Les Rennais se sont inclinés face à l'Olympique de Marseille, ce vendredi 20 janvier 2023, en 16èmes de finale de la Coupe de France. Leur parcours de cette compétition s'achève.

"Il n’a pas démérité", mais l’aventure du Stade Rennais en Coupe de France s’est arrêtée aux portes des huitièmes de finale, vendredi 20 janvier 2023, à Marseille. Opposés à L’Olympique de Marseille pour ces 16èmes de finale, les Rouge et Noir se sont inclinés 0 à 1.
Engagés dans un gros combat face aux Olympiens, les Rouge et Noir ont eu du répondant, surtout en seconde période, mais se sont inclinés dans un de leur temps forts par un but Mattéo Guendouzi (59è).
Pour ce match couperet, l’entraîneur Bruno Genesio avait reconduit la défense à cinq, qui a empêché les Parisiens de s’exprimer face au stade Rennais, dimanche 15 janvier, dans le cadre du match de clôture de la 19è journée de Ligue 1.
Une première période poussive
Si cette composition a marché sur le plan défensif pendant un long moment, sur le plan offensif, ce fut plus difficile avec un manque d’efficacité en contre-attaque.
Une seconde période meilleure mais fatale
Après la mi-temps, les Rennais ont retrouvé du souffle et été bien plus offensifs envers les joueurs d’Igor Tudor. Mais cela n’a pas suffi, "par précipitation et imprécision dans le dernier geste".
Malgré le fait qu’ils étaient bien dans le match, dans un période domination, les Rouge et Noir ont lâché sur une accélération de Jordan Veretout pour Mattéo Guendouzi à la 59è, le gardien rennais Dogan Alemdar n’a rien pu faire.
Des occasions manquées
Enfin, les Bretons ont tenté de revenir au score, notamment avec les joueurs entrés dans les vingt dernière minutes, mais la victoire a échappé au Stade Rennais lors de trois occasions, aux 66è, 80è et dernière minute, lors du centre-tir de Santamaria, contre la barre transversale.
La réaction de Bruno Genesio
L’entraîneur s’est exprimé à l’issue de cette rencontre. Selon lui, il y a des situations où le ballon aurait dû ressortir plus proprement ou s’installer dans leur camp pour avoir des temps de possession plus importants.
Il nous a manqué du poids devant le but et plus d’application sur les centres. C’était un match assez fermé. Dans ces matchs-là, il faut savoir être efficace et chirurgical. Il y a quand même eu des choses intéressantes avec une équipe jeune.
Prochain match pour les Rouge et Noir : vendredi 27 janvier, à 21h, dans un derby face à Lorient, pour la 20è journée de Ligue 1. Toujours engagé en Ligue Europa, le Stade Rennais affrontera le Shaktar Donetsk dans un autre 16è de finale, les 16 et 23 février prochains.
France Télévisions et BeIn Sports seront les diffuseurs officiels de la Coupe de France pour la période allant de 2022 à 2026.

La Fédération Française de Football est heureuse d’annoncer que France Télévisions et BeIn Sports seront les nouveaux diffuseurs officiels de la Coupe de France pour les quatre prochaines saisons, sur la période 2022-2026.
France Télévisions, diffuseur historique, prolonge son engagement tandis que BeIn Sports acquiert les droits de diffusion du prestigieux Trophée pour la première fois.
Les deux groupes, à travers leurs différentes chaînes, assureront une couverture maximale et valorisante de la compétition phare du football français dès les 32es de finale qui se déroulent le dimanche 8 janvier prochain.
La 106e édition de la Coupe de France a réuni cette saison plus de 7 300 clubs amateurs et professionnels.
Réaction de Noël Le Graët, président de la FFF :
"Je suis satisfait de ce nouveau partenariat avec France Télévisions et BeIn Sports qui confirme toute l’attractivité de la plus populaire et rassembleuse des compétitions du football français. C’est aujourd’hui encore l’une des rares trophées au monde à réunir aussi largement football amateur et professionnel, saison après saison. La satisfaction est d’autant plus grande que les revenus générés par ces contrats de diffusion permettront de maintenir un niveau de dotations financières importants pour les clubs amateurs et professionnels qui s’élèvent au total à près de 12 millions d’euros."

La Coupe de France sur Eurosport, c’est sans doute bel et bien terminé ! Alors que les 7e et 8e tours de la compétition n’ont pas trouvé de diffuseurs (plusieurs rencontres ont été relayées sur FFF TV ou par les clubs), un autre média va prendre le relais d’Eurosport à partir des 32es de finale. C’est ce qu’a annoncé le président de la FFF, Noël Le Graët, dans les colonnes de L’Équipe ce mercredi, sans pour autant dévoiler le nom de l’heureux élu pour le moment.
"Je pense que l’on sera opérationnel en fin de semaine pour signer un nouveau contrat de quatre ans. Il y aura France Télévisions et un autre diffuseur pour remplacer Eurosport", a détaillé Le Graët. La bonne nouvelle est donc le maintien de France TV pour relayer cette compétition mythique, dont certaines affiches seront donc toujours disponibles en clair. Pour rappel, les 32es de finale auront lieu les 6,7 et 8 janvier prochains.
Le Stade Rennais a hérité d’un déplacement aux Girondins de Bordeaux en 32es de finale de la Coupe de France lors du tirage au sort effectué ce lundi 21 novembre. Le match aura lieu samedi 7 ou dimanche 8 janvier 2023.

Après trois entrées en lice contre des clubs de Ligue 1 (Amiens en 2019-2020, Angers en 2020-2021 et Lorient en 2021-2022), le Stade Rennais jouera contre une équipe de Ligue 2 en 32es de finale de la Coupe de France 2023. Les Rouge et Noir se déplaceront au Matmut Atlantique pour y affronter les Girondins de Bordeaux, actuels 2es de Ligue 2, suite au tirage au sort effectué à Nantes ce lundi 21 novembre. La rencontre aura lieu le week-end du samedi 7 et dimanche 8 janvier 2023, quelques jours avant un déplacement en championnat à Clermont mardi 10 ou mercredi 11 janvier.
Pour la première fois depuis 2017, le Stade Rennais est le seul représentant d’Ille-et-Vilaine au stade des 32es de finale, après l’élimination de l’US Fougères (National 3) au 8e tour contre Avranches (National) sur le score de 1-0.
Alors que la compétition a déjà démarré, aucun accord de diffusion n'existe pour la Coupe de France. Des discussions sont prévues entre le duo France TV-Eurosport et la FFF, mais l'écart entre les parties est conséquent.

La vieille dame a perdu un peu de son pouvoir d'attraction. Le 22 mars dernier, la Fédération française a lancé un appel d'offres sur les droits de la Coupe de France pour les quatre prochaines saisons qui n'a pas été à la hauteur des attentes. Détenteur du contrat pour un montant de 21 millions d'euros annuels, le groupement France TV-Eurosport, qui se partage les droits depuis longtemps, a été le seul à répondre sérieusement à la consultation, mais pour un montant revu à la baisse, à hauteur de 15 millions d'euros par an.
Logiquement insatisfaite, la FFF a déclaré l'appel d'offres « infructueux », le 21 avril, se tournant vers une négociation directe avec les chaînes pour faire bouger les lignes. « Le comex m'a autorisé à discuter de gré à gré, nous annonçait Noël Le Graët, le président de la FFF, à l'issue de la réunion de son comité exécutif. On avait mis la barre assez haut. Maintenant, on va discuter. » Six mois plus tard, rien n'a vraiment bougé, alors que la Coupe de France a repris et que l'entrée en lice des clubs de Ligue 2 s'effectuera le week-end des 29 et 30 octobre.
Chacun campe sur ses positions
La saison dernière, à ce stade de la compétition (7e tour), Eurosport retransmettait déjà des rencontres. Il serait étonnant qu'il en soit de même cette année, car les positions des uns et des autres n'ont pas évolué, même si le temps presse. Du côté des diffuseurs, on estime que la proposition faite à la FFF est une belle offre dans le climat actuel. Le service public, censé entrer en jeu à partir des 32es de finale et qui dispose du premier choix à partir des 16es, laisse entendre que les audiences ne sont pas toujours fracassantes, avec 9 à 10 % de parts de marché, avant la finale qui réalise un bien meilleur score.
Il a été convenu d'une rencontre entre les dirigeants de la FFF et l'association France TV-Eurosport, même si la date n'a pas encore été fixée. Les deux parties veulent aboutir. Le contrat est essentiel pour Eurosport, qui dispose de peu d'événements d'envergure. De leur côté, les chaînes publiques sont aussi désireuses de conserver la Coupe de France, une compétition ancrée dans l'histoire du pays. Et pour sa part, la FFF est satisfaite de ses diffuseurs même si elle l'est moins de leur offre financière.
Pour aboutir, il faudra bien trouver un terrain d'entente, pour l'instant pas évident à dénicher. Car entre l'offre commune de l'ordre de 15 millions d'euros des diffuseurs (assumée à plus de 50 % par France TV) et l'attente de la Fédération (le montant de 21 millions d'euros du dernier contrat), l'écart est important. Et le temps est compté.
Alors qu'un nouvel appel d'offres pour la Coupe de France sera lancé la semaine prochaine, Amazon, détenteur des droits de la Ligue 1, s'est manifesté pour prendre la suite d'Eurosport et France Télévisions.

Ce serait une petite révolution dans le paysage audiovisuel français de la Coupe de France. Alors que le contrat des diffuseurs actuels (Eurosport et France Télévisions) s'achève en fin de saison et qu'un nouvel appel d'offres sera lancé la semaine prochaine, Amazon, détenteur des droits de la Ligue 1, s'est manifesté pour prendre la suite.
La FFF déçue par la qualité des programmes actuels
Cette compétition permettrait à ce nouvel entrant parmi les détenteurs de droits d'enrichir sa grille lorsqu'il n'y a pas de Championnat. La Fédération, déçue par l'exposition et la qualité des programmes de la Coupe de France sur les antennes d'Eurosport et France Télévisions, ne verrait pas d'un mauvais oeil l'arrivée d'un nouvel entrant pour peu qu'elle récupère grosso modo ce qu'elle touche actuellement, à savoir 22 millions d'euros annuels.
Selon un proche du dossier, la Fédération française de football pourrait proposer un nouveau découpage des lots et pas seulement la coupe de France masculine dans un et la féminine dans l'autre, comme elle souhaitait le faire. Elle recherche soit un diffuseur payant associé à une chaîne gratuite, soit un payant qui sous-licencierait à un gratuit.
Comme plusieurs fois cette saison, le Stade Rennais a laissé échapper à Nancy un match qu’il avait en main jusque dans les dernières minutes. Une récurrence qui montre le chemin restant à parcourir pour ses jeunes joueurs encore tendres pour le haut niveau.

Cela devient un fil rouge de sa saison : le Stade Rennais mène au score ; ne parvient pas à se mettre à l’abri ; fait entrer ses jeunes pousses ; recule et finit par se faire punir. Nancy, qui a égalisé seulement trois minutes après la double sortie de Doku et Guirassy pour Diouf et Tel, est venu s’ajouter aux mauvais souvenirs de Brest, Bordeaux voire Arnhem.
Sans accabler les plus jeunes, force est de constater que leurs entrées en jeu ne pèsent pas encore sur le sort des rencontres et leur arrivée à maturité réclamerait sûrement davantage de patience. « Ça fait partie de leur apprentissage, estime Bruno Genesio. Ils travaillent tous les jours à l’entraînement, ça leur montre l’étape supplémentaire entre l’entraînement et les matches de compétition, même si c’est une équipe de Ligue 2 en face. »
La classe biberon encore sollicitée à Lens ?
Dimanche, le cas était un peu particulier à la lecture du banc des remplaçants : Bonet, Françoise, Matondo, Diouf, Kadile, Tel et Abline. Tous âgés de moins de 20 ans et aucun à plus de dix matches professionnels. Fallait-il alors faire des changements alors que le match n’était pas plié ? Avec un Doku aux douleurs tenaces au genou jusqu’à la trêve et un Tait (de son côté remplacé par Kadile) visiblement encore loin de son meilleur niveau, on peut comprendre que Genesio se soit montré précautionneux.
En revanche, Guirassy aurait pu être un élément expérimenté de plus pour les tirs au but, si tant est qu’il se sentait en mesure de participer compte tenu de sa prestation globale. Du haut de ses 16 ans, Mathys Tel fait partie de ceux à avoir pris leurs responsabilités : « On a demandé à ceux qui se sentaient de les tirer, dévoile Genesio. Lui s’est désigné. »
Si la séance s’était poursuivie après Badé, sixième et dernier tireur, l’inexpérience du groupe aurait de toute façon été mise à l’épreuve avec Assignon, Truffert, Diouf et Kadile encore disponibles comme joueurs de champ. Si le Covid prive Rennes des mêmes joueurs à Lens qu’à Nancy, il en sera encore beaucoup demandé aux gamins ce week-end.

Éliminé par Nancy (1-1, 3-4 aux TaB) dans le cadre des 1/16èmes de finale de la Coupe de France ce dimanche avec le Stade Rennais, Bruno Génésio en a profité pour alerter les instances sur le manque de consignes données au sujet des mesures anti-Covid, avant la rencontre. Selon le technicien des Bretons, le manque de clarté à ce sujet entraîne des inégalités, puisque la Fédération Française de Football (FFF) laisse les équipes s’organiser comme elles le souhaitent.
«Je regrette un peu le manque de protocole qui aurait dû être mis en place, soit par la Fédération soit par la Ligue, afin que toutes les équipes soient sur la même ligne. Parce que je crois savoir que certains n’ont testé personne. On l’a fait par mesure de précaution et finalement on peut se dire qu’on est les dindons de la farce. Voilà. Peut-être que les dirigeants avaient d’autres choses à faire pendant les fêtes que de sortir un protocole beaucoup plus réglementaire et draconien…», a-t-il expliqué sur Eurosport 2.
Selon les informations de L’Équipe et RMC, la finale de la Coupe de France, qui doit se jouer le 19 mai au Stade de France, aura lieu sans spectateurs.

Il n’y aura personne dans le Stade de France pour vivre la magie de la Coupe de France. Annoncé par RMC Sport ce mardi 11 mai et confirmé par L’Équipe , la finale de la Coupe de France, qui aura lieu le 19 mai à Paris, se déroulera sans spectateurs.
La Fédération n’a pas obtenu de dérogation
La Fédération française de football n’a finalement pas réussi à obtenir une dérogation de couvre-feu (en vigueur jusqu’à 21 h) afin d’accueillir des supporters. La rencontre débutera à 21 h 15 et pourrait se terminer bien après 23 heures en cas de prolongation ou de tirs au but.
Lundi, pourtant, dans un entretien donné au Parisien, le Premier ministre Jean Castex avait dévoilé les jauges pour les stades. Et selon ces dernières, la finale de la Coupe de France aurait dû accueillir 1 000 spectateurs. Pour rappel, la finale opposera Montpellier ou le PSG au petit poucet Rumilly Vallières (National 2) ou Monaco.