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Le Stade rennais, c’est un club que je supporterai toujours

Après une décennie passée au Stade rennais, Arnaud Tattevin quittait la Bretagne il y a un an et demi. Arrivé à Avranches cet hiver, l’attaquant prometteur du SRFC, en quête de temps de jeu, a choisi un nouveau challenge en National. Entretien avec un joueur au parcours atypique.

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Comment es-tu arrivé au Stade rennais ?
J’étais à Saint-Jacques, et une fois on a gagné contre le Stade rennais, j’avais mis trois buts. Thierry Doisneau m’avait invité à faire des entraînements. J’ai intégré le Stade rennais l’année suivante, à 10 ans. A cet âge, c’est très loisir, il n’y a pas de mauvais état d’esprit, je ne me prenais pas trop la tête. La compétition a commencé en U15 je dirais, en préformation. On était 15-20 et on est passés à 9. Tu entres un peu plus dans la formation, dans le grand bain.

Tu étais demi-pensionnaire, ça influe forcément sur ta formation ?
C’était pas mal de rentrer chez moi tous les jours. J’avais des coéquipiers venant de loin, c’était un peu plus dur pour eux. Ça me faisait du bien d’avoir un bol d’air frais tous les jours, avec mes parents. C’est important, mais ça peut être une bonne chose aussi de partir et de se concentrer sur le foot. A certains moments, je pense que j’étais un peu trop chez moi, trop proche de mes amis et de ma famille. Il y a eu plus de relâchement je pense.

Tu fais partie de la grosse génération 2000 arrivée au Stade rennais…
Oui, on a dû rentrer au centre de formation à 18 joueurs je crois. C’était spécial car on était beaucoup et il y a eu un fossé entre les joueurs en avance et ceux qui l’étaient moins. Certains s’entrainaient plus haut, d’autres avec leur catégorie. C’était une génération de bons joueurs. Certains avaient un déficit athlétique, par exemple Lorenz Assignon qui a été plus performant quand il a eu sa croissance.

Quand on parle de toi, on dit souvent que tu étais un de ceux sur qui le club a le plus misé. Est-ce que tu l’as senti ?
Oui, à partir des U15 surtout. J’étais le premier à jouer en réserve, premier à signer stagiaire, j’étais un peu en avance à ce moment. Sur le moment c’était bien car je me montrais en réserve à 16 ans, mais comme tout est arrivé vite, je pense que je me suis reposé sur mes acquis. Le football ne va pas toujours comme on veut. Il y a des hauts et des bas, et je pense que j’ai mal géré les bas. J’étais chez moi, je me renfermais sur moi-même, et je pense que je ne me suis pas assez mis dans le dur pour surmonter tout ça. Mon problème c’était que j’étais très irrégulier. Je pouvais être fort pendant 2-3 matchs, et après faire un match horrible. C’étaient les montagnes russes. Je pense que la maturité joue aussi, de savoir se faire mal, travailler davantage. Je me donnais aux entraînements, mais je ne me surpassais pas.

Tu l’as réalisé sur le moment, ou plus tard ?
Ça, je me le dis après coup. On m’a beaucoup parlé, les coachs, les directeurs de centre. Je me suis un peu voilé la face. J’ai compris tard, la dernière année au Stade rennais. Il y a eu un certain électrochoc un jour de Gambardella en 2019. On a perdu, et je n’ai plus joué en réserve par la suite. Ça a été un tournant, une prise de conscience, je pense. Je me suis dit qu’il allait falloir que je travaille. L’été suivant j’ai pris un préparateur physique, j’ai bossé, je me suis affuté. Je suis revenu en juin avec la patate. Deux semaines après, je me fais rupture des ligaments de la cheville, sous plâtre, forfait pour 5 mois. En plus quelques semaines après mon retour, je me fais l’autre cheville. Je reviens finalement en février 2020, je fais 4-5 matchs, puis il y a eu le covid. Confinement, et fin de saison.

Le national, c’est un tremplin

Comment s’est passée la fin de ton aventure au Stade rennais ?
C’était une période un peu bizarre. Les entraînements se sont arrêtés, et quand ils ont appris que la saison n’allait pas reprendre, ils ont commencé à faire les programmes de la saison suivante. En avril, j’ai reçu un appel du directeur du centre de formation (Denis Arnaud, ndlr) pour me dire qu’on n’allait pas continuer l’aventure ensemble. Je m’y attendais. En début de saison, c’est ma dernière année de contrat, je me dis qu’il faut que j’aille chercher mon contrat professionnel. Quand je me blesse et que j’en ai pour plusieurs mois, je me dis que ça va être compliqué mais que c’est faisable, qu’ils me connaissent et savent que ce que je sais faire. Puis je reviens et c’est compliqué, je n’ai pas les mêmes sensations. Je me refais la blessure, et le covid arrive, donc je m’y attendais.

Tout ça a dû rendre ton confinement encore plus compliqué à vivre ?
Pas forcément, car je m’y attendais. Quand tu as un plâtre, tu as beaucoup de moments pour réfléchir. Ça a commencé à ce moment là. Mentalement j’étais un peu préparé. J’avais eu des appels de clubs intéressés l’été précédant, donc j’étais un peu triste, mais je gardais la conviction que j’allais rebondir. L’Olympique de Marseille m’a contacté, mais ils savaient que je n’avais pas beaucoup joué cette saison-là. J’y vais pour faire des tests, ça se passe bien, et je reste par là-bas car ils me disent que j’aurai une réponse rapidement. Je m’entraîne alors avec le club du FC Côte Bleue pour garder la forme. Toujours pas de nouvelles, et le championnat de N3 reprend, avec un match contre Nice. On me dit que je peux jouer, en prenant une licence. Je fais le match, je marque. Après ce match, Marseille me dit que ça ne va pas le faire. Dans la foulée, Angers était intéressé donc je pars y faire un test. Finalement je n’ai fait qu’un match avec Côte Bleue. A Angers, le test ne se passe pas très bien, et deux jours après je vais au Paris FC, où ça le fait direct. Le coach de la réserve s’était renseigné sur moi, il connaissait Mathieu Le Scornet. En octobre 2020, je commence au Paris FC.

Tu es ensuite passé avec l’équipe première.
Je suis arrivé après un été compliqué, j’avais même pris un peu de poids. J’ai fait une prépa avant de pouvoir jouer, donc j’ai vraiment commencé en novembre-décembre avec la réserve. Mais le championnat s’est de nouveau arrêté avec le covid. On a fait des matchs en interne jusqu’en janvier 2021, puis le club a décidé de faire une série de matchs amicaux contre des clubs professionnels. On joue Lille, Reims puis le Stade rennais. C’est là que se lance ma saison, je marque deux buts contre Rennes, puis ensuite une dizaine de buts en dix matchs amicaux. Arrivé en fin de saison, le PFC me dit que je vais reprendre avec les professionnels. J’ai pas mal joué pendant les amicaux, mais j’ai ensuite joué davantage avec la réserve quand il a fallu réduire le groupe pro au moment où la saison a commencé. Puis fin août, on joue Amiens et Le Havre en amicaux, je mets doublé et triplé, puis je pars en sélection pour les qualifications à la Coupe du Monde (avec la Centrafrique, ndlr). En revenant, je n’ai plus quitté le groupe pro de Ligue 2 pendant deux mois. J’ai été titulaire à Sochaux (18 septembre 2021), j’ai marqué mon premier but face à Niort (24 septembre 2021), j’ai été appelé quelques fois ensuite, puis plus du tout pendant trois mois. Je n’ai pas eu vraiment d’explications, c’était un peu bizarre.

A ce moment, tu te dis rapidement que tu dois aller chercher du temps de jeu ailleurs ?
En novembre, décembre et janvier, j’étais en réserve. J’ai vu qu’ils recrutaient dans le groupe pro, et je me suis dit que ça allait être compliqué, qu’il fallait aller chercher du temps de jeu en National. Je n’ai pas fait beaucoup de matchs en Ligue 2 pour me montrer. Donc aller dans un autre club de Ligue 2 pour me battre pour du temps de jeu... Je me suis dit qu’il valait mieux redescendre d’un cran. Le National, c’est un tremplin. J’avais déjà eu des contacts avec Avranches l’été dernier, mais j’avais privilégié le projet Ligue 2 avec le PFC. Le 31 janvier, on m’a dit qu’on allait m’appeler, et tout s’est fait le dernier jour. La veille, j’avais appris que Khalid Boutaïb allait s’engager avec le PFC, je me dis dit « go ». J’ai joué deux matchs pour le moment, ça se passe bien. Je connais du monde ici, Rennes n’est pas très loin. Le plus important c’est de jouer, me montrer, faire des stats.

il n’y a pas de parcours-type

Récemment, Warmed Omari et Lorenz Assignon se sont révélés avec le Stade rennais. On imagine que tu as suivi ça…
Ce sont de bons potes. Je ne suis pas surpris car je les connais depuis longtemps, je connais leurs qualités. Ça fait plaisir de voir que les potes réussissent, on s’encourage. Warmed et Lorenz sont toujours arrivés par la petite porte. Le problème de Warmed, c’était physique. Il a toujours eu cette qualité de passe, cette intelligence de jeu. Même contre moi, ça a toujours été un duel intéressant. Warmed n’a pas fait d’équipe de France, ça joue beaucoup quand tu es jeune. Celui qui fait l’équipe de France va souvent être davantage mis en avant que celui qui ne l’a pas fait. Ils ont bossé, ils n’ont rien lâché, aujourd’hui ils sont là où ils sont, et ce n’est pas pour rien. C’est le destin. Ils ont recruté Loic Badé en début de saison, Warmed n’a rien lâché, il a montré. Lorenz n’a pas hésité à aller faire 6 mois en National pour se faire les jambes, et quand il est revenu, il a montré que c’était un bon joueur. Il n’y a pas de parcours-type. Dans notre génération, 13 joueurs ont joué en Ligue 1 ou Ligue 2, aucun n’a le même parcours.

Est-ce que tu t’es fixé un objectif ?
Aller le plus haut, c’est toujours ça. C’est vrai que j’ai eu un parcours atypique. J’étais attendu, je me suis un peu endormi sur mes lauriers, il y a eu les blessures, les circonstances. Mais au final, j’ai quand même fait des matchs en Ligue 2, j’en connais le niveau maintenant. L’objectif est de remonter, et de faire mon chemin.

Pour peut-être recroiser Warmed Omari ou Lorenz Assignon ?
Pourquoi pas ! Non, ce sont des poisons les deux (rires). Warmed a bien progressé sur sa gestion des émotions. Mais les deux là, il ne faut jamais perdre contre eux. Si tu perds, tu sais qu’ils vont ouvrir leur bouche.

Côté sélection, tu joues aujourd’hui pour la Centrafrique, après avoir connu les sélections France en jeunes. Comment ça s’est fait ?
J’ai fait les sélections France en U16 et U17, puis ensuite plus rien. Mon cousin connait bien le directeur sportif de la sélection centrafricaine, et ils revenaient souvent sur mon cas. Ils m’ont appelé et je suis parti faire un stage avec eux au Niger, puis je suis revenu en juin pour deux amicaux face au Rwanda, et les éliminatoires à la Coupe du Monde. Prochainement, il y aura les qualifications pour la prochaine Coupe d’Afrique des Nations. Ma mère a grandi en Centrafrique, il y avait la curiosité de savoir ce qu’elle avait connu, même si ça a sûrement changé depuis. En Afrique, quand tu es joueur de ton pays, tu es presque un ministre. Surtout, Geoffrey Kondogbia était à ce moment là la tête d’affiche, et le joueur qui jouait au plus niveau ensuite, c’était moi. J’ai senti cette ferveur.

Gardes-tu toujours un oeil sur le Stade rennais ?
Oui, j’étais au stade dimanche d’ailleurs (face à Troyes, ndlr). J’ai revu plein de têtes que je connais, les joueurs je les connais bien. Le Stade rennais, c’est dix ans de ma vie quand même, c’est un club que je supporterai toujours. Quand je repense à mon parcours, j’étais jeune, j’ai fait des conneries, mais ils m’ont fait monter quand même. Parfois il me mettaient des coups, mais ils m’ont beaucoup aidé, soutenu. Ça s’est fini avec les blessures, c’était inévitable, il n’y a pas eu de sentiment d’injustice.

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