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Comment le foot français va-t-il pouvoir survivre?

À peine quelques jours après le lancement en grande pompe et réussi de Ligue 1 +, voilà que le ciel s'assombrit de nouveau pour la plupart des clubs français après les révélations de L'Équipe sur les montants que toucheront cette saison les clubs de l'élite. Des chiffres attendus mais qui donnent tout le même le vertige et n'incitent pas à l'optimisme.

Comment le foot français va-t-il pouvoir survivre?

Il y a bien eu une éclaircie. Celle d’un premier week-end réussi, d’abonnés qui répondent à l’appel et d’un regain d’engouement pour le championnat. Portée notamment par la promesse d’une lutte un peu plus âpre pour le titre (qui a déjà volé en éclat ?), la nouvelle monture de la Ligue 1 a pris un bel envol, que la réalité est venue remettre à sa place en ce milieu de semaine. Alors que le quotidien L’Équipe a pu consulter le « guide de répartition initial des droits audiovisuels et de l’indemnité de résiliation de DAZN Ligue 1 saison 2025-2026 », il a mis en lumière les très faibles retombées économiques dont bénéficieront les clubs du championnat cette saison.

Le danger, c’est la saison prochaine?
Si on prenait souvent en exemple les sommes touchées par le dernier de Premier League, voire même des clubs de Championship qui accèdent à la première division (coucou Sunderland), pour pointer du doigt les écarts abyssaux avec le foot français, voilà un chiffre qui se montre encore plus marquant. Le champion de France 2026 touchera moins de droits TV que Montpellier la saison dernière, un club pourtant relégué et lanterne rouge avec 16 malheureux points (et ce même si le champion est le PSG, le plus à même à empocher le maximum). Un comparatif qui fait froid dans le dos, et qui ne devrait pas exploser l’année prochaine non plus. En d’autres termes, le PSG champion 2026 (en prenant l’exemple le plus probable et avec les montants les plus élevés) toucherait 4,67 millions, contre 5,18 pour MHSC version 24-25. Le dernier de Ligue 1 touchera cette saison 1,44 million d’euros, de quoi payer un joueur parisien pendant un mois. Des chiffres qui s’expliquent par tout ce que doit la Ligue.

Car avec un montant total de redevance estimé à 334,6 millions (85 de DAZN, 82,5 de beIN avec la Ligue 1 et la Ligue 2, 1 chacun pour France TV et TF1 et 129,1 de droits internationaux), les clubs de Ligue 1 ne vont se repartir que 80,5 millions d’euros, la Ligue 2 ne touchant que 11,7 millions. Au delà des charges comme la taxe Buffet, les syndicats, les frais liés à la Ligue et à LFP Média, qui devraient tout de même chiffrer à hauteur de 182,6 millions, il faut ajouter 5,25 millions d’aide aux relégués, mais surtout 54 millions à CVC ( ce qui équivaut à plus de 13%, certainement lié à un rattrapage des deux premières années du deal où le fonds d’investissement n’a rien touché).

Consultant international en droits TV du sport, Pierre Maes ne s’étonne pas de ces chiffres au global (« zéro surprise »), mais plus « d’une telle différence entre le montant brut et le montant net ». Pourtant, le pire n’est peut-être pas encore arrivé. « Pour moi le danger c’est la saison prochaine. On est plus sûr de rien, sauf des droits internationaux et de la Ligue 2. Si l’on écoute de Tavernost qui dit que rien ne viendra de Ligue 1+ pendant les deux prochaines années, 2026-2027 va être largement pire que les chiffres évoqués pour cette saison », prévient Maes, pour qui voir des clubs toucher moins d’un million la saison suivante est plausible, rappelant au passage que ni les sous de DAZN, ni ceux de beIN, ne figureront parmi les rentrées d’argent. « Si on lit entre les lignes les clubs peuvent espérer des recettes de Ligue 1+ après la troisième saison d’exploitation », souligne-t-il.

Et même si Nicolas de Tavernost a évoqué auprès de RMC des revenus estimés à « grosso modo 170 millions d’euros, auxquels il faudra retirer les coûts de production », pour lesquels des chiffres entre 50 et 66 millions ont été évoqués, mais dont on ne sait pas s’ils ont déjà été pris en compte dans les chiffres dévoilés par L’Équipe, l’ancien boss de M6 table sur « 120 millions ». « Dans l’article de L’Équipe, on prend ce qui est sûr. Le reste on est sur des suppositions, préfère tempérer Maes, conforté par les propos du patron de LFP Média. On ne peut pas faire le calcul exact parce que c’est compliqué. » Même avec un bénéfice de 120 millions à se partager, cela équivaudrait à 6,6 millions par club. Le bout du tunnel ? Certainement pas.

Ligue 1+, bouée de sauvetage ou écran de fumée ?
Plutôt pessimiste quant à la nouvelle chaîne de la LFP, Pierre Maes se montre d’ailleurs prudent malgré un premier week-end en fanfare. « Pour moi c’est un projet risqué, estime-t-il. Il n’y a aucune raison qu’il ne rencontre pas les problèmes de ses prédécesseurs, comme DAZN, à commencer par le piratage. Il y a une communication très positive, avec les 600 000 abonnés. » Surtout, il se montre mesuré quant aux chiffres d’abonnés de Ligue 1+ : « Il faut bien se dire que sur ces abonnés, il y une majorité de convertis DAZN. Il n’y a pas 600 000 nouveaux abonnés. Ce chiffre n’est pas remis en doute mais il est à relativiser. Faire en week-end ce que DAZN a fait en un an, ce n’est pas juste. DAZN a un deal pour la distribution depuis le 10 juillet et depuis ils travaillent au corps leurs abonnés pour les convertir vers une offre Ligue 1+ plus l’offre DAZN, pour un montant inférieur à ce que coûtait le seul abonnement à la Ligue 1 l’an dernier. On peut imaginer qu’ils en ont converti une grosse partie, qui représente les abonnés dont parle Nicolas de Tavernost. »

Depuis le début de Ligue 1+, on entend à peine parler de piratage. On sait bien que le piratage grandit en dépit de toutes les lois. Pierre Maes

D’autant que selon Maes, Ligue 1+ la joue plutôt soft dans ses objectifs : « Nicolas de Tavernost a donné un objectif d’un million d’abonnés la première année, ce qui est très raisonnable, si on ajoute en plus les convertis DAZN, l’objectif devient presque bas. » De quoi potentiellement aller chercher quelques milliers (des centaines ?) de fidèles supplémentaires pour une potentielle bonne surprise ? Compliqué tout de même, avec toujours l’horizon de commencer à voir rentrer l’argent dans deux saisons. « Pour 2027-2028, il va falloir aller les chercher avec les dents (les abonnés), avec un piratage encore plus important. Aujourd’hui sans pouvoir piocher dans la base d’abonnés de Canal+, même si on peut espérer un accord d’ici là, ça reste un défi énorme. »

Et même si l’image renvoyée est jusqu’ici positive du côté de LFP Média, l’herbe n’est pas forcément aussi verte que présentée. « Ce qui était important c’était de préparer une bonne com’ pour faire de cette histoire un succès qui va entraîner le succès. Depuis le début de Ligue 1+, on entend à peine parler de piratage. On sait bien que le piratage grandit en dépit de toutes les lois », rappelle ainsi le spécialiste des droits télés. Début juillet, L’Équipe annonçait que LFP Média planchait sur 2 millions d’abonnés et 407 millions de recettes lors de cette même saison 2027-2028. Alea jacta est.

Les droits internationaux, un symbole des inégalités
Depuis la saison 2022-2023, les droits internationaux du championnat ne concernent, dans leur quasi majorité, plus toutes ses écuries (122,6 millions sont aujourd’hui dédiés aux équipes ayant un coefficient UEFA sur les trois dernières années sur les 129,1). « La ligue française est devenue l’une des plus inégalitaires en Europe, en favorisant les grands clubs, confirme Pierre Maes. Aujourd’hui il n’y a plus de droits domestiques, donc les droits internationaux ont pris en importance. De facto la ligue française est encore plus inégalitaire qu’au moment où il a été décidé que les européens se repartiraient les droits internationaux. C’est pour moi le point le plus crucial. » Des inégalités qui devraient donc continuer de creuser le fossé entre les européens et les autres, que parviendra parfois à combler une anomalie comme Lens ou Brest.

La ligue française est devenue l’une des plus inégalitaires en Europe, en favorisant les grands clubs. Pierre Maes

On pourrait toutefois bercer dans l’idéalisme et l’utopisme, mais pour que tout le monde soit tiré vers le haut, il faudrait repenser la distribution. L’idée semble assez incongrue, mais on parle tout de même d’un club comme le PSG qui a empoché environ 230 millions d’euros grâce à ses parcours en Ligue des champions et à la Coupe du monde des clubs. « Imaginer le PSG distribuer ses 4 ou 5 millions, non, je n’y crois pas, répond Pierre Maes, qui considère toutefois l’idée. Mais c’est loin d’être idiot. Il y a des ligues, notamment en Belgique, où on a déjà discuté, pour les clubs qui jouent l’Europe, de partager une petite partie de leurs revenus UEFA avec les autres clubs. Ça ne s’est pas fait selon moi jusqu’ici, mais ce type de discussions existe. »

En clair, pour que tout le monde espère un peu plus sereinement la saison 2027-2028, qui n’a sans doute jamais semblé aussi lointaine, le foot français aurait besoin d’un diffuseur qui accepte de mettre sa rancœur de côté, et d’un club omnipotent qui accepte quant à lui de laisser sa part du gâteau, aussi petit soit-il. Après tout, l’espoir fait vivre, et puisque la Ligue 1 ne fait plus que survivre, pourquoi se priver de rêver ?

 

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