par Victor Osimhen ou encore Harry Kane. Mais comme indiqué par Saber Desfarges en début de semaine, le PSG vise également un attaquant de couloir. Et selon les informations du site El Nacional, un certain Ousmane Dembélé fait l’unanimité au sein de l’état-major parisien. Le média rappelle que le contrat de l’international tricolore arrivera à échéance en juin 2024 et qu’à partir de cet été, sa clause libératoire va chuter de moitié en passant de 100 millions d’euros à 50 millions d’euros.

Le PSG rêve d'une attaque avec Mbappé et Dembélé
A ce prix, une telle recrue est une aubaine pour le Paris Saint-Germain, qui courtise l’ancien attaquant du Borussia Dortmund depuis plusieurs saisons. Le PSG a par ailleurs un argument de taille pour convaincre Ousmane Dembélé en la personne de Kylian Mbappé puisque les deux hommes sont très proches et entretiennent une excellente relation sur et en dehors du terrain en Equipe de France. De quoi pousser le joueur révélé au Stade Rennais vers un retour en région parisienne, ce qui le tenterait fortement. Avec Mbappé d’un côté, Dembélé de l’autre et un futur avant-centre tel que Kolo-Muani ou Osimhen, le PSG pourrait se bâtir une attaque de feu qui n’aurait plus grand-chose à voir avec celle composée en partie des vieillissants Neymar et Messi. Reste maintenant à voir si ce transfert sera possible mais Luis Campos est sur le coup.

Habitué à recruter les talents de Ligue 1, Monchi a l’intention de faire honneur à sa réputation lors du prochain mercato. En se tournant une nouvelle fois vers la France, et Rennes plus précisément.

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Ces dernières années, Monchi, le directeur sportif espagnol du FC Séville, est devenu l’un des grands spécialistes en Europe pour piocher en Ligue 1 afin de constituer son effectif. Jules Koundé, Lucas Ocampos, Tanguy Kouassi et tant d’autres ont été recrutés par le directeur sportif andalou en provenance des clubs français. Et cela risque de continuer lors du prochain mercato puisque selon les informations de Todo Fichajes, l’homme fort du FC Séville cible deux joueurs du Stade Rennais. Le premier n’est autre que Loïc Badé, prêté cette saison par le club breton à Séville et qui réalise plutôt une saison correcte.

Deux joueurs de Rennes dans le viseur de Séville
L’actuel 11e du championnat espagnol dispose d’une option d’achat à 12 millions d’euros pour le recruter définitivement à la fin de la saison et selon le média, il fait peu de doute que Monchi lèvera cette option d’achat. Todo Fichajes dévoile par ailleurs que le FC Séville cible un second joueur au Stade Rennais, mais le dossier sera plus difficile à mener à terme. Lesley Ugochukwu, régulièrement titularisé par Bruno Genesio au milieu de terrain, a également les faveurs du dirigeant espagnol qui cherche activement un successeur à Fernando.

Le profil du milieu de terrain rennais plait beaucoup en Espagne, mais le contrat d’Ugochukwu à Rennes court jusqu’en 2025, ce qui signifie que Séville devra passer à la caisse pour rafler la mise. Estimé à seulement 8 millions d’euros par le site spécialisé Transfermarkt, le milieu de Rennes ne devrait pas être bradé par sa direction et ne partira certainement pas en-dessous de 10 à 15 millions d’euros. Il faut dire que son profil est susceptible de plaire ne Premier League, où des clubs ont déjà investis des sommes plus importantes pour des joueurs aux caractéristiques similaires.

Trois ans de prison ferme ont été requis ce jeudi à Nancy contre l'ancien footballeur professionnel du RC Lens, Tony Vairelles, jugé en appel depuis mardi avec trois de ses frères pour des violences à la sortie d'une discothèque en 2011. La décision a été mise en délibéré au 6 juillet.

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Tony Vairelles sait ce qu'il risque. A l'issue du délibéré ce de jeudi, Bernard Marchal, le substitut du procureur général de l'affaire de l'ancien footballeur professionnel du RC Lens, a requis les mêmes peines qu'en première instance pour tous les protagonistes : de un à trois ans de prison ferme pour les frères Vairelles, et trois à quatre mois d'emprisonnement avec sursis pour les trois vigiles de la boîte de nuit.

Sans omettre les "séquelles physiques et professionnelles" des uns et des autres, le parquet s'est attaché à souligner "les certitudes du dossier". Soit "trois personnes blessées par balle dans un laps de temps très court" : Carlos Di Napoli a reçu une balle dans le ventre, son frère Baldassare deux balles dans les mains, et leur collègue Peter Gerdum a été blessé à la cuisse. "On sait que c'est à l'occasion de l'affrontement entre les frères Vairelles et les frères Di Napoli que les balles ont été tirées, il n'y a pas de doute", a souligné Bernard Marchal.

Tony Vairelles est accusé d'avoir tiré sur des vigiles
Le clan Vairelles met lui en avant la thèse "d'un mystérieux tireur, qui aurait pris leur défense sans que personne ne le voie", interroge encore M. Marchal. "Aucune arme n'a été retrouvée sur les lieux. Cependant, on sait, en raison du calibre des balles retrouvées, qu'au moins deux tireurs ont agi", a ajouté ce dernier.

Mettant en avant les personnalités des différents protagonistes, "bagarreurs" pour les Vairelles "selon les propos rapportés de certains membres de leur famille", et en face "des agents de sécurité, qui en 15 ans de métier n'ont jamais eu une seule condamnation", le parquet conclut que les premiers ont pour "mode de fonctionnement un comportement clanique", qui les a amenés à se faire "justice privée" sur les vigiles.

Tony Vairelles et ses frères ont été accusés d'avoir ouvert le feu et blessés les trois vigiles sur le parking d'une discothèque d'Essey-lès-Nancy (Meurthe-et-Moselle) en octobre 2011. L'ancien joueur a toujours clamé son innocence. Emprisonné cinq mois au début de l'instruction, il a été condamné en première instance, en mai 2022, pour "violences en réunion, avec préméditation et avec arme" à cinq ans de prison, dont deux avec sursis.

Alors que le mercato estival approche de plus en plus, le Stade Rennais s'intéresse à un crack de Ligue 1 pour renforcer son effectif.

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Le SRFC n'a pas encore dit adieu à l'Europe
Malgré une prestation très laborieuse face au SCO, le Stade Rennais est parvenu à s'imposer 4-2, et reste toujours à la lutte avec le LOSC pour espérer finir à la cinquième place en fin de saison. Actuellement, les Rouge et Noir sont à trois points des Dogues, et il reste encore 5 matches de championnat.

Le prochain rendez-vous pour les hommes de Bruno Genesio aura lieu dès samedi avec un périlleux déplacement à Nice. En grande difficulté cette saison à l'extérieur, le SRFC n'aura pas d'autres choix que de s'imposer, sous peine de voir le LOSC se détacher de manière quasi définitive. Si la qualification européenne est primordiale sur le plan sportif, elle est également déterminante en ce qui concerne l'aspect financier.

La direction rennaise aura besoin de renforcer son effectif, et une rentrée d'argent est donc nécessaire. En attendant de savoir si l'objectif du club sera atteint, Florian Maurice explore déjà quelques pistes.

Le SRFC surveille Dion Lopy
En pleine progression sous l'impulsion de Will Still avec le Stade de Reims, Dion Lopy fait partie des joueurs rémois qui devraient être convoités l'été prochain. Avce 26 matches de championnat disputés cette saison, leur jeune milieu de 21 ans s'est imposé comme un véritable taulier de l'équipe champenoise, et a d'ores et déjà taper dans l'oeil du Stade Rennais.

En effet, si l'on en croit les informations de Foot Mercato, les dirigeants rennais auraient coché le nom de Dion Lopy en vue du prochain mercato estival afin de renforcer le milieu de terrain breton. Toutefois, la source indique qu'un autre club de Ligue 1 serait également à l'affût pour le milieu rémois.

Le Stade Rennais est en train de vivre une saison mouvementée. Après un début de saison prometteur, les Bretons traversent une période difficile et l'entraîneur Bruno Génésio pourrait bien être remplacé à la fin de la saison. Cependant, il y a déjà un entraîneur qui fait les yeux doux au club breton : Julien Stephan.

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Ce week-end, le Stade Rennais a remporté une victoire convaincante (3-0) contre le Stade de Reims de Will Still. En plus d'avoir pris six points sur leur adversaire du soir, Rennes reste en contact avec Lille et n'a que deux points de retard.

De quoi espérer jouer une Coupe d'Europe la saison prochaine. Mais si l'équipe ne se qualifie pas pour l'Europe, il est peu probable que Bruno Génésio reste à la tête du club.

Julien Stephan regrette sa décision de démissionner en 2021 alors qu'il était entraîneur du Stade Rennais. Il explique avoir été trop précipité dans sa décision et avoir pris les choses trop à cœur lors d'une période difficile pour l'équipe.

Il réitère son amour pour le club breton et ses supporters et ne serait certainement pas contre un retour s'il devait y avoir une opportunité. En effet, si Bruno Génésio venait à partir à la fin de la saison, Julien Stephan pourrait être considéré comme un candidat potentiel pour prendre sa place.

La nouvelle répartition en Ligue 1 profite aux clubs qui s’illustrent dans les coupes d’Europe.
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A compter de cet exercice 2022-2023, la répartition des droits de l’audiovisuel, pour les clubs de la Ligue 1 évolue. Pas en profondeur, mais un nouveau critère entre en jeu que celui des droits internationaux. Dans un sujet dédié avant le début de saison, le syndicat Foot Unis détaille la nouvelle méthodologie, au demeurant plus profitable aux clubs tels que le PSG, l’OM, l’AS Monaco, l’OL ou le RC Lens, l’OGCN ou le Stade Rennais, qui sont régulièrement, pour ne pas dire tout le temps pour le premier, qualifiés en coupes européennes.

PSG, OM, ASM, OL, RC Lens… Une nouvelle grille qui leur est profitable
La nouvelle formule dépend toutefois du montant total de l’enveloppe à redistribuer aux clubs. Jusqu’à 700 millions d’euros brut de droits domestiques (et jusqu’à 6,5 M€ de l’international), la répartition est « classique », avec une base fixe commune à toutes les équipes (30% du total), la licence club 20%), le classement sportif à 30%, dont 25% pour la saison en cours et le reste des performances sur cinq ans, et la notoriété, enfin, qui vaut 20% du total. Sur ce dernier critère, le PSG devance pour cette saison l’OM, l’OL, le LOSC et l’AS Monaco.

Motiver les clubs français à redresser l’indice UEFA du pays
Entre 700 millions et un milliard brut et plus de 6,5 millions d’euros des droits internationaux, l’argent de cette tranche est ainsi réparti : 40% pour le classement sportif de la saison en cours, 10% sur les cinq ans révolus et les 50% restants de la notoriété, mesurée sur le nombre de diffusion en horaires premium, sur les cinq derniers exercices. A plus de 6,5 millions d’euros, les droits internationaux, jusqu’alors inscrits dans la part dite de la notoriété, reposent désormais sur les performances européennes des clubs, que quatre ans révolus (jusqu’à la prochaine saison 2023-2024), puis trois ans, à compter de l’exercice suivant. Ce critère vise notamment à récompenser les clubs qui contribuent le plus à l’indice UEFA des clubs français. Une manière peut-être de plus les motiver à s’engager totalement dans les compétitions continentales, autres que la très enviée Ligue des champions.

Pour cet exercice 2022-2023, cette seule partie concerne dix équipes : le PSG en premier, suivi de l’Olympique Lyonnais, du Stade Rennais FC, du LOSC Lille, de l’Olympique de Marseille, l’AS Monaco FC, l’OGC Nice, le RC Strasbourg Alsace et le Stade de Reims

À six mois du lancement de l'appel d'offres sur les droits de la Ligue 1, la chaîne cryptée semble se préparer à s'en séparer. La Ligue, elle, prospecte.
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La scène se déroule fin janvier, dans un restaurant italien à Paris. Maxime Saada, président de Canal+, et Vincent Labrune, patron de la Ligue et de la nouvelle société commerciale chargée de commercialiser les droits de la Ligue 1, se sont salués avant leurs déjeuners respectifs. À la fin du repas, en partant, le premier lance au second, toujours attablé : « Tu me laisses la note, comme d'habitude ? »

Une allusion à peine voilée aux 332 M€ payés par sa chaîne pour deux matches par journée de L1, somme qu'il récuse depuis le deal signé entre Amazon et la Ligue en juin 2021 (*).

(*) 250 M€ pour huit matches par journée, dont le top 10 de la saison.

Les rires fusent et Saada s'éloigne. Pierre-Antoine Capton, célèbre producteur télé, président de Caen (L2) et ami proche de Labrune, était l'invité de Saada ce jour-là. Il se souvient : « Leur rencontre était un pur hasard. Vincent déjeunait avec le président de Lens (Joseph Oughourlian). La réplique était drôle et ne m'a pas surpris. Maxime a beaucoup d'humour... »

Le rêve du milliard
À l'automne prochain, le ton devrait être plus sérieux lorsque la Ligue présentera un nouvel appel d'offres pour les droits de diffusion du Championnat, a priori pour la période 2024-2028. Pour l'heure, Labrune en garde les contours secrets. Il faut dire que l'enjeu est grand.

Son objectif est connu du milieu : le milliard d'euros par saison pour les droits nationaux (663 M€ aujourd'hui) et internationaux. Avant de viser les 1,8 milliard d'euros en 2028, le montant qu'il a cette fois publiquement affiché l'été dernier, après la signature du deal avec CVC (1,5 Md€ alloué contre 13 % des parts de la filiale commerciale de la LFP).

Pour atteindre de tels niveaux, le patron de la Ligue a nommé un DG à la tête de la société commerciale, Benjamin Morel, ex-patron du Tournoi des Six Nations, passé par la NBA, en poste depuis le 27 mars. Martin Aurenche, en charge des acquisitions de droits pour beIN Media Group depuis 2011, vient lui aussi d'être recruté. Il s'occupait notamment de la revente des droits de la L1 à l'étranger, gérée par beIN depuis 2012...

Et la LFP compte justement sur une sérieuse hausse de leur montant pour parvenir à ses fins. Le contrat actuel ne rapporte que 80 M€ par an à la Ligue française alors que la Liga espagnole en touche dix fois plus.

Les Gafam comme solution ?
Labrune pense pouvoir intéresser les acteurs mondiaux comme Apple... Sauf que le géant américain vient de lancer son passe sur la MLS (le Championnat nord-américain) au prix exorbitant de 13,99 € par mois en France.

Pas vraiment de quoi séduire le consommateur européen... Apple envisagerait pourtant de se tester directement sur le Vieux Continent avec des droits premium. La marque à la pomme a recruté en 2020, comme directeur des sports, James DeLorenzo, qui avait initié pour Amazon, en 2019, le premier deal avec Roland-Garros et dont la priorité serait aujourd'hui la Premier League (l'appel d'offres doit être lancé prochainement...). Mais la Ligue pense néanmoins avoir des arguments pour la séduire.

Par ailleurs, Amazon, qui vient de renouveler ses droits sur le tournoi du Grand Chelem français jusqu'en 2027, souhaite prolonger l'aventure en L1. On murmure que l'Américain pourrait même formuler une offre globale pour les droits nationaux et internationaux... mais pas à n'importe quel prix.

Le possible intérêt de la plateforme suédoise ViaPlay, récemment lancée aux États-Unis et qui avait tenté de s'offrir la Premier League en 2021 pour le marché français, n'a pas non plus échappé à la Ligue.

Chez Canal, politique de la « désintox »...
Elle doit en revanche composer avec le contexte actuel du football professionnel de l'Hexagone. Entre la cinquième place de la France à l'indice UEFA menacée par les Pays-Bas, après un parcours raté des clubs français en Coupes d'Europe cette saison, et les possibles départs des stars du PSG comme Lionel Messi, Neymar voire Kylian Mbappé, le produit Ligue 1 a déjà été plus attractif.

Par ailleurs, la Ligue ne peut se contenter de miser sur les seuls Gafam (Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft) et doit continuer d'intégrer les acteurs traditionnels pour espérer faire monter les prix.

Sauf que les opérateurs télécoms, grands contributeurs des années 2010, désertent désormais l'industrie des contenus pour concentrer leurs investissements sur le développement de la fibre et de la 5G.

À l'instar de SFR, qui maintient RMC Sport a minima, ou BT, qui a vendu BT Sport à Warner Bros Discovery au Royaume-Uni... Discovery justement, propriétaire d'Eurosport, doit aussi réaliser des économies. Sa présence, en force, sur l'appel d'offres de la L1 semble donc très peu probable. Free souhaiterait poursuivre son aventure sur le quasi-direct mais en revoyant le tarif à la baisse (42 M€ par saison actuellement).

Restent les historiques diffuseurs du Championnat, beIN Sports et Canal +. Le premier est désormais totalement dépendant du second, qui gère toute sa distribution contre 250 M€ par saison. Ravi d'être enfin rentable via ce contrat conclu jusqu'en 2025 (plus cinq années renouvelables), le groupe franco-qatarien ne souhaiterait plus investir d'importants montants sans garanties financières de son partenaire.

Or Canal + poursuit sa cure de « désintox » de la Ligue 1. Depuis l'été 2021, le groupe a prolongé la Premier League - cette fois en exclusivité - jusqu'en 2025, s'est offert toutes les Coupes d'Europe, dont la nouvelle formule de la Ligue des champions à partir de 2024, a prolongé la F1 et la moto jusqu'en 2029 et doublé sa production-acquisition de documentaires sport.

Canal a aussi poursuivi sa politique d'agrégation des plateformes avec la distribution récente de Paramount + après celles de Netflix et Disney +, et avec l'arrivée imminente (20 avril) d'AppleTV + et celle espérée de Prime Video. Les accords avec le cinéma français et les studios américains ont également été renouvelés. De quoi permettre à la chaîne cryptée de montrer qu'elle réduit sa dépendance à son droit sportif historique.

...et une rancune tenace
En coulisse, la direction de Canal, après avoir tout fait pour éloigner de son antenne premium la Ligue 1, scruterait même avec attention le jour où l'audience du Top 14 (très bien exposé) devancera celle de la Ligue 1. Ses multiples procédures judiciaires engagées sans succès contre la Ligue n'ont pas non plus arrangé la donne.

Canal + a longtemps espéré obtenir une forme de compensation... qui n'est jamais venue. Alors, malgré les blagues, la rancoeur semble tenace. Si on ne peut affirmer totalement que la chaîne cryptée ne sera pas de la partie à l'automne prochain, on peut néanmoins dire que sa présence sonnerait pour la première fois comme une véritable petite surprise.

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