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Dans le flou sportivement en ce début de saison, le Stade rennais a connu un nouveau chamboulement institutionnel avec le remplacement d’Olivier Cloarec par Arnaud Pouille. Une marque de fabrique de l’ère Pinault qui peut interroger, alors que le club breton espère rester un club qui compte dans l’Hexagone.

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Au Stade rennais, le bazar et la manière
La scène a quelque chose d’étrange, ce samedi soir, au pied de la tribune Mordelles au Roazhon Park. Il est 19h47 quand Benjamin Bourigeaud, légende locale et de passage dans son ancienne maison pour la première fois depuis son départ au Qatar, se présente accompagné de l’un de ses fils pour découvrir une fresque en son honneur, dessinée par l’artiste Aéro. Elle représente notamment la célébration de son but inscrit contre Marseille en mars dernier, quelques mètres plus loin, à l’occasion de son 301e match sous la tunique rouge et noir. Les supporters passent et veulent leur photo avec l’idole, les journalistes récoltent ses mots. Ils sont plusieurs à assister à cet hommage rare et à ce qui pourrait ressembler à un au revoir à une époque.

On y trouve Romain Danzé bien sûr, mais aussi, entre autres : Hubert Guidal, fidèle lieutenant de François Pinault ; le petit-fils de l’actionnaire et fils de François-Henri, répondant aussi au nom de François ; Alban Gréget, directeur général adjoint de la holding Artémis et nouveau président du conseil d’administration du club depuis mai dernier ; ou encore Arnaud Pouille, tout juste intronisé président exécutif. Tout ce petit monde aura ensuite assisté à la défaite contre Monaco (1-2), la quatrième en sept matchs cette saison, contribuant à entretenir un grand flou autour d’une grande question : mais où va le Stade rennais ?

Sous les Pinault, une présidence tournante
Cette soirée s’est déroulée comme si rien ne s’était passé, ou presque, la veille. Le club breton s’est pourtant offert une crise institutionnelle dont il a le secret, avec le limogeage d’Olivier Cloarec et la nomination de Pouille, qui a remis le maillot floqué « Légende 14 » à Bourigeaud avant le coup d’envoi. Ce choix « appartient aux propriétaires, à la direction », a évacué Julien Stéphan, qui a eu un « mot de soutien » pour son désormais ancien dirigeant. « Cela a été assez compliqué, ce n’était pas le meilleur moment pour nous, répondait assez honnêtement Ludovic Blas, auteur d’un but fantastique. On a essayé de mettre ça de côté pour le match, mais c’est une décision que l’on n’a pas à commenter. Ce sont des choses qui se règlent plus haut. » Plus haut, à Rennes, c’est la famille Pinault, et c’est toujours dans ces sphères d’une autre planète, celle des milliardaires et des capitaines d’industrie, que sont prises les grandes décisions, celles attendues comme celles incompréhensibles.

Cela a été assez compliqué, ce n’était pas le meilleur moment pour nous. On a essayé de mettre ça de côté pour le match, mais c’est une décision que l’on n’a pas à commenter. Ce sont des choses qui se règlent plus haut.

Ludovic Blas

Le couperet était tombé le mercredi pour Cloarec, cinq jours après une défaite tristounette contre le Paris Saint-Germain au Parc des Princes (3-1), où se trouvaient plusieurs Pinault, dont François-Henri, dirigeant du groupe de luxe Kering et de la société familiale Artémis (dont fait partie le Stade rennais), et son épouse Salma Hayek. L’homme d’affaires de 62 ans n’aurait pas aimé ce qu’il a vu ce soir-là, ni sur le terrain ni en dehors, constatant a priori un certain laxisme et ne goûtant pas trop l’idée de voir les joueurs ne pas avoir à se pointer à l’entraînement dès le lendemain. Cloarec a-t-il été le fusible à faire sauter ? Les patrons bretons ont-ils estimé que le club avait besoin d’un nouveau visage pour mieux l’incarner, à un moment où le SRFC se cherche une identité après une première révolution estivale ? Il serait trop prétentieux de prétendre être dans le secret des dieux et de savoir exactement le pourquoi du comment.

Toujours est-il que celui qui occupait ce costume depuis mai 2022 et qui avait assuré l’intérim pendant la maladie du regretté Nicolas Holveck n’aurait en tout cas pas eu le droit à une longue liste de reproches avant de se faire couper la tête. Drôle de timing, drôle de décision, même si Cloarec aurait pu se dire qu’il était le prochain après onze derniers mois qui auront vu Bruno Genesio et Florian Maurice quitter le navire. Ainsi va la vie au Stade rennais, un club qui n’a plus viré un entraîneur depuis Sabri Lamouchi en décembre 2018, mais qui a depuis montré la porte à deux présidents, à chaque fois de manière brutale (Olivier Létang en février 2020, déjà), mais pour des raisons bien différentes. Arnaud Pouille est ainsi devenu le dixième président du SRFC de l’ère Pinault (sachant que René Ruello et Frédéric de Saint-Sernin ont connu deux passages), un poste fragile cette dernière décennie (6 présidents en 10 ans, en comptant l’intérim de Jacques Delanoë).

Le spectre du déclassement
La journée de vendredi a été chargée en émotions à la Piverdière, a-t-on appris, puisque c’était celle des adieux pour Cloarec et de la passation de pouvoir avec Pouille, qui a assisté à la victoire de l’équipe réserve contre Cesson le samedi après-midi aux côtés de Benoît Müller, le directeur général adjoint. Dans ce cas précis, «?pouvoir?» est peut-être un grand mot, comme le rappelle le titre de «?président exécutif?». C’est toute la complexité du processus de décision à Rennes, où François Pinault avait par exemple imposé Julien Stéphan pour succéder à Bruno Genesio en novembre 2023, contre l’avis de son directeur sportif Florian Maurice, qui ne s’en était d’ailleurs pas caché. Le fonctionnement doit interroger, au-delà de la chance évidente que représente la famille Pinault pour un club comme le Stade rennais à une époque où les investisseurs sans attaches et sans affect pullulent dans le foot français (et européen). Il est question d’erreurs qui se répètent, du goût pour ces chamboulements institutionnels, souvent à l’automne, et d’une absence de communication directe, au moins de temps en temps, alors qu’une conférence de presse devrait avoir lieu jeudi, en présence d’Arnaud Pouille et d’Alban Gréget.

Je resterai sous pression jusqu’au dernier jour où je ferai ce métier.

Julien Stéphan

Dans le film Au fer rouge pour les 120 ans du club, François-Henri Pinault glissait son envie de voir son Stade rennais remporter un jour une Coupe d’Europe et de retourner au Stade de France pour y jouer une finale. Pour l’instant, le club breton, qui est passé à côté de sa cuvée 2023-2024 et qui a mal lancé la nouvelle, semble loin de tout ça. Il ne faut pas insulter l’avenir, mais le passé récent rend le présent un poil déprimant. Cela s’est ressenti dans un Roazhon Park éteint ce samedi soir, même si les fidèles lui auront offert un record aux buvettes. Les supporters ont besoin de se trouver de nouveaux chouchous, après un été à 30 mouvements (18 départs, 12 arrivées) sous l’impulsion de Frederic Massara, et de s’attacher à une équipe actuellement 12e de Ligue 1, deux points devant le barragiste et à six longueurs du top 5. Après six années d’affilée à goûter aux soirées européennes aux quatre coins du Vieux Continent, les amoureux du Stade rennais se mettent à craindre un grand déclassement et un retour à l’anonymat d’avant. Il est trop tôt pour le poser ainsi, mais rater une deuxième saison dans les grandes largeurs ne serait pas un bon indicateur pour le futur.

Le calendrier à venir après la trêve semble plus abordable (Brest, Le Havre, Auxerre, Toulouse) et doit être l’occasion pour les Bretons de chasser quelques nuages. Le temps presse, pour le club comme pour Stéphan, dont le passé (la Coupe de France 2019, une qualification en Ligue des champions en 2020) ne suffit pas à lui assurer le soutien de l’opinion publique. Depuis sa prolongation jusqu’en 2026 au printemps, son SRFC a obtenu seulement quatre victoires en seize matchs (contre Nantes, Metz, Lyon et Montpellier), et le passage à un nouveau système en 3-4-2-1 n’a pas encore fait ses preuves, malgré quelques bonnes choses entrevues en seconde période contre Monaco. «?Je resterai sous pression jusqu’au dernier jour où je ferai ce métier. La pression qu’on se met au quotidien, c’est de maintenir un groupe dans une direction, le faire travailler, l’encourager quand il le mérite comme ce soir, le sermonner comme il le méritait la semaine dernière. C’est l’exigence qu’on doit se mettre, posait-il en conférence de presse. Pour le reste, ça ne dépend pas de moi. » Les succès offrent du temps et du confort, deux choses qui commencent à manquer à l’entraîneur rennais, lequel doit maintenant espérer que cette tempête automnale n’en appellera pas une autre.

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