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Après trois saisons passées au Stade Rennais, Jérémy Doku s’est engagé en faveur de Manchester City dans les derniers jours du mercato estival. Une signature qui en dit long sur les perspectives d’avenir de l’ailier belge. Désireux de franchir un nouveau cap dans sa jeune carrière, le joueur de 21 ans espère devenir indiscutable en sélection en évoluant aux côtés des plus grands. Hier, le natif de Borgerhout a fêté sa 17e sélection avec la Belgique face à l’Estonie.

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Si les Diables Rouges se sont largement imposés face aux Estoniens (5-0), Jérémy Doku n’a pas soigné ses statistiques malgré une belle activité sur le pré. C’est donc avec une pointe de frustration que le Belge s’est présenté devant la presse pour évoquer sa prestation."Je pense que j’ai fait un bon match, on a tous fait un bon match. Jan Verthonghen méritait ça pour sa 150e. On est contents du score et du résultat. On peut toujours faire mieux mais aujourd’hui, c’était une réussite. En juin, j’avais dit que je devais faire mieux dans le dernier geste. C’était mieux aujourd’hui, mais je ne marque toujours pas, même si je fais quand même une passe décisive. J’aurais aimé marquer mon but, ça reste important pour moi", a déclaré Jérémy Doku au micro de la RTBF à l’heure où son compteur en sélection reste bloqué à 2 réalisations.

Dans une interview accordée à nos confrères du Parisien, l’ancien joueur du Stade Rennais Lesley Ugochukwu revient sur son départ à Chelsea, « le genre d’opportunité qui ne se refuse pas ».

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C’est un nouveau talent précoce qui a quitté les bords de la Vilaine cet été. Formé au Stade Rennais, Lesley Ugochukwu, 19 ans, a signé à Chelsea contre environ 30 millions d’euros. Pour la première fois depuis qu’il a rallié Londres, le milieu de terrain a pris la parole pour évoquer son transfert. Au départ, je pensais faire toute la saison avec Rennes mais le foot, ça va vite. Ça faisait un moment que Chelsea me suivait. Cet été, il y a eu des coups de fil entre le club et moi, ça s’est bien passé et on a décidé d’avancer , explique-t-il à nos confrères du Parisien.

L’international chez les Espoirs, titulaire avec les Bleuets jeudi dernier lors de la première de Thierry Henry, estime que Chelsea est le genre d’opportunité qui ne se refuse pas . J’ai une grande confiance en moi, en mes qualités, en ce que je peux faire. Je sais que si je fais les choses correctement, tout se passera comme prévu. "

Le milieu de terrain Flavien Tait quitte le Stade Rennais pour le club turc Samsunspor. Sur Instagram, le joueur adresse un beau message aux supporters.

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Après quatre saisons avec le club breton, Flavien Tait fait ses adieux aux supporters rennais. Il rejoint Samsunspor, club turc en Super Lig, annonce le Stade Rennais, dans un communiqué envoyé aux médias dont actu Rennes, jeudi 6 septembre.

Le milieu de terrain a porté le maillot rouge et noir à 129 reprises, toutes compétitions confondues. Il a marqué 12 buts et délivré 10 passes décisives. En mai 2022, il avait prolongé son contrat d’un an, jusqu’en 2024. Il n’ira pas au bout de ce contrat.

Un rôle essentiel dans les bons résultats
Par ses qualités physiques et techniques, son état d’esprit et son sens du collectif, Flavien aura eu un rôle essentiel dans les bons résultats des Rouge et Noir depuis quelques années, précise le club.

Il s’est notamment distingué durant les saisons 2020-2021 et 2021-2022.

Les émotions sont fortes, les souvenirs nombreux
Dans une publication sur le réseau social Instagram, le joueur dit au revoir aux supporters rennais. "Quand je repense à toutes ces années passées ensemble, les émotions sont fortes, et les souvenirs nombreux", écrit-il.

Il n’élude pas les "débuts contrastés" et le "travail acharné" pour se "mettre à la hauteur". Il garde en tête la "sensation indescriptible de sentir le Roazhon vibrer".

Mon aventure bretonne m'a profondément changé, sportivement mais aussi humainement.

Il remercie toutes les parties prenantes à cette aventure. Aux supporters, il adresse ces derniers mots : "Vous êtes l’âme de ce club et rendez chaque rencontre magique. Une nouvelle aventure s’offre à moi, mais mon cœur restera marqué au fer rouge et noir."

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Cher peuple rennais,

Après 4 saisons il est venu le temps pour moi de vous dire au revoir. Quand je repense à toutes ces années passées ensemble, les émotions sont fortes, et les souvenirs nombreux.

Des débuts contrastés, et un travail acharné pour inverser la tendance et se mettre à la hauteur de l’ambition du club. La découverte des 3 compétitions européennes avec des soirées exceptionnelles, la sensation indescriptible de sentir le Roazhon vibrer, au rythme des buts, des passes décisives, et des victoires.

Mon aventure bretonne m’a profondément changé, sportivement mais aussi humainement. Je tiens à remercier toutes les personnes que j’ai pu croiser ici : entraineurs, staff, direction, coéquipiers, salariés du club, et évidemment vous supporters, qui m’avez tant apporté. Vous êtes l'âme de ce club et vous rendez chaque rencontre magique, à domicile comme à l'extérieur.

Une nouvelle aventure s’offre à moi, mais mon cœur restera marqué au fer rouge et noir ???

Je vous souhaite le meilleur et tous les succès possibles.

Flavien

Alors qu'il avait signé au CS Maritimo début juillet, après avoir résilié son contrat avec le Stade Rennais, le gardien de but de 39 ans Romain Salin a choisi de mettre un terme à sa carrière et de retourner à Rennes près de sa famille.

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Romain Salin a quitté le Stade Rennais sur une résiliation de contrat en juin dernier, avant de trouver un nouveau challenge en signant au CS Maritimo, club où il avait déjà évolué à deux reprises dans sa carrière (de 2011 à 2013 puis de 2014 à 2016), et qui vient de descendre en 2e division portugaise. Le Mayennais va finalement mettre un terme à sa carrière et rentrer à Rennes. Romain Salin aura eu une carrière longue de 20 ans, joué 287 matchs en pro (dont 28 au Stade Rennais), remporté la Coupe Gambardella en 2003 et la Coupe du Portugal en 2019 (avec le Sporting Lisbonne).

Il assiste à distance à une tentative de cambriolage au domicile familial
C'est un événement récent qui l'a fait changer d'avis et qui a poussé le gardien de but à rentrer en France auprès des siens. Dans la nuit de lundi à mardi, alors qu'il est à Madère au Portugal, il reçoit une notification du système de caméras installé dans sa propriété de la métropole rennaise. Sur les écrans, il aperçoit deux hommes, capuchés et casquette sur la tête, en train de faire le tour de la maison un marteau à la main. Il prévient alors sa compagne qui est sur place, qui parvient à déclencher le système d'alarme et faire fuir les deux hommes.

Mais Romain Salin n'a pas supporté le sentiment d'impuissance, et a prévenu son club de son intention de rentrer dès que possible en France auprès des siens. Il prendra sa retraite professionnelle dans la foulée après un dernier au revoir aux supporters du CS Maritimo.

Romain Salin bientôt sur France Bleu Armorique
Connu pour son franc-parler, son leadership, et son goût pour la tactique, Romain Salin nous fera le plaisir d'intervenir ponctuellement dans notre nouvelle émission consacrée au Stade Rennais, "Le lundi c'est Rauzy" sur France Bleu Armorique. Il fera partie de notre équipe d'experts pour décrypter le jeu et l'actualité des Rouge et Noir.

Selon France Bleu, l'ancien gardien rennais Romain Salin a décidé d'arrêter sa carrière après avoir été victime d'une tentative d'intrusion à son domicile.
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Romain Salin raccroche les crampons. À 39 ans, l'ancien gardien du Stade Rennais a décidé de mettre un terme à sa carrière professionnelle, rapporte samedi France Bleu. Un choix qui survient pourtant quelques semaines après le début de son contrat au CS Maritimo, club de deuxième division portugaise où il est retourné après deux précédentes expériences entre 2011 et 2016.

Une intrusion suivie à distance
Mais un événement récent aurait changé ses plans. Toujours d'après France Bleu, Romain Salin a choisi de retourner en France après avoir été informé d'une tentative d'intrusion dans son domicile situé dans l'agglomération rennaise. Par le biais d'une application de surveillance à distance, le gardien aurait constaté que deux hommes capuchés et munis d'un marteau rôdaient autour de sa maison. Ce qui lui aurait permis d'alerter sa compagne, présente sur les lieux, pour qu'elle les mette en fuite.

Romain Salin avait pris part aux deux premières journées de championnat avec Maritimo. Ce qui a porté son total de matchs disputés avec Maritimo à 121.

Au Stade Rennais, où il a été formé, Romain Salin a pris part à 28 matchs, dont 2 de Ligue des champions. Sur l'ensemble de sa carrière, qui l'a amené à évoluer dans dix clubs différents, le Mayennais a pris part à 287 rencontres depuis 2004.

C’était dans l’air depuis quelques jours, c’est désormais officiel : Nicolas Holveck quitte ses fonctions au Stade Rennais. Après six années effectuées du côté de l’AS Monaco dans la peau d’un directeur adjoint, Nicolas Holveck a rejoint la Bretagne en 2020 pour endosser le rôle de président à la place d’Olivier Létang avant de se retirer prématurément en mars 2021 à la suite d’examens médicaux qui lui ont révélé l’existence d’un cancer.

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"Au nom du club, j’adresse toute ma reconnaissance à Nicolas pour son implication et son grand professionnalisme, je salue également son courage exemplaire face à la maladie", a indiqué François-Henri Pinault, propriétaire du SRFC, dans un communiqué du club. Comme l’a souligné France Bleu Sud Lorraine, Nicolas Holveck est attendu en Meurthe-et-Moselle pour devenir le futur président de l’AS Nancy Lorraine et succéder à Sébastien Janodet.

Invité de l’After Live sur RMC Sport, ce dimanche avant le coup d’envoi de Nice-Lyon, Clément Grenier s’est confié sur son avenir. L’occasion pour l’ancien Lyonnais d’évoquer sa situation à Majorque et d’envoyer un nouveau message au club rhodanien, où il a été formé et où il s’est révélé. «Est-ce que je dis oui si l’OL m’appelle ? Bien sûr, évidemment, c’est mon club de cœur», a ainsi déclaré le Français de 32 ans, à l’heure où les dirigeants s’activent pour trouver un nouveau milieu de terrain.

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«Je l’ai toujours dit, je ne me cache pas, après ce n’est pas moi qui décide. J’ai encore beaucoup de choses à transmettre sur le terrain et en dehors, je vis un moment un petit peu délicat avec mon club actuellement, il peut se passer beaucoup de choses dans les quatre derniers jours. Je suis ouvert à un projet sportif. Je suis dans le loft actuellement. L’entraîneur m’a dit qu’il ne comptait pas sur moi sur ce début de saison. Je m’entraîne très bien. Je suis en pleine réflexion pour savoir si je résilie ou pas pour m’engager librement dans un club. Evidemment que l’OL est toujours dans mon cœur, maintenant ce n’est pas moi qui décide».

Le Stade Rennais et En Avant Guingamp sont en deuil. Passé par les deux clubs, en tant que joueur à Rennes puis entraîneur adjoint, et historique coach d'EAG entre 2002 et 2004, Bertrand Marchand s'est éteint à l'âge de 70 ans.

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La Bretagne perd l'un de ses personnages historiques dans le monde du football. Le Stade Rennais vient d'annoncer le décès de Bertrand Marchand à l'âge de 70 ans. Découvreur de Didier Drogba, qu'il tente de recruter à Rennes en 2001 avant de conseiller à Noël Le Graët de le recruter à Guingamp, le Dinanais a aussi brillé en Tunisie, où il mène en 2007 l'Etoile du Sahel à la victoire finale en Ligue des Champions africaine. Il aura conduit En Avant Guingamp à son meilleur classement en Ligue 1 avec une 7e place obtenue en 2003. Les Costarmoricains avaient terminé à trois points seulement du podium.

Bertrand Marchand a aussi été un consultant de qualité pour France Bleu Armorique entre 2004 et 2006, après son passage sur le banc de Guingamp, et avant de s'envoler pour son aventure tunisienne, sa deuxième patrie, où il a entraîné trois clubs (le Club Africain, l'Etoile du Sahel et le CS Chebba) et fait un court passage à la tête de la sélection en 2010. Nous adressons à sa famille nos plus sincères condoléances.

"Je trouvais que c'était un précurseur c'est-à-dire qu'il était dans la discussion, dans l'humain. Alors on va dire, qu'aujourd'hui, c'est un peu le maître mot. Mais il y a 20 ans, c'était déjà un avant-gardiste", rend hommage Gaël Danic, ancien joueur de Bertrand Marchand et actuellement consultant football pour France Bleu Armorique.

"Pour moi, j'ai une petite affection particulière parce que quand j'avais seize ans, c'est lui qui m'avait surclassé en équipe réserve. Il te disait pas les choses que tu avais envie d'entendre. Il te disait les choses qui étaient la vérité du moment. Et c'est le rôle qu'il a rempli à merveille", poursuit Gaël Danic.

Grâce à un doublé contre Lens et un but et une passe décisive au Havre, Romain Del Castillo est le tube de l’été en Ligue 1. Talent trop souvent bridé par les blessures ou la concurrence dans ses différents clubs, le gaucher a trouvé ses marques à Brest. Entretien avec un crack qui n’oubliera jamais ses entraînements avec Farès Bahlouli.

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Comment expliques-tu l’excellent début de saison brestois ?

Après notre entame ratée l’an dernier, on avait à cœur de bien mieux démarrer. Le groupe se connaît depuis plusieurs années, donc ça a facilité le travail cet été. Certains clubs accumulent les transferts et il y a un temps d’adaptation obligatoire au début de saison. Ici, ce n’est pas le cas. On a peut-être besoin de recrues, mais je préfère conserver la colonne vertébrale. Même si Franck Honorat, Haris Belkebla et Jean-Kévin Duverne sont partis, le fait d’avoir la même ossature chaque année permet d’éviter un retard à l’allumage.

Éric Roy n’avait plus entraîné depuis plus de dix ans avant d’arriver à Brest. Est-ce que ça s’est ressenti ?

Non, pas du tout ! Je suis sûr qu’il a beaucoup travaillé avant de venir, pour être prêt dès le départ. Il est arrivé tranquillement, sans faire de fracas, il a pris ses marques, et tout s’est fait naturellement.

Qu’est-ce qu’il a apporté à un groupe alors dans la zone rouge ?

Beaucoup de confiance, et on en manquait énormément ! On avait de très bons joueurs, mais qui n’étaient pas assez en confiance. Au niveau psychologique, on a vu que quand la tête allait, tout suivait. Aujourd’hui, le coach me fait pleinement confiance, je pense que ça se ressent sur le terrain. Même si j’étais déjà un cadre l’an dernier, le départ de Franck (Honorat) doit me faire passer un cap.

Je préfère jouer toutes les semaines plutôt que regarder des matchs de coupe d’Europe sur le banc.

Vous avez longtemps été à la lutte pour le maintien la saison passée. Après avoir connu l’Europe avec Rennes, ce n’est pas frustrant pour toi de jouer le bas de tableau ?

À Rennes, je me suis heurté à une trop grande concurrence, donc j’étais surtout frustré de ne pas avoir de temps de jeu. Je préfère jouer toutes les semaines plutôt que regarder des matchs de coupe d’Europe sur le banc. À Brest, j’enchaîne les matchs, donc il n’y a jamais eu de frustration de descendre d’un cran en Ligue 1. Avant ça, quand j’étais à l’OL, j’avais été prêté à Bourg-en-Bresse, puis Nîmes, pour prendre ce temps de jeu.

En 2021, tu es arrivé dans le Finistère le dernier jour du mercato. C’est un transfert qui s’est fait dans la précipitation ?

Non, je dirais que ça a surtout tardé. Grégory Lorenzi me voulait depuis longtemps, et j’ai hésité de mon côté. À trois heures de la fin du mercato, j’ai enfin pris ma décision et je crois qu’on a signé à la dernière minute. (Rires.)

Tu n’étais pas stressé à l’idée de repartir pour une saison à cirer le banc avec Rennes ?

Je suis plutôt du genre à prendre les choses du bon côté. Je me disais que j’étais à un an de la fin de mon contrat, donc ça aurait toujours été une bonne expérience. Finalement, le projet brestois m’a attiré et m’a permis de jouer plus. Je reste en Bretagne, une région que j’ai appris à connaître, même s’il pleut beaucoup trop par rapport à Lyon.

Depuis ton arrivée à Brest, tu as terminé deux fois meilleur passeur du club, et dans ta carrière, tu as toujours plus passé que marqué. Comment l’expliques-tu ?

Je suis un joueur altruiste, ça c’est sûr. J’ai toujours eu ce goût pour la passe depuis que je suis gamin. J’ai toujours pensé au collectif avant tout. Je suis souvent guidé par le sens du collectif. Même dans la vie, j’adore faire plaisir aux autres, à mes proches ou mes coéquipiers.

Aujourd’hui, c’est le titre de meilleur buteur brestois que tu cherches ?

J’ai déjà battu mon record de buts sur une saison l’an dernier (6 réalisations, NDLR). J’y arrive un peu mieux parce que j’y accorde de l’importance pour aider l’équipe, mais je veux quand même garder mes passes avant tout.

Ça m’énerve d’avoir une étiquette de joueur fragile.

Ton altruisme te pousse à souvent revenir défendre et a provoqué quelques blessures. Est-ce que ce goût de l’effort et du collectif n’a pas freiné ta carrière ?

Ça m’énerve d’avoir une étiquette de joueur fragile. Je pense que je n’ai pas eu de chance, mais je fais tout mon possible de mon côté pour éviter de nouvelles blessures. Ça passe par le renforcement, l’hydratation, l’alimentation, etc. Par contre, il ne faut pas dire à mes coéquipiers que j’aime défendre, sinon ils vont me pousser à tout le temps revenir. (Rires.)

Tu n’as plus dépassé les 30 matchs dans une saison depuis 2017-2018, en Ligue 2. Est-ce que, sans cette inconstance, tu aurais pu être plus haut à 27 ans ?

À Rennes, je n’étais pas régulier et pas assez bon pour me faire une place. Ensuite, les pépins physiques sont arrivés à Brest, avec une pubalgie notamment. Là, c’est plus frustrant, car je suis titulaire et ça me freine considérablement.

Quand je voyais Farès Bahlouli sur le terrain… C’était tellement incroyable, je n’ai jamais vu ça ensuite.

Avant Brest et Rennes, il y a eu l’Olympique lyonnais. C’est un regret de ne pas avoir percé dans ta ville natale ?

Lyon, c’est mon club de cœur. Chez moi, tout le monde est supporter de l’OL, donc il y avait forcément un peu d’attente autour de moi. C’était une fierté indescriptible de rejoindre le centre. Surtout que je n’étais pas destiné à devenir professionnel, je jouais surtout au foot avec mes potes, pour m’amuser avant tout. Ensuite, quand tu en fais partie, c’est sûr que tu veux y jouer le plus longtemps possible. Malheureusement, ça n’a pas été le cas, mais je me dis qu’il y a une bonne raison et que c’est à moi d’apprendre pour réussir ensuite, même si c’est ailleurs.

Tu es issu de la génération 1996 (avec Gaëtan Perrin, Samuel Moutoussamy et Aldo Kalulu entre autres) qui a atteint la finale de Gambardella 2015. Comment tu expliques que, hormis Mouctar Diakhaby, aucun d’entre vous ne se soit fait une place à Lyon ?

On a tous joué quelques matchs en pro, mais on n’a pas vraiment eu notre chance sur la longueur. Même Gaëtan Perrin, qui s’est montré en marquant, n’a pas réussi à se défaire de la concurrence folle. La génération Lacazette-Tolisso n’était pas encore partie et ça ne permettait pas à la nôtre de s’imposer. Je pense qu’on avait la même mentalité, c’est-à-dire jouer à tout prix, donc on est parti en prêt ou définitivement vers des clubs un peu moins huppés pour lancer nos carrières.

Je crois qu’on galère tellement au fil des ans quand on est au centre que lorsque l’un d’entre nous perce en pro, c’est une petite victoire pour toute la génération.

Avant vous, il y a eu la génération d’Anthony Martial et de Farès Bahlouli qui a été surmédiatisée et qui vous a laissés dans l’ombre…

Ils étaient surtout bien plus talentueux que nous et ils ont aussi eu du mal à s’imposer à l’OL. Lors des oppositions le mercredi, ils nous impressionnaient, donc inconsciemment on a dû se dire qu’on avait du retard. Quand je voyais Farès sur le terrain… C’était tellement incroyable, je n’ai jamais vu ça ensuite. Derrière, tu vois qu’il n’a pas de temps de jeu en pro, donc tu prends une claque et tu vas jouer ailleurs.

En équipe de France Espoirs, tu t’es retrouvé avec Mouctar Diakhaby, Houssem Aouar ou Lucas Tousart qui se sont fait une place à l’Olympique lyonnais pendant que tu enchaînais les prêts. Ce n’est pas rageant de voir ça ?

J’en parlais beaucoup avec Mouctar vu qu’on a fait toutes nos classes ensemble depuis le centre de formation. Lucas est arrivé plus tard, et Houssem est plus jeune. Mais, honnêtement, à l’époque, j’étais tellement content pour lui, il n’y avait aucune jalousie ou rancœur. Je crois qu’on galère tellement au fil des ans quand on est au centre que lorsque l’un d’entre nous perce en pro, c’est une petite victoire pour toute la génération.

Absent des deux premières feuilles de match de l’OL en championnat, Karl Toko-Ekambi a trouvé un nouveau challenge. Le Camerounais s’est engagé jusqu’en 2025 en faveur du club saoudien d’Abha. Il quitte ainsi Lyon, où ses relations étaient conflictuelles avec les supporters depuis de longs mois maintenant.

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Le Groupama Stadium et Karl Toko-Ekambi, c’est terminé. L’attaquant camerounais s’est officiellement engagé, ce vendredi 25 août, en faveur du club d’Abha, qui évolue en première division saoudienne. Il quitte ainsi le Rhône trois ans après son arrivée en provenance de Villarreal, avec 38 buts et 19 passes décisives en 114 matches toutes compétitions confondues avec l’OL.

Les supporters, je m’en fous
Depuis de longs mois, il entretenait une relation conflictuelle avec les supporters rhodaniens, qui ont fait de lui leur tête de Turc, alors que dans le même temps, le joueur ne s’est pas gêné pour les chambrer à plusieurs reprises. Lors d’une interview accordée à SoFoot, il disait : "Les supporters, je m’en fous. Honnêtement, je n’en ai rien à foutre."

Alors que Laurent Blanc lui avait accordé un certain crédit à son arrivée sur le banc lyonnais, il l’a laissé hors de la feuille de match lors des deux premiers matches de la saison à Strasbourg (2-1) et contre Montpellier (1-4). Preuve qu’il n’avait plus vraiment d’avenir au club.

En Arabie Saoudite, à Abha, il retrouvera notamment Grzegorz Krychowiak, qui a porté les couleurs du PSG, ainsi que l’ancien Bordelais François Kamano. Pour le reste, l’effectif est bien loin de celui des "cadors" du championnat national, comme Al-Nassr ou Al-Hilal.

Toujours au chômage, Sabri Lamouchi avait candidaté au poste de sélectionneur de l’équipe de France Espoirs. Malheureusement pour lui, c’est Thierry Henry qui a été choisi par la FFF. Un choix que l’ancien milieu de terrain accepte, non sans une certaine déception.

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"Je suis déçu, mais j’avais la tendance et je n’ai pas été surpris. Je suis heureux d’avoir été candidat, d’avoir porté mon projet au bout. Je pensais que j’avais le profil pour mener cette sélection et je le pense encore. Ce n’est pas parce que je n’ai pas été choisi que je suis moins bon. Mon profil a retenu l’attention de Marc Keller, Philippe Diallo et Hubert Fournier (directeur technique national). Nos relations ont été cordiales et constructives. Je savais que j’étais en finale. Voilà, c’est comme ça. J’accepte de perdre. Il n’y avait qu’un vainqueur possible", a-t-il déclaré à L’Equipe.

Au lendemain de son départ à Wolfsburg, Lovro Majer a publié un message pour revenir sur ses deux années rennaises

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Ce dimanche, Birger Meling a joué son dernier match au Stade rennais. Ce qui lui a valu une belle célébration.

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Entré en jeu, Birger Meling a fait sa dernière apparition sous le maillot rouge et noir ce dimanche face à Metz. Le latéral gauche a été célébré par le stade et ses coéquipiers après le coup de sifflet final dans un très joli hommage.

"Pouvoir partir comme ça sur une grande victoire à domicile avec le public qui a toujours été derrière nous, ça a été magnifique pour moi, a-t-il dit en zone mixte. Je veux dire merci à tout le monde pour mon passage ici, ça a été deux années magnifiques, avec un club incroyable et des supporters magnifiques. Je vous souhaite le meilleur pour la suite." Le Norvégien a ensuite filé à l’aéroport pour filer à Copenhague, où il devrait signer dans les prochaines heures.

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