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Florian Maurice, le directeur sportif rennais, a indiqué qu'Hamari Traoré, en fin de contrat mais avec une proposition de prolongation de deux ans entre les mains, rendrait sa décision cette semaine.
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Ce lundi en fin d'après-midi, le président rennais Olivier Cloarec et le directeur sportif Florian Maurice ont fait le point sur la saison du club, qui s'est terminée en beauté (4e, qualification pour la Ligue Europa), et évoqué la suite. Avec ou sans Hamari Taroré ? C'est le sujet brûlant du moment.

Assignon "a envie de jouer"
Le latéral droit et capitaine rennais (31 ans), au club depuis 2017, est en fin de contrat. Le club lui a soumis une proposition de prolongation de deux ans qui ne semblait pas à la hauteur de ce qu'il attendait jusqu'à ce dénouement de la saison. "Une décision sera prise dans la semaine, c'est du 50-50, c'est dans les mains d'Hamari, a indiqué Maurice. C'est un top joueur, un super joueur, après il y a une réflexion sur un individu et un joueur et une réflexion du club qu'on doit avoir également car derrière, j'ai un jeune joueur (Lorenz Assignon) à qui je trouve énormément de potentiel, qui aura 23 ans cette année et qui a envie de jouer, donc on réfléchit aussi sur la possibilité de promouvoir un joueur qui, je pense, a les qualités pour jouer à ce poste-là".

"Donc, c'est une situation qui est très compliquée, car on a un joueur expérimenté, d'un très bon niveau et un autre joueur qui a un potentiel pour moi incroyable qu'on a envie aussi d'exploiter, a poursuivi Maurice. C'est tout une réflexion qu'on a en tête depuis plus d'un an. Hamari, on a tellement de respect envers ce qu'il a fait ou ce qu'il fera encore qu'on lui laisse l'opportunité entre guillemets de prendre son temps et d'avoir un délai de réflexion."

Vincent Labrune s’est fixé un objectif très ambitieux pour le montant des prochains droits TV de la Ligue 1, dont l’appel d’offre sera lancé à la rentrée.

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En septembre prochain, la Ligue de Football Professionnel lancera les appels d’offre pour les droits télévisuels de la Ligue 1 à compter de la saison 2024. Le flou demeure sur la participation de Canal + et d’Amazon, actuels diffuseurs du championnat de France, à ce nouvel appel d’offre. Du côté de la LFP en revanche, l’optimiste règne. Dans une interview accordée au journal L’Equipe, le président de l’instance Vincent Labrune a fait savoir qu’il espérait une somme avoisinant le milliard d’euros pour l’appel d’offre de la rentrée avant d’atteindre 1,6 milliards d’euros à l’horizon 2027.

Une ambition totalement assumée par l’ancien président de l’Olympique de Marseille dans les colonnes du quotidien national. "Avec CVC, on travaille depuis septembre dernier sur l'appel d'offres qui sera lancé cet automne, vraisemblablement en septembre. On est relativement sereins. Notre objectif est 1,6 milliard d'euros de revenus annuels en 2027. Le vrai objectif pour la L1 est celui-là" a détaillé Vincent Labrune, avant de poursuivre.

Vincent Labrune voit grand pour la Ligue 1
"Pour celui-là (l’appel d’offre de la rentrée), on s'en tient au plan d'affaires élaboré en compagnie de CVC avec des revenus audiovisuels globaux (domestiques et internationaux) aux alentours du milliard d'euros. On vise aux alentours du milliard d'euros, même si le contexte macro-économique et financier est délicat. C'est peut-être un peu optimiste mais on a une marge de progression importante sur l'international. En France, c'est un peu plus compliqué, surtout quand l'acteur majeur, Canal+, ne souhaite pas participer. Mais on travaille, on voit des gens" a indiqué Vincent Labrune. Le président de la LFP se veut relativement optimiste sur le montant des droits télévisuels de la Ligue 1 pour les saisons à venir. Et cela malgré le flou total au sujet de la participation de Canal +, acteur majeur des droits TV du championnat de France depuis des années et qui a été très vexé par la gestion des droits depuis les épisodes Covid et Médiapro.

Promue en Ligue 2 la saison prochaine, l’US Concarneau va s’attacher les services d’un directeur sportif. Celui-ci pourrait être Christophe Le Roux.
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Après une saison historique en National avec à la clé une montée et un titre, l’US Concarneau évoluera la saison prochaine en Ligue 2. Une arrivée dans le monde professionnel qui oblige le club finistérien à se structurer davantage et suffisamment rapidement pour préparer déjà l’exercice à venir.

Une personne de confiance
À ce titre, les dirigeants concarnois devraient rapidement nommer un directeur sportif pour épauler Stéphane Le Mignan. "Un responsable de recrutement va être recruté, nous confiait l’entraîneur de l’USC, vendredi. Une personne de confiance. Cela va me permettre de davantage me concentrer sur la partie terrain. Je me suis occupé du recrutement ces trois dernières saisons en National, mais ce n’était plus envisageable en Ligue 2. C’est un aspect qu’on avait déjà évoqué avec le président qu’on matérialise afin de franchir un palier car on est une structure technique assez courte quantitativement. Là, on va pouvoir avancer."

Au FCL de 2014 à 2022
Cette personne pourrait être Christophe Le Roux. Selon nos informations, le Morbihannais de 54 ans serait la priorité des dirigeants concarnois qui souhaiteraient en faire leur directeur sportif pour la saison à venir.

Une fonction que l’ancien joueur professionnel breton a occupée au FC Lorient de 2014 à 2022. Outre une filiation technique avec Stéphane Le Mignan, ce dernier dispose également d’un solide réseau. Chez les Merlus, Le Roux avait été à l’origine de quelques "gros coups", à l’image des venues, notamment, d’Armand Laurienté ou encore de Terem Moffi.

Les discussions entre les deux parties, toujours en cours, pourraient déboucher en ce début de semaine.

Le championnat de National 2 a rendu son verdict. Voici l'identité des vingt-deux formations reléguées en National 3 à l'issue de la saison 2022-2023.

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Le championnat de National 2 a rendu son verdict ce samedi 3 juin ! À l'issue d'une saison redoutée par tous, la quatrième division hexagonale connaît désormais les vingt-deux formations reléguées en National 3. Pour rappel, outre les cinq relégations par groupe, les deux moins bons onzièmes toutes poules confondues sont également envoyées à l'étage du dessous.

Les vingt-deux équipes reléguées

  • Groupe A : Chartres**, Vannes, Stade Rennais B, SM Caen B, Evreux***
  • Groupe B : Stade de Reims B, Sainte-Geneviève, FC Metz B, ASM Belfort, US Lusitanos Saint-Maur, Olympique de Saint-Quentin
  • Groupe C : FC Sète, AS Saint-Priest, Olympique Lyonnais B, Canet-Roussillon, Louhans-Cuiseaux, Aubagne
  • Groupe D : Vierzon FC, Moulins-Yzeure, Stade Bordelais, FC Nantes B, FC Lorient B

* Bien qu'il ait pris fin sur les terrains ce vendredi 26 mai, le championnat 2022-2023 n'a pas totalement terminé pour autant ... les procédures en cours ainsi que les passages des clubs de quatrième division devant la DNCG, le gendarme financier du football français, créé une véritable incertitude pour le dénouement de la saison.

** Rétrogradation en R1 prononcée par la DNCG en plus de la relégation sportive.

*** Exclusion de l'équipe première des compétitions nationales.

Le directeur sportif rennais Florian Maurice a fait le point sur la saison rennaise avec le président Olivier Cloarec, lundi. Ravi d'avoir décroché la quatrième place, il ne s'est pas privé d'épingler les critiques qui l'ont heurté cette saison.
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Bruno Genesio avait fait le bilan de la saison rennaise, voilà un an, après avoir assuré la quatrième place à Lille (2-2). Lundi, en fin d'après-midi, c'était au tour du président Olivier Cloarec et du directeur sportif Florian Maurice, après la quatrième place arrachée à Brest (2-1), samedi, qui a de nouveau qualifié Rennes pour la Ligue Europa, quand Lille et Monaco ont lâché.

La pression retombée, Maurice était à la fois comblé par un dénouement final qui a notamment validé son recrutement et en rogne contre ceux qui ont questionné ce recrutement ou constaté des insuffisances en cours de saison, une drôle d'idée. Dans sa ligne de mire, les médias, les critiques lues ici et là durant le printemps, de Twitter à L'Equipe. "On a atteint l'objectif, donc je suis très content, ça se voit non ?, a-t-il lancé, très contrarié. Je suis très fier de ce qu'on a fait, grâce à nous, personne d'autre, grâce à nous, au groupe qu'on a, au groupe qu'on a composé, ceux qui ont peu joué, ceux qui n'ont pas joué, ceux qui ont tout joué, staff, tout le monde, donc très fier de ça, encore plus que la saison passée. On a un groupe très fort. Je vous ai entendu : manque d'expérience, pas de caractère, pas tout ça, aujourd'hui on est là, ils ont montré qu'ils en avaient, il ne faut pas l'oublier."

Le bilan est clairement positif. Rennes s'est rétabli de façon spectaculaire, sur la fin, malgré tous ses blessés depuis janvier, a battu son record de points, et reste la quatrième force française, malgré douze revers et en terminant quand même à 16 points de Lens. "On y a cru, il n'y a qu'à l'extérieur qu'on n'y croyait pas", a appuyé Maurice. "On entend les critiques mais elles ont peut-être été un peu exacerbées", a ajouté Cloarec. "Je vous ai trouvé très sévères, même méchants parfois, certains se prenant pour des entraîneurs, pour des directeurs sportifs, pour des recruteurs, ce n'est pas votre métier", a repris Maurice.

"Vous avez le droit de critiquer, on a le droit d'être critiqués, mais pas semaine après semaine, franchement, j'ai trouvé que c'était disproportionné, certains ont eu des jugements hâtifs. Les bilans, on les fait à la fin de saison. J'ai vu un bilan à la 29e journée, ça sert à quoi ?" C'était chez nous, et c'était plus un sujet sur les choix de recrutement de Maurice depuis trois ans, avec ses réussites et ses déceptions. Mais en tout cas, en s'imaginant un adversaire, les médias, ou peut-être en corrigeant des défauts pointés aussi par les médias, Rennes a su s'élever.

Au terme d’un match héroïque à Brest et surtout d’un sprint final remarquable, les Rouge et Noir ont décroché une quatrième place aussi inespérée que méritée. Analyse.
Le Stade Rennais jouera la Ligue Europa la saison prochaine après avoir terminé 4e de Ligue 1, à l’issue d’une folle dernière journée et d’une fin de saison ébouriffante et haletante. C’est historique car c’est la 6e fois de suite, c’est jubilatoire pour les supporters du club
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On n’a toujours que ce qu’on mérite

Cela pourrait ressembler à une pièce de théâtre : ils partirent 5es et finirent 4es, pour regagner les beaux rivages de la Ligue Europa, alors qu’ils n’avaient plus connu cette position depuis la 19e journée.

Si cette qualification inespérée incite au lyrisme, elle ne doit pas seulement aux défaillances grandiloquentes, elles aussi, de Lille à Troyes et de Monaco depuis son élimination en Coupe d’Europe. On ne bat pas son record de points (68 contre 66 l’année dernière) par hasard. Si la saison a été compliquée, chaotique parfois, elle va prendre place, comme la précédente au rayon des plus belles de l’histoire du club. Mais dans un registre différent. « Je dirais que sur la saison, c’est mérité, estime Bruno Genesio. Face à toutes les difficultés qu’on a eues à surmonter, on ne s’est pas plaint. Lorsque vous avez six joueurs blessés entre trois et huit mois, dont votre meilleur joueur, votre meilleur buteur, il faut avoir beaucoup de qualités d’abord et une sacrée force de caractère. »

Cela s’est concrétisé jusqu’à la 95e minute de cette 38e journée, où les Rouge et Noir ont dû ferrailler contre des Brestois qui leur menaient la vie dure. D’où aussi cette magnifique explosion de joie au coup de sifflet final.

Une fin de saison exceptionnelle

Quatre victoires de suite, cinq en six matches. Le Stade Rennais vient de réaliser une fin de saison remarquable, retrouvant la régularité qui le fuyait depuis sa série record de l’automne de 17 matches sans défaite. Après la Coupe du monde, les hommes de Genesio ne sont parvenus qu’une fois à enchaîner deux victoires avant ce sprint. C’était en février, contre Clermont et Nantes.

Évidemment, Rennes a surtout battu des équipes de bas de tableau. Oui, mais encore faut-il le faire quand Lille, son concurrent direct à la qualification, tombait à Angers et concédait le nul à Troyes. Rien n’est anodin.

Et le 5-0 à Ajaccio a sans doute aidé à construire la victoire contre Monaco, en gonflant la confiance des attaquants redevenus prolixes et de la défense à la solidité retrouvée. Avant cette série de quatre matches, au lendemain de la défaite à Nice, Rennes pointait à huit points de Monaco et trois de Lille.

Quatre victoires plus tard, le SRFC devance Monaco de trois points et Lille d’un point.

Genesio bien évidemment

C’est un faiseur d’Europe. Quatre qualifications avec Lyon, en voilà une troisième avec Rennes. Bruno Genesio a un truc que les autres n’ont pas. Le tacticien a su se remettre en question, revenir au 4-3-3, replacer Bourigeaud dans le cœur du jeu, relancer Majer, fixer Gouiri à gauche, se passer de Theate puis le relancer…

C’est aussi un manager hors-pair. Ainsi sa comparaison des trois derniers matches à un enchaînement quart, demie et finale s’est avérée bénéfique pour motiver son groupe, puisque cela s’achève en apothéose. Du management de haut vol, que ne renierait pas son idole en la matière, un certain Carlo Ancelotti.

Âge d’or

Il n’y a désormais plus aucun doute, nous vivons actuellement la plus belle période de l’histoire du Stade Rennais, n’en déplaise aux nostalgiques. Avec six qualifications européennes de suite et une Coupe de France, le club est entré dans une nouvelle sphère. Et cela sans Martin Terrier. Vivement la saison prochaine, que Rennes retrouve son meilleur joueur pour rêver plus grand encore.

S’il n’est pas encore terminé, le programme estival du Stade Rennais se dessine avec un stage en Angleterre et cinq matchs amicaux, dont Concarneau (L2) et Brest (L1).
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Les Rennais de Bruno Génésio commenceront leur préparation estivale le 7 juillet 2023. Il n’y aura pas de stage traditionnel à Dinard. Le groupe restera à la Piverdière pour les premières semaines de travail, avec l’idée d’un stage "de cohésion" plus tard, en Angleterre. Du 1er au 5 août, ils seront à Saint George’s Park, situé à Burton upon Trent, le « Clairefontaine anglais » et y affronteront deux clubs anglais.

Cinq matchs amicaux
Le Stade Rennais effectuera cinq matchs amicaux entre le 7 juillet et le 12 août, date de la reprise de la Ligue 1. Il y aura un Rennes - Concarneau (L2) mais la date comme le lieu ne sont pas encore arrêtés.

Rennes - Brest aura ensuite lieu le 26 juillet, à Dinan, avant la venue de West Ham, le 29 juillet au Roazhon Park. Enfin, Rennes fera deux matchs outre-Manche. Le premier adversaire reste à définir pour un match le 2 août. Enfin, la conclusion de la préparation se fera face au Stade Molineux de Wolverhampton le 5 août.

Pour suivre le dernier match de la saison entre Brest et Rennes, décisif dans la course à l'Europe, un écran géant sera installé samedi soir sur la pelouse du Roazhon Park.
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Pour assister à la rencontre, il faudra toutefois réserver gratuitement sa place via le site de la billetterie qui ouvrira jeudi à 14h. La jauge sera fixée à 4.500 places.

Ce dimanche 28 mai, la LFP et Kipsta, la marque football de DECATHLON, ont dévoilé les ballons officiels 2023-2024 de la Ligue 1 Uber Eats et de la Ligue 2 BKT lors de la cérémonie des Trophées UNFP. Ils sont de conception identique aux ballons officiels 2022-2023. On retrouve les douze panneaux thermocollés spécifiques à ces ballons et leur qualité de trajectoire. Néanmoins, ils affichent de nouveaux designs inspirés des sons du football et des reliefs de l’Hexagone.

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La version 2023-2024 du ballon officiel de la Ligue 1 Uber Eats revêt les couleurs dark blue et vert lime de la compétition. Le tout rehaussé par un rose électrique. Les formes graphiques colorées ont été étendues. Elles sont magnifiées par des diagonales -caractéristiques du logo de la Ligue 1 Uber Eats, ondulées, qui rappellent des vibrations sonores. Les sons du football (chants des supporters, frappe de balle, claquement des crampons sur le sol, ballon effleurant un filet…) apparaissent ainsi avec discernement et incarnent cette expérience immersive universelle qui parle à chaque fan de football. Les noms des champions de France, comme un hommage à l’héritage passé, restent annotés sur le ballon, répartis selon leur zone géographique sur le territoire national.

Prêté par le Stade Rennais à Stuttgart depuis le début de la saison, Serhou Guirassy (27 ans) a inscrit 11 buts en 22 matches de Bundesliga. Un rendement qui a convaincu l’écurie d’outre-Rhin de lever l’option d’achat de 9 M€.

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"Le VfB Stuttgart a décidé de lever l’option d’achat de Serhou Guirassy. L’international guinéen de 27 ans jouera les barrages pour le maintien de son équipe en Bundesliga face à Hambourg demain et lundi. Bonne continuation Sehrou", indique le SRFC. Guirassy s’est engagé avec la formation allemande jusqu’en juin 2026.

Alors que le Stade Rennais joue son avenir européen à Brest samedi prochain, une bonne nouvelle pourrait tomber concernant la Coupe d'Europe.

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Le Stade Rennais pourrait prendre la place de Toulouse en Ligue Europa
Le malheur des uns fait le bonheur des autres. Cette expression bien connue de la langue française pourrait bientôt prendre tout son sens en ce qui concerne le Stade Rennais et le Toulouse FC. Qualifié d'office pour la phase de poules de l'Europa League grâce à sa victoire en Coupe de France face à Nantes le 29 avril dernier (5-1), le Téfécé n'est pas encore certain de pouvoir la disputer.

En effet, le club toulousain est détenu par le même fond d'investissement que le Milan AC, et cela pourrait poser un sérieux problème. Comme l'explique l'article 5 du réglement de l'UEFA, deux clubs détenus par le même actionnaire ne peuvent disputer une même compétition européenne. Et même si le pensionnaire de Serie A est officiellemment qualifié pour la Ligue des Champions, il pourrait être reversé en C3 et donc rejoindre potentiellement le Toulouse FC.

Face à cette situation, L'Équipe explique que c'est l'UEFA qui va devoir trancher entre les deux clubs pour savoir qui ira en Coupe d'Europe l'an prochain, et pour le moment la balance penche du côté des Rossoneri. Si cela venait à se confirmer, et que le Toulouse FC n'était pas en mesure d'être européen, cela pourra avantager de façon considérable le Stade Rennais.

Toujours selon le quotidien sportif, le 5e de Ligue 1, en l'occurence le Stade Rennais pour le moment, prendrait la place du Téfécé en Europa League. De ce fait, le 6e du championnat de France, initialement privé de compétition européenne, disputerait la C4.

Le SRFC va jouer gros à Brest
En attendant de savoir de quoi sera fait l'avenir européen du Téfécé, le Stade Rennais doit avant tout assurer l'essentiel samedi prochain. En déplacement au stade Francis Le Blé, les Rouge et Noir doivent absolument s'imposer pour valider leur qualification européenne. Il faudra également scruté le résultat du LOSC afin de déterminer si les Rennais termineront 4es ou 5es de Ligue 1.

En quête d’un gardien, En Avant Guingamp songe sérieusement à Benoît Costil. À bientôt 36 ans, il voudrait retrouver la Bretagne. Rennes et Concarneau songeraient également à lui.
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En fin de contrat à Lille et après avoir joué les 19 matchs premiers matchs de Ligue 1 cette saison avec Auxerre, Benoît Costil pourrait rebondir en Bretagne. Le gardien international français (une sélection) est notamment dans le viseur d’En Avant Guingamp qui s’est mis en quête d’au moins un gardien puisque Dominique Youfeigane ne sera pas prolongé.

Quant à Enzo Basilio, son portier N.1, auteur d’une grosse partie face à Niort, vendredi, il demeure sous contrat jusqu’en 2024 mais son avenir à l’EAG s’écrit en pointillé.

Attaché à la Bretagne
Désireux de se renforcer avec un gardien expérimenté, le club breton lorgne donc sur le Caennais de naissance, qui fêtera ses 36 ans le 3 juillet et dont le CV dit beaucoup du vécu avec notamment 407 matchs de Ligue 1 à son actif sous les couleurs du Stade Rennais, de Bordeaux, d’Auxerre ou encore du LOSC.

De son côté, le joueur reste très attiré par la Bretagne où, en dehors de Rennes, il a également joué à Vannes, alors en Ligue 2, sous les ordres d’un certain Stéphane Le Mignan (saison 2008-2009). Il est par ailleurs propriétaire d’une maison dans le Morbihan. Ces dernières saisons, il a plusieurs fois été question de sa venue à Lorient. Mais cet été, d’autres clubs de la région pourraient concurrencer En Avant sur ce dossier, qu’il s’agisse de Concarneau (Ligue 2), entraîné par Le Mignan et où Costil a des attaches, voire du Stade Rennais, qui songe à lui comme doublure de Steve Mandanda.

Libre de tout contrat en juin, Yann M’Vila s’est confié à Goal sur ses envies pour la saison prochaine, pour laquelle il souhaite retrouver un nouveau challenge, avec si possible une coupe d’Europe à jouer.

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À 32 ans, Yann M’Vila a connu maintes expériences depuis son départ de Rennes, en 2013. Du Rubin Kazan à l’Inter Milan, de Sunderland à l’Olympiakos en passant par Saint-Etienne, le milieu de terrain a joué dans plusieurs championnats, et sort d’une saison pleine en Grèce.

"Aujourd’hui, je veux un challenge, je suis animé par ça et je suis prêt à donner beaucoup plus que ce que les gens peuvent imaginer pour vivre ça." confie t-il à Goal. "Quand j’arrive dans un club je donne tout pour ce club. Je n’ai sûrement pas toujours été bon mais je n’ai jamais triché ."

"Aujourd’hui avec mon vécu, j’aimerais bien aider et je pense que je peux aider pas mal de clubs sûr et en dehors du terrain." poursuit plus loin M’Vila, prêt à choisir un projet européen ou non. "Même une équipe qui n’a pas réussi à atteindre son objectif d’Europe League ou de Ligue des champions, je me sens capable de les aider à y aller."

"Je suis open et à l’écoute de chaque proposition." résume enfin le joueur formé au SRFC, qui ne se dit pas fermé à l’idée de rejoindre un championnat comme l’Arabie Saoudite non plus. À Rennes, Yann M’Vila a disputé 150 matchs, inscrit 4 buts et délivré 6 passes décisives.

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