Après seize saisons dans le monde professionnel et 519 matches disputés, l’ex-Rennais Fabien Lemoine (36 ans) a raccroché les crampons, cet été, à l’issue d’une dernière année à Versailles (National). Toujours domicilié à côté de Lorient, l’ancien milieu de terrain défensif, qui continue de faire du sport (badminton, padel), commence à réfléchir à sa reconversion.

Ça y est, Fabien Lemoine a basculé dans sa nouvelle vie. Après une dernière saison à Versailles (National), le Breton de 36 ans a raccroché les crampons et ainsi refermé le livre d’une carrière riche de 519 matches professionnels, dont 30 de Coupe d’Europe, avec Rennes et Saint-Etienne.
Si l’ancien milieu a bien eu l’opportunité de reprendre une licence dans un club amateur morbihannais (à la GSI Pontivy ou à Larmor-Plage, entre autres), il a préféré décliner. "Sur un niveau "intermédiaire", il y a deux-trois entraînements par semaine plus le match, il faut se tenir en forme, on passe du temps en déplacement, cela ne m’intéresse pas aujourd’hui", assure-t-il.
Néanmoins, après tant d’années passées sur les terrains, le manque se fait-il ressentir ? "Oui et non. Le rythme, le vestiaire, l’adrénaline, entre autres, me manquent, mais je vois aussi comment je suis physiquement. Donc je me sens plutôt bien. En tout cas, je suis beaucoup plus épanoui sans le foot aujourd’hui que je ne l’étais il y a un an (lorsqu’il cherchait un dernier challenge après la fin de son contrat au FC Lorient). Je ne pensais pas, mi-septembre, vivre l’après-carrière avec autant de légèreté. Je pensais que ça allait être plus dur, assure celui qui réside toujours à Larmor-Plage. De toute façon, en étant en National l’an passé, je n’avais plus d’espoir de rejouer en L1 ou L2, je savais que j’étais sur ma dernière ou avant-dernière année."
Début d’une nouvelle histoire au FC Lorient ?
Aujourd’hui, le quotidien de l’ancien Rennais est donc différent. Entre travaux de maison, quelques parties de badminton ou de padel, Fabien Lemoine ne "s’ennuie jamais", alors que la question de sa reconversion va se poser : "Il y aura une réflexion sur la suite. Des choses m’intéressent, dans le football et ailleurs."
Justement, l’une des options pourrait bien se trouver au FC Lorient. "Je me suis entretenu avec le club cet été, et on est censé se revoir", admet celui qui avait déjà évoqué, il y a un an, l’idée de "découvrir les différents métiers au FCL. Je suis curieux et ça me passionne."
Annoncé il y a plusieurs semaines, Paul-Georges Ntep a officiellement rejoint le club vietnamien d’Ho Chi Minh City FC. L’ancien joueur de Rennes et de Guingamp tentera de donner un nouvel élan à sa carrière.

Destination surprenante pour Paul-Georges Ntep. L’ancien joueur de l’En Avant Guingamp et du Stade Rennais a trouvé un point de chute au Vietnam, lui qui était sans contrat depuis l’été 2022 et son passage raté à Boavista au Portugal.
À 31 ans, Paul-Georges Ntep tente donc le challenge vietnamien en signant à Ho Chi Minh City FC, club quadruple champion du Vietnam.
Le club a officialisé la nouvelle dans une vidéo, reprenant des extraits du film Apollo 13. La durée du contrat n’a pas été communiquée. Paul-Georges Ntep tentera de s’y relancer alors que sa carrière est à l’arrêt depuis plusieurs années.
En Ligue 1, il avait pourtant connu des débuts tonitruants avec Rennes, ce qui lui avait ouvert les portes de l’équipe de France (2 sélections).
Avant-centre de l’équipe de France lors de la Coupe du monde 1998, Stéphane Guivarc’h est désormais bien loin du monde du football professionnel. Invité de l’émission Rothen s’enflamme sur RMC ce lundi, l’ancien buteur d’Auxerre a raconté sa nouvelle vie, partagée entre son boulot de commercial et des responsabilités dans un club de R1.

Il n’est pas impossible de le croiser régulièrement sur les routes de Bretagne, qu’il arpente à longueur de journées dans le cadre de sa nouvelle vie. Champion du monde 1998 et titulaire lors de la finale gagnée par les Bleus contre le Brésil, Stéphane Guivarc’h est depuis longtemps éloigné du football professionnel. Si un grand nombre de ses anciens coéquipiers champions du monde ont décidé de s’offrir une après-carrière dans les médias ou sur un banc de touche, lui a opté pour une trajectoire de vie bien différente.
"Ça fait 17 ans que je suis dans les piscines, confie l’ancien attaquant d’Auxerre, élu deux fois meilleur buteur de première division (1997 et 1998), dans l’émission Rothen s’enflamme ce lundi sur RMC. Le patron est un ami. À la base, la boite était une entreprise de plomberie qui faisait ma maison. Mon ami me dit alors qu’il va créer une structure piscine et qu’il recherche un commercial. Comme je ne faisais rien, je lui ai dit que j’allais lui filer un coup de main… et ça fait 17 ans que je suis avec lui, ce n’est plus un coup de main. Je suis sur la route toute la journée, ça se passe très bien, le soir je suis chez moi… J’ai une vie équilibrée, je ne suis pas à la recherche constamment de la caméra ou du micro pour vivre."
Souvent, on parle un quart d’heure de piscines puis une heure de foot
Contacté par Jérome Rothen à l’occasion de la rubrique "Perdus de vue", fil rouge de l’émission tout au long de la semaine, Guivarc’h précise que cette après-carrière originale est le fruit du hasard et des aléas de la vie. "Ce n’était pas voulu. Quand j’étais à Auxerre, j’ai cassé mon contrat pour venir à Guingamp. C’était pour me rapprocher de ma mère qui était très malade. Malheureusement, elle est partie au moment de l’arrêt de ma carrière. Mon père s’est retrouvé tout seul, donc je l’ai épaulé, je suis resté quelques mois… et cette proposition de boulot est arrivée."
Malgré ce costume de commercial, le football n’est jamais très loin pour Guivarc’h. Que ce soit le week-end à l’US Tregunc, club de R1 situé près de Concarneau où il vient d’endosser le rôle de président après la démission de l’ancien dirigeant… ou la semaine dans son boulot. "Souvent, on parle un quart d’heure de piscine puis une heure de foot ! Car 98 a eu un impact considérable, c’était la première Coupe du monde en France", rembobine l’ancien attaquant.
Le Mondial 1998, justement, lui reste encore en travers de la gorge. Malgré un rôle de titulaire à partir des quarts de finale, il n’a pas réussi à trouver le chemin des filets. "Ça me hante toujours aujourd’hui, t’y penses constamment. C’est une Coupe du monde, c’est en France, tu marques 47 fois dans la saison et ce jour-là t’as les pieds carrés", souffle-t-il. C’est ce qui fait le charme du foot aussi ! Lilian (Thuram), il ne marque pas un but de sa carrière et en demi-finale il marque du pied droit et du pied gauche ! Après, le schéma était compliqué aussi. T’as personne dans les couloirs, donc c’est plus compliqué. Ce n’est pas le même schéma que j’avais à Auxerre, où j’avais deux machines à centrer et où il suffisait d’être présent au premier ou au deuxième poteau. Il y avait moins d'efforts à faire dans les déplacements, dans le replacement défensif." 25 ans après, le sujet, aussi douloureux soit-il, permet au moins d'alimenter les discussions avec ses clients.
Un début de saison fracassant! Mathys Tel, arrivé à l'été 2022 au Bayern Munich en provenance du Stade Rennais pour près de 30 millions d'euros (28,5, bonus compris), réalise un début de saison remarqué en Bavière. Le jeune attaquant avait déjà signé un pemier exercice prometteur au Bayern avec 6 buts en 28 matchs et 600 minutes jouées, toutes compétitions confondues.

L'équipe de France est dans ma tête
Cette année, Thomas Tuchel semble compter sur lui dans la rotation. L'attaquant, qui peut également jouer ailier sur les deux côtés, signe un début de saison époustouflant en sortie de banc avec le Bayern. Avec seulement 57 minutes à son compteur en 5 matchs, Mathys Tel a inscrit 3 buts et délivré une passe décisive. Dès qu'il rentre en jeu, l'ancien rennais se montre immédiatement à son avantage.
Il a débloqué son compteur, rapidement dans la saison, en marquant sur la pelouse du Werder Brême, six minutes après son entrée en jeu, avant de récidiver à l'extérieur contre le Borussia Monchengladbach. A domicile, contre le Bayer Leverkusen, il délivre sa première passe décisive de la saison, pour Leon Goretzka, après 17 minutes de jeu. Mercredi en Ligue des champions, contre Manchester United, Mathys Tel a scellé la victoire des Bavarois dans le temps additionnel, cinq minutes après son entrée.
Un but - le premier de sa jeune carrière en Ligue des champions - que le natif de Sarcelles attendait impatiemment.
"Ça fait du bien, j'attends ce but depuis longtemps, a-t-il confié à beIN Sports. J'ai travaillé pour et mes coéquipiers m'ont beaucoup aidé. On en est là aujourd'hui, c'est le fruit de mon travail. Je suis content et il faut continuer comme ça."
A 18 ans, le Français impressionne par sa précocité et son état d'esprit: "Je suis dans un club rempli d'ambition et donc quand tu joues dans ce club, tu dois être ambitieux. Je me dois d'avoir envie de me déchirer pour l'équipe, c'est ce que je pense faire et je vais continuer à le faire. M'entraîner avec tous ses joueurs, ça m'aide beaucoup, je dois continuer à travailler."
Beaucoup disent que c'est le futur, mais pour moi, c'est le présent, lance Upamecano
Mathys Tel rêve déjà d'un avenir prochain en Bleu: "L'équipe de France est dans ma tête parce que c'est ma nation et mon pays. J'aimerais y gratter quelques minutes mais il faut savoir rester patient, c'est important. Je dois grandir et quand je serai appelé, je serai content."
S'il n'est pas impossible, à terme, de le voir appeler par Didier Deschamps ou par Thierry Henry, Mathys Tel représente le présent selon son coéquipier, Dayot Upamecano : "C'est un très très bon joueur, je parle toujours avec lui, et je lui dis qu'il doit continuer ainsi. Il est encore jeune, mais il apprend très vite, il veut apprendre très vite. Il parle avec tout le monde. Il doit poursuivre dans cette voie, parce que c'est un super joueur. Il nous surprend, beaucoup disent que c'est le futur, mais pour moi, c'est le présent."
Après trois saisons passées au Stade Rennais, Jérémy Doku s’est engagé en faveur de Manchester City dans les derniers jours du mercato estival. Une signature qui en dit long sur les perspectives d’avenir de l’ailier belge. Désireux de franchir un nouveau cap dans sa jeune carrière, le joueur de 21 ans espère devenir indiscutable en sélection en évoluant aux côtés des plus grands. Hier, le natif de Borgerhout a fêté sa 17e sélection avec la Belgique face à l’Estonie.

Si les Diables Rouges se sont largement imposés face aux Estoniens (5-0), Jérémy Doku n’a pas soigné ses statistiques malgré une belle activité sur le pré. C’est donc avec une pointe de frustration que le Belge s’est présenté devant la presse pour évoquer sa prestation."Je pense que j’ai fait un bon match, on a tous fait un bon match. Jan Verthonghen méritait ça pour sa 150e. On est contents du score et du résultat. On peut toujours faire mieux mais aujourd’hui, c’était une réussite. En juin, j’avais dit que je devais faire mieux dans le dernier geste. C’était mieux aujourd’hui, mais je ne marque toujours pas, même si je fais quand même une passe décisive. J’aurais aimé marquer mon but, ça reste important pour moi", a déclaré Jérémy Doku au micro de la RTBF à l’heure où son compteur en sélection reste bloqué à 2 réalisations.
Dans une interview accordée à nos confrères du Parisien, l’ancien joueur du Stade Rennais Lesley Ugochukwu revient sur son départ à Chelsea, « le genre d’opportunité qui ne se refuse pas ».

C’est un nouveau talent précoce qui a quitté les bords de la Vilaine cet été. Formé au Stade Rennais, Lesley Ugochukwu, 19 ans, a signé à Chelsea contre environ 30 millions d’euros. Pour la première fois depuis qu’il a rallié Londres, le milieu de terrain a pris la parole pour évoquer son transfert. Au départ, je pensais faire toute la saison avec Rennes mais le foot, ça va vite. Ça faisait un moment que Chelsea me suivait. Cet été, il y a eu des coups de fil entre le club et moi, ça s’est bien passé et on a décidé d’avancer , explique-t-il à nos confrères du Parisien.
L’international chez les Espoirs, titulaire avec les Bleuets jeudi dernier lors de la première de Thierry Henry, estime que Chelsea est le genre d’opportunité qui ne se refuse pas . J’ai une grande confiance en moi, en mes qualités, en ce que je peux faire. Je sais que si je fais les choses correctement, tout se passera comme prévu. "
Le milieu de terrain Flavien Tait quitte le Stade Rennais pour le club turc Samsunspor. Sur Instagram, le joueur adresse un beau message aux supporters.

Après quatre saisons avec le club breton, Flavien Tait fait ses adieux aux supporters rennais. Il rejoint Samsunspor, club turc en Super Lig, annonce le Stade Rennais, dans un communiqué envoyé aux médias dont actu Rennes, jeudi 6 septembre.
Le milieu de terrain a porté le maillot rouge et noir à 129 reprises, toutes compétitions confondues. Il a marqué 12 buts et délivré 10 passes décisives. En mai 2022, il avait prolongé son contrat d’un an, jusqu’en 2024. Il n’ira pas au bout de ce contrat.
Un rôle essentiel dans les bons résultats
Par ses qualités physiques et techniques, son état d’esprit et son sens du collectif, Flavien aura eu un rôle essentiel dans les bons résultats des Rouge et Noir depuis quelques années, précise le club.
Il s’est notamment distingué durant les saisons 2020-2021 et 2021-2022.
Les émotions sont fortes, les souvenirs nombreux
Dans une publication sur le réseau social Instagram, le joueur dit au revoir aux supporters rennais. "Quand je repense à toutes ces années passées ensemble, les émotions sont fortes, et les souvenirs nombreux", écrit-il.
Il n’élude pas les "débuts contrastés" et le "travail acharné" pour se "mettre à la hauteur". Il garde en tête la "sensation indescriptible de sentir le Roazhon vibrer".
Mon aventure bretonne m'a profondément changé, sportivement mais aussi humainement.
Il remercie toutes les parties prenantes à cette aventure. Aux supporters, il adresse ces derniers mots : "Vous êtes l’âme de ce club et rendez chaque rencontre magique. Une nouvelle aventure s’offre à moi, mais mon cœur restera marqué au fer rouge et noir."

Cher peuple rennais,
Après 4 saisons il est venu le temps pour moi de vous dire au revoir. Quand je repense à toutes ces années passées ensemble, les émotions sont fortes, et les souvenirs nombreux.
Des débuts contrastés, et un travail acharné pour inverser la tendance et se mettre à la hauteur de l’ambition du club. La découverte des 3 compétitions européennes avec des soirées exceptionnelles, la sensation indescriptible de sentir le Roazhon vibrer, au rythme des buts, des passes décisives, et des victoires.
Mon aventure bretonne m’a profondément changé, sportivement mais aussi humainement. Je tiens à remercier toutes les personnes que j’ai pu croiser ici : entraineurs, staff, direction, coéquipiers, salariés du club, et évidemment vous supporters, qui m’avez tant apporté. Vous êtes l'âme de ce club et vous rendez chaque rencontre magique, à domicile comme à l'extérieur.
Une nouvelle aventure s’offre à moi, mais mon cœur restera marqué au fer rouge et noir ???
Je vous souhaite le meilleur et tous les succès possibles.
Flavien
Alors qu'il avait signé au CS Maritimo début juillet, après avoir résilié son contrat avec le Stade Rennais, le gardien de but de 39 ans Romain Salin a choisi de mettre un terme à sa carrière et de retourner à Rennes près de sa famille.

Romain Salin a quitté le Stade Rennais sur une résiliation de contrat en juin dernier, avant de trouver un nouveau challenge en signant au CS Maritimo, club où il avait déjà évolué à deux reprises dans sa carrière (de 2011 à 2013 puis de 2014 à 2016), et qui vient de descendre en 2e division portugaise. Le Mayennais va finalement mettre un terme à sa carrière et rentrer à Rennes. Romain Salin aura eu une carrière longue de 20 ans, joué 287 matchs en pro (dont 28 au Stade Rennais), remporté la Coupe Gambardella en 2003 et la Coupe du Portugal en 2019 (avec le Sporting Lisbonne).
Il assiste à distance à une tentative de cambriolage au domicile familial
C'est un événement récent qui l'a fait changer d'avis et qui a poussé le gardien de but à rentrer en France auprès des siens. Dans la nuit de lundi à mardi, alors qu'il est à Madère au Portugal, il reçoit une notification du système de caméras installé dans sa propriété de la métropole rennaise. Sur les écrans, il aperçoit deux hommes, capuchés et casquette sur la tête, en train de faire le tour de la maison un marteau à la main. Il prévient alors sa compagne qui est sur place, qui parvient à déclencher le système d'alarme et faire fuir les deux hommes.
Mais Romain Salin n'a pas supporté le sentiment d'impuissance, et a prévenu son club de son intention de rentrer dès que possible en France auprès des siens. Il prendra sa retraite professionnelle dans la foulée après un dernier au revoir aux supporters du CS Maritimo.
Romain Salin bientôt sur France Bleu Armorique
Connu pour son franc-parler, son leadership, et son goût pour la tactique, Romain Salin nous fera le plaisir d'intervenir ponctuellement dans notre nouvelle émission consacrée au Stade Rennais, "Le lundi c'est Rauzy" sur France Bleu Armorique. Il fera partie de notre équipe d'experts pour décrypter le jeu et l'actualité des Rouge et Noir.
Selon France Bleu, l'ancien gardien rennais Romain Salin a décidé d'arrêter sa carrière après avoir été victime d'une tentative d'intrusion à son domicile.

Romain Salin raccroche les crampons. À 39 ans, l'ancien gardien du Stade Rennais a décidé de mettre un terme à sa carrière professionnelle, rapporte samedi France Bleu. Un choix qui survient pourtant quelques semaines après le début de son contrat au CS Maritimo, club de deuxième division portugaise où il est retourné après deux précédentes expériences entre 2011 et 2016.
Une intrusion suivie à distance
Mais un événement récent aurait changé ses plans. Toujours d'après France Bleu, Romain Salin a choisi de retourner en France après avoir été informé d'une tentative d'intrusion dans son domicile situé dans l'agglomération rennaise. Par le biais d'une application de surveillance à distance, le gardien aurait constaté que deux hommes capuchés et munis d'un marteau rôdaient autour de sa maison. Ce qui lui aurait permis d'alerter sa compagne, présente sur les lieux, pour qu'elle les mette en fuite.
Romain Salin avait pris part aux deux premières journées de championnat avec Maritimo. Ce qui a porté son total de matchs disputés avec Maritimo à 121.
Au Stade Rennais, où il a été formé, Romain Salin a pris part à 28 matchs, dont 2 de Ligue des champions. Sur l'ensemble de sa carrière, qui l'a amené à évoluer dans dix clubs différents, le Mayennais a pris part à 287 rencontres depuis 2004.