Le Stade Rennais, qui travaille sur son recrutement offensif, a accéléré aussi pour un renfort au milieu de terrain. Selon nos informations, il va accueillir Mahdi Camara, pierre angulaire du milieu de Brest, qui était aussi convoité par Nice. Un contrat de 4 ans et un transfert autour de 8 millions d’euros ont été ficelés dans la nuit de ce mardi 12 août à mercredi 13 août. Dans l’autre sens, Jordan James devrait rejoindre Parme en Italie.
C’est un dossier séduisant, compte tenu du pedigree du joueur, pièce maîtresse du Stade Brestois et auteur de deux dernières grosses saisons en Finistère.
Mahdi Camara (27 ans) avait un bon de sortie pour services rendus, et il figurait en haut de la liste des renforts potentiels du Stade Rennais au milieu de terrain. Le club Rouge et Noir a sacrément accéléré sur ce dossier dans la journée de ce mardi 12 août, et a travaillé très tard dans la nuit pour conclure le transfert avec Brest, après avoir obtenu l’accord du joueur, comme indiqué par RMC.
Selon nos informations, un contrat de 4 ans est finalisé, un transfert autour de 8 millions d’euros aussi. Le joueur va rapidement arriver à Rennes pour passer sa visite médicale.
Jordan James se rapproche de Parme
Nice espérait pourtant enrôler Camara, semblait avoir de l’avance et négociait avec Brest. Les Aiglons n’avaient pas le problème de Rennes, qui espérait d’abord dégraisser encore (Kamara, James) au milieu avant de recruter. Pour l’instant, les deux joueurs cités sont toujours là, mais toujours selon nos informations, Parme a accéléré les discussions pour James, et les deux clubs seraient proches d’un accord.
Camara était enclin à rejoindre la Côte d’Azur, mais était très sensible aussi à l’intérêt de Rennes, qui peut évidemment s’aligner financièrement. Il souhaitait être rapidement fixé, et a tranché devant l’insistance de l’état-major rennais et du coach Habib Beye.
Rennes a été plus convaincant aussi que Nice auprès de Brest, pour arriver à la somme demandée par le club finistérien. Il faut dire que Ineos, le propriétaire de Nice, est moins prêt à délier les cordons de la bourse que la famille Pinault, propriétaire du SRFC. Le dossier a été réglé à une vitesse grand V.