L’avenir de Mathis Lambourde au Stade Rennais est incertain. Le jeune attaquant français, sous contrat jusqu’en 2026 avec le club breton, attire l’attention d’Aston Villa. Le club anglais s’apprête à entrer en négociations pour tenter de recruter la pépite de 18 ans cet été.

Avec seulement 9 minutes jouées en Ligue 1 cette saison, Lambourde pourrait voir une opportunité de carrière outre-Manche. Aston Villa prévoit de soumettre une première offre dans les jours à venir, selon Foot Mercato.

Les supporters rennais attendent avec impatience de savoir si leur espoir offensif restera défendre leurs couleurs ou s’il rejoindra le championnat anglais. La décision du club et du joueur sera scrutée par les experts du football qui voient en Lambourde un talent prometteur.

La période des transferts risque d’être agitée pour Rennes, confronté à la convoitise grandissante autour de ses jeunes talents. Le cas Lambourde ne fait que souligner l’intérêt croissant des clubs étrangers pour les prodiges formés en France.

Il reste à voir comment se positionnera le Stade Rennais face à l’appétit d’Aston Villa et quelle stratégie adoptera ce dernier pour convaincre le joueur et son entourage. Une chose est sûre : le mercato estival réserve souvent son lot de surprises.

Mathis Lambourde, dont la situation contractuelle lui confère une certaine sécurité, devra peser soigneusement ses options avant toute décision hâtive. Son avenir professionnel pourrait prendre un tournant décisif dans les semaines à venir.

Le départ de Florian Maurice à Nice, et l’arrivée de Frédéric Massara pour le remplacer à la direction sportive du Stade Rennais, ne sont pas remis en cause. Mais pour signer le contrat de Massara, les conditions de la sortie de Maurice doivent d’abord être réglées, notamment sur le plan juridique. Un dénouement est espéré d’ici la semaine prochaine.

Annoncé au Stade Rennais, comme révélé lundi dans nos colonnes, Frédéric Massara n’est toujours pas engagé contractuellement sur le poste de directeur sportif du SRFC, factuellement toujours occupé par Florian Maurice.

C’est une situation de chassé-croisé pas inhabituelle dans le foot, que d’autres clubs comme... Nice ou Lens vivent aussi en ce moment.

Cela n’empêcherait évidemment pas l’ex dirigeant de l’AC Milan - qui a conclu un accord avec Rennes où il est déjà venu - de préparer depuis plusieurs jours, en lien avec le président Olivier Cloarec et l’entraîneur Julien Stéphan, les contours de son action sur le front d’un mercato qui ne démarrera cette année que le 1er juillet.

Dans la coulisse, on s’active en parallèle pour régler (notamment sur le plan juridique) la sortie de Maurice, préalable à la signature du contrat de Massara, et donc à l’officialisation de son arrivée.

À Nice, il se dit que tout serait calé pour le contrat de Maurice, qui dispose d’un CDI au SRFC et n’était pas en France ces derniers jours.

Le Stade Rennais est peu disert sur tous ces sujets. Selon certaines sources autour du dossier, il s’agirait plutôt d’une rupture conventionnelle, procédure à l’amiable négociée entre les deux parties, mais strictement encadrée par la loi, et qui demande validation de l’inspection du travail.

Autour du club, on diffuse aussi le message que les conditions de la sortie de Maurice suivraient leur cours. Pour un dénouement ce week-end, plus probablement la semaine prochaine ? Une fois libéré de son contrat à Rennes, il pourra s’engager avec Nice, et Massara avec le SRFC.

Arrivé en 2022, Arthur Theate pourrait quitter Rennes cet été malgré un contrat jusqu'en 2027. Il est notamment courtisé par Naples ou encore Stuttgart.

Arthur Theate et Rennes sont en pleine réflexion commune sur leur avenir. Il faut dire que le défenseur belge a une belle cote sur le marché des transferts malgré un contrat d'encore trois ans.

Al Qadsiah (Arabie Saoudite), Stuttgart (Allemagne) et Naples (Italie) se sont déjà positionnés dans le cadre d'un transfert cet été. Arrivé pour un peu moins de 20M€ il y a deux ans, l'international belge (15 sélections) ne devrait pas être autorisé à quitter la Bretagne sans une somme au moins équivalente.

Le défenseur de 24 ans a disputé un total de 82 rencontres sous les couleurs du Stade Rennais, pour huit buts et une passe décisive. Lors de l'exercice 2023-2024, le stoppeur a cumulé 28 matches en Ligue 1, pour deux buts, et huit rencontres d'Europa League.

Mis de côté par West Ham en fin de saison, le Marocain de 28 ans Nayef Aguerd devrait plier bagage cet été. Le défenseur central croule déjà sous les prétendants. Son ancien club Rennes veut le faire revenir en Ligue 1 tout comme l’OL. L’Arabie saoudite est elle aussi sur le coup.

Une saison en demi-teinte. Avec 21 matchs disputés, un but marqué, l’international marocain a vu son temps de jeu régresser au fur et à mesure que la saison avançait. Et la fin de saison semble marquer la fin d’une ère, après 2 ans passés avec West Ham, l’ancien rennais est mis de côté. Son avenir semble donc tout tracé, il va quitter l’Angleterre à la fin de la saison. Maintenant reste à savoir quelle sera sa destination.

La Ligue 1 en pôle
Après leur fin de saison en boulet de canon, Lyon a accroché l’Europe. Il leur faudra donc se renforcer pour être compétitif sur tous les tableaux. Le Marocain Nayef Aguerd les intéressent tout particulièrement selon les informations du site Football Insider. Mais ils ne sont pas les seuls à être sur le coup. Son ancien club, le Stade Rennais serait aussi intéressé pour le rapatrier. Les Bretons veulent reprendre Aguerd après l’avoir vendu 35 millions d’euros à West Ham au cours de l’été 2022. Les Rouge et Noir espère joué sur l’aspect sentimental pour l’attirer.

Le prix à payer est connu
Les Hammers ne veulent pas perdre d’argent et attendent au moins 35 millions d’euros pour lâcher l’international marocain. Une somme conséquente notamment pour les Rennais qui sont privés d’Europe la saison prochaine et qui risquent d’avoir quelques difficultés pour sortir cette somme. Mais attention, Nayef Aguerd possède aussi une belle cote en Arabie Saoudite et les rumeurs annoncent une offensive de certains clubs du Royaume. Affaire à suivre.

Tous deux attendus au tournant cet été, Rennes et l’OL fourbissent leurs armes pour le prochain mercato estival. Les deux formations françaises sont à la recherche notamment d’un défenseur central d’expérience pour stabiliser leur arrière-garde, qui du côté de la Bretagne a souvent failli cette saison. Et il se pourrait bien que les deux clubs lorgnent le même joueur !

En effet, selon les informations de Football Insider, à prendre avec des pincettes, Rennes et l’OL envisageraient de ramener Nayef Aguerd (West Ham) en Ligue 1. Ce serait un retour aux sources si le Stade Rennais empocherait la mise. Parti du club breton en 2022 pour 30 millions de livres sterling, l’international marocain a été souvent trahi par son corps lors de son séjour dans l'Est de Londres. Preuve en est, il n’a pris part qu’à 21 rencontres de Premier League cette saison.

Nos confrères anglais précisent que l’affaire pourrait se faire aux alentours de 35 millions de livres sterling, soit 41 millions d’euros. Les deux équipes de Ligue 1 devraient se manifester officiellement leur intérêt pour l'ex-joueur de Dijon lors de l’ouverture du mercato à la mi-juin.

Le club anglais d'Aston Villa va tenter de faire venir le jeune attaquant français du Stade Rennais Mathis Lambourde cet été.

Sous contrat jusqu'en 2026 avec Rennes, Mathis Lambourde n'est pas certain de rester en France cet été. L'attaquant est courtisé par Aston Villa qui doit entrer en contact avec le club breton dans les prochains jours, comme annoncé par Foot Mercato. À 18 ans, Lambourde a disputé 9 minutes de Ligue 1 cette saison. Aston Villa devrait rapidement transmettre une première offre.

Arnaud Kalimuendo, jeune attaquant talentueux du Stade Rennais, a marqué les esprits avec ses 15 buts cette saison. Son succès ne passe pas inaperçu et suscite l’intérêt des clubs européens majeurs. Déjà en janvier, l’Eintracht Francfort avait tenté de le recruter.

Florent Ghisolfi, directeur sportif de l’AS Roma, connaît bien Kalimuendo pour avoir travaillé avec lui à Lens. Maintenant qu’il est à Rome, il envisage fortement d’engager le joueur qui reste sous contrat avec Rennes jusqu’en 2027.

Un autre jeune rennais fait parler de lui : Fabian Rieder, également âgé de 22 ans. Il pose un ultimatum au club : plus de temps de jeu ou une possible réflexion sur son départ malgré un contrat courant jusqu’en 2027.

Ces situations contractuelles indiquent que le mercato pourrait être mouvementé pour le Stade Rennais. Des talents comme Kalimuendo et Rieder sont prêts à prendre leur carrière en main et ont plusieurs options pour leur avenir footballistique.

Les fans du Stade Rennais attendent avec anxiété les décisions concernant ces deux joueurs prometteurs. Le marché des transferts peut souvent réserver des surprises et l’équipe pourrait avoir besoin d’effectuer des ajustements stratégiques prochainement.

En conclusion, le Stade Rennais doit équilibrer les ambitions personnelles de ses jeunes vedettes tout en considérant les offres attrayantes des clubs intéressés par leurs services. Arnaud Kalimuendo et Fabian Rieder sont définitivement deux joueurs à surveiller pendant ce mercato estival.

Propulsé ce mercredi 29 mai par la famille Pinault à la tête du conseil d’administration du Stade Rennais, Alban Gréget est le bras droit de François-Henri Pinault au sein de la holding Artémis, propriétaire du club de foot breton. Il cultive la plus grande discrétion, mais a accepté de détailler à Ouest-France quels vont être son rôle et les missions confiées par l’actionnaire.

Dans les couloirs de la Piverdière ou du Roazhon Park, ce n’est pas un inconnu. Alban Gréget, 47 ans, directeur général adjoint de la holding Artémis qui possède le Stade Rennais, est comme le bras droit de François-Henri Pinault. Il a l’oreille du fils, mais aussi du père. C’est un homme de l’ombre, qui préfère écouter avant de parler, aussi carré qu’exigeant, main de fer dans un gant de velours selon ses collaborateurs.

Le nouveau président du conseil d’administration, dont il fait partie depuis 2018, connaît surtout sur le bout des doigts tous les dossiers internes (jusqu’au projet de nouveau stade) et les rouages du club, y compris le secteur sportif, qui s’apprête à voir débarquer Frédéric Massara comme nouveau patron. Il ne rate pas un match du SRFC, tout du moins à la télé. En novembre dernier, lors de la conférence de presse de présentation de Julien Stéphan sans Florian Maurice, il avait accompagné le président Olivier Cloarec. Discret, mais jamais bien loin…

Comment envisagez-vous le rôle de président du conseil d’administration ?

C’est une fonction non exécutive exercée aux côtés d’Olivier Cloarec (directeur général et président exécutif). Depuis 2018, j’ai suivi de près, avec passion, l’évolution du club et de ses résultats sportifs, et je travaille déjà activement avec la direction générale. Je serai désormais amené à venir davantage à Rennes (il réside à Paris). Je prends la suite de Jacques Delanoë, que je remercie pour son engagement total pour le SRFC et pour la qualité de nos relations. J’en profite pour saluer également le travail remarquable de l’ensemble des équipes sous la direction d’Olivier Cloarec. Louis Roger-Boutbien et Pierre Tronson, petits-fils de François Pinault, ont aussi été nommés au sein du conseil (Cloarec l’intègre également). Cela illustre l’engagement durable de la famille Pinault comme actionnaire du club.

Concrètement, quelles vont être vos responsabilités et implications dans les dossiers de gestion du club ?

Compte tenu de mes fonctions opérationnelles chez Artémis, ma mission va consister, au-delà de l’animation des travaux du conseil d’administration, à assurer le lien avec les actionnaires pour définir la stratégie du club, ses orientations budgétaires, ses recrutements de cadres clés, et veiller à leur mise en œuvre. Je suis également impliqué dans la gestion des projets de long terme, comme la rénovation complète du centre de formation et d’entraînement de la Piverdière, qui dotera le club d’infrastructures plus performantes d’un point de vue sportif et environnemental. J e participerai aussi aux projets sociétaux portés par le club, et ils sont nombreux !

Quelle "feuille de route" l’actionnaire vous a-t-il dressé, à l’heure où le club se réorganise et doit digérer une saison sportive très difficile ?

Avant tout de faire en sorte que les matchs des Rouge et Noir procurent des émotions à tous les supporters du club, en Bretagne et ailleurs… Il est important de maintenir cet engouement, de poursuivre notre progression sur tous les terrains. Les résultats de la saison dernière ont été en deçà des attentes, mais les six dernières campagnes européennes constituent un socle puissant pour continuer à viser haut. Julien Stephan, que nous avons prolongé pour deux saisons, porte une ambition sportive de premier plan pour notre équipe pro. Nous allons continuer à investir également dans le centre de formation, classé premier par la FFF l’année dernière, et dirigé par Denis Arnaud. Il reste un axe majeur du Stade Rennais pour l’avenir.

Dans un communiqué, le Stade Rennais a annoncé que Jacques Delanoë était remplacé par Alban Gréget comme président du Conseil d’administration du club.

Le Stade Rennais a annoncé, ce jeudi 29 mai, dans un communiqué que Jacques Delanoë n’était plus président du Conseil d’administration du club. Il sera remplacé par Alban Gréget, actuel administrateur du SRFC et DG adjoint d’Artémis, une des sociétés de la famille Pinault.

Président depuis sept ans
Jacques Delanoë était au conseil d’administration depuis douze ans, dont sept comme Président. Il prendra prochainement la présidence du futur fonds de dotation du club breton.

Le Stade Rennais précise enfin que trois nouveaux membres intégreront le conseil d’administration : Olivier Cloarec, le Président du club, Louis Roger-Boutbien et Pierre Tronson, les petits-fils de François Pinault.

Le Stade Rennais s’apprête à réaliser un bon coup financier. Alors que l’ancien rennais, Loum Tchaouna (20 ans), a signé l’été dernier en Italie à la Salernitana, l’avant-centre français, qui a réalisé une belle saison en Serie A, est actuellement sur le point de s’engager avec la Lazio de Rome selon le journaliste Nicolo Schira. Une vente de 10 millions est évoquée. Une excellente nouvelle pour les Bretons qui avaient incorporé une clause de pourcentage à la revente de 30 % à l’occasion du départ du franco-tchadien.

Une belle affaire se profile pour le Stade Rennais. En août 2023, l’ancien jeune ailier de 20 ans des Rouge et Noir, Loum Tchaouna a quitté Rennes pour s’envoler vers la Salernitana. Lorsque les dirigeants bretilliens avaient conclu ce deal avec leurs homologues italiens, ils avaient intégré une clause de pourcentage à la revente de 30 % en cas de futur transfert. Cela tombe bien pour les Bretons puisque le journaliste Nicolo Schira a récemment indiqué que Tchaouna allait partir de Salerne, relégué cette année en Serie B et rejoindre un club de Serie A.

Loum Tchaouna à un pas de la Lazio de Rome
Grâce à la saison convaincante du franco-tchadien (6 buts et 4 passes décisives en 35 rencontres toutes compétitions confondues) sous les couleurs de la Salernitana, plusieurs clubs sont venus aux renseignements pour tenter de le recruter. Selon le journaliste transalpin spécialiste du marché des transferts, Nicolo Schira, Stuttgart et la Lazio de Rome veulent depuis plusieurs jours s’attacher les services de l’ex-dijonnais. Le mardi 24 mai, Nicolo Schira a annoncé que c’était finalement la Lazio de Rome qui allait arracher sa signature. Effectivement, ce dernier révèle qu’un accord de 10 millions a été conclu pour le transfert à la Lazio de l’originaire de N'Djaména (Tchad). Alors que Foot Mercato parlait d’un pourcentage à la revente de 30 % pour Rennes, Nicolo Shira évoque quant à lui un pourcentage de 40 %. Quoi qu’il en soit, le Stade Rennais devrait recevoir environ 4 millions d’euros grâce à ce transfert. Une aubaine pour la direction des Rouge et Noir qui peut se frotter les mains.