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Quand Zouma conseille Camavinga après le match

Battus sur le fil par Chelsea (1-2) en fin de match, le Stade Rennais est éliminé de la Ligue des Champions. Juste après la rencontre, Kurt Zouma et Eduardo Camavinga ont échangé des mots où le défenseur a debriefé la rencontre avec le cadet.
ds 0217Eduardo Camavinga n’avait pas encore regagné le vestiaire pour écouter les mots de Julien Stéphan après la défaite du Stade Rennais contre Chelsea (1-2) que le Français était déjà en train de parler du match avec… Kurt Zouma, le défenseur des Blues. Peu après le coup de sifflet final qui a mis un terme au parcours en Ligue des Champions du club breton, le milieu de terrain et son adversaire du soir, compatriote en sélection par ailleurs, ont parlé tactique et faits de match près du tunnel.

Les hommes de Frank Lampard ont puni les Rennais sur deux pertes de balle de Clément Grenier et Jérémy Doku concrétisées par Callum Hudson-Odoi et Olivier Giroud. Deux erreurs qui ne pardonnent pas à ce niveau de compétition et qui trahissent un manque d’expérience au sein de l’effectif Rouge et Noir. Et c’est justement ce qu’a voulu signifier le défenseur de 26 ans au milieu de terrain de 18 ans. Au détour d’une conversation de deux petites minutes, captée par la télé, Zouma a présenté certaines failles du Stade Rennais et distillé ses conseils à Camavinga : "Parfois, il faut balancer quand vous êtes derrière, lui indique-t-il. Nous, c’est ce qu’on fait des fois. Quand il y a la pression, vous perdez les ballons et but. A chaque fois, c’est comme ça. C’est arrivé contre le PSG (défaite 3-0 du SRFC)."

Le drôle d'échange entre Zouma et Camavinga à la fin de Rennes-Chelsea

ds 0223La série noire continue pour les Bretons. Crucifié dans le temps additionnel par un but d’Olivier Giroud, le Stade Rennais s’est une nouvelle fois incliné (1-2), comme trop souvent ces dernières semaines. Si ce match n’a pas été une mince affaire pour les Blues de Chelsea, Rennes n’en est pas moins sorti perdant et est ainsi déjà éliminé pour sa première participation en Ligue des Champions. Rien de surprenant lorsqu’on observe les derniers résultats des hommes de Julien Stephan, qui ont essuyé ce mardi une quatrième défaite de rang toutes compétitions confondues. D’autant que cette défaite peut paraître frustrante, si l’on se fie aux deux erreurs évitables de Doku sur le premier but encaissé, puis de Grenier sur le but victorieux de l'attaquant champion du monde.

Des lacunes dans le jeu que n’a pas manqué de remarquer Kurt Zouma à l’issue de la rencontre. Ce dernier l’a d’ailleurs bien fait savoir à son partenaire d’Equipe de France, Eduardo Camavinga. «Parfois, il faut balancer quand vous êtes derrière. Nous, c'est ce qu'on fait des fois. Quand il y a la pression, vous perdez les ballons et but. À chaque fois, c'est comme ça. C'est arrivé contre le PSG», lui a-t-il indiqué discrètement, ou presque. S’il a écouté attentivement ce qu’avait à lui dire le défenseur des Blues, le jeune milieu de terrain français a quant à lui pris le soin de ne pas répondre à son adversaire du soir devant les caméras d'RMC Sport, ne voulant très certainement pas jeter de l'huile sur le feu en créant quelques polémiques évitables dans une période pour déjà bien délicate pour le club breton.

Avec Léa-Siliki ailier gauche face à Chelsea

L’entraîneur du Stade Rennais, Julien Stephan, a décidé de faire confiance à James Léa-Siliki sur le côté gauche, ce mardi (18 h 55), en Ligue des champions face à Chelsea.
ds 0233Pour tenter de se relancer après plusieurs semaines difficiles, Julien Stephan doit faire sans Terrier et Aguerd, blessés ces derniers jours et seulement forfaits ce matin à la publication du groupe des 23 Rennais. L’entraîneur rennais a choisi de revenir à son 4-3-3 et donc d’associer le natif de Saint-Brieuc, Nyamsi, au capitaine Da Silva dans l’axe de la défense. Léa-Siliki prend, lui, en charge l’animation du couloir gauche offensif.

Kanté et Giroud remplaçants
Du côté de Chelsea, Thiago Silva, ménagé samedi en championnat pour lui permettre de digérer le décalage horaire à son retour de sélection, reprend sa place en défense.

En revanche, N’Golo Kanté et Olivier Giroud sont remplaçants. Alors que l’attaquant français a de nouveau évoqué la possibilité d’un départ en janvier pour trouver du temps de jeu avant l’Euro, l’entraîneur Frank Lampard avait assuré lundi qu’il était « important ».

RENNES. A. Gomis - H. Traoré, Da Silva (cap.), Nyamsi, Truffert - Nzonzi - Doku, Bourigeaud, Camavinga, Léa-Siliki - Guirassy. Entraineur : Julien Stephan.

CHELSEA. E. Mendy - Azpilicueta (cap.), Zouma, Thiago Silva, Chilwell - Jorginho, Kovacic - Hudson-Odoi, Mount, Werner - Abraham. Entraineur : Franck Lampard.

Julien Stéphan : "Il ne faut pas paniquer"

En conférence de presse d’avant-match de Ligue des Champions, Benjamin Bourigeaud et Julien Stéphan se sont présentés devant la presse. L’occasion de répondre à la presse avant la réception du géant anglais Chelsea appellant à un retour de la confiance et plus de férocité.
ds 0244Julien, ce match face à Chelsea peut-il être la belle occasion pour vous relancer , d’avoir un déclic ?
Le déclic, il faut aller le chercher en nous, en ayant la volonté de s’améliorer dans un certain nombre de domaines qui faisaient notre force au départ. Il faut que l’on soit plus engagés, plus féroces. Au match aller, il y avait eu de la qualité dans le jeu même si le résultat n’avait pas été bon.

Vendredi face à Bordeaux, vos joueurs avaient-ils déjà la tête à ce match européen ? Que penses-tu de Chelsea ?
Je ne pense pas que Chelsea était dans les têtes lors de notre défaite contre Bordeaux, non. Notre mauvais match ne s’explique pas par là. Concernant Chelsea, ils sont dans une grosse dynamique, ils prennent très peu de buts et en marquent beaucoup. Des joueurs internationaux de partout, y compris sur le banc, des joueurs qui brillent en sélection quand on fait appel à eux, à l’image d’Olivier Giroud. On savait que ce serait un très gros morceau, qui luttera probablement pour le titre en Premier League.

On sait que le match aller a laissé un goût amer, notamment avec des décisions d’arbitrages polémiques. Y-a-t-il de la revanche dans l’air ?
On a été frustrés au match aller sur une décision mais ce n’est plus le moment de revenir dessus. Nous sommes passés à autre chose, je ne suis pas convaincu que ce soit un levier ou la clé pour être bons dans l’utilisation du ballon, dans le jeu que de s’appuyer sur un fait passé. Cela a été suffisamment commenté pour ne pas en rajouter.

Comment redonner confiance à vos joueurs dans ce moment difficile. L’expérience du même passage la saison passée peut-elle servir ?
On a connu une séquence plus compliquée que cette année l’an passé. On doit rester près des joueurs, les accompagner, les rassurer et aussi mettre les difficultés sur la table. Ce n’est pas en tapant sur les garçons que les choses reviennent. Il y a de la qualité dans ce groupe-là, nous l’avons déjà montré. Il ne faut pas paniquer. J’ai l’impression depuis quelques semaines en écoutant ou regardant ici et là que c’est une catastrophe. Non, nous sommes déçus, bien sûr, de ne pas avoir les résultats que nous visons. Nous devons les retrouver par le jeu, par le dynamisme. Ce n’est pas en noircissant le tableau que ça s’arrangera. Nous sommes là, soudés, ensemble, cherchant la solution et avec les joueurs, nous allons la trouver. Demain, nous jouons Chelsea, coleader de Premier League, qui a investi 250 M€ sur le marché des transferts, ce n’est pas rien. Nous chercherons un contenu bien meilleur, notamment sur le collectif, l’intensité.

Quel ressort vas-tu activer dans ta causerie ? Le même que celui utilisé contre Arsenal en 2019 ?
Ce sont deux histoires différentes, des groupes différents, les moments n’ont rien à voir. Pour la causerie de demain, j’en garde l’exclusivité pour mes joueurs. Moi, je veux les rassurer, être en soutien d’eux dans les bons comme les mauvais moments. Une saison est faite de hauts et de bas. Quand les bas se présentent, il faut les affronter et les assumer. Nous allons rester unis, positifs, sans tout noircir bien qu’il faille être objectif notamment sur le dernier match, mettre sur la table ce qui n’a pas été.

Tu as évoqué récemment ton avenir personnel laissant planer un douter possible quant à la suite. Qu’en est-il ?
J’avais déjà parlé de cela il y a deux mois quand tout allait bien et ça n’avait pas été repris plus que cela ni suciter ces réactions que l’on a aujourd’hui avec de moins bons résultats. Je disais qu’après trois ans pour un coach à la tête d’une équipe, on pouvait être à la fin d’un cycle et qu’il fallait alors se poser les questions pour savoir s’il fallait en attaquer un second ou pas. Aujourd’hui je ne le sais pas mais ça ne veut pas dire que je n’en ai pas envie ! Il ne faut pas aller chercher des interprétations là où il n’y en a pas. Je suis dans un très bon club, je suis ravi de travailler avec ces joueurs, avec Florian Maurice et Nicolas Holveck. Je dis simplement que quand on fait ce métier, qui est dur, difficile épuisant mais aussi formidable, il faut avoir l’honnêteté intellectuelle de se poser, avec lucidité, de savoir si on peut continuer ou pas. Je le répète, il ne faut pas y voir quelconque interprétations que ce soit quant à mon avenir. Il conviendra à chacun de vérifier l’information que je vous donne, je l’avais expliqué dans les colonnes de France Football. C’est la stricte vérité.

Penses-tu enfin, que le passage difficile actuel est dû à la digestion du mercato tardif de cette saison ?
Non ! Nous sommes dans l’apprentissage du très haut niveau, avec une expérience unique en Ligue des Champions. Il faut la vivre, la prendre, la digérer ensuite. Nous sommes aussi dans l’apprentissage d’enchainements de matchs tous les trois jours sans nos supporters pour nous offrir ce surplus. Je ne vois pas comment on peut juger un mercato après un mois et demi. Les joueurs ont parfois besoin de plusieurs mois voire d’une année pour s’adapter, il faut leur laisser du temps. Se réfugier derrière ça, je ne trouve pas ça honnête.

Benjamin, du côté des joueurs, comment aborder ce moment plus difficile de la saison ?
Quand on est dans une phase plus compliquée, il faut retrouver ce qui a fonctionné en début de saison. Retrouver de la confiance, avoir une prise de conscience et ne pas tout effacer non plus, corriger les erreurs et avoir un peu plus de férocité que ce que l’on a montré sur les derniers matchs. Quand on enchaîne les mauvais résultats, c’est plus difficile d’être en confiance. On se réfugie dans le travail, on reste positifs et c’est ainsi que l’on sortira de cette spirale négative.

Quel impact à l’absence des supporters sur les performances ?
Dans une phase un peu plus délicate, on a eu cette même période l’an passé et nous avions l’aide des supporters pour nous aider. Il faut aller chercher cela ailleurs. A nous de rester soudés pour sortir de la spirale. Les résultats sont moins bons. Certes, il y a eu des contenus corrects sans gagner. Contre Bordeaux, il n’y avait ni le contenu, ni les trois points. Désormais, c’est ensemble que nous réussirons à sortir de celà. Il faut regagner de la confiance et le plaisir de jouer les uns pour les autres.

Puni et… éliminé de la Ligue des champions

Battus par Chelsea dans les dernières minutes, les Rennais ont dit adieu aux huitièmes de finale de la Ligue des champions. Malgré le revers, les points positifs l’emportent dans les têtes rennaises.
ds 0219Dans un stade où seuls les glaçons avaient finalement leur place en tribunes, le Stade Rennais a été éliminé de la Ligue des champions. Le sifflet des rouges-gorges rennais a été logiquement coupé, après quatre journées, un nul et trois revers, deux buts marqués et neuf concédés. Avec un point au compteur, désormais - et c’était l’ambition annoncée -, les coéquipiers de Damien Da Silva joueront leur va-tout lors d’une finale en Russie. Mercredi prochain, ils iront à Krasnodar pour glaner la troisième place du groupe et un ticket pour un printemps 2021 en Ligue Europa. Une victoire ou un nul (sur un score de 2-2) pourraient faire l’affaire… Mais l’élimination est là tout de même, après une nouvelle défaite au cœur d’une série, désormais étendue à dix rencontres toutes compétitions confondues où se promène un seul succès. Pourtant, dans le contenu, Rennes a montré qu’il valait mieux que ce bilan comptable détestable.

Stephan : "J’ai vu ce que j’aime voir de cette équipe"
À l’aller, à Londres, des circonstances abracadabrantesques avaient tué les Bretons cohérents dans le jeu (0-3). Cette fois, Rennes a payé cash sa jeunesse et ses errements sur deux pertes de balles de Doku (22’) et Grenier (90’). Car, après un premier quart d’heure passé sous l’eau, avec un retard constant et une poursuite du ballon, le groupe de Stephan s’est repris. Oui, Hudson-Odoi marque (0-1, 22’), oui, Mount est mis en échec par Gomis (29’). Mais vraiment Rennes a poussé : Bourigeaud et Léa-Siliki (32’), Da Silva d’une tête puissante (41’), Bourigeaud sur coup-franc (45’), Guirassy en se retournant (73’), puis Nyamsi d’un coup de boule capté par Mendy en deux temps (74’) !

Avant d’obtenir une égalisation légitime par Guirassy sur un corner de Bourigeaud (1-1, 85’). "J’ai vu ce que j’aime voir de cette équipe : avec engagement, ambition, travail dans la largeur, de la présence dans la surface. J’ai le sentiment qu’on les a bougé comme cela n’avait pas été le cas pour eux depuis longtemps… On fait honneur à la Ligue des champions. Sur les matchs, hormis Séville, peu de choses a tourné pour nous Le prochain défi, c’est de renouveler ça tous les trois jours", analyse Julien Stephan.

Nyamsi : "De bons signaux"
"On est forcément déçu du résultat, mais il y a eu du positif, il faut rester là-dessus. Dans la cour des grands, il faut se mettre au niveau. On n’a pas à rougir de notre prestation, tout se joue sur de petits détails. On a eu des bonnes séquences de possession. Après Bordeaux (0-1), il fallait une réaction, on a envoyé de bons signaux", ajoute Gerzino Nyamsi, défenseur, qui, pour son retour, en raison de l’absence d’Aguerd, a montré qu’il était un concurrent pour bousculer la hiérarchie. Avec cette nouvelle soirée sans succès, Rennes cherche désespérément son aurore boréale. Pour enfin sortir de cet automne sans lumière.

"Avant de penser au voyage à Krasnodar, on doit aussi faire tourner le compteur en L1", reconnaît le coach rennais. A la Meinau vendredi (21 h), face à Strasbourg, défait neuf fois en onze journées, ce serait une riche idée.

Défaite cruelle pour le Stade Rennais contre Chelsea

Ce mardi soir le Stade Rennais s’est incliné lors de la 4e journée de Ligue des champions. Les hommes de Julien Stéphan se sont inclinés sur leur pelouse face à Chelsea (2-1). Cette défaite scelle leur élimination dans la compétition continentale.
ds 0318Défaite cruelle pour le Stade Rennais. Les hommes de Julien Stéphan ont cédé dans le temps additionnel après un but d’Olivier Giroud (92’) et se sont inclinés (2-1) sur leur pelouse contre Chelsea.

Le Stade Rennais n’aura pourtant pas démérité ce soir face aux Anglais. Mais les hommes de Julien Stéphan, avec ce troisième revers en quatre matches, sont éliminés de la Ligue des champions. Ils devront tenter d’empocher leur ticket pour la Ligue Europa, la semaine prochaine, à Krasnodar.

Giroud crucifie Rennes
Ce mardi soir, Chelsea a rapidement ouvert le score par l’intermédiaire d’Hudson-Odoi. Servi par idéalement par Mason Mount dans la profondeur, l’ailier anglais a ajusté tranquillement Gomis du pied droit (22’). Après cette ouverture du score, les Rennais n’ont pas baissé les bras. Après un bon travail de Doku sur le côté droit, la frappe de Guirassy à la réception du centre est passée largement au-dessus du cadre.

Puis la tête du capitaine Da Silva, tout en puissance, était bien captée par l’ancien rennais Édouard Mendy (42’). Puis la frappe de Guirassy au premier poteau était bien détournée par le portier de Chelsea (74’). L’ancien de la maison a fait des misères à ses ex-coéquipiers.

L’égalisation est finalement intervenue en toute fin de match. Sur corner, Guirassy a placé une tête victorieuse et redonné espoir à ses coéquipiers (85’). Mais Chelsea a repris l’avantage dans le temps additionnel. La joie rennaise n’aura pas duré longtemps. Gomis repousse une première frappe de Werner mais Giroud saute plus haut sur le deuxième ballon et fait trembler les filets.

Cinq raisons d’y croire encore en Ligue des champions

Avec un seul point en trois matchs, le Stade Rennais est mal en point en Ligue des champions. Mais à l’heure de retrouver Chelsea ce mardi, les raisons d’être optimiste ne manquent pas.
ds 02411 Mathématiquement, rien n’est joué
Un point sur neuf possibles, c’est maigre pour le Stade Rennais qui a enchaîné un nul et deux défaites lors de ses trois premiers matchs de Ligue des champions. Trop peu pour espérer figurer dans les deux premiers à l’issue de la phase de groupes ? Il est encore trop tôt pour le dire.

Mathématiquement, "rien n’est fait, même si Chelsea et Séville ont pris une bonne option (7 points chacun). Il reste trois matchs et toute la phase retour à faire", explique Romain Danzé, ancien joueur emblématique et aujourd’hui responsable des relations publiques du club.

Le match de ce mardi face à Chelsea au Roazhon Park ressemble d’ailleurs, déjà, à une petite finale. En cas de victoire, les Rouge et Noir reviendraient à trois points des Londoniens. Une défaite, conjuguée à une victoire de Séville face à Krasnodar, condamneraient les deux clubs.

2 Une phase retour plus clémente
Dans son histoire récente, Rennes a déjà réalisé des exploits au Roazhon Park face à des grosses cylindrées. Le 8e de finale de Ligue Europa face à Arsenal en 2019 (3-1) en témoigne. Cela tombe bien, la formation de Julien Stephan reçoit les deux cadors du groupe, Chelsea ce mardi à huis clos et Séville le 8 décembre.

"Malheureusement, on n’aura pas notre public, qui est une partie importante de nos résultats à domicile, concède Danzé. Mais quand vous êtes dans votre stade, dans votre vestiaire, sur votre terrain, vous avez plus de repères, de certitudes et de confiance".

3 Chelsea a montré la voie
Dépassée à Séville (défaite 1-0), la formation de Julien Stephan a su élever, nettement, le curseur à Chelsea. Si la défaite est nette (3-0), Rennes a été plombé par les deux penalties concédés par Dalbert et à l’exclusion de ce dernier avant la mi-temps. "Je les ai trouvés très décomplexés, plutôt à l’aise. On a eu la possession une partie du match en étant très agressif au pressing et en récupérant le ballon assez haut".

Tous les ingrédients pour bien figurer en Ligue des champions. Tous, sauf l’efficacité, l’un des points noirs du club breton lors de ses trois premiers matchs.

4 Camavinga et Maouassa sont de retour
Voilà deux (très) bonnes nouvelles. Victime d’une béquille, Eduardo Camavinga a manqué les déplacements à Séville puis Chelsea. Pas convoqué en équipe de France, il en a profité pour se requinquer. "Ça m’a permis de souffler et de revenir en forme", a expliqué le milieu de terrain des Bleus mercredi dernier. De retour vendredi contre Bordeaux, il devrait, par ses percussions et sa justesse technique, faire un bien fou au Stade Rennais.

Quant au latéral gauche Maouassa, blessé depuis fin septembre à la cheville, il a également, comme Mbaye Niang, fait son retour lors des séances collectives. Trop juste pour la réception de Bordeaux, Maouassa a cruellement manqué dans un secteur où Dalbert n’a apporté aucune garantie.

Hormis Rugani, Rennes est d’ailleurs quasiment au complet. "On joue dix matchs en un mois, c’est une cadence infernale, observe Romain Danzé. Il faudra une rotation entre les joueurs et l’entraîneur pourra, avec un effectif presqu’au complet, faire des choix".

5 La Ligue Europa toujours à portée
On l’a dit, si Rennes perd face à Chelsea, la messe sera sans doute dite pour les 8es de finale de la Ligue des champions. Mais sera toujours en lice pour la qualification en 16e de finale de la Ligue Europa. "Notre finale ne sera pas contre Chelsea", précise d’ailleurs Romain Danzé.

Sous-entendu, si Chelsea et Séville ne jouent pas dans la même cour que les Rennais, Krasnodar est à sa portée. La "finale" aura donc lieu le 2 décembre lors de la 5e journée, avec le déplacement en Russie. S’il était repêché en Ligue Europa, le Stade Rennais aurait réussi sa campagne européenne.

Deux absents contre Chelsea, le Covid en cause ?

Ce mardi, Rennes affronte Chelsea dans ce qui ressemble au match de la dernière chance en Ligue des Champions.
ds 0232Avec un point au compteur, les Bretons doivent impérativement réaliser un résultat contre les Blues, ne serait-ce que pour continuer à rêver de la troisième place. Mais à quelques heures du match, Julien Stéphan connaît de nombreux pépins dans la préparation de ce choc. En effet, Téléfoot annonce que le coach breton déplore ce mardi midi deux forfaits de taille : Nayef Aguerd et Martin Terrier. Selon le tweet de Saber Desfarge, les deux joueurs sont suspectés d’être contaminés au Covid-19.

"Nayef Aguerd forfait contre Chelsea. Nyamsi pressenti titulaire, ce soir. Julien Stephan convoque le jeune défenseur Lorenz Assignon dans le groupe. Nayef Aguerd et... Martin Terrier absent également! Même cause et même suspicion. La liste des absents s’allonge au Stade Rennais" a publié l’insider de la chaîne. Cela n’a pas été confirmé, mais les deux joueurs devraient être testés et isolés afin de déterminer s’ils sont bien positifs au Covid-19, comme cela semble été craint au sein du staff médical du Stade Rennais.

Le Stade rennais accueilli par du granit breton en Russie, grâce à une entreprise du pays de Fougères

Les footballeurs du Stade rennais ne seront pas dépaysés lors de leur match de Ligue des Champions à Krasnodar le 2 décembre. Ils retrouveront du granit breton autour du stade.
DS 0213aLe Stade rennais sera un peu en terre bretonne lors de son déplacement à Krasnodar en Russie le 2 décembre prochain. En espérant que cela lui porte chance dans le cadre dans le cadre de la 5ème journée de la Ligue des Champions, après le score de parité 1-1 du match aller.
En terre bretonne… ou plutôt en granit breton. Car le parc de 23 ha qui entoure le stade FK Krasnodar accueille des aménagements réalisés par l’entreprise de Louvigné-du-Désert La Générale du granit qui emploie 130 personnes.
Ils avaient été commandés par le fondateur du club Sergueï Galitski à l’occasion de la Coupe du Monde de football 2018. Le stade n’a finalement pas accueilli de match officiel mais l’équipe d’Espagne a profité de ce bel espace pour s’entraîner tout au long de la compétition.
DS 0213bSix mois de travail
Les grandes esplanades qui bordent le stade ont été réalisées en granit provenant des carrières de Lanhélin (au sud de Saint-Malo). La Générale du Granit a réalisé la découpe et la finition des quelque 14 600 pièces de ce puzzle géant allant de 10 à 250 kg la pièce.
"Ce projet a assuré 6 mois de travail avec un renforcement des équipes dans un contexte incertain, notamment en raison du fait que nombre de municipalités bretonnes préfèrent importer du granit étranger pour leurs aménagements de voirie, alors que la Bretagne dispose de granits de qualité dans son sous-sol."
Bien que l’accès au stade sera interdit aux supporters bretons pour cette rencontre en raison de la crise sanitaire, les hommes de Julien Stéphan ne seront pas seuls, se félicite la Générale du granit dans un communiqué : " Ils seront accompagnés par tous les bretons à travers ce qui fait la renommée de leur territoire, le granit breton, reconnu dans le monde entier pour ses qualités (aéronautique, mécanique de précision...) "

Les joueurs de Chelsea ont atterri à Rennes

Les stars du club de football de Chelsea ont atterri à Rennes, en fin d’après-midi, ce lundi 23 novembre 2020. Demain, mardi, ils affrontent le Stade Rennais (18 h 55) au Roazhon Park, pour la 4e journée de Ligue des champions. Ils regagneront Londres juste après la rencontre.
DS 0212N’N’Golo Kanté, Olivier Giroud, Thiago Silva, Frank Lampard… Les stars de Chelsea ont atterri à l’aéroport de Rennes, ce lundi 23 novembre vers 17 h 30, en provenance de Londres, à la veille de leur match de Ligue des champions, face au Stade Rennais. Un vol partagé sur les réseaux sociaux du club, et par le défenseur César Azpilicueta.

Hébergés au Domaine de Cicé-Blossac à Bruz
Direction Bruz, ensuite, et le domaine hôtelier de Cicé-Blossac, où les Blues ont pris leurs quartiers, ce mardi soir. Pas d’entraînement de prévu, demain, au Roazhon Park, ils rejoindront la route de Lorient, en milieu d’après-midi, à quelques heures du coup d’envoi prévu à 18 h 55, avant de regagner Londres après la rencontre.

Dans le même temps, les joueurs du Stade Rennais s’entraînaient dans leur centre de la Piverdière, avant un exploit attendu, demain, face à Chelsea, après un nul et deux défaites, lors de la phase aller de cette première Ligue des champions de l’histoire du club.

Lampard annonce la couleur

A la veille de la rencontre entre le Stade Rennais et Chelsea, Frank Lampard a avoué qu’il ne prendra pas cette opposition à la légère.
ds 0231L’heure de la revanche a sonné pour Rennes. Lourdement défaits lors du match aller à Stamford Bridge (3-0), les hommes de Julien Stephan ont l’occasion de se relancer ce mardi face à Chelsea en Ligue des Champions. Si la tâche s’avèrera difficile, le Stade Rennais tentera de réaliser l’exploit afin de croire à une potentielle qualification pour le prochain tour de la compétition. A la veille de la partie, Frank Lampard a avoué toujours se méfier de son futur adversaire en conférence de presse.

"Ils avaient été impressionnants lorsque nous les avions affrontés"
"Je suis pleinement concentré sur le défi de Rennes car ils avaient été impressionnants lorsque nous les avions affrontés à Stamford Bridge. Si nous obtenons un mauvais résultat, nous rendrons les prochains matches difficiles, nous devons donc respecter le jeu. J'ai confiance en l'équipe, même si nous faisons tourner l'effectif. Il est important de garder un équilibre. Il faut avoir le bon feeling et une vraie attitude pour aller encore plus loin. Six victoires, ce serait bien, mais on ne peut pas baisser le niveau. Rennes est une bonne équipe." Le Stade Rennais est prévenu, Chelsea compte poursuivre sur sa lancée.

Peut-on mesurer les conséquences de l'absence des supporters sur les résultats ?

Les joueurs et Julien Stéphan le répètent à l'envie : les supporters leur manquent depuis le début de saison. Mais qu'apporte le public à la performance des joueurs ? On a posé ces questions (et d'autres) à un préparateur mental et psychologue du sport.
ds 0230"Nous sommes à la recherche d'un déclic, que nous n'avons pas la possibilité d'aller chercher dans des éléments extérieurs en ce moment", a expliqué Julien Stéphan en conférence de presse ce lundi, avant le match contre Chelsea en Ligue des champions. Son équipe est en difficulté, notamment au niveau de l'état d'esprit sur certains de ses derniers matchs disputés. "On a déjà eu une phase délicate l'année dernière, on avait su se reposer sur l'aide des supporters, et là on doit aller chercher ça ailleurs", appuie Benjamin Bourigeaud.

C'est une rengaine qu'on entend souvent chez les joueurs et le coach depuis le début de saison, qui ont rappelé à de nombreuses reprises l'importance de leur public. Et ce n'est pas que de la communication : la saison dernière, Rennes a gagné neuf points dans les toutes dernières minutes des matchs disputés au Roazhon Park, bien souvent aidés par des supporters incandescents. Devant 5 000 abonnés, Rennes avait renversé Monaco dans les dix dernières minutes lors de la 4e journée de cet exercice 2020/2021.

Le public va apporter un regain sur l'attitude
Mais cette année, l'équipe a joué devant au maximum 5 000 supporters, dans une enceinte qui peut en contenir plus de 29 000, et doit jouer dans un stade vide depuis la fin octobre. Alors, quelle incidence concrète a l'appui du public sur les performances des joueurs ? Mathieu Carrer, préparateur mental et psychologue du sport nous répond : "Il va permettre aux joueurs de favoriser les efforts nécessaires pour être performant, de maintenir l'engagement, sa persistance et sa persévérance sur le long terme, jusqu'à la fin du match. Les joueurs mettent aussi davantage d'intensité s'ils se sentent soutenus par le public. Et au-delà de la performance pure du match, le public va apporter un regain sur l'attitude, le comportement, pour permettre aussi d'aller chercher cette énergie que les joueurs n'avaient pas forcément à l'origine."

Mais le public n'a pas qu'une influence sur les joueurs, selon le préparateur mental et psychologue du sport : "Sur un plan secondaire, des études montrent aussi l'impact du public sur les décisions arbitrales, qui, inconsciemment, vont avantager l'équipe à domicile." Un soutien qui permet également d'atténuer la perception de la fatigue, ajoute Mathieu Carrer.

"Il faut jouer sur la cohésion"
Revenir sur les matchs récents de Rennes en arguant que le public aurait forcément changé la donne reviendrait à faire du foot fiction. Qu'il ait eu une incidence, au regard du manque de caractère parfois affiché, est une certitude. Alors comment compenser ce manque de public ? Mathieu Carrer : "Il faut jouer sur la cohésion, mettre en évidence des règles collectives au sein du groupe. Pourquoi ne pas favoriser aussi des échanges avec les supporters ? Sans qu'ils soient présents au match, on peut organiser un retour avec eux après les rencontres, par visio notamment, pour garder le lien et ne pas perdre le sentiment d'appartenance."

En conférence avant la rencontre contre Chelsea, Julien Stéphan expliquait justement que le déclic était recherché "en interne." Avec lucidité sur les manques, "sans tout noircir, mais en allant relever le niveau de confiance de certains joueurs, en étant plus féroces, plus engagés dans ce qu'on va proposer." Des valeurs qui rendraient fiers leurs supporters, même s'ils seront obligés d'en juger devant leur écran ou leur poste de radio ce mardi soir.

Mais au fait, c'est quoi cette Ligue Europa Conférence ?

À pas de velours, la Ligue Europa Conférence, nouvelle C4 dont la première édition se profile, pointe le bout de son nez. Et même si on ne risque pas d’y croiser les plus grandes écuries européennes, elle sera l’occasion de redécouvrir une tranche du football qui se fout des paillettes. Mais à quoi va-t-elle ressembler ?
DS 0197Une Coupe Intertoto 2.0
Si elle aura ses propres phases finales et qu’elle ne sera pas qualificative pour la Ligue Europa (hormis pour le vainqueur), force est de constater que cette Ligue Europa Conférence aura des allures d’Intertoto. Avec un format de 32 clubs qui fait la part belle aux championnats les plus modestes, on y retrouvera les dix mauvais élèves des tours préliminaires de la Ligue Europa, dix-sept équipes issues de sa propre phase qualificative et au moins neuf championnats nationaux. Le gratin des laissés-pour-compte en quelque sorte. On y retrouvera un seul représentant pour chacun des cinq premiers championnats à l’indice UEFA, tandis que ceux classés de la seizième à la cinquantième place de l’indice pourront compter jusqu’à trois représentants chacun. De quoi faire des heureux.

Un nouveau filon pour les chercheurs d’or et de pépites
Eh oui. Pour les nombreux clubs en recherche de jeunes pépites à bas prix, cette Ligue Europa Conférence fera office de banquet. S’ils sont certes en marge et loin du niveau de la fine fleur européenne, les championnats écossais, luxembourgeois, roumain, lituanien et compagnie regorgent forcément de quelques pépites à la recherche de projecteurs plus puissants. Les amateurs de Football Manager pourront d’ailleurs remplir leur calepin des noms de ces cracks qui ne demandent qu’à être sortis de leur semi-professionnalisme. Nul doute que les scouts de chez Red Bull et les vassaux de Luis Campos se fraieront un chemin jusqu’à ces stades de rase campagne pour avoir un œil sur la jeunesse talentueuse des contrées oubliées.

Une occasion de voir du neuf
La Ligue des champions c’est rigolo, mais ça fait bien longtemps que la glorieuse incertitude du sport l’a désertée. Seuls une poignée de clubs y prétendent, et chaque année, les phases finales sont des déjà-vu plus intangibles. Alors qu’est-ce qui est le plus excitant ? Un PSG-Manchester United qu’on a l’impression d’avoir maté cent fois, un Bayern-Salzbourg qui vire inévitablement au carnage attendu ou un FK Bodø/Glimt-Beerschot inédit qui nous garantit du suspense et une cargaison de buts ? Cette Ligue Europa Conférence peut prendre la forme d’un océan de possibilités. Ayons la curiosité de sauter à pieds joints dans ces parages inexplorés, décomplexés par les enjeux moindres, mais emplis de la même ferveur, de la même passion.

Une chance pour la Ligue 1 de briller à nouveau sur la scène européenne
Soyons chauvins quelques instants. Le début de campagne européenne catastrophique des porte-étendards de notre chère Ligue des Talents nous rappelle amèrement que les frissons d’un triomphe européen semblent plus lointains que jamais. Les beaux parcours de Lyon et Paris lors du Final 8 sont des trompe-l’œil sur lesquels il ne faut pas fonder d’espoirs candides. Pour renouer avec les belles heures de notre histoire européenne, il faut faire preuve d’humilité et boxer dans sa catégorie. Douze clubs français avaient remporté l’Intertoto. Surtout, cette place européenne supplémentaire permettra de récompenser l’invité surprise du haut du classement, souvent classé 5e ou 6e. Même défait en Hongrie, Reims a fait rêver ses anciens en renouant avec son identité d’antan et rendu fier ses plus jeunes supporters, trop contents de voir leur blason défendu sur la scène européenne. Une place de plus en Europe, ce sont des étoiles ajoutées dans les yeux d’enfants rêveurs. Et ça, ça n’a pas de prix.

Une nouvelle Coupe d’Europe au rabais ?
Certes, il semble assez improbable qu’on croise des jeux léchés, des techniciens ou des tacticiens hors norme et des pelouses taillées comme des billards dans cette Ligue Europa Conference. Les tactiques rustres, pragmatiques et les pelouses bosselées y seront sûrement mises à l’honneur. Si la première édition sera peut-être peu emballante, les années feront de cette nouvelle institution, attendue ou non, une compétition de premier plan, un peu à la manière de la Ligue des nations. Et puis soyons honnêtes, elle revêtira l’importance qu’on veut bien lui donner. Si les clubs français viennent à jouer les grands de la cour de récré, une ferveur enflera naturellement. Et si un club français vient à la remporter, comptez sur nous pour parader sur les Champs et crier aux oreilles de qui veut bien la tendre que la Ligue 1 est le meilleur championnat d’Europe.

Une réminiscence du football qu’on aime
Et si cet ersatz de Coupe de France à l’échelle européenne permettait à un public grisé de se réconcilier avec son sport favori ? De le faire crier, pleurer, rigoler devant des joueurs flirtant parfois avec l’amateurisme et défendant leurs couleurs pour l’amour du maillot et le simple plaisir de jouer ? En fait, la Ligue Europa Conférence, c'est un peu le Vrai Foot Day, non ?

L’UEFA sanctionne le Stade Rennais avec une amende

L’UEFA a sanctionné le Stade Rennais pour non-respect du protocole sanitaire lors de la réception de Krasnodar au Roazhon Park. Le club breton a reçu une amende globale de 32 000 €.
DS 0174La commission de discipline de l’instance européenne a infligé au Stade Rennais une amende globale de 32 000 €, dont 10 000 € pour "violation du protocole sanitaire" à l’occasion de la réception de Krasnodar (1-1), le 20 octobre, match auquel 5 000 spectateurs avaient assisté malgré la pandémie de Covid-19.

Le club est sanctionné notamment pour ne pas avoir fait respecter "la distanciation sociale" parmi les spectateurs.

Une nouvelle piste étudiée pour l’Euro: le tournoi pourrait se disputer intégralement au Royaume-Uni

L’UEFA aurait entamé des discussions avec la Fédération anglaise de football pour l’organisation du tournoi du 11 juin au 11 juillet.
DS 0173L’UEFA n’a pas caché il y a un mois qu’elle travaille sur plusieurs scénarios pour l’organisation de l’Euro l’été prochain alors que la crise sanitaire se poursuit. Même si le président de l’instance européenne Aleksander Ceferin s’affiche confiant sur le maintien du format à 12 pays hôtes, d’autres pistes seraient à l’étude qui engageraient moins de pays voire un seul. Récemment, le quotidien français Le Parisien évoquait l’option de la Russie, qui vient tout juste d’organiser la Coupe du monde en 2018. On apprend désormais qu’un autre pays pourrait se présenter comme seul organisateur.

Le Daily Mail révèle en effet que l’UEFA aurait entamé des discussions avec la Fédération anglaise afin d’accueillir l’entièreté du tournoi au Royaume-Uni du 11 juin au 11 juillet. Dans le format actuel, le pays est déjà le théâtre de onze rencontres entre Wembley en Angleterre et Hampden Park en Écosse, avec notamment les demi-finales et la finale prévues à Londres.

En plus d’un potentiel changement de format, la question des supporters n’est toujours pas tranchée. L’UEFA réfléchit aussi bien à des stades vides qu’à une occupation à 30 %, 50 % ou encore 70 %. La Fédération anglaise est quant à elle plutôt confiante sur la présence des fans en tribunes, se penchant sur un protocole qui verrait la tenue de tests massifs autour des stades.

S.G.S.B.

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